Titre de l'histoire érotique : Débauches nouvelles
Récit érotique écrit par Luxures75 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-09-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Débauches nouvelles
Ses débauches
Laure mon amie (belle brune très libertine et avide de tous les plaisirs de la chair) ancienne collègue de lycée plus jeune que moi me fit un jour une proposition :
« Si tu me trouves une femme plus âgée que moi, autoritaire et très salope pour jouer avec moi, je te récompenserais. »
Je fis mes recherches et lui trouvais ce qui devait lui convenir.
Lors de ma récompense (deux jours de folles baises) elle me raconta ce qui suit.
(Il s’agit d’une retranscription rédigée et revue avec elle)
« J’ai donc contacté Laetitia par mail. Elle avait compris ma demande, mes envies et avait très envie de me rencontrer. Dominatrice, autoritaire très motivée, libre de paroles - et de corps -, elle me donnait foutrement désir de la voir. Elle avait prévu un week-end très chaud et plein de débauches dans lesquelles je brûlais de me vautrer. Elle ne m’avait rien précisé de ce qui m’attendait, il suffisait que je sois soumise à ses envies.
Je me rends donc chez elle un samedi matin. Excitée, vêtue dans une tenue bien pute (elle me l’avait imposée): mini en cuir, string en coton blanc, tee-shirt laissant libre vie à mes seins, bottines et deux couettes pour paraître « petite fille soumise ».
Elle m’avait dit :
« Je vais parfaire ton éducation de petite salope encore bien innocente, tu vas voir ce que l’on peut faire et tout ce que tu as encore à apprendre. »
Je sonne à sa porte. Je la découvre. Belle femme, la cinquantaine, grande, bien faite, cheveux auburn, bouche sensuelle, regard pénétrant.
Elle porte un short en jean, effrangé, poitrine quasi à l’air.
Dès mon entrée, alors que nous n’avons échangé aucune parole, elle me plaque contre un mur, fourre sa langue dans ma bouche. Nous échangeons nos salives, nos langues se mélangent. Elle vient fouiller sous ma jupe comme pour une inspection. Je mouille de peur et d’envies.
« Tu es une belle salope, avec moi tu vas apprendre à être une vraie cochonne. »
Je suis très excitée, je dois l’avouer, intriguée. J’ai envie de retourner à l’école (ici, celle du vice). J’ai toujours eu soif de connaissances.
Elle m’invite à venir prendre un verre. Elle se met à côté de moi. Il n’y a pas de verre, juste une bouteille d’alcool dont elle prend une lampée qu’elle déverse dans ma bouche. Elle répète la scène plusieurs fois laissant parfois échapper du liquide de sa bouche sur son corps ou le mien. Pendant ce temps elle introduit un puis deux doigts dans mon petit trou. Je me trémousse prête à jouir. J’ai vraiment envie de devenir cette cochonne qu’elle veut faire de moi. Elle me susurre à l’oreille tout un flot de mos cochons, me traitant de pouffiasse, putasse, vide-couilles, paillasse à bites, suceuse, pisseuse, baisarde, baiseuse… Elle me promet des enculades avec des inconnus et d’autres réjouissances.
Je suis folle, j’adore ses mots, je me sens à sa merci et devenir celle qu’elle veut faire de moi. Je mouille, mon clito est tellement bandé qu’il me fait mal.
Elle me dit : « Maintenant tu vas faire ma toilette. Tu vas nettoyer mon short bien dégueulasse avec ta langue, puis ma culotte souillée et enfin ma chatte. Je vais me retourner à chaque fois afin que tout soit bien astiqué de tous les côtés ! »
Je m’exécute avec application, devant, derrière. D’abord son short bien crade, il est vrai, mais il me plait et j’aimerai en porter un comme ça. Puis sa culotte bien trempée de mouille et de pisse. Puis son sexe, sa fente, son cul. Je lèche, suce, relèche, introduis ma langue dans les plis et replis les plus intimes. C’est bon et dégueulasse à la fois mais ça lui plait. A moi aussi.
Je deviens gouine, je gouinasse. Broute. Et mouille comme jamais.
Laetitia est satisfaite par ma prestation. Je suis un peu épuisée. Ces contacts intimes avec une chatte bien huileuse m’ont très émue.
Suis-je devenue gouine moi qui aime tant les bites ? Je savais que je plaisais aux femmes, je ne savais pas encore que j’aimais les femmes.
Après un temps de repos, Laeti m’ordonne d’enfiler son short bien dégueu et de quitter ma mini en cuir qu’elle enfile. Elle est super bandante, mouillante, veux-je dire. Après une petite collation restauratrice elle m’annonce la venue d’une surprise pour moi. Je suis prête à tous les excès.
On sonne à sa porte. Un type, pas mon genre, entre. Elle me le présente. Un vieux salopard de toute évidence avec qui je vais devoir « m’amuser ». On fait rapide connaissance, Laeti se retire (elle assistera en voyeuse à nos ébats).
Ce type est gros, vieux, vulgaire d’apparence et de propos. On fait connaissance rapide : mains au cul, bouches et langues enlacées, il a de grosses balloches (j’adore), il bande bien raide (j’aime). Je mouille fort (il apprécie). Il me traite de salope (je ne déteste pas). On se tripote. J’apprécie sa belle grosse bite et ses énormes couilles bien pleines (je n’ai rien contre, c’est même la seule chose qui me plaise chez ce gros cochon). Il me dit des mots vulgaires, me traite de pouffiasse (ce que je suis ou du moins ce que j’ai envie d’être). J’en viens à lui sucer sa grosse queue (il apprécie, moi aussi). Il m’encule enfin (ce que j’aime).
Je lui intime l’ordre de faire ma toilette et nous recommençons ce que j’avais fait avec Laeti. Il aime ça, me bouffe littéralement passe sa langue dans tous mes plis, fentes et trous.
Laeti est très satisfaite de moi : « tu es une vraie pouffe, une bonne élève mais tu dois encore faire des progrès ».
Nous reprenons un petit temps de repos. « Maintenant nous allons sortir ». Je suis obligée de garder son short bien crade, bien mouillé, souillé de traces de pisse, de foutre malgré le ménage consciencieux de l’autre saligaud. Je suis aux ordres. J’ai envie de tout ce qu’elle veut. Je lui dis que j’ai envie d’une belle chatte. « Pas de problème, tu vas en avoir ma belle salope, mais tu auras d’abord encore une grosse bite».
Je suis gênée d’être en cette tenue, elle a mis ma mini en cuir. Nous sommes comme deux gouinasses bien salopes. Cela ne me déplait pas mais je n’ai pas l’habitude de ces situations. On s’embrasse, se tripote en allant vers un café qu’elle connaît. Elle a des idées derrière la tête, je le sais. Je mouille, j’écarte les jambes sous ses injonctions à le faire. Elle me fait remarquer qu’il y a un type qui me mate et elle a envie qu’il me baise. Elle va le trouver. Ils échangent quelques mots. Elle me dit d’aller aux toilettes côté homme, d’entrer dans une chiotte en laissant la porte entrouverte. Le type entre, comme elle avait prévu. Je me donne à lui songeant à être la bonne élève de Laeti et qu’elle me récompensera pour avoir été si obéissante. Il est vulgaire, a une grosse bite, certes. On se tripote, je le suce un peu, il m’encule et m’inonde le cul de son foutre. Merci bien !
Toute souillée je reviens vers Laeti à qui je raconte mes « exploits » de traînée. Elle m’offre encore un verre et me dit que nous allons retourner chez elle où certaines surprises m’attendent.
Laure mon amie (belle brune très libertine et avide de tous les plaisirs de la chair) ancienne collègue de lycée plus jeune que moi me fit un jour une proposition :
« Si tu me trouves une femme plus âgée que moi, autoritaire et très salope pour jouer avec moi, je te récompenserais. »
Je fis mes recherches et lui trouvais ce qui devait lui convenir.
Lors de ma récompense (deux jours de folles baises) elle me raconta ce qui suit.
(Il s’agit d’une retranscription rédigée et revue avec elle)
« J’ai donc contacté Laetitia par mail. Elle avait compris ma demande, mes envies et avait très envie de me rencontrer. Dominatrice, autoritaire très motivée, libre de paroles - et de corps -, elle me donnait foutrement désir de la voir. Elle avait prévu un week-end très chaud et plein de débauches dans lesquelles je brûlais de me vautrer. Elle ne m’avait rien précisé de ce qui m’attendait, il suffisait que je sois soumise à ses envies.
Je me rends donc chez elle un samedi matin. Excitée, vêtue dans une tenue bien pute (elle me l’avait imposée): mini en cuir, string en coton blanc, tee-shirt laissant libre vie à mes seins, bottines et deux couettes pour paraître « petite fille soumise ».
Elle m’avait dit :
« Je vais parfaire ton éducation de petite salope encore bien innocente, tu vas voir ce que l’on peut faire et tout ce que tu as encore à apprendre. »
Je sonne à sa porte. Je la découvre. Belle femme, la cinquantaine, grande, bien faite, cheveux auburn, bouche sensuelle, regard pénétrant.
Elle porte un short en jean, effrangé, poitrine quasi à l’air.
Dès mon entrée, alors que nous n’avons échangé aucune parole, elle me plaque contre un mur, fourre sa langue dans ma bouche. Nous échangeons nos salives, nos langues se mélangent. Elle vient fouiller sous ma jupe comme pour une inspection. Je mouille de peur et d’envies.
« Tu es une belle salope, avec moi tu vas apprendre à être une vraie cochonne. »
Je suis très excitée, je dois l’avouer, intriguée. J’ai envie de retourner à l’école (ici, celle du vice). J’ai toujours eu soif de connaissances.
Elle m’invite à venir prendre un verre. Elle se met à côté de moi. Il n’y a pas de verre, juste une bouteille d’alcool dont elle prend une lampée qu’elle déverse dans ma bouche. Elle répète la scène plusieurs fois laissant parfois échapper du liquide de sa bouche sur son corps ou le mien. Pendant ce temps elle introduit un puis deux doigts dans mon petit trou. Je me trémousse prête à jouir. J’ai vraiment envie de devenir cette cochonne qu’elle veut faire de moi. Elle me susurre à l’oreille tout un flot de mos cochons, me traitant de pouffiasse, putasse, vide-couilles, paillasse à bites, suceuse, pisseuse, baisarde, baiseuse… Elle me promet des enculades avec des inconnus et d’autres réjouissances.
Je suis folle, j’adore ses mots, je me sens à sa merci et devenir celle qu’elle veut faire de moi. Je mouille, mon clito est tellement bandé qu’il me fait mal.
Elle me dit : « Maintenant tu vas faire ma toilette. Tu vas nettoyer mon short bien dégueulasse avec ta langue, puis ma culotte souillée et enfin ma chatte. Je vais me retourner à chaque fois afin que tout soit bien astiqué de tous les côtés ! »
Je m’exécute avec application, devant, derrière. D’abord son short bien crade, il est vrai, mais il me plait et j’aimerai en porter un comme ça. Puis sa culotte bien trempée de mouille et de pisse. Puis son sexe, sa fente, son cul. Je lèche, suce, relèche, introduis ma langue dans les plis et replis les plus intimes. C’est bon et dégueulasse à la fois mais ça lui plait. A moi aussi.
Je deviens gouine, je gouinasse. Broute. Et mouille comme jamais.
Laetitia est satisfaite par ma prestation. Je suis un peu épuisée. Ces contacts intimes avec une chatte bien huileuse m’ont très émue.
Suis-je devenue gouine moi qui aime tant les bites ? Je savais que je plaisais aux femmes, je ne savais pas encore que j’aimais les femmes.
Après un temps de repos, Laeti m’ordonne d’enfiler son short bien dégueu et de quitter ma mini en cuir qu’elle enfile. Elle est super bandante, mouillante, veux-je dire. Après une petite collation restauratrice elle m’annonce la venue d’une surprise pour moi. Je suis prête à tous les excès.
On sonne à sa porte. Un type, pas mon genre, entre. Elle me le présente. Un vieux salopard de toute évidence avec qui je vais devoir « m’amuser ». On fait rapide connaissance, Laeti se retire (elle assistera en voyeuse à nos ébats).
Ce type est gros, vieux, vulgaire d’apparence et de propos. On fait connaissance rapide : mains au cul, bouches et langues enlacées, il a de grosses balloches (j’adore), il bande bien raide (j’aime). Je mouille fort (il apprécie). Il me traite de salope (je ne déteste pas). On se tripote. J’apprécie sa belle grosse bite et ses énormes couilles bien pleines (je n’ai rien contre, c’est même la seule chose qui me plaise chez ce gros cochon). Il me dit des mots vulgaires, me traite de pouffiasse (ce que je suis ou du moins ce que j’ai envie d’être). J’en viens à lui sucer sa grosse queue (il apprécie, moi aussi). Il m’encule enfin (ce que j’aime).
Je lui intime l’ordre de faire ma toilette et nous recommençons ce que j’avais fait avec Laeti. Il aime ça, me bouffe littéralement passe sa langue dans tous mes plis, fentes et trous.
Laeti est très satisfaite de moi : « tu es une vraie pouffe, une bonne élève mais tu dois encore faire des progrès ».
Nous reprenons un petit temps de repos. « Maintenant nous allons sortir ». Je suis obligée de garder son short bien crade, bien mouillé, souillé de traces de pisse, de foutre malgré le ménage consciencieux de l’autre saligaud. Je suis aux ordres. J’ai envie de tout ce qu’elle veut. Je lui dis que j’ai envie d’une belle chatte. « Pas de problème, tu vas en avoir ma belle salope, mais tu auras d’abord encore une grosse bite».
Je suis gênée d’être en cette tenue, elle a mis ma mini en cuir. Nous sommes comme deux gouinasses bien salopes. Cela ne me déplait pas mais je n’ai pas l’habitude de ces situations. On s’embrasse, se tripote en allant vers un café qu’elle connaît. Elle a des idées derrière la tête, je le sais. Je mouille, j’écarte les jambes sous ses injonctions à le faire. Elle me fait remarquer qu’il y a un type qui me mate et elle a envie qu’il me baise. Elle va le trouver. Ils échangent quelques mots. Elle me dit d’aller aux toilettes côté homme, d’entrer dans une chiotte en laissant la porte entrouverte. Le type entre, comme elle avait prévu. Je me donne à lui songeant à être la bonne élève de Laeti et qu’elle me récompensera pour avoir été si obéissante. Il est vulgaire, a une grosse bite, certes. On se tripote, je le suce un peu, il m’encule et m’inonde le cul de son foutre. Merci bien !
Toute souillée je reviens vers Laeti à qui je raconte mes « exploits » de traînée. Elle m’offre encore un verre et me dit que nous allons retourner chez elle où certaines surprises m’attendent.
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