Titre de l'histoire érotique : Convocation urgente chez mon banquier
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Convocation urgente chez mon banquier
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Après une expérience malheureuse dans cet hôtel sordide, je ne savais plus comment faire pour m'acquitter de mes dettes qui s'accumulaient régulièrement. Après avoir reçu un courrier de la banque, je décidais d'aller voir mon banquier afin d'obtenir un report de mes créances. Je pris donc rendez-vous.
Ce jour-là, j'enfilais une petite culotte blanche et un soutien-gorge de dentelle qui mettait en valeur ma poitrine, puis un porte-jarretelles noir et des bas noirs. Je choisis un tailleur bleu un peu moulant, un chemisier blanc, une veste assortie au tailleur et pour terminer des escarpins. J'aime me sentir en beauté et qui sait un peu de charme m'aidera peut-être dans ma démarche. Je pris ma veste et sortis.
En arrivant à la banque, je me rendis aux toilettes pour refaire une touche de maquillage. Il me fallait être impeccable devant le directeur. Je suis grande, brune, de 1m75 pour 52 kg, assez désirable. En me regardant vers le miroir, je me sentais réellement très féminine. En sortant de toilettes je me suis dirigée vers le bureau de la secrétaire, une jeune femme blonde, mignonnette mais sans plus.
- Bonjour, j'ai rendez-vous avec le directeur de l’agence.
- De la part de ?
- Voici ma convocation et ma carte.
La secrétaire prend son téléphone pour avertir que je suis bien arrivée.
- Monsieur ! votre rendez-vous est là.
Une voie assez grave sortie de l'interphone :
- Faites entrer !
Je me dirigeais vers la porte du bureau et j'entrais. Le directeur était un homme de belle allure, la quarantaine sportive, au visage ferme adouci par un regard enjôleur.
- Bonjour Mademoiselle, entrez et asseyez-vous.
En m'asseyant sur le devant du fauteuil, je pris bien soin de serrer mes cuisses l'une contre l'autre et de remonter ma robe qui avait glissée dans le mouvement.
- Que désirez-vous Mademoiselle ?
- Depuis quelque temps j'ai des gros problèmes financiers ...
Il consulte son ordinateur un instant.
- En effet votre découvert se monte à plus de 3000 euro !
- Vous serait-il possible de m'accorder un délai pour que je puisse rembourser ce découvert ?
- Non, mademoiselle car vous auriez dû prévenir votre conseiller avant d’atteindre cette somme. La banque ne peut se permettre cela ou à un taux si élever que votre situation ne ferait qu'empirer.
- Mais... que vais-je faire ???
Les larmes commencent à me monter aux yeux tant mon désespoir était grand. J'avais beau lutter mais rien n'y fit, je me mis à sangloter.
- Que vais-je faire ??? Monsieur aidez-moi !!
- Ce n'est pas mon problème Mademoiselle, vous auriez dû faire attention de ne pas faire plus de dépense que vous avez sur votre compte.
- Monsieur le directeur ! Si vous trouvez une solution, je vous promets de faire maintenant très attention et je vous en serais toujours reconnaissante.
- Vraiment ? Vous êtes prête à devenir plus sage ?
Le ton du directeur changea quelque peu.
- Installez-vous mieux Mademoiselle, je crois que nous avons à parler ...
En me reculant pour me mettre plus à mon aise dans le fauteuil, je ne pris pas garde à mon mouvement si bien que lorsque je me retrouvais calée contre le dossier mes jambes étaient un peu écartées. Lorsque je pris conscience que, de sa position, le directeur devait avoir une vue directe sur mon entre-jambes, je les resserrais vivement.
- Mademoiselle ! Ce n'est pas gentille ce que vous venez de faire. Vous voulez que nous trouvions une solution ?
Comprenant parfaitement ce qu'il voulait, je respirais profondément puis lentement je desserrais mes jambes tout en regardant fixement le bureau pour ne pas à avoir à affronter son regard.
- Très Bien ! Je pense que nous trouverons un accord, si vous vous continuez à faire des efforts !
- C'est à dire ? Demandais-je un peu inquiète.
Il se pencha vers son interphone.
- Mademoiselle, Je n'y suis pour personne jusqu'à nouvel ordre.
- Bien monsieur.
- Bon ! maintenant ! A nous ! Déshabillez-vous !
- Pardon ???
- Vous avez entendu !! Ne fait pas la mijaurée. C'est simple, vous faites ce que je vous demande et nous trouvons une solution ou alors, vous partez et vous êtes interdite bancaire pour le restant de vos jours et de toute façon vous devrait payer votre dette !!!
- Mais ! Que voulez-vous ???
- Vous humilier pour mon plaisir !!
- Mais, vous êtes fou !!
- Oui ! Peut-être mais vous n'avez pas le choix !
Je me mis à sangloter, le visage dans les mains.....
- Cela suffit comme ça vos jérémiades !! Debout !!
Doucement, je me levais.
- Très bien. Déshabillez-vous !
Tout en sanglotant, j'enlevais ma veste, la laissant choir sur le fauteuil.
- Monsieur, snif ! Non, je vous en prie ....
- Vous avez commencé, il faut continuer maintenant !!
Comme aucune réponse ne venait, je déboutonnais mon chemisier, bouton par bouton, et l'enlevais. Apparut alors aux yeux de l'homme mon soutien-gorge de dentelle.
- La jupe, maintenant ! Plus vite que ça !!
Je dégrafais ma jupe, et la laissais tomber à mes pieds.
- Très bien ! Tu fais cela comme une vraie petite pute !!
Le mot sonna douloureusement à mes oreilles surtout depuis ma récente et triste expérience.
- Bien pour venir me rencontré, un porte-jarretelles et bas j'aime beaucoup !!! Gardez le porte-jarretelles et les bas. Continuez !!!
Je retirais mes chaussures.
- Eh bien. Ça n'a pas l'air mal du tout. On dirait qu'il y a ce qu'il faut, là où il faut. A poil, maintenant !!
En pleurant toujours je hochais négativement la tête.
- J'AI DIS COMPLETEMENT A POIL !
L'ordre du directeur ne souffrait aucune retenue. Je dégrafais mon soutien-gorge, qui rejoignit les autres vêtements sur le fauteuil et recouvrait aussi tôt ma poitrine de mes bras.
- Petite bêcheuse, enlevez les mains de votre poitrine, que je puisse l'admirer.
Je plaçais mes bras le long du corps dévoilant mes seins nus ...
- Parfait ... Parfait ... Quelle jolie poitrine !!! Bien, le slip maintenant !!
J'obéis en faisant glisser doucement ma culotte pour retarder au maximum l'échéance. Lorsqu'elle fut à mi-cuisses, je la lâchais, la laissant tomber le long de mes jambes. Une fois qu'elle fut au sol, je l'enjambais. Je me trouvais entièrement nue, seul mon porte-jarretelles et mes bas habillaient mon Corp. D'une main, je masquais mon intimité.
- Eh bien, vous avez un corps parfait. Rien à jeter ! Tournez-vous que je vois bien vos fesses !
Je fis un demi-tour.
- Très beau fessier, fesses bien fermes et bien cambrée !! Bon ! marchez un peu, que je vous apprécie !!
Je fis trois allers retour dans le bureau.
- Voilà ! Parfait ! Venez, maintenant vous allez vous pencher, les seins sur le bureau et les bras allongés, et tendre votre croupe !!
Je me suis approché du bureau et je mis allongée prenant la position demandée.
- Très bien ... comme ça... Maintenant, écartez vos fesses avec vos mains, que je puisse voir votre petit trou !
- Oh non ! Pas ça ...
- Si ! Si ! TOUT DE SUITE !! Obéissez !!
Pleine de honte et pleurant de plus bel, je portais mes mains à mes fesses, puis après un temps d'hésitation, je les écartais, dévoilant mon petit trou.
- Hum ! quel joli petit cul et ça a l'air bien serré, tout ça. Maintenant, retournez-vous, allongez-vous sur le bureau, sur les coudes !
Pour écourter mon humiliation, je me suis retourné et j'ai grimpé sur le large bureau et pris la pose, en prenant bien soins de croiser mes jambes.
- Ecartez les cuisses.....
En le regardant droit dans les yeux je proteste et je lui dis calmement.
- NON !! - Non !! maintenant, c’est fini.
En fixant mon regard, il se pencha vers son interphone.
- Mademoiselle ! Préparez-moi un dossier d'interdiction bancaire.
Comprenant que j'avais perdue et la mort dans l'âme, j'écartais légèrement mes jambes.
- Eh bien voilà, je constate que vous avez compris. Mieux que ça Mademoiselle ! Allez !! plus vite !!!
J'obéis, dévoilant mon sexe sans aucune réserve.
- Très bien, gardez la pose ! Très joli tout ça, et quelle paire de seins !!! Cela suffit, maintenant, mettez-vous debout devant moi, bras le long du corps !! Dit-moi ! Tu suces bien au moins ?? Parfait ! J'aime les femmes qui savent se servir de leur bouche....
Le directeur se rapprocha de moi.
- Tu sais, je commence à bander comme un âne. Regarde, tu sens la bosse, dans mon pantalon ??
Il prit ma main et la posa sur sa virilité.
- Ah ! Je n'en peux plus ! Allez !! A genoux !!
Il me prit par les épaules et me fit agenouiller. J'entendis le bruit de la fermeture éclair. Bientôt, j'eus le sexe du directeur dressé devant le visage.
- Qu'est-ce que tu attends, petite conne ? SUCE-MOI !!
Je mis un temps à réagir, puis je commençais à prendre le sexe dans ma main.
- Oui ... Tu as raison caresse moi et branle-moi un peu avant.
Je le masturbais doucement. Puis, tout d'un coup, je donnais un coup de langue sur le gland, et enfournais le sexe dressé dans ma bouche.
- Ah ! Hum ! OUI, continues, sors ta langue, passe la partout, sur la queue, sur les couilles, sur le gland.
Je m'exécutais, léchais la verge, les couilles, puis suçais de nouveau ...
- Hum, oui, tu suce bien.
Il se retira tout à coup, la verge couverte de ma salive. Il prit son sexe à la main et se branla au-dessus de mon visage. Comprenant ce qu'il voulait faire.
- Non ! Pas ça. Je vous en prie. Pas ça ! Pas sur mon visage. Je vous en prie. Vous pourrez jouir dans ma bouche, si vous voulez !!
- Humm ! excellente idée, petite cochonne.
Il me présenta son sexe dressé et luisant.
- Ouvre la bouche, et sors la langue ! et attention à tes dents.
Je me mis à pleurer et en obéissant j'ouvrais ma bouche et il s'enfonça à l'intérieur.
- Ah ! c’est bon, je n'en peux plus ! Pompe-moi bien.
Je faisais de mon mieux pour qu'il arrive rapidement à l'orgasme, serrant mes lèvres sur sa verge, caressant ses couilles, faisant des allers retour de plus en plus rapide.
- Oh ! Oui ! Ta bouche ! Ca y est !! Je jouis !!!!! Avale tout.
Le sexe planté dans le fond de ma bouche, il jouissait, en me maintenant la nuque d'une main, afin que je ne puisse pas m'échapper, j'étais obligée de recevoir toute sa semence. Les jets de sperme se succédaient et coulaient dans ma gorge. Il se retira et trois jets, moins puissants, atterrirent sur ma joue, le menton et le coup. Je voulais protester mais plusieurs longs filets de sperme coulèrent immédiatement de ma bouche sur mon menton, pour dégouliner sur mes seins et mon ventre. Comme il approchait de nouveau sa queue, je détournai la tête, ce qui ne l'empêcha pas de frotter son gland sur mon visage afin de déposer du sperme sur mes joues.
- Ouvre la bouche !!!
Résignée, j'écartais les lèvres, il continua un peu à frotter sa queue sur les flaques de sperme qui maculaient mon visage puis la rentra dans ma bouche.
- Oui ! C'est bien ! Bouffe mon foutre ! Avales tout ! C'est bien ... Nettoie-bien moi bien la queue !!
J'avalais, suçais, et nettoyais son glan couvert de sperme. Au bout de quelque temps il se retira, se réajusta puis il alla vers une porte qu'il ouvrit.
- Va te refaire une beauté tu es couverte de foutre.
Je me levais et me dirigeais vers la pièce dans laquelle se trouvaient les toilettes et un lavabo. Après m'être nettoyée tant bien que mal, je sortis et me dirigeais vers mes vêtements. Il me regarda pendant que je m'habillais sans rien dire. Une fois prête, je me tournais vers lui.
- Alors ? Et ma dette !
- Tu as un mois de répit après si tu n'as pas comblé ton découvert je lance la procédure.
- Quoi seulement un mois !!!
La rage montait en moi.
- Calme-toi, voilà un numéro de téléphone qui te permettra d'effacer facilement ta dette si tu as le courage d'appeler !!
Il me tendit une carte sur laquelle je lu : "Maîtresse Paulette, que sur rendez-vous" suivait le numéro de téléphone. Comme je relevais la tête il me dit :
- Avec les capacités que tu as, il y a beaucoup à gagner ! Tu auras vite fait d’épongé ta dette.
Je pris le papier, ne répondis rien, fis demi-tour et me dirigeai vers la porte de sortie du bureau. C’était bien vrai ! Six mois après, ma dette n’existées plus. Et j’avais quand même pris un certain plaisir. Maintenant, pour vous, je suis de permanence une fois par semaine chez Maîtresse Paulette. Mais, souvenez-vous bien, que sur rendez-vous.
Après une expérience malheureuse dans cet hôtel sordide, je ne savais plus comment faire pour m'acquitter de mes dettes qui s'accumulaient régulièrement. Après avoir reçu un courrier de la banque, je décidais d'aller voir mon banquier afin d'obtenir un report de mes créances. Je pris donc rendez-vous.
Ce jour-là, j'enfilais une petite culotte blanche et un soutien-gorge de dentelle qui mettait en valeur ma poitrine, puis un porte-jarretelles noir et des bas noirs. Je choisis un tailleur bleu un peu moulant, un chemisier blanc, une veste assortie au tailleur et pour terminer des escarpins. J'aime me sentir en beauté et qui sait un peu de charme m'aidera peut-être dans ma démarche. Je pris ma veste et sortis.
En arrivant à la banque, je me rendis aux toilettes pour refaire une touche de maquillage. Il me fallait être impeccable devant le directeur. Je suis grande, brune, de 1m75 pour 52 kg, assez désirable. En me regardant vers le miroir, je me sentais réellement très féminine. En sortant de toilettes je me suis dirigée vers le bureau de la secrétaire, une jeune femme blonde, mignonnette mais sans plus.
- Bonjour, j'ai rendez-vous avec le directeur de l’agence.
- De la part de ?
- Voici ma convocation et ma carte.
La secrétaire prend son téléphone pour avertir que je suis bien arrivée.
- Monsieur ! votre rendez-vous est là.
Une voie assez grave sortie de l'interphone :
- Faites entrer !
Je me dirigeais vers la porte du bureau et j'entrais. Le directeur était un homme de belle allure, la quarantaine sportive, au visage ferme adouci par un regard enjôleur.
- Bonjour Mademoiselle, entrez et asseyez-vous.
En m'asseyant sur le devant du fauteuil, je pris bien soin de serrer mes cuisses l'une contre l'autre et de remonter ma robe qui avait glissée dans le mouvement.
- Que désirez-vous Mademoiselle ?
- Depuis quelque temps j'ai des gros problèmes financiers ...
Il consulte son ordinateur un instant.
- En effet votre découvert se monte à plus de 3000 euro !
- Vous serait-il possible de m'accorder un délai pour que je puisse rembourser ce découvert ?
- Non, mademoiselle car vous auriez dû prévenir votre conseiller avant d’atteindre cette somme. La banque ne peut se permettre cela ou à un taux si élever que votre situation ne ferait qu'empirer.
- Mais... que vais-je faire ???
Les larmes commencent à me monter aux yeux tant mon désespoir était grand. J'avais beau lutter mais rien n'y fit, je me mis à sangloter.
- Que vais-je faire ??? Monsieur aidez-moi !!
- Ce n'est pas mon problème Mademoiselle, vous auriez dû faire attention de ne pas faire plus de dépense que vous avez sur votre compte.
- Monsieur le directeur ! Si vous trouvez une solution, je vous promets de faire maintenant très attention et je vous en serais toujours reconnaissante.
- Vraiment ? Vous êtes prête à devenir plus sage ?
Le ton du directeur changea quelque peu.
- Installez-vous mieux Mademoiselle, je crois que nous avons à parler ...
En me reculant pour me mettre plus à mon aise dans le fauteuil, je ne pris pas garde à mon mouvement si bien que lorsque je me retrouvais calée contre le dossier mes jambes étaient un peu écartées. Lorsque je pris conscience que, de sa position, le directeur devait avoir une vue directe sur mon entre-jambes, je les resserrais vivement.
- Mademoiselle ! Ce n'est pas gentille ce que vous venez de faire. Vous voulez que nous trouvions une solution ?
Comprenant parfaitement ce qu'il voulait, je respirais profondément puis lentement je desserrais mes jambes tout en regardant fixement le bureau pour ne pas à avoir à affronter son regard.
- Très Bien ! Je pense que nous trouverons un accord, si vous vous continuez à faire des efforts !
- C'est à dire ? Demandais-je un peu inquiète.
Il se pencha vers son interphone.
- Mademoiselle, Je n'y suis pour personne jusqu'à nouvel ordre.
- Bien monsieur.
- Bon ! maintenant ! A nous ! Déshabillez-vous !
- Pardon ???
- Vous avez entendu !! Ne fait pas la mijaurée. C'est simple, vous faites ce que je vous demande et nous trouvons une solution ou alors, vous partez et vous êtes interdite bancaire pour le restant de vos jours et de toute façon vous devrait payer votre dette !!!
- Mais ! Que voulez-vous ???
- Vous humilier pour mon plaisir !!
- Mais, vous êtes fou !!
- Oui ! Peut-être mais vous n'avez pas le choix !
Je me mis à sangloter, le visage dans les mains.....
- Cela suffit comme ça vos jérémiades !! Debout !!
Doucement, je me levais.
- Très bien. Déshabillez-vous !
Tout en sanglotant, j'enlevais ma veste, la laissant choir sur le fauteuil.
- Monsieur, snif ! Non, je vous en prie ....
- Vous avez commencé, il faut continuer maintenant !!
Comme aucune réponse ne venait, je déboutonnais mon chemisier, bouton par bouton, et l'enlevais. Apparut alors aux yeux de l'homme mon soutien-gorge de dentelle.
- La jupe, maintenant ! Plus vite que ça !!
Je dégrafais ma jupe, et la laissais tomber à mes pieds.
- Très bien ! Tu fais cela comme une vraie petite pute !!
Le mot sonna douloureusement à mes oreilles surtout depuis ma récente et triste expérience.
- Bien pour venir me rencontré, un porte-jarretelles et bas j'aime beaucoup !!! Gardez le porte-jarretelles et les bas. Continuez !!!
Je retirais mes chaussures.
- Eh bien. Ça n'a pas l'air mal du tout. On dirait qu'il y a ce qu'il faut, là où il faut. A poil, maintenant !!
En pleurant toujours je hochais négativement la tête.
- J'AI DIS COMPLETEMENT A POIL !
L'ordre du directeur ne souffrait aucune retenue. Je dégrafais mon soutien-gorge, qui rejoignit les autres vêtements sur le fauteuil et recouvrait aussi tôt ma poitrine de mes bras.
- Petite bêcheuse, enlevez les mains de votre poitrine, que je puisse l'admirer.
Je plaçais mes bras le long du corps dévoilant mes seins nus ...
- Parfait ... Parfait ... Quelle jolie poitrine !!! Bien, le slip maintenant !!
J'obéis en faisant glisser doucement ma culotte pour retarder au maximum l'échéance. Lorsqu'elle fut à mi-cuisses, je la lâchais, la laissant tomber le long de mes jambes. Une fois qu'elle fut au sol, je l'enjambais. Je me trouvais entièrement nue, seul mon porte-jarretelles et mes bas habillaient mon Corp. D'une main, je masquais mon intimité.
- Eh bien, vous avez un corps parfait. Rien à jeter ! Tournez-vous que je vois bien vos fesses !
Je fis un demi-tour.
- Très beau fessier, fesses bien fermes et bien cambrée !! Bon ! marchez un peu, que je vous apprécie !!
Je fis trois allers retour dans le bureau.
- Voilà ! Parfait ! Venez, maintenant vous allez vous pencher, les seins sur le bureau et les bras allongés, et tendre votre croupe !!
Je me suis approché du bureau et je mis allongée prenant la position demandée.
- Très bien ... comme ça... Maintenant, écartez vos fesses avec vos mains, que je puisse voir votre petit trou !
- Oh non ! Pas ça ...
- Si ! Si ! TOUT DE SUITE !! Obéissez !!
Pleine de honte et pleurant de plus bel, je portais mes mains à mes fesses, puis après un temps d'hésitation, je les écartais, dévoilant mon petit trou.
- Hum ! quel joli petit cul et ça a l'air bien serré, tout ça. Maintenant, retournez-vous, allongez-vous sur le bureau, sur les coudes !
Pour écourter mon humiliation, je me suis retourné et j'ai grimpé sur le large bureau et pris la pose, en prenant bien soins de croiser mes jambes.
- Ecartez les cuisses.....
En le regardant droit dans les yeux je proteste et je lui dis calmement.
- NON !! - Non !! maintenant, c’est fini.
En fixant mon regard, il se pencha vers son interphone.
- Mademoiselle ! Préparez-moi un dossier d'interdiction bancaire.
Comprenant que j'avais perdue et la mort dans l'âme, j'écartais légèrement mes jambes.
- Eh bien voilà, je constate que vous avez compris. Mieux que ça Mademoiselle ! Allez !! plus vite !!!
J'obéis, dévoilant mon sexe sans aucune réserve.
- Très bien, gardez la pose ! Très joli tout ça, et quelle paire de seins !!! Cela suffit, maintenant, mettez-vous debout devant moi, bras le long du corps !! Dit-moi ! Tu suces bien au moins ?? Parfait ! J'aime les femmes qui savent se servir de leur bouche....
Le directeur se rapprocha de moi.
- Tu sais, je commence à bander comme un âne. Regarde, tu sens la bosse, dans mon pantalon ??
Il prit ma main et la posa sur sa virilité.
- Ah ! Je n'en peux plus ! Allez !! A genoux !!
Il me prit par les épaules et me fit agenouiller. J'entendis le bruit de la fermeture éclair. Bientôt, j'eus le sexe du directeur dressé devant le visage.
- Qu'est-ce que tu attends, petite conne ? SUCE-MOI !!
Je mis un temps à réagir, puis je commençais à prendre le sexe dans ma main.
- Oui ... Tu as raison caresse moi et branle-moi un peu avant.
Je le masturbais doucement. Puis, tout d'un coup, je donnais un coup de langue sur le gland, et enfournais le sexe dressé dans ma bouche.
- Ah ! Hum ! OUI, continues, sors ta langue, passe la partout, sur la queue, sur les couilles, sur le gland.
Je m'exécutais, léchais la verge, les couilles, puis suçais de nouveau ...
- Hum, oui, tu suce bien.
Il se retira tout à coup, la verge couverte de ma salive. Il prit son sexe à la main et se branla au-dessus de mon visage. Comprenant ce qu'il voulait faire.
- Non ! Pas ça. Je vous en prie. Pas ça ! Pas sur mon visage. Je vous en prie. Vous pourrez jouir dans ma bouche, si vous voulez !!
- Humm ! excellente idée, petite cochonne.
Il me présenta son sexe dressé et luisant.
- Ouvre la bouche, et sors la langue ! et attention à tes dents.
Je me mis à pleurer et en obéissant j'ouvrais ma bouche et il s'enfonça à l'intérieur.
- Ah ! c’est bon, je n'en peux plus ! Pompe-moi bien.
Je faisais de mon mieux pour qu'il arrive rapidement à l'orgasme, serrant mes lèvres sur sa verge, caressant ses couilles, faisant des allers retour de plus en plus rapide.
- Oh ! Oui ! Ta bouche ! Ca y est !! Je jouis !!!!! Avale tout.
Le sexe planté dans le fond de ma bouche, il jouissait, en me maintenant la nuque d'une main, afin que je ne puisse pas m'échapper, j'étais obligée de recevoir toute sa semence. Les jets de sperme se succédaient et coulaient dans ma gorge. Il se retira et trois jets, moins puissants, atterrirent sur ma joue, le menton et le coup. Je voulais protester mais plusieurs longs filets de sperme coulèrent immédiatement de ma bouche sur mon menton, pour dégouliner sur mes seins et mon ventre. Comme il approchait de nouveau sa queue, je détournai la tête, ce qui ne l'empêcha pas de frotter son gland sur mon visage afin de déposer du sperme sur mes joues.
- Ouvre la bouche !!!
Résignée, j'écartais les lèvres, il continua un peu à frotter sa queue sur les flaques de sperme qui maculaient mon visage puis la rentra dans ma bouche.
- Oui ! C'est bien ! Bouffe mon foutre ! Avales tout ! C'est bien ... Nettoie-bien moi bien la queue !!
J'avalais, suçais, et nettoyais son glan couvert de sperme. Au bout de quelque temps il se retira, se réajusta puis il alla vers une porte qu'il ouvrit.
- Va te refaire une beauté tu es couverte de foutre.
Je me levais et me dirigeais vers la pièce dans laquelle se trouvaient les toilettes et un lavabo. Après m'être nettoyée tant bien que mal, je sortis et me dirigeais vers mes vêtements. Il me regarda pendant que je m'habillais sans rien dire. Une fois prête, je me tournais vers lui.
- Alors ? Et ma dette !
- Tu as un mois de répit après si tu n'as pas comblé ton découvert je lance la procédure.
- Quoi seulement un mois !!!
La rage montait en moi.
- Calme-toi, voilà un numéro de téléphone qui te permettra d'effacer facilement ta dette si tu as le courage d'appeler !!
Il me tendit une carte sur laquelle je lu : "Maîtresse Paulette, que sur rendez-vous" suivait le numéro de téléphone. Comme je relevais la tête il me dit :
- Avec les capacités que tu as, il y a beaucoup à gagner ! Tu auras vite fait d’épongé ta dette.
Je pris le papier, ne répondis rien, fis demi-tour et me dirigeai vers la porte de sortie du bureau. C’était bien vrai ! Six mois après, ma dette n’existées plus. Et j’avais quand même pris un certain plaisir. Maintenant, pour vous, je suis de permanence une fois par semaine chez Maîtresse Paulette. Mais, souvenez-vous bien, que sur rendez-vous.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'a une banquière moi, c'est dommage :)
Pourquoi n'ai-je pas choisi d'être banquier ;-) Bravo bien écrit et agréable à lire