Titre de l'histoire érotique : Aventure au bois de Boulogne
Récit érotique écrit par Roxannets [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 1 récit publié.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 10.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Roxannets ont reçu un total de 1 790 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-10-2017 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 1 790 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : Aventure au bois de Boulogne
Je suis une transsexuelle de cinquante ans, hormonée, non opérée, avec un joli 95B naturel et des formes assez généreuses.
Ma crédibilité féminine n’est jamais mise en doute, ce qui est très confortable, à contrario de mon âge que personne ne veut croire, et comme j’ai de long cheveux ondulés, un joli visage, une bouche en cœur et de grands yeux bleus, on peut dire que j’ai en plus la chance de plaire très souvent aux messieurs.
J’adore écrire mais mon imagination, bien que débordante, se limite aux écrits classiques, sans avoir jamais pu trouver la capacité à s’exprimer dans l’érotisme.
Je ne suis pourtant pas une sainte, mais lorsqu’il s’agit d’écrire ne serais-ce que des fantasmes, je cale rapidement.
C’est pourquoi, puisque je suis par contre très capable de relater des faits réels, j’ai décidé de réaliser certains de ces fantasmes et envies, puis de les écrire pour les partager, et ce texte sera donc le premier de la liste.
Je décide donc aujourd’hui, dimanche 24/09/2017, de suivre un parcours au bois de Boulogne en partant de la porte Dauphine pour faire le tour du lac principal, et en joggant (un peu), empruntant les chemins des bois.
Je porte un string rose fluo, un caleçon de sport moulant rose tigré noir à mi-mollet et un débardeur en lycra gris sans soutien-gorge.
J’ai pris une petite veste de jog blanche au cas où s’il fait frais et je voyagerai avec un trench-coat anthracite.
J’ai mis des baskets plus propices au jogging et pris un petit sac à dos noir pour transporter le nécessaire, tickets de transport, identité, lunettes de soleil, une petite bouteille d’eau et bien sur gel et capotes.
Il est 7h00, je recharge un peu mon tel que j’ai oublié de mettre en charge et j’y vais.
Arrivée porte Dauphine, j’ai plié mon trench-coat et ma veste dans le sac et ai attaché celui-ci sur mon dos.
J’ai alors pris le sentier de forêt à gauche de la route de Suresnes qui mène au lac en joggant légèrement.
Je n’avais pas fait 100 mètres que j’entendis plusieurs « Pssst ! Pssst ! » venant de derrière.
Je ralentis pour finalement me mettre à marcher tranquillement.
J’entendais des pas se rapprocher mais ne me retournais pas, feignant de ne pas avoir entendu et ralenti aux appels.
Arrivé à ma hauteur par la gauche, j’entendis : « Hey joli ton legging ma belle, t’as un beau boule dedans ».
Seulement là je tournais la tête vers lui et pu le voir.
C’était un rebeu dans les 20/25 ans, look de cité, en jogging bleu marine, de peau assez foncée.
Je lui souris et le remerciais pour le compliment.
J’avais bifurqué vers le sentier le plus éloigné de la route et le lieu était totalement désert et plutôt à couvert.
Il enchaîna alors en riant que mon legging était beau mais trop serré et que ce n’était pas bon pour le sport.
Je lui demandais donc ce qu’il me conseillait de faire et il me dit que je ferai mieux de l’enlever un peu « pour faire respirer tout ça ».
Jouant l’ingénue je lui demandais si il était sur et il acquiesça vivement.
Je m’arrêtais alors et entrepris d’ôter le legging, mais, équilibre oblige, il se présenta pour faire appui et en profita pour tâter mes fesses.
A présent debout et en string, il me demanda si je n’étais pas mieux et je répondis timidement que oui.
Il s’approcha alors face à moi et sans un mot souleva mon débardeur au dessus de mes seins nus, les empoigna fermement et se mit à en téter un qu’il tenait, tandis que son autre main vint à la rencontre de mon entrejambe.
Rapidement, ses doigts se glissèrent dans le string et il extirpa mon sexe et mes couilles en les malaxant.
Il se redressa et appuya fermement avec ses mains sur mes épaules, me forçant à me mettre à genoux.
Il baissa son jogging et apparu une grosse queue très sombre, presque noire au gland marron foncé, circoncise et très nervurée, qu’il saisit et appliqua aussitôt sur ma bouche.
Je l’ouvris donc et avalais cette bite épaisse et longue en léchant consciencieusement le gros gland.
Il murmurait des « Allez suces bien salope, mmmm c’est bon caresses mes couilles » et aussi « t’es un bon travelo bouffeur de bites je t’ai capté direct, une bonne grosse pute à arabes ».
Je pompais fermement et n’entendis pas qu’un joggeur arrivait par derrière en voyant la scène.
Il passa à petite foulée et je ne le vis que lorsqu’il atteint notre niveau, ce qui me surpris et me fis faire un léger mouvement de recul, mais le rebeu pris mes cheveux et m’enfonça à nouveau sur son sexe.
L’homme s’arrêta et revins lentement sur ses pas pour mater la scène.
Le rebeu lui dit alors : « tiens vas-y fais toi pomper moi je vais lui casser son cul » et il se retira de ma bouche pour se décaler, tandis que très vite l’autre pris sa place et baissa son legging de sport en lycra et son slip.
Je n’avais même pas eu le temps de voir son physique et de si près je ne pouvais voir que sa queue qui se déroulait par l’excitation tandis qu’il la frottait sur mon visage.
Elle était moins longue mais encore plus épaisse que celle de l’autre, qui était à présent affairé derrière moi sur ses genoux.
Il baissa mon string et me fis me cambrer en m’appuyant sur le bassin, et j’entendis qu’il ouvrait une capote et l’enfilai.
Le joggeur me mis sa bite en bouche et le rebeu cracha sur mon cul pour lubrifier mon trou.
Il en força l’entrée lentement mais sûrement, m’’arrachant quelques petits gémissements, surtout lorsque c’est tout son gros membre qui s’enfonça jusqu’à la garde.
Il tenait fermement mes hanches en me pilonnant brutalement, lançant à son complice de fortune qu’il fallait qu’il m’encule sans faute « vu comment mon gros cul était bon à niquer ».
Je suçais avec application malgré les coups de boutoir qui faisaient claquer mes fesses contre ses hanches et il finit par se cabrer en râlant à couvert, tandis qu’il se vidait dans son préservatif au fond de mon cul.
Il se retira, et en deux temps trois mouvements il partit, non sans m’avoir gratifiée d’une tape sur le cul et d’un « merci grosse chienne ».
Je me retrouvais seule à sucer l’inconnu, qui soudain m’appuya sur la tête pour me pencher en levrette, visage au sol hyper cambrée, et partit se placer derrière moi.
Mais alors que je m’attendais au même traitement que précédemment, je sentis une main ferme saisir mon sexe et mes couilles et les tirer fort vers l’arrière et l’homme dire : « mais t’es un gros PD en fait toi ! Une pédale déguisée en gonzesse... je me suis fait sucer par une tarlouze ! ».
J’eu un peu peur pendant un moment car il me tirait très fort sur les couilles, mais il relâcha et me demanda si j’avais une capote parce qu’après tout, au point où il en était, il allait m’enculer pour ne pas mourir idiot.
J’en pris une dans mon sac et la lui tendis par derrière sans me retourner à sa demande.
Il l’enfila, me sodomisa sans ménagement et sans un mot, m’écartelant l’anus avec son pieu très large, en me faisant râler la tête dans les feuilles mortes.
Il joui dans un grognement sourd et se releva en m’intimant de ne pas bouger.
Je restais donc, ainsi le cul cambré et sûrement très dilaté, jambes écartées les couilles pendantes, les seins aplatis sur le sol humide.
Avant de repartir, il dit : « tiens PD, ça c’est pour m’avoir trompé sur la marchandise » et je sentis d’interminables jets de pisse brûlante venir s’épandre sur mon cul, mon entrejambe, mon dos et jusqu’à mes cheveux.
Il se rajusta et reparti.
Je me relevais alors un peu endolorie, des filets d’urine ruisselant sur mon visage par ma tignasse imprégnée, mon petit haut et mon string complètement trempés de pipi odorant.
J’hésitais à rentrer après cette séance, en enlevant le top pour ne porter que la veste et sans culotte sous le legging, mais j’étais très excitée malgré tout par cette humiliation.
Je remis donc juste le legging, difficilement car j’étais mouillée, et gardais le string et le top trempés avant de reprendre ma course.
Plus loin je croisais pas mal de marcheurs et joggeurs qui pour certains semblaient m’observer assez fixement au passage.
Arrivée vers le bout du lac, je pris le chemin d’en faire le tour par l’autre rive, toujours par les bois, et de ce côté la forêt était bien plus dense et moins fréquentée, avec des sentiers étroits qui semblaient mener vers des coins encore plus denses.
Fatiguée de jogger, je marchais tranquillement et en m’arrêtant je pus comprendre pourquoi on me regardait parfois avec insistance.
Le débardeur trempé de pisse et la transpiration ne cachait rien de mes seins nus à présent moulés à l’extrême et les tétons très apparents.
Mon entrejambe humidifiée par le string formait une auréole et mes cheveux était très mouillés.
Tout ceci pouvait être pris pour un excès de sudation, mais c’était quand même assez voyant.
Je bifurquais alors par un sentier étroit et tombais sur une drôle de hutte de fortune fabriquée à l’aide de branchages et d’un genre de bâche disposée comme un toit, sous laquelle j’entendais des voix.
Prenant garde de ne pas déranger une éventuelle réunion qui ne me regardais pas, je tentais de passer à proximité sans bruit, mais les craquements étaient inévitables et le visage d’un homme noir se montra soudain dans ma direction qui en cherchait l’origine.
Il dit quelque chose que je ne compris pas et c’est quatre blacks qui sortirent de la cabane.
Aussitôt je les saluais et annonca que je ne faisais que passer sans vouloir les déranger.
Ils me dévisagèrent et s’approchèrent en me disant que non, que j’étais la bienvenue parmi eux et m’invitèrent à faire une pause pour me reposer.
Je refusais poliment, prétextant que je n’étais pas fatiguée mais ils me ceinturaient à présent, et un pris mon bras sans brutalité mais avec fermeté pour m’inciter à les suivre.
Je tentais de me dégager doucement de cette emprise mais un autre me saisit l’autre bras et ils m’entraînèrent vers la cabane de branches où je pénétrais en baissant la tête. Au sol se trouvait un vieux et grand matelas sur lequel je fus invitée à m’asseoir.
Je m’assis donc un peu inquiète et ils firent de même très souriants, me disant qu’il fallait que je me détende car c’était juste pour partager le verre de l’amitié.
Ils étaient tous en survêtements et joggings, et deux bouteilles de whisky trônaient dont une à demi vide dans un angle.
Un pris un gobelet neuf et le remplit presque à ras bord de whisky et me le tendis, tandis que les autres se servaient.
J’exprimais en riant jaune ma légère désapprobation sur le breuvage alcoolisé pour faire du sport et la quantité dans le verre, mais il insista en me disant que je ne voulais certainement pas les vexer en refusant le verre de l’amitié.
Alors on trinqua en se présentant et, étais-ce la fraîcheur qui se ressentis une fois posée sans mouvement ou la gorgée d’alcool fort que je dus ingurgiter, mais j’eus un grand frisson qui me parcouru l’épine dorsale et me fis tressaillir, à leur grande hilarité devant ma grimace qui l’accompagna.
J’allais reposer mon verre, mais mon voisin qui me l’avais tendu m’en empêcha, en m’invitant à le terminer « pour me réchauffer ».
Sollicitée par les quatre hommes de manière enjouée mais déterminée à ce que j’obtempère, je fus forcée de boire tout le verre.
En effet une grande chaleur m’envahissait à présent, et ils commencèrent à me poser plein de questions, d’où je venais, ce que je faisais dans la vie, si j’avais un mari etc.
Ils plaisantaient beaucoup, me faisaient beaucoup de compliment sur mes yeux, mes cheveux, mon sourire et ma bouche, ainsi que sur mon corps et mes formes.
Puis il me resservi un plein verre et ils m’encouragèrent à le vider d’un coup, comme ils s’apprêtaient à le faire avec les leurs, mais je prétextait que cela ferait bien trop pour moi, déjà que le précédent risquait d’avoir des effets sur moi.
Ils ne l’entendirent pas de cette oreille et mon voisin pris le verre d’une main et de l’autre me saisi par l’arrière du cou sans brutalité mais fermement, l’amenant à ma bouche.
Je refusais à nouveau en maintenant les lèvres fermées, mais la pression sur mon cou se fit très insistante, et je dus ouvrir la bouche où il déversa l’alcool doucement et régulièrement pour que j’avale les gorgées brûlantes, tandis que les autres disaient « allez allez ! ».
J’avais la gorge en feu, et je sentais l’ébriété grimper en flèche à chaque minute qui passait.
La tête me tournait et je ressentais une sensation de chaleur dans tout le corps.
Je ne pris même pas conscience qu’ils m’avaient resservie et me laissais à nouveau remplir la bouche de ce whisky bon marché en m’étouffant presque parfois sur des gorgées.
J’étais à présent complètement éméchée et ma vision se troublait presque.
Je sentis que des mains me caressaient les seins et on me retira mon top, les bras levés.
Ils parlaient à voix basse et je me retrouvais allongée en arrière sur le matelas.
Des mains défaisaient mes chaussures, une langue s’enfonça dans ma bouche et mes seins étaient malaxés dans tous les sens.
Je sentis qu’on tirait sur le rebord de mon legging et il me fut retiré en même temps que le string.
Quelques murmures me parvinrent où j’entendis le mot « trans », mais on me déplaça en longueur sur le matelas et on m’écarta les jambes pour avoir accès à mon cul et des doigts commencèrent à me titiller l’anus.
J’avais la tête qui tournait tellement que je perdis l’équilibre lorsqu’ils me retournèrent pour me positionner en levrette mais ils assurèrent la position.
Un vint se placer assis face à moi et me poussa le visage sur son gros sexe tout raide et ses couilles.
Il sentait très fort de l’entrejambe mais je me mis à les lui lécher docilement.
Des mains me trayaient les seins comme des pis de vache en étirant les tétons et une bouche trempée se mit à me dévorer le cul.
L’homme que je léchais saisit sa bite pour me la mettre en bouche et je le suçais comme je pouvais, malgré la tête qui me tournait comme jamais.
Des sons de capotes que l’on ouvre, et une première grosse bite se présenta sur mon orifice visité il y a peu.
Elle y entra sans trop de difficulté et l’homme se mit à me limer le cul lentement, prenant le temps d’entrer patiemment son membre jusqu’au bout.
Une autre bite encore plus odorante pris la place du premier dans ma bouche, lui à genoux et me relevant la tête et les épaules pour pouvoir emboucher sa grosse queue encore à demi molle, qui ne tarda pas à m’emplir la bouche tellement elle était large.
Je recevais régulièrement des claques modérées sur les fesses et les seins, et celui qui me sodomisait accéléra le mouvement, avant de laisser sa place à un autre, qui s’enfonça avec empressement dans mon trou du cul dilaté.
Il haletait en me bourrant les fesses, et se plaça à califourchon sur mon cul pour limer plus loin et plus fort.
Sous ses mouvements puissants, mon corps entier était secoué et mes seins, ma petite queue et mes couilles étaient ballottés de partout.
Parfois, je prenais soudain conscience que j’étais en train de me faire baiser sans retenue par quatre inconnus qui m’avaient saoulée de force, mais l’alcool reprenait le dessus et je m’abandonnais à cette situation.
Ma bouche arrivait à peine à accueillir l’énorme queue de celui qui bandait à présent comme un cheval, et celui qui me baisait laissa sa place à un troisième, qui m’encula avec autant d’ardeur que lui.
Je ne sentais presque plus mon anus tellement ils le démontaient avec fougue, et c’est enfin celui que je suçais avec tant de peine qui vint se placer derrière moi.
Il me poussa à plat ventre, se coucha sur moi de tout son poids et plaça son gland sous plastique entre mes fesses.
Je ne pus retenir un petit cri lorsque celui ci se fraya un chemin dans mon trou pourtant très dilaté.
Il plaqua sa main sur ma bouche et je sentis son énorme tige s’enfoncer dans mes entrailles.
Les yeux révulsés, un énorme râle étouffé par sa paume, j’avais l’impression qu’un bras entier avait pénétré mon cul.
Il fit quelques va-et-viens tandis que les autres maintenaient mes cuisses bien écartées, puis se souleva sur ses bras et se mit à me défoncer de plus en plus fort.
Sa masse faisait claquer mes grosses fesses bruyamment et je sentais mon trou de balle totalement écartelé.
Il ralentit enfin et se retira et présenta en riant à ses complices mon trou probablement béant en m’écartant les fesses.
Puis ils me forcèrent à me redresser à genoux, la tête en arrière et la bouche grande ouverte, et se masturbèrent jusqu’à jouissance, en arrosant mon visage et ma langue de grosses giclées de foutre chaud.
Ils me laissèrent ainsi, un réflexe m’ayant faite ramener mon sac contre moi, allongée nue sur ce matelas car la tête me tournait encore trop.
Je dus m’assoupir un court moment, ou au moins délirer par l’alcool, parce que je fus réveillée par un sexe qui se frayait un chemin entre mes fesses, en position de cuillère l’homme dans mon dos, une cuisse relevée.
Je ne résistais pas, les volutes de l’alcool encore trop présentes, mais lorsque son gland pénétra sans encombre mon orifice hyper dilaté, je sentis qu’il n’avait pas de capote et le repoussait un peu en en cherchant une dans mon sac.
Il l’enfila et me baisa comme une chienne à quatre pattes, en me traitant de pute et reparti.
Je me rhabillais alors que la tête me tournait moins et je sortis de ce baisodrome en marchant doucement.
Je pus reprendre la totalité de mes esprits en cours de chemin pour rentrer, sentant le sperme et la pisse, les tétons distendus ultra sensibles, et le trou du cul explosé.
Ma crédibilité féminine n’est jamais mise en doute, ce qui est très confortable, à contrario de mon âge que personne ne veut croire, et comme j’ai de long cheveux ondulés, un joli visage, une bouche en cœur et de grands yeux bleus, on peut dire que j’ai en plus la chance de plaire très souvent aux messieurs.
J’adore écrire mais mon imagination, bien que débordante, se limite aux écrits classiques, sans avoir jamais pu trouver la capacité à s’exprimer dans l’érotisme.
Je ne suis pourtant pas une sainte, mais lorsqu’il s’agit d’écrire ne serais-ce que des fantasmes, je cale rapidement.
C’est pourquoi, puisque je suis par contre très capable de relater des faits réels, j’ai décidé de réaliser certains de ces fantasmes et envies, puis de les écrire pour les partager, et ce texte sera donc le premier de la liste.
Je décide donc aujourd’hui, dimanche 24/09/2017, de suivre un parcours au bois de Boulogne en partant de la porte Dauphine pour faire le tour du lac principal, et en joggant (un peu), empruntant les chemins des bois.
Je porte un string rose fluo, un caleçon de sport moulant rose tigré noir à mi-mollet et un débardeur en lycra gris sans soutien-gorge.
J’ai pris une petite veste de jog blanche au cas où s’il fait frais et je voyagerai avec un trench-coat anthracite.
J’ai mis des baskets plus propices au jogging et pris un petit sac à dos noir pour transporter le nécessaire, tickets de transport, identité, lunettes de soleil, une petite bouteille d’eau et bien sur gel et capotes.
Il est 7h00, je recharge un peu mon tel que j’ai oublié de mettre en charge et j’y vais.
Arrivée porte Dauphine, j’ai plié mon trench-coat et ma veste dans le sac et ai attaché celui-ci sur mon dos.
J’ai alors pris le sentier de forêt à gauche de la route de Suresnes qui mène au lac en joggant légèrement.
Je n’avais pas fait 100 mètres que j’entendis plusieurs « Pssst ! Pssst ! » venant de derrière.
Je ralentis pour finalement me mettre à marcher tranquillement.
J’entendais des pas se rapprocher mais ne me retournais pas, feignant de ne pas avoir entendu et ralenti aux appels.
Arrivé à ma hauteur par la gauche, j’entendis : « Hey joli ton legging ma belle, t’as un beau boule dedans ».
Seulement là je tournais la tête vers lui et pu le voir.
C’était un rebeu dans les 20/25 ans, look de cité, en jogging bleu marine, de peau assez foncée.
Je lui souris et le remerciais pour le compliment.
J’avais bifurqué vers le sentier le plus éloigné de la route et le lieu était totalement désert et plutôt à couvert.
Il enchaîna alors en riant que mon legging était beau mais trop serré et que ce n’était pas bon pour le sport.
Je lui demandais donc ce qu’il me conseillait de faire et il me dit que je ferai mieux de l’enlever un peu « pour faire respirer tout ça ».
Jouant l’ingénue je lui demandais si il était sur et il acquiesça vivement.
Je m’arrêtais alors et entrepris d’ôter le legging, mais, équilibre oblige, il se présenta pour faire appui et en profita pour tâter mes fesses.
A présent debout et en string, il me demanda si je n’étais pas mieux et je répondis timidement que oui.
Il s’approcha alors face à moi et sans un mot souleva mon débardeur au dessus de mes seins nus, les empoigna fermement et se mit à en téter un qu’il tenait, tandis que son autre main vint à la rencontre de mon entrejambe.
Rapidement, ses doigts se glissèrent dans le string et il extirpa mon sexe et mes couilles en les malaxant.
Il se redressa et appuya fermement avec ses mains sur mes épaules, me forçant à me mettre à genoux.
Il baissa son jogging et apparu une grosse queue très sombre, presque noire au gland marron foncé, circoncise et très nervurée, qu’il saisit et appliqua aussitôt sur ma bouche.
Je l’ouvris donc et avalais cette bite épaisse et longue en léchant consciencieusement le gros gland.
Il murmurait des « Allez suces bien salope, mmmm c’est bon caresses mes couilles » et aussi « t’es un bon travelo bouffeur de bites je t’ai capté direct, une bonne grosse pute à arabes ».
Je pompais fermement et n’entendis pas qu’un joggeur arrivait par derrière en voyant la scène.
Il passa à petite foulée et je ne le vis que lorsqu’il atteint notre niveau, ce qui me surpris et me fis faire un léger mouvement de recul, mais le rebeu pris mes cheveux et m’enfonça à nouveau sur son sexe.
L’homme s’arrêta et revins lentement sur ses pas pour mater la scène.
Le rebeu lui dit alors : « tiens vas-y fais toi pomper moi je vais lui casser son cul » et il se retira de ma bouche pour se décaler, tandis que très vite l’autre pris sa place et baissa son legging de sport en lycra et son slip.
Je n’avais même pas eu le temps de voir son physique et de si près je ne pouvais voir que sa queue qui se déroulait par l’excitation tandis qu’il la frottait sur mon visage.
Elle était moins longue mais encore plus épaisse que celle de l’autre, qui était à présent affairé derrière moi sur ses genoux.
Il baissa mon string et me fis me cambrer en m’appuyant sur le bassin, et j’entendis qu’il ouvrait une capote et l’enfilai.
Le joggeur me mis sa bite en bouche et le rebeu cracha sur mon cul pour lubrifier mon trou.
Il en força l’entrée lentement mais sûrement, m’’arrachant quelques petits gémissements, surtout lorsque c’est tout son gros membre qui s’enfonça jusqu’à la garde.
Il tenait fermement mes hanches en me pilonnant brutalement, lançant à son complice de fortune qu’il fallait qu’il m’encule sans faute « vu comment mon gros cul était bon à niquer ».
Je suçais avec application malgré les coups de boutoir qui faisaient claquer mes fesses contre ses hanches et il finit par se cabrer en râlant à couvert, tandis qu’il se vidait dans son préservatif au fond de mon cul.
Il se retira, et en deux temps trois mouvements il partit, non sans m’avoir gratifiée d’une tape sur le cul et d’un « merci grosse chienne ».
Je me retrouvais seule à sucer l’inconnu, qui soudain m’appuya sur la tête pour me pencher en levrette, visage au sol hyper cambrée, et partit se placer derrière moi.
Mais alors que je m’attendais au même traitement que précédemment, je sentis une main ferme saisir mon sexe et mes couilles et les tirer fort vers l’arrière et l’homme dire : « mais t’es un gros PD en fait toi ! Une pédale déguisée en gonzesse... je me suis fait sucer par une tarlouze ! ».
J’eu un peu peur pendant un moment car il me tirait très fort sur les couilles, mais il relâcha et me demanda si j’avais une capote parce qu’après tout, au point où il en était, il allait m’enculer pour ne pas mourir idiot.
J’en pris une dans mon sac et la lui tendis par derrière sans me retourner à sa demande.
Il l’enfila, me sodomisa sans ménagement et sans un mot, m’écartelant l’anus avec son pieu très large, en me faisant râler la tête dans les feuilles mortes.
Il joui dans un grognement sourd et se releva en m’intimant de ne pas bouger.
Je restais donc, ainsi le cul cambré et sûrement très dilaté, jambes écartées les couilles pendantes, les seins aplatis sur le sol humide.
Avant de repartir, il dit : « tiens PD, ça c’est pour m’avoir trompé sur la marchandise » et je sentis d’interminables jets de pisse brûlante venir s’épandre sur mon cul, mon entrejambe, mon dos et jusqu’à mes cheveux.
Il se rajusta et reparti.
Je me relevais alors un peu endolorie, des filets d’urine ruisselant sur mon visage par ma tignasse imprégnée, mon petit haut et mon string complètement trempés de pipi odorant.
J’hésitais à rentrer après cette séance, en enlevant le top pour ne porter que la veste et sans culotte sous le legging, mais j’étais très excitée malgré tout par cette humiliation.
Je remis donc juste le legging, difficilement car j’étais mouillée, et gardais le string et le top trempés avant de reprendre ma course.
Plus loin je croisais pas mal de marcheurs et joggeurs qui pour certains semblaient m’observer assez fixement au passage.
Arrivée vers le bout du lac, je pris le chemin d’en faire le tour par l’autre rive, toujours par les bois, et de ce côté la forêt était bien plus dense et moins fréquentée, avec des sentiers étroits qui semblaient mener vers des coins encore plus denses.
Fatiguée de jogger, je marchais tranquillement et en m’arrêtant je pus comprendre pourquoi on me regardait parfois avec insistance.
Le débardeur trempé de pisse et la transpiration ne cachait rien de mes seins nus à présent moulés à l’extrême et les tétons très apparents.
Mon entrejambe humidifiée par le string formait une auréole et mes cheveux était très mouillés.
Tout ceci pouvait être pris pour un excès de sudation, mais c’était quand même assez voyant.
Je bifurquais alors par un sentier étroit et tombais sur une drôle de hutte de fortune fabriquée à l’aide de branchages et d’un genre de bâche disposée comme un toit, sous laquelle j’entendais des voix.
Prenant garde de ne pas déranger une éventuelle réunion qui ne me regardais pas, je tentais de passer à proximité sans bruit, mais les craquements étaient inévitables et le visage d’un homme noir se montra soudain dans ma direction qui en cherchait l’origine.
Il dit quelque chose que je ne compris pas et c’est quatre blacks qui sortirent de la cabane.
Aussitôt je les saluais et annonca que je ne faisais que passer sans vouloir les déranger.
Ils me dévisagèrent et s’approchèrent en me disant que non, que j’étais la bienvenue parmi eux et m’invitèrent à faire une pause pour me reposer.
Je refusais poliment, prétextant que je n’étais pas fatiguée mais ils me ceinturaient à présent, et un pris mon bras sans brutalité mais avec fermeté pour m’inciter à les suivre.
Je tentais de me dégager doucement de cette emprise mais un autre me saisit l’autre bras et ils m’entraînèrent vers la cabane de branches où je pénétrais en baissant la tête. Au sol se trouvait un vieux et grand matelas sur lequel je fus invitée à m’asseoir.
Je m’assis donc un peu inquiète et ils firent de même très souriants, me disant qu’il fallait que je me détende car c’était juste pour partager le verre de l’amitié.
Ils étaient tous en survêtements et joggings, et deux bouteilles de whisky trônaient dont une à demi vide dans un angle.
Un pris un gobelet neuf et le remplit presque à ras bord de whisky et me le tendis, tandis que les autres se servaient.
J’exprimais en riant jaune ma légère désapprobation sur le breuvage alcoolisé pour faire du sport et la quantité dans le verre, mais il insista en me disant que je ne voulais certainement pas les vexer en refusant le verre de l’amitié.
Alors on trinqua en se présentant et, étais-ce la fraîcheur qui se ressentis une fois posée sans mouvement ou la gorgée d’alcool fort que je dus ingurgiter, mais j’eus un grand frisson qui me parcouru l’épine dorsale et me fis tressaillir, à leur grande hilarité devant ma grimace qui l’accompagna.
J’allais reposer mon verre, mais mon voisin qui me l’avais tendu m’en empêcha, en m’invitant à le terminer « pour me réchauffer ».
Sollicitée par les quatre hommes de manière enjouée mais déterminée à ce que j’obtempère, je fus forcée de boire tout le verre.
En effet une grande chaleur m’envahissait à présent, et ils commencèrent à me poser plein de questions, d’où je venais, ce que je faisais dans la vie, si j’avais un mari etc.
Ils plaisantaient beaucoup, me faisaient beaucoup de compliment sur mes yeux, mes cheveux, mon sourire et ma bouche, ainsi que sur mon corps et mes formes.
Puis il me resservi un plein verre et ils m’encouragèrent à le vider d’un coup, comme ils s’apprêtaient à le faire avec les leurs, mais je prétextait que cela ferait bien trop pour moi, déjà que le précédent risquait d’avoir des effets sur moi.
Ils ne l’entendirent pas de cette oreille et mon voisin pris le verre d’une main et de l’autre me saisi par l’arrière du cou sans brutalité mais fermement, l’amenant à ma bouche.
Je refusais à nouveau en maintenant les lèvres fermées, mais la pression sur mon cou se fit très insistante, et je dus ouvrir la bouche où il déversa l’alcool doucement et régulièrement pour que j’avale les gorgées brûlantes, tandis que les autres disaient « allez allez ! ».
J’avais la gorge en feu, et je sentais l’ébriété grimper en flèche à chaque minute qui passait.
La tête me tournait et je ressentais une sensation de chaleur dans tout le corps.
Je ne pris même pas conscience qu’ils m’avaient resservie et me laissais à nouveau remplir la bouche de ce whisky bon marché en m’étouffant presque parfois sur des gorgées.
J’étais à présent complètement éméchée et ma vision se troublait presque.
Je sentis que des mains me caressaient les seins et on me retira mon top, les bras levés.
Ils parlaient à voix basse et je me retrouvais allongée en arrière sur le matelas.
Des mains défaisaient mes chaussures, une langue s’enfonça dans ma bouche et mes seins étaient malaxés dans tous les sens.
Je sentis qu’on tirait sur le rebord de mon legging et il me fut retiré en même temps que le string.
Quelques murmures me parvinrent où j’entendis le mot « trans », mais on me déplaça en longueur sur le matelas et on m’écarta les jambes pour avoir accès à mon cul et des doigts commencèrent à me titiller l’anus.
J’avais la tête qui tournait tellement que je perdis l’équilibre lorsqu’ils me retournèrent pour me positionner en levrette mais ils assurèrent la position.
Un vint se placer assis face à moi et me poussa le visage sur son gros sexe tout raide et ses couilles.
Il sentait très fort de l’entrejambe mais je me mis à les lui lécher docilement.
Des mains me trayaient les seins comme des pis de vache en étirant les tétons et une bouche trempée se mit à me dévorer le cul.
L’homme que je léchais saisit sa bite pour me la mettre en bouche et je le suçais comme je pouvais, malgré la tête qui me tournait comme jamais.
Des sons de capotes que l’on ouvre, et une première grosse bite se présenta sur mon orifice visité il y a peu.
Elle y entra sans trop de difficulté et l’homme se mit à me limer le cul lentement, prenant le temps d’entrer patiemment son membre jusqu’au bout.
Une autre bite encore plus odorante pris la place du premier dans ma bouche, lui à genoux et me relevant la tête et les épaules pour pouvoir emboucher sa grosse queue encore à demi molle, qui ne tarda pas à m’emplir la bouche tellement elle était large.
Je recevais régulièrement des claques modérées sur les fesses et les seins, et celui qui me sodomisait accéléra le mouvement, avant de laisser sa place à un autre, qui s’enfonça avec empressement dans mon trou du cul dilaté.
Il haletait en me bourrant les fesses, et se plaça à califourchon sur mon cul pour limer plus loin et plus fort.
Sous ses mouvements puissants, mon corps entier était secoué et mes seins, ma petite queue et mes couilles étaient ballottés de partout.
Parfois, je prenais soudain conscience que j’étais en train de me faire baiser sans retenue par quatre inconnus qui m’avaient saoulée de force, mais l’alcool reprenait le dessus et je m’abandonnais à cette situation.
Ma bouche arrivait à peine à accueillir l’énorme queue de celui qui bandait à présent comme un cheval, et celui qui me baisait laissa sa place à un troisième, qui m’encula avec autant d’ardeur que lui.
Je ne sentais presque plus mon anus tellement ils le démontaient avec fougue, et c’est enfin celui que je suçais avec tant de peine qui vint se placer derrière moi.
Il me poussa à plat ventre, se coucha sur moi de tout son poids et plaça son gland sous plastique entre mes fesses.
Je ne pus retenir un petit cri lorsque celui ci se fraya un chemin dans mon trou pourtant très dilaté.
Il plaqua sa main sur ma bouche et je sentis son énorme tige s’enfoncer dans mes entrailles.
Les yeux révulsés, un énorme râle étouffé par sa paume, j’avais l’impression qu’un bras entier avait pénétré mon cul.
Il fit quelques va-et-viens tandis que les autres maintenaient mes cuisses bien écartées, puis se souleva sur ses bras et se mit à me défoncer de plus en plus fort.
Sa masse faisait claquer mes grosses fesses bruyamment et je sentais mon trou de balle totalement écartelé.
Il ralentit enfin et se retira et présenta en riant à ses complices mon trou probablement béant en m’écartant les fesses.
Puis ils me forcèrent à me redresser à genoux, la tête en arrière et la bouche grande ouverte, et se masturbèrent jusqu’à jouissance, en arrosant mon visage et ma langue de grosses giclées de foutre chaud.
Ils me laissèrent ainsi, un réflexe m’ayant faite ramener mon sac contre moi, allongée nue sur ce matelas car la tête me tournait encore trop.
Je dus m’assoupir un court moment, ou au moins délirer par l’alcool, parce que je fus réveillée par un sexe qui se frayait un chemin entre mes fesses, en position de cuillère l’homme dans mon dos, une cuisse relevée.
Je ne résistais pas, les volutes de l’alcool encore trop présentes, mais lorsque son gland pénétra sans encombre mon orifice hyper dilaté, je sentis qu’il n’avait pas de capote et le repoussait un peu en en cherchant une dans mon sac.
Il l’enfila et me baisa comme une chienne à quatre pattes, en me traitant de pute et reparti.
Je me rhabillais alors que la tête me tournait moins et je sortis de ce baisodrome en marchant doucement.
Je pus reprendre la totalité de mes esprits en cours de chemin pour rentrer, sentant le sperme et la pisse, les tétons distendus ultra sensibles, et le trou du cul explosé.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Roxannets
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...