Titre de l'histoire érotique : AVENTURES BISEXUELLES - histoire érotique

J’ai déjà laissé 3 récits sur ce site, sous les pseudonymes Très Chaud et TrèsChaud. Très chaud me caractérise bien. Je suis un homme aujourd’hui de 61 ans, marié, très salaud, très vicieux, très ouvert, toujours prêt à de nouvelles rencontres et à de nouvelles expériences, voyeur, exhibitionniste, ayant toujours multiplié les aventures avec des femmes, jeunes ou moins jeunes, célibataires ou mariées (j’adore imaginer que je fais cocus leurs maris), ayant souvent eu plusieurs maîtresses à la fois (jusqu’à 5 lorsque j’étais plus jeune !), ayant aussi depuis longtemps multiplié les aventures avec des couples bi, des hommes et des groupes d’hommes (je suis bi, j’adore sucer et me faire sucer et j’aime vraiment me faire défoncer le cul), ayant baisé dans les endroits les plus insolites, avec une vraie prédilection pour les aires d’autoroutes, la nature (plages un peu sauvages), les cinémas et les saunas gays ou mixtes.
J’ai toujours aimé tromper ma femme. Peut-être certains me jugeront-ils mal, mais peu importe. Je l’aime, mais j’ai toujours été très attiré par les interdits, par la nouveauté, par cette montée d’adrénaline que représente le fait de caresser un nouveau corps pour la première fois, de le découvrir. Et donc, j’ai toujours eu une vie sexuelle extraconjugale très active. Dans les 3 autres récits, je raconte mes aventures avec Christine, une ancienne collègue, mariée, extrêmement salope et docile, blonde et quasiment épilée, féline, et Marie-Line, ma belle maîtresse sensuelle, excitée et amoureuse, à la chatte poilue et aux seins lourds, et suceuse virtuose de mon petit trou du cul. Tous ces récits sont absolument véridiques et j’aurais de quoi en raconter encore des dizaines et des dizaines. Je suis toujours prêt à vivre de nouvelles expériences, à faire de nouvelles rencontres. Les hommes m’ont toujours attiré et, si j’adore les femmes, je ne peux rester très longtemps sans sucer une belle queue, voire plus. Une belle histoire, il y a une dizaine d’années à Montpellier, s’est produite avec un couple que j’avais repéré dans l’immeuble en face du mien. Ils étaient assez jeunes tous les deux, la femme entre 35 et 40 ans et l’homme vers 40 ans. Elle n’était pas très grande mais très bien faite et aimait se promener presque totalement dévêtue dans son appartement, le matin, quand elle préparait son petit-déjeuner. Souvent, quand je préparais le mien, je pouvais l’observer avec pour tout vêtement, un petit string noir. Elle avait de beaux seins pointus et un magnifique petit cul. Le mieux était quand elle essayait d’attraper le café ou autres aliments dans son élément de cuisine en hauteur. Elle se hissait alors sur la pointe des pieds et je voyais son joli cul se tendre. J’avais toujours ma paire de jumelles avec moi et je n’en perdais pas une, tout en me branlant. Son mari voyait que je matais sa femme et je pense que ça l’excitait. Il était très bien aussi. Je m’exhibais sans retenue devant lui et je caressais parfois ma femme devant la fenêtre de façon à ce qu’il n’en perde pas une miette (il ne se cachait pas pour m’observer et nous observer avec ma femme) : je remontais sa robe, je passais ma main dans sa culotte ou bien elle me suçait dans la salle de bains (ou je la baisais) tandis que l’homme m’observait et pouvait se rincer l’œil par la fenêtre de la salle de bains que je laissais entrouverte. Le plus souvent, je m’exhibais devant lui, toujours à proximité de la porte-fenêtre de la cuisine, complètement nu, en me branlant énergiquement, en me retournant et en lui montrant mes fesses que j’écartais à fond. Pendant ce temps, ma femme prenait son petit déjeuner au lit sans se douter de rien. On jouissait tous les deux en nous matant. C’était super excitant. Un jour, il m’a fait signe : avec ses deux mains, il me faisait le chiffre huit. Au début je ne comprenais pas mais il insista et alternait ce signe avec un signe de la main dirigé vers le bas. J’ai compris alors qu’il me donnait rendez-vous à huit heures du matin au pied de son immeuble, une fois que sa femme serait partie au travail et qu’il aurait amené sa fille à l’école. Je suis allé à son rendez-vous et l’homme m’attendait impatiemment. Assez grand, mince, les cheveux courts, un air doux. On est montés chez lui et à peine entrés dans l’appartement, on s’est déshabillés à la hâte, jetés l’un sur l’autre et partis dans un 69 d’enfer. Avec lui, les 3 fois où l’on a baisé ensemble, il n’y a pas eu de pénétration. Mais on s’est sucés avec une extrême gourmandise, on s’est avalés profondément, branlés aussi. Il était bien monté, viril et très excité. Une fois, en extérieur, dans un endroit tranquille, il m’a sucé comme un fou et ensuite s’est terminé en se branlant : il a éjaculé peut-être à deux mètres ! Je n’avais jamais vu ça ! Il m’a dit aussi que j’étais le premier homme dans sa vie, ce qui m’a flatté. J’étais heureux de lui avoir révélé sa bisexualité et je suis sûr qu’il a dû avoir de nombreux amants après moi. Il beau, très doué, très bon amant. La première fois qu’on a baisé, chez lui, à ma demande, il m’a montré des photos de sa femme nue, où on pouvait la voir se branler énergiquement en s’enfonçant dans la chatte divers objets volumineux ! Une authentique salope, je crois, et exhibitionniste comme je les aime… Quand je j’ai revue ensuite se promener presque nue chez elle, j’ai repensé à ces photos bandantes et j’ai joui de toutes mes forces. Récemment (retour dans le présent), je me suis rendu à Paris une semaine entière, pour le travail. J’avais décidé cette fois-ci de louer un petit appartement, ce qui procure l’avantage immense, quand on veut faire des rencontres, d’être indépendant et totalement discret (on n’a pas à passer devant la réception de l’hôtel, avec un homme, si vous voyez ce que je veux dire !). Avant ce voyage, j’étais allé sur des sites de saunas parisiens et j’avais écrit à des hommes qui cherchaient des aventures masculines, soit qu’ils soient gays, soit qu’ils soient bi. De tous ceux avec qui j’ai correspondu, c’est avec Alain que je me suis senti le plus d’affinités. Cet homme, marié aussi, de 55 ans environ, cherchait un homme passif et actif, sans tabous. Nous avons fini par convenir d’un rendez-vous à mon appartement, un jour de la semaine, à 17h. Il m’avait dit qu’il serait libre jusqu’au repas du soir, ce qui nous laissait au moins deux bonnes heures. A l’heure convenue, je suis descendu dans la rue pour l’attendre et j’ai eu la bonne surprise de le voir arriver rapidement. Assez grand, mince, les cheveux courts, souriant. Nous nous sommes engouffrés dans l’ascenseur, en commençant à nous caresser à travers nos pantalons. J’ai pu constater qu’il ne portait pas de sous-vêtements, tout comme moi. Dans l’appartement, j’avais préparé le lit (un canapé-lit pliant), ainsi que mon ordinateur avec une belle vidéo de deux jeunes mecs en train de baiser à fond. Je dois dire que j’étais complètement affamé de belles bites dans ma bouche et au fond de mon cul. Ça faisait quelques mois que je n’avais pas baisé avec un mec et ça commençait à me manquer très sérieusement. À peine arrivés dans l’appartement, nous nous sommes embrassés fougueusement. Sa langue m’explorait bien la bouche, jouait avec la mienne. Et j’aimais bien ça. Puis en quelques minutes nous nous sommes retrouvés complètement nus. Il était assez épilé, surtout de la bite et des couilles. Il bandait bien et avait une belle queue. Moi, je suis brun, poilu (je m’étais quand même épilé la bite), moustachu. Il m’avait dit qu’il adorait ça et il a eu la gentillesse de me complimenter sur mon physique qui, visiblement, l’excitait beaucoup. Que dire de plus ? Durant deux heures, ça n’a été que fellations torrides et passionnées, 69 endiablés, baisers profonds… Plusieurs fois, il m’a fait mettre à quatre pattes sur le lit, m’a demandé de me cambrer à fond, m’a écarté les jambes et les fesses, m’a doigté et m’a dévoré le trou du cul à fond, pendant de très longs moments qui m’ont semblé une éternité. J’adore cette caresse que très peu pratiquent. C’était quasiment l’extase. Il s’enfonçait très profond, tournait sa langue dans mon cul tout en me donnant de bonnes claques bien sonores sur les fesses. On s’est traités de putes, de chiennes, de salopes. Ensuite, il m’a fait mettre à quatre pattes sur le tapis et m’a enculé à fond, longuement et vigoureusement. Il bandait très dur et cognait de toutes ses forces ses couilles contre mon cul en me traitant de tous les noms. Je lui disais que j’étais sa chienne, sa soumise, sa pute docile et qu’il fasse de moi ce qu’il voulait, qu’il me livre à d’autres hommes… On a eu plein de fantasmes de partouzes, de gang bangs et de soumission et j’ai littéralement adoré.
On a terminé en nous branlant allongés sur le lit, côte à côte. On a juté chacun à notre tour une abondante dose de sperme, le sien bien épais (j’aurais adoré avaler – j’aime le goût de mon sperme – mais je n’osais pas à cause des risques). Ensuite, on a discuté un bon moment avant de recommencer à nouveau pour la totale (fellations, caresses buccales dans mon cul, baisers, sodomie. Je me suis longuement fait enculer ce jour-là et j’ai ensuite eu le cul tout chaud pendant au moins deux jours. Une bien agréable sensation). On s’est promis de nous revoir à l’occasion d’un prochain voyage sur Paris et cette fois-ci il m’a promis de me livrer à un groupe d’hommes. J’ai déjà quelques expériences de partouzes (mixtes et masculines) mais je n’y ai jamais joué le rôle de la chienne et de la soumise. Cette perspective me plairait vraiment, surtout si les mecs sont très bien montés… Nous nous sommes donnés nos adresses mail. Je lui ai écrit que j’avais beaucoup apprécié cette rencontre et qu’il me tardait de le revoir. Et voici ce qu’il m’a répondu : « Merci pour ce message fort sympa. Je serais également ravi de te revoir lors de ton prochain passage à Paris. Je n'ai rien oublié, je me rappelle de ce moment très agréable. Très excité lorsque je t'ai vu nu bien poilu et comme tu me le disais partout, que de poils hum, ton torse que j'ai aimé caresser, tes jambes, autour de ta queue et ta raie, tes fesses bien velues. Tout ce que j'apprécie sans oublier ta belle bite, un plaisir de la branler, de la sucer. Quant à ton petit trou, le lécher longuement et y glisser ma langue, je sentais en toi l'excitation s'amplifier, tu en voulais et moi aussi. Quand je t'ai pris j'ai cru que j'allais jouir, c'était super bon de sentir mon membre dans ton cul et là encore d'autres bites auraient été à ta disposition tu aurais été fort excité. Les doigtages tu as bien aimé, je t'en ai mis plusieurs en même temps, tu couinais bien (trop bon) il faudrait aussi un gode. Il faudrait une petite partouze, ça serait très bien mais je ne connais personne mais bon on ne sait jamais. Ton côté chienne m'a beaucoup plu et bien évidemment augmentait mon désir. Oui magnifique souvenir qui me fait bander bien souvent, pour être sincère avec toi, je n'ai pas le souvenir d'avoir vécu un tel moment de plaisir. A très vite de te revoir, j'ai envie de toi, je bande en t'écrivant, je vais me branler et faire jaillir mon jus hummmmmmm ». De tout cela et de plein d’autres choses que j’ai vécues, j’aimerais bien parler avec vous si vous le souhaitez, hommes, femmes (mariées ou non) ou couples (voir mon adresse mail jointe) (et peut-être vous rencontrer ensuite ?). Comme vous l’avez compris, je suis ouvert à tout, sans aucun tabou. En dehors de la violence (que je n’aime pas), je suis ouvert à tous les fantasmes, même les plus inavouables (je vous raconterai dans un autre récit une aventure un peu crade que j’ai eue avec un jeune mec il y a une quinzaine d’années. Très excitant).