Titre de l'histoire érotique : Descente aux enfers
Récit érotique écrit par Docyl [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Docyl ont reçu un total de 7 111 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 6 187 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : Descente aux enfers
Je suis Didier et voici mon histoire. Il y a parfois des secrets trop lourds à porter seul.
J’ai 30 ans, je travaille dans la publicité et je suis marié depuis 3 ans à Cécile, comptable dans une compagnie d’assurance et de 10 ans mon aînée Nous résidons à Paris et nous n’avons pas d’enfant.
La différence d’âge entre nous ne saute pas aux yeux car Cécile entretient son joli corps souple et élancé deux fois par semaine dans une salle de gym et dans les instituts de beauté. Elle tient également à ce que notre coquet deux pièces du XIIIème soit bien entretenu et met un soin tout particulier à ce que tout soit en ordre. Je n’y trouverais rien à redire, sauf que je dois bien l’avouer je suis plutôt bohême, voire bordélique et j’ai régulièrement droit à des remontrances de sa part en ce qui concerne mon laisser-aller et mon absence totale de participation aux tâches ménagères.
Nous revenons de vacances et Cécile qui doit reprendre le travail demain, en a profité pour retrouver Martine, sa meilleure amie Elle doit venir prendre le thé à la maison sous le coup de 17 heures au retour de leur leçon d’équitation, passion qu’elles se sont découvert ensemble. Martine est une jolie femme de 45 ans à l’attitude arrogante voire sévère et j’ai parfois du mal à soutenir son regard. Comme elle a des tendances féministes, elle pense probablement que Cécile ne me mérite pas.
Il est midi et je traîne encore en pyjama. L’évier de la cuisine déborde de la vaisselle d’hier soir, les cendriers regorgent de mégots et le carrelage aurait bien besoin d’être récuré. Cécile découragée par ma passivité mais ayant décidé de rester zen pour une fois, se contente de me lancer avant de partir retrouver Martine au restaurant :
« Nous espérons trouver les lieux en état quand nous reviendrons. Je compte sur toi, mon chéri.» Et me voilà seul au milieu de ce capharnaüm…
Après avoir pris une longue douche bien chaude, je m’installais confortablement dans le canapé du salon pour feuilleter le dernier magazine que Cécile a acheté hier et qui traite des fantasmes féminins, avec un test de personnalité. J’espérais que ma chérie y aurait répondu mais le questionnaire était resté vierge. Je commençais à m’assoupir…La douche relaxante et le fait que nous ayons fait l’amour au petit matin m’avait plongé dans une douce torpeur. Je pouvais m’octroyer une petite sieste avant d’attaquer le lifting de l’appart’… je m’allongeais et fermais les yeux…. Je sombrais dans un profond sommeil…
Soudain des coups de sonnette stridents me firent sursauter, me tirant brutalement des bras de Morphée. Ma montre indiquait 16h30. Non seulement j’avais dormi tout ce temps mais de plus Cécile et Martine étaient en avance ! Le bordel… les engueulades : ça s’annonçait mal, ça allait être pénible…
J’ouvre la porte, la tête basse. Elles sont en tenue d’équitation et Cécile entre la première, posant son sac de sport dans le couloir, suivie par Martine qui en fait autant. Je tente une excuse foireuse : « j’ai une migraine terrible, j’ai pris de l’aspirine mais rien n’y fait. Je vais ranger un peu quand même »
Cécile effondrée sur une chaise sanglote et je tente de la consoler mais elle me repousse. Martine vient à son tour à son secours. Elle m’écarte et prend Cécile entre ses bras.
« Je suis là, ma chérie »
Ses yeux me lancent des éclairs.
« Tu vas encore supporter ce petit con combien de temps ?
Je proteste :
« Je ne vous permets pas Martine »
« Ah oui ? Et bien moi je ne te permets pas que tu la traites ainsi. Tu as besoin d’une bonne leçon ! »
Avant même que je n’ai le temps de lui répondre ou d’esquisser un geste, Martine me tire brutalement par les cheveux, me jette à terre et me maintient à plat ventre sur le carrelage, un bras tordu dans le dos et sa botte cavalière fermement appuyée entre mes épaules.
Cécile qui a cessé de pleurnicher n’en revient pas mais la situation n’est pas pour déplaire à ma tendre compagne:
« Tu y vas un peu fort ! Qu’est ce que tu comptes faire ? »
« Ce que tu aurais dû faire depuis longtemps, ma chérie : le dresser ! Apporte-moi mon sac qui est resté dans le couloir »
Elle en sort une cordelette et se saisissant de mon bras resté libre, m’attache les poignets en prenant soin de bien les serrer. Puis elle demande à ma Cécile de l’assister afin de l’aider à me relever pour que je sois mis sur les genoux.
Elle sort une cravache du sac, me la met sous le menton, me forçant à la regarder bien en face :
« Tu vas être puni pour tout ce que tu lui as fait subir, petit salaud »
Elle ponctue la sentence en m’administrant une gifle magistrale. J’ai la joue en feu et ne peut retenir une larme.
Cécile ne dit rien mais visiblement elle approuve.
Martine baisse alors mon pantalon de pyjama d’un coup sec jusqu’aux genoux. Me voilà cul nu et le sexe à l’air. Je suis rouge de honte. Vulnérable et humilié devant ma femme et son amie, je suis traité comme un sale gosse, un vilain petit morveux. Je n’en mène pas large.
« Je vous en prie Martine, arrêtez tout ça, je vous fais mes excuses à toutes les deux. Chérie, dis-lui d’arrêter, tu veux bien ? »
« Martine a raison. J’aurais dû te dresser depuis longtemps. J’ai été trop faible avec toi. »
« Je vais changer ma chérie, je te le promets, tu verras… »
« Je ne te crois plus. Tu m’as menti tellement de fois. Vas-y Martine, corrige-le comme il le mérite »
La « trahison » de mon épouse me déconcerte. Je ne la croyais pas si dure. Elle ne s’était pas rebellée une seule fois en 3 ans de mariage. La voilà complice de mon bourreau.
Martine est passée derrière moi et commence à cingler mon cul en prenant soin d’appliquer un nombre égal de coups sur chaque fesse. Elle augmente progressivement la cadence et ni mes sanglots ni mes supplications n’entament sa détermination. Ce qui me fait le plus souffrir c’est que ma femme semble jouir du spectacle, prendre plaisir à me voir souffrir.
Au bout d’un moment, alors que mes fesses sont devenues brûlantes et meurtries, la douleur fait place à une sensation trouble où se mêlent abandon et plaisir d’être soumis à cette belle et cruelle créature qu’est Martine. Je réalise que je suis peut-être en train de vivre quelque chose qui était enfoui dans le plus profond de mon inconscient et je commence à avoir une érection. Mes gémissements ressemblent à présent à des râles de jouissance et ma queue tendue à craquer est au bord de l’explosion. Martine ne manque pas de le remarquer.
« Mais il bande le cochon. Il aime ça on dirait. Ton mari est un vrai chien Cécile». Et un chien qui aime ses Maîtresses on dirait ! »
Elle empoigne ma queue et la serre :
« Tu seras un bon chien pour tes Maîtresses ?
« Aïe, oui, oui…aïe »
« Oui qui ? »
« Oui, Martine »
« Non. On dit « Oui Maîtresse Martine »
« Ou…iiii Maîtresse Martine »
Maintenant tu vas demander pardon à genoux à ta femme, sale chien. Et gare à tes fesses si tu n’y mets pas les formes.
Elle me détache mais m’interdit de remonter mon pantalon de pyjama. C’est en tant que mari soumis que je dois lui présenter des excuses. Cécile est plantée devant moi, debout, les mains sur les hanches et me toise d’un air méprisant. Je baisse instinctivement les yeux. Je tiens à me racheter mais j’ai encore plus envie d’être l’esclave de ma femme.
« Je te demande pardon ma chérie. Je ne recommencerai plus. »
« C’est tout ce que tu as à me dire ? »
« Je… je ferai tout ce que tu voudras si tu veux encore de moi, Cécile chérie, mon amour… »
« Tout ce que je voudrais, tu en est sûr ? »
« Oui, absolument tout »
« D’être ma boniche, mon esclave, de satisfaire tous mes caprices, d’être puni si tu désobéis ?
« Oui, je le veux mon amour »
« Très bien. Commençons tout de suite. Pour mériter mon pardon, tu vas faire ce que je t’avais demandé avant de sortir, me briquer cette piaule du sol au plafond et nous servir le thé. Et puis comme tu es mon esclave tu feras cette corvée à poil. J’aime voir ton petit cul remuer quand tu marches. Autre chose: afin de remercier Martine pour avoir fait ton éducation, tu iras lui faire son ménage deux fois par semaine C’est la moindre des choses, non ?
Notre couple avait besoin d’un coup de fouet pour repartir sur de bonnes bases. Grâce à Martine, je connais avec ma femme des plaisirs nouveaux et plus intenses. Et Martine est toujours la bienvenue chez nous.
J’ai 30 ans, je travaille dans la publicité et je suis marié depuis 3 ans à Cécile, comptable dans une compagnie d’assurance et de 10 ans mon aînée Nous résidons à Paris et nous n’avons pas d’enfant.
La différence d’âge entre nous ne saute pas aux yeux car Cécile entretient son joli corps souple et élancé deux fois par semaine dans une salle de gym et dans les instituts de beauté. Elle tient également à ce que notre coquet deux pièces du XIIIème soit bien entretenu et met un soin tout particulier à ce que tout soit en ordre. Je n’y trouverais rien à redire, sauf que je dois bien l’avouer je suis plutôt bohême, voire bordélique et j’ai régulièrement droit à des remontrances de sa part en ce qui concerne mon laisser-aller et mon absence totale de participation aux tâches ménagères.
Nous revenons de vacances et Cécile qui doit reprendre le travail demain, en a profité pour retrouver Martine, sa meilleure amie Elle doit venir prendre le thé à la maison sous le coup de 17 heures au retour de leur leçon d’équitation, passion qu’elles se sont découvert ensemble. Martine est une jolie femme de 45 ans à l’attitude arrogante voire sévère et j’ai parfois du mal à soutenir son regard. Comme elle a des tendances féministes, elle pense probablement que Cécile ne me mérite pas.
Il est midi et je traîne encore en pyjama. L’évier de la cuisine déborde de la vaisselle d’hier soir, les cendriers regorgent de mégots et le carrelage aurait bien besoin d’être récuré. Cécile découragée par ma passivité mais ayant décidé de rester zen pour une fois, se contente de me lancer avant de partir retrouver Martine au restaurant :
« Nous espérons trouver les lieux en état quand nous reviendrons. Je compte sur toi, mon chéri.» Et me voilà seul au milieu de ce capharnaüm…
Après avoir pris une longue douche bien chaude, je m’installais confortablement dans le canapé du salon pour feuilleter le dernier magazine que Cécile a acheté hier et qui traite des fantasmes féminins, avec un test de personnalité. J’espérais que ma chérie y aurait répondu mais le questionnaire était resté vierge. Je commençais à m’assoupir…La douche relaxante et le fait que nous ayons fait l’amour au petit matin m’avait plongé dans une douce torpeur. Je pouvais m’octroyer une petite sieste avant d’attaquer le lifting de l’appart’… je m’allongeais et fermais les yeux…. Je sombrais dans un profond sommeil…
Soudain des coups de sonnette stridents me firent sursauter, me tirant brutalement des bras de Morphée. Ma montre indiquait 16h30. Non seulement j’avais dormi tout ce temps mais de plus Cécile et Martine étaient en avance ! Le bordel… les engueulades : ça s’annonçait mal, ça allait être pénible…
J’ouvre la porte, la tête basse. Elles sont en tenue d’équitation et Cécile entre la première, posant son sac de sport dans le couloir, suivie par Martine qui en fait autant. Je tente une excuse foireuse : « j’ai une migraine terrible, j’ai pris de l’aspirine mais rien n’y fait. Je vais ranger un peu quand même »
Cécile effondrée sur une chaise sanglote et je tente de la consoler mais elle me repousse. Martine vient à son tour à son secours. Elle m’écarte et prend Cécile entre ses bras.
« Je suis là, ma chérie »
Ses yeux me lancent des éclairs.
« Tu vas encore supporter ce petit con combien de temps ?
Je proteste :
« Je ne vous permets pas Martine »
« Ah oui ? Et bien moi je ne te permets pas que tu la traites ainsi. Tu as besoin d’une bonne leçon ! »
Avant même que je n’ai le temps de lui répondre ou d’esquisser un geste, Martine me tire brutalement par les cheveux, me jette à terre et me maintient à plat ventre sur le carrelage, un bras tordu dans le dos et sa botte cavalière fermement appuyée entre mes épaules.
Cécile qui a cessé de pleurnicher n’en revient pas mais la situation n’est pas pour déplaire à ma tendre compagne:
« Tu y vas un peu fort ! Qu’est ce que tu comptes faire ? »
« Ce que tu aurais dû faire depuis longtemps, ma chérie : le dresser ! Apporte-moi mon sac qui est resté dans le couloir »
Elle en sort une cordelette et se saisissant de mon bras resté libre, m’attache les poignets en prenant soin de bien les serrer. Puis elle demande à ma Cécile de l’assister afin de l’aider à me relever pour que je sois mis sur les genoux.
Elle sort une cravache du sac, me la met sous le menton, me forçant à la regarder bien en face :
« Tu vas être puni pour tout ce que tu lui as fait subir, petit salaud »
Elle ponctue la sentence en m’administrant une gifle magistrale. J’ai la joue en feu et ne peut retenir une larme.
Cécile ne dit rien mais visiblement elle approuve.
Martine baisse alors mon pantalon de pyjama d’un coup sec jusqu’aux genoux. Me voilà cul nu et le sexe à l’air. Je suis rouge de honte. Vulnérable et humilié devant ma femme et son amie, je suis traité comme un sale gosse, un vilain petit morveux. Je n’en mène pas large.
« Je vous en prie Martine, arrêtez tout ça, je vous fais mes excuses à toutes les deux. Chérie, dis-lui d’arrêter, tu veux bien ? »
« Martine a raison. J’aurais dû te dresser depuis longtemps. J’ai été trop faible avec toi. »
« Je vais changer ma chérie, je te le promets, tu verras… »
« Je ne te crois plus. Tu m’as menti tellement de fois. Vas-y Martine, corrige-le comme il le mérite »
La « trahison » de mon épouse me déconcerte. Je ne la croyais pas si dure. Elle ne s’était pas rebellée une seule fois en 3 ans de mariage. La voilà complice de mon bourreau.
Martine est passée derrière moi et commence à cingler mon cul en prenant soin d’appliquer un nombre égal de coups sur chaque fesse. Elle augmente progressivement la cadence et ni mes sanglots ni mes supplications n’entament sa détermination. Ce qui me fait le plus souffrir c’est que ma femme semble jouir du spectacle, prendre plaisir à me voir souffrir.
Au bout d’un moment, alors que mes fesses sont devenues brûlantes et meurtries, la douleur fait place à une sensation trouble où se mêlent abandon et plaisir d’être soumis à cette belle et cruelle créature qu’est Martine. Je réalise que je suis peut-être en train de vivre quelque chose qui était enfoui dans le plus profond de mon inconscient et je commence à avoir une érection. Mes gémissements ressemblent à présent à des râles de jouissance et ma queue tendue à craquer est au bord de l’explosion. Martine ne manque pas de le remarquer.
« Mais il bande le cochon. Il aime ça on dirait. Ton mari est un vrai chien Cécile». Et un chien qui aime ses Maîtresses on dirait ! »
Elle empoigne ma queue et la serre :
« Tu seras un bon chien pour tes Maîtresses ?
« Aïe, oui, oui…aïe »
« Oui qui ? »
« Oui, Martine »
« Non. On dit « Oui Maîtresse Martine »
« Ou…iiii Maîtresse Martine »
Maintenant tu vas demander pardon à genoux à ta femme, sale chien. Et gare à tes fesses si tu n’y mets pas les formes.
Elle me détache mais m’interdit de remonter mon pantalon de pyjama. C’est en tant que mari soumis que je dois lui présenter des excuses. Cécile est plantée devant moi, debout, les mains sur les hanches et me toise d’un air méprisant. Je baisse instinctivement les yeux. Je tiens à me racheter mais j’ai encore plus envie d’être l’esclave de ma femme.
« Je te demande pardon ma chérie. Je ne recommencerai plus. »
« C’est tout ce que tu as à me dire ? »
« Je… je ferai tout ce que tu voudras si tu veux encore de moi, Cécile chérie, mon amour… »
« Tout ce que je voudrais, tu en est sûr ? »
« Oui, absolument tout »
« D’être ma boniche, mon esclave, de satisfaire tous mes caprices, d’être puni si tu désobéis ?
« Oui, je le veux mon amour »
« Très bien. Commençons tout de suite. Pour mériter mon pardon, tu vas faire ce que je t’avais demandé avant de sortir, me briquer cette piaule du sol au plafond et nous servir le thé. Et puis comme tu es mon esclave tu feras cette corvée à poil. J’aime voir ton petit cul remuer quand tu marches. Autre chose: afin de remercier Martine pour avoir fait ton éducation, tu iras lui faire son ménage deux fois par semaine C’est la moindre des choses, non ?
Notre couple avait besoin d’un coup de fouet pour repartir sur de bonnes bases. Grâce à Martine, je connais avec ma femme des plaisirs nouveaux et plus intenses. Et Martine est toujours la bienvenue chez nous.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Docyl
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...