Titre de l'histoire érotique : Ce que mon patron fît de moi (2)
Récit érotique écrit par Folle de lycra [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Ce que mon patron fît de moi (2)
Coucou me revoilà, voilà l'histoire que je vous ai conté voilà peu
Me voilà donc sur le chemin le samedi pour retourner au boulot, c’est un jour où je ne travaille pas, normalement. J’ai suivi les consignes de mon patron et me suis parée de son tanga et de sa robe moulante sculptante. Arrivée au boulot mon patron m’accueille avec « un bonjour ma belle », une fois rentrée dans son bureau j’ai eu le droit à une douce bise et une main bien indiscrète mais qui m’a filé la Gaule en 2 secondes. En moins de temps qu’il ne faut pour le faire il prit possession de moi et me mis un large de collier en cuir rouge autour du cou, il fit attention à bien le serrer mais pas trop. Il me prit par la main et m’emmena dans sa garçonnière contigüe au bureau.
Arrivé dans cette salle il me débarrasser de mon pantalon ma veste et mon pull sans que je n’ai rien à faire, il m’a tendu une paire d’escarpins qu’il m’a tendu et je l’ai vu partir dans la salle de bain puis revenir avec une brosse à cheveux. À l’époque j’avais les cheveux assez longs et il me les a coiffé de façon à ce que j’ai l’air un peu plus féminin. Une fois bien coiffé il s’est approché de moi a sorti son sexe de son pantalon et me l'a tendu pour que je le prenne en bouche.
Pour la forme j’ai protesté mais une grande claque m’a remis les idées en place et je me suis mis à lui faire une petite pipe. Il me tenait la tête et me traitait de tous les noms de salope de traînée de chienne soumise de vide couilles… la bouche pleine et les minutes passant, j’ai fini par y prendre goût. J’étais assis sur le siège en cuir je m’accrochais à ses cuisses et ma bouche était pleine de ce sexe désireux de moi. J’ai senti son engin se contracter et il a fini par se vider dans ma bouche et mon patron m’a tenu la tête pour que j’avale tout. Là il m’a dit que ma formation était en cours et que tout se passe bien j’allais devenir sa soumise sa femelle et que je n’aurais rien à regretter.
Il me dit d’aller m’allonger sur son lit où des draps en satin m’attendaient pendant ce temps, il pris chaussures mon pantalon ma veste et mon pull et qui a quitté la pièce. Quand il est revenu il m’a expliqué qu’il était parti mettre mes affaires dans sa voiture et sa voiture était garée loin du boulot, ainsi si je voulais partir je n’avais pas le choix il fallait que je parte travestie par ses soins… il m’a expliqué que j’allais être sa femelle en formation tout le weekend jusqu’au lundi matin. Il s’est déshabillé il était grand fort et velu puis il est venu s’allonger à côté de moi sur le lit ; il est venu embrasser le cou et à l'oreille que j'allais apprendre à devenir sa soumise sa chienne et sa femelle. Il allait me rendre obéissante et offerte.
Il m’a pris la tête et m’a donné son sexe à pomper de nouveau, chose que je fis sans broncher ce coup-ci. Pendant que je le suçais il s’est mis à me caresser le corps avec beaucoup de douceur avant de s’attarder plus longuement sur mon sexe et sur tous mes fesses. Je me suis étonné à constater combien mes fesses étaient sensibles à ses caresses; il s’en est rendu compte et du coup il a été bien plus insistant sur la raie de mes fesses et moi je me tortillais de plus en plus. Puis ce qui devait arriver arriva il m’a glissé un doigt je me sentais mieux mais j’en voulais encore il l’a senti puis en a glissé un deuxième puis un troisième. Il y allait de bon cœur avec ses trois doigts dans mon petit trou et je sentais ce dernier se dilater à grande vitesse. Pendant qu’il me doigter et me dit la tête il me disait qu’il allait faire une grosse cochonne de moi et je ne demandais que ça. Il m’a expliqué que dans peu de temps , j'allais être fécondée par le sexe que j'avais dans ma bouche.
Il m’a expliqué qu’à partir de ce moment-là il aura fait de moi une femme et que je ne pourrai plus rien lui refuser. Il m’a dit que au rythme où j’allais je prendrai rapidement goût à sa liqueur que ce soit par voie orale ou anale. Il me dit qu’au début il allait me maquiller mais qu’ensuite il faudrait que j’apprenne à le faire tout seul il faudrait que je me vernisse les ongles des mains et des pieds. Il allait aussi me faire prendre des médicaments pour que je me débarrasse de mes poils rebels et par la même occasion une poitrine allait naître. J’étais en train de me dire que ce qu’il allait me faire faire allait être sans retour possible.
Pendant que je le suçais je me posais plein de questions ; qu’allais je devenir entre ses mains… à force de penser j’ai fini par relâcher un peu la fille que je lui faisais il me l’a fait savoir et je me suis à nouveau remis à la tâche. Là je l’ai senti retirer ses doigts qui étaient en moi et je l’ai senti introduire autre chose que ses doigts mais bien plus profondément. Le sentiment de douleur à rapidement été remplacé par une sensation de plaisir intense il le savait bien et en a profité pour jouer avec puis le faire aller et venir. C’est ainsi que j’ai appris à prendre du plaisir avec un godemichet. Ce matin quand je suis arrivée au boulot je ne m’attendais pas à ce point que mon patron fasse de lui sa femelle.
La suite au prochain épisode si vous le désirez, vos messages me font grand plais
Me voilà donc sur le chemin le samedi pour retourner au boulot, c’est un jour où je ne travaille pas, normalement. J’ai suivi les consignes de mon patron et me suis parée de son tanga et de sa robe moulante sculptante. Arrivée au boulot mon patron m’accueille avec « un bonjour ma belle », une fois rentrée dans son bureau j’ai eu le droit à une douce bise et une main bien indiscrète mais qui m’a filé la Gaule en 2 secondes. En moins de temps qu’il ne faut pour le faire il prit possession de moi et me mis un large de collier en cuir rouge autour du cou, il fit attention à bien le serrer mais pas trop. Il me prit par la main et m’emmena dans sa garçonnière contigüe au bureau.
Arrivé dans cette salle il me débarrasser de mon pantalon ma veste et mon pull sans que je n’ai rien à faire, il m’a tendu une paire d’escarpins qu’il m’a tendu et je l’ai vu partir dans la salle de bain puis revenir avec une brosse à cheveux. À l’époque j’avais les cheveux assez longs et il me les a coiffé de façon à ce que j’ai l’air un peu plus féminin. Une fois bien coiffé il s’est approché de moi a sorti son sexe de son pantalon et me l'a tendu pour que je le prenne en bouche.
Pour la forme j’ai protesté mais une grande claque m’a remis les idées en place et je me suis mis à lui faire une petite pipe. Il me tenait la tête et me traitait de tous les noms de salope de traînée de chienne soumise de vide couilles… la bouche pleine et les minutes passant, j’ai fini par y prendre goût. J’étais assis sur le siège en cuir je m’accrochais à ses cuisses et ma bouche était pleine de ce sexe désireux de moi. J’ai senti son engin se contracter et il a fini par se vider dans ma bouche et mon patron m’a tenu la tête pour que j’avale tout. Là il m’a dit que ma formation était en cours et que tout se passe bien j’allais devenir sa soumise sa femelle et que je n’aurais rien à regretter.
Il me dit d’aller m’allonger sur son lit où des draps en satin m’attendaient pendant ce temps, il pris chaussures mon pantalon ma veste et mon pull et qui a quitté la pièce. Quand il est revenu il m’a expliqué qu’il était parti mettre mes affaires dans sa voiture et sa voiture était garée loin du boulot, ainsi si je voulais partir je n’avais pas le choix il fallait que je parte travestie par ses soins… il m’a expliqué que j’allais être sa femelle en formation tout le weekend jusqu’au lundi matin. Il s’est déshabillé il était grand fort et velu puis il est venu s’allonger à côté de moi sur le lit ; il est venu embrasser le cou et à l'oreille que j'allais apprendre à devenir sa soumise sa chienne et sa femelle. Il allait me rendre obéissante et offerte.
Il m’a pris la tête et m’a donné son sexe à pomper de nouveau, chose que je fis sans broncher ce coup-ci. Pendant que je le suçais il s’est mis à me caresser le corps avec beaucoup de douceur avant de s’attarder plus longuement sur mon sexe et sur tous mes fesses. Je me suis étonné à constater combien mes fesses étaient sensibles à ses caresses; il s’en est rendu compte et du coup il a été bien plus insistant sur la raie de mes fesses et moi je me tortillais de plus en plus. Puis ce qui devait arriver arriva il m’a glissé un doigt je me sentais mieux mais j’en voulais encore il l’a senti puis en a glissé un deuxième puis un troisième. Il y allait de bon cœur avec ses trois doigts dans mon petit trou et je sentais ce dernier se dilater à grande vitesse. Pendant qu’il me doigter et me dit la tête il me disait qu’il allait faire une grosse cochonne de moi et je ne demandais que ça. Il m’a expliqué que dans peu de temps , j'allais être fécondée par le sexe que j'avais dans ma bouche.
Il m’a expliqué qu’à partir de ce moment-là il aura fait de moi une femme et que je ne pourrai plus rien lui refuser. Il m’a dit que au rythme où j’allais je prendrai rapidement goût à sa liqueur que ce soit par voie orale ou anale. Il me dit qu’au début il allait me maquiller mais qu’ensuite il faudrait que j’apprenne à le faire tout seul il faudrait que je me vernisse les ongles des mains et des pieds. Il allait aussi me faire prendre des médicaments pour que je me débarrasse de mes poils rebels et par la même occasion une poitrine allait naître. J’étais en train de me dire que ce qu’il allait me faire faire allait être sans retour possible.
Pendant que je le suçais je me posais plein de questions ; qu’allais je devenir entre ses mains… à force de penser j’ai fini par relâcher un peu la fille que je lui faisais il me l’a fait savoir et je me suis à nouveau remis à la tâche. Là je l’ai senti retirer ses doigts qui étaient en moi et je l’ai senti introduire autre chose que ses doigts mais bien plus profondément. Le sentiment de douleur à rapidement été remplacé par une sensation de plaisir intense il le savait bien et en a profité pour jouer avec puis le faire aller et venir. C’est ainsi que j’ai appris à prendre du plaisir avec un godemichet. Ce matin quand je suis arrivée au boulot je ne m’attendais pas à ce point que mon patron fasse de lui sa femelle.
La suite au prochain épisode si vous le désirez, vos messages me font grand plais
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9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
hum quel patron parfait !!
J'adore. Ça m'excite à fond. J'aimerais rencontrer un homme qui me domine dans tous les domaines et me traite comme sa femme
j'adore la suite svp
J'ADORE bon début de féminisation
J'aime beaucoup cette histoire, elle arrive très bine à transposer le lecteur. Merci et vivement la suite
Vivement la suite !!!
J'adore, vivement la suite.
Histoire adorablement chaude.
mais oui la suite ,c'est très bon !