Titre de l'histoire érotique : Expérience sociale 2

- Par l'auteur HDS Rankor -
Récit érotique écrit par Rankor [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Expérience sociale 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Expérience sociale 2
Episode 2: Le Timide

Après une quinzaine de minutes de marche, je rentrais enfin chez moi. La porte d’entrée à peine refermée, je me déshabillé et retirer cette tenue de femme. D’habitude, me travestir ne me dérange pas, parfois cela m’excite même, mais cette tenue en particulier était vraiment inconfortable. Je retirais mon string en dernier et je réalisais à quel point il était souillé. Je le jetais au lavage et me dirigeai vers ma salle de bain. Je commençais par un lavement mais j’avais fait du bon travail ce matin et celui-ci fut très rapide. Je sautai ensuite dans la douche et laissait couler l’eau brûlante sur mon corps pendant de longues minutes. Laissant mon esprit partir à la dérive, je me rappelai cette première rencontre de la journée. Ce sexe épais mais court, ces coups de reins puissants qui faisaient trembler tout mon être, ce sperme qui gicla dans ma bouche et ces puissants jets qui m’emplissaient en percutant mon palais et ma langue à répétition, cette orgasme que j’avais ressenti alors que je me faisais prendre et que mon cul n’était plus qu’un noyau de chaleur battant comme un second coeur pour ce sexe qui m’ouvrait.
Je commençais à me mettre un doigt qui rentra sans difficulté, il s’en suivit un deuxième et un troisième. Pour aucun d’eux, je n’eus de problème à les insérer. Ma main droite caressait en douceur mon sexe qui était revenu à l’état d’une semi-érection. Les yeux fermés, je commençais à jouer un peu avec moi-même, synchronisant les va-et-vient de ma main qui me branlait et mon autre main qui me doigtait. Mon esprit naviguait sur les idées plus ou moins perverses des expériences que je voulais vivre, découvrir. Puis une idée me vint en tête. Avec ces trois doigts enfoncés en moi que j’agitais pour tantôt caresser cette légère bosse qui était ma prostate, tantôt insérer à l’intérieur de mon intestin, je découvris une situation que j’avais tenté mais jamais réussi en solo. Mon prochain partenaire pourrait sans doute m’aider à réaliser celle-ci … ou peut-être pas.
Je décidais d’arrêter cette douche qui avait prit un aspect de masturbation mêlée d’exploration. Je devais garder en tête mon projet et étant déjà fortement excitée et au bord d’une éjaculation supplémentaire, je me devais de me changer les idées. Je me dirigeais donc, nu, vers ma cuisine pour me restaurer. Je me versai une tasse de café et prit un paquet de biscuit dans un placard. Je m’assis sur le coin de la table de commencer à déguster cet en-cas. Je finis cette pause par une cigarette que j’allumais en même temps que la télévision. La chaîne pré-programmée est une chaîne de pornographie gay que j’apprécie regarder en cuisinant (j’adore cuisiner) ou en vacant à mes occupations diverses dans mon appartement. Cependant, je changeais de chaîne immédiatement. Au vue de la suite des évènements, je ne voulais pas être excité par ces scénarios pitoyables et je voulais, en plus, explorer ma sexualité sans me baser sur des faits vus sur un écran, mais sur mon envie du moment de manière parfaitement spontané. Je finis ma cigarette et me dirigeai vers ma chambre. Sans attendre, je pris les vêtements sélectionnés pour mon deuxième partenaire. J’attendais celui-ci avec impatience. Son profil présentait un jeune homme fort attirant, un bourreau des coeurs, mais avec une dose de sérieux dans son regard qui me donnait étrangement une confiance totale en lui avant même de l’avoir rencontré. Il avait les cheveux argenté, qu’il avait teint il semblerait, et des yeux d’un bleu profond comme l’océan. Il était loin d’être musclé, mais pas corpulent non plus. Ce genre de personne qui mange comme quatre sans prendre un gramme de graisse. Sa petite taille était apparemment un complexe et je devrais en faire fis au moment venu. Autrement, c’était un de ces jeunes hommes amateurs de manga et autre dessin animé japonais (note de l’auteur: désolé si j’en froisse certain avec cette appellation mais faut que ce soit compréhensible pour tout le monde). Chez ce garçon, tout ressortait par ses yeux, une assurance, une force, une fierté, mais aussi une gentillesse et une innocence.
Pour lui, je devais utiliser un plug moins large mais beaucoup plus long. J’étalais une couche de lubrifiant sur celui-ci et me pénétrait avec en douceur. Ce n’était guère nécessaire car il rentra sans difficulté et sans avoir à forcer. Je m’habillais comme monsieur tout le monde. Le jeune homme m’avait spécifié ne pas vouloir être reconnu et demandait un anonymat total, ce que je comprenais parfaitement. Je sortis de chez moi et prit la direction des extrémités de la ville.
Le lieu de rendez-vous était un cinéma qui, en extérieur, semblait tout ce qu’il y a de plus banal. On y trouve tous les blockbusters récents ainsi que quelques films français à la qualité douteuse. Cependant, si l’on est un habitué comme moi, on sait que il y a trois autres salles de visionnage dont il est possible d’avoir accès seulement avec le staff du cinéma. J’attendis donc mon partenaire devant ce cinéma, cigarette au bout des doigts comme n’importe quel passant qui attendrait ses amis pour une séance de la dernière croute Hollywoodienne. Enfin, il arriva. Je pus suivre son évolution du bout de la rue jusqu’à moi. Il s’arrêta à deux reprises, l’air hésitant confus. La deuxième fois, il était uniquement à quelques mètres de moi. Je décidais donc de prendre l’initiative et d’aller vers lui. Je le saluais poliment et me présentait. Je me doutais qu’il savait très bien qui j’étais mais je voulais le mettre en confiance. Nous discutâmes de tout et de rien comme de vieux amis en finissant notre cigarette. Une sorte d’accord tacite venait de se mettre en place. En dehors du cinema, nous nous présentons comme des inconnus qui partagent un moment autour d’une cigarette, en dedans … c’est autre chose. Nous finîmes par entrer et je me dirigeai vers le guichet pour acheter deux places spéciales habituées. Ensuite, nous suivîmes le garde de sécurité qui nous orienta vers une porte réservée au personnelle. Derrière celle-ci se trouvait un escalier qui descendait vers le sous-sol du cinéma. Il était déjà possible d’entendre des bruits des films pornographiques qui étaient en train d’être diffusés. Il était aussi possible de distinguer des corps entremêlés dans ces escaliers dont la danse était rythmée par la mélodie des halètements, des grognements, des soupirs et des gémissements. Un râle prolongé … l’homme venait de jouir dans son partenaire juste devant nous. Celui-ci l’embrassa à pleine bouche. J’attrapais la main de mon jeune homme et le dirigeai vers les premières places juste sous l’écran. Il m’arrêta et me demanda d’être moins exposé à la vue, plus en hauteur, voir aux derniers rangs. Je dus lui expliquer que toute l’action se passe dans l’ombre des derniers rangs et que les couples qui veulent être plus tranquille se place au milieu ou devant. Je lui rappelais ensuite que c’était mon programme et mon scénario pour les prochaines trente minutes une fois que l’action commencerait. Je l’entrainais ensuite au premier rang et nous nous installâmes sous l’écran géant qui diffusait un médiocre porno gay mettant en scène un homme mûr avec un minet à peine sorti de la minorité. Ce genre de porno me dégoutait mais les autres salles présentaient un contenu plus trash auquel mon partenaire ne semblait pas être prêt.
Je m’approchais pour l’embrasser par dessus l’accoudoir mais il m’évita d’un air gêné. C’était mal parti … Mais je devais respecter son choix, il tenait les commandes pour cette partie mais rira bien qui rira le dernier. Il commença à me caresser la cuisse du genou vers mon entre-jambe par dessus mon jean Levis. Il s’arrêta juste avant. Je fis donc de même mais je finis mon mouvement en lui saisissant le paquet. Je sentis qu’il se raidit et se crispa, mais je ne retirai pas ma main et il finit par se détendre et accepter ce toucher intime. Timidement, il continua de monter sa main et vint la placer sur mon propre paquet. Je compris que je devais prendre les devants où ce pauvre garçon perdrait tout son temps dans des tripotages inutiles. Je commençais à défaire sa ceinture, défaire le bouton de son jean et en descendre la braguette. Il posa sa tête en arrière ferma les yeux et souffla longtemps. Il tremblait. Je lui demandais si il voulait arrêter mais il me regarda en souriant et me fit signe que non. Je lui rappelais alors que c’était lui le maître de cette partie et qu’il avait agir en conséquence. Il me prit alors la tête et la porta vers son sexe encore dans son pantalon. Je sentis l’accoudoir me rentrait dans les côtes donc je sortis de mon siège et m’installait à genou face à mon contestant. Il reporta ma tête contre son entre-jambe où je pus sentir une bosse colossale. Je baissais son jean et me prit littéralement une gifle par son sexe. Ce salaud n’avait pas mis de sous-vêtement. Je relevai les yeux et pus observer le trésor caché de mon jeune. Une véritable lance, un épieux, de quoi m’empaler. Je descendis et gobais ses couilles alors qu’il me caressait les cheveux. Je léchais ses bourses en prenant soin d’aspirer chacune de ses testicules. Puis, je fis glisser ma langue tout le long de son membre pour arriver juste sous le gland. Tout le long du chemin, je ne le quittais pas des yeux. Je m’arrêtais sous son gland quelques secondes pour voir le plaisir dans son regard ainsi qu’une sorte de supplique de continuer. Je ne bougeais pas. Il me prit alors la tête et je fis redescendre sur son pénis, dans ma bouche cette fois-ci. Il m’arrêta à mi-chemin pensant que son sexe était trop long mais heureusement pour lui et moi, je n’ai pas de réflexe de régurgitation. Ainsi, sans son aide, je continuai de descendre jusqu’à pouvoir toucher ses couilles de mes lèvres et utiliser le bout de ma langue qui dépassait pour les chatouiller légèrement. Il émis un long râle de plaisir. Enfin, je le sentais se détendre, lâcher prise et faire face à sa sexualité. Il m’attrapa la tête et me fit monter et descendre sur son pieu, du gland jusqu'à ses couilles et ceci pendant de longues minutes. Malheureusement pour lui, il avait perdu trop de temps au départ et sa partie prit fin. Il eut l’air un peu déçu mais il semblait aussi très excité. Sa bite immense et dégoulinante de ma bave était prête pour moi. Avant qu’il ne comprenne je le levais et l’allongeais sur l’estrade sous l’écran pour qui celui-ci nous illumine aux yeux de tous. Je me déshabillais totalement et retirais mon plug d’un geste presque théâtrale sous les applaudissements du public interpelé par la situation. Le pauvre garçon ne comprenait pas ce qui se passait et sans dire un mot je m’empalais sur son membre. Il était sur le dos, relevé avec ses coudes, un air interrogateur collé sur son visage alors que je me mettais debout au dessus de lui et de me laisser tomber à genou puis de m’assoir sur sa bite. Mon trou tout ouvert par le plug plus la quantité non négligeable de salive que j’avais laissé sur son membre, il me pénétra d’une traite. À ce moment il cria presque de surprise et de plaisir. De mon côté, je m’arquai totalement en arrière les yeux écarquillés. La sensation était indescriptible. Je dois avouer il y eut une part de souffrance quand son gland buta dans le fondd de mon cul avant que celui-ci s’adapte pour que son sexe pénètre de moitié au moins dans mes intestins. Mais cette souffrance fut surpassée presque en un instant par la vague de plaisir et de sensations nouvelles que cette pénétration m’apporta. Sans me prévenir, mon compagnon commença des mouvements rotatifs et mêlés de va-et-vient. Il était clairement un grand timide mais un timide expérimenté. Ses mouvements particuliers donnaient un plaisir fou qui ne faisait d’accentuer mon érection. Je sentais dans mon dos les regards des spectateurs. Nous étions devenus le spectacle, l’attraction, mais je décidais de transformer cette attraction en un évènement interactif. Je fis signe à un couple qui se touchait mutuellement en nous observant au milieu de la salle et presque immédiatement ils nous rejoignirent. Mon jeune homme me regarda en continuant ses mouvements et voyant les hommes approchés, il sourit et ferma les yeux. Le première homme s’installa à califourchon sur mon jeune pour qu’il puisse lui bouffer les couilles et l’anus. Le deuxième homme vint se mettre au dessus du premier pour recevoir le même traitement que celui-ci et vint me présenter son sexe. Ce nouveau pénis était tout à fait banal, ni trop large ni trop long, bien que légèrement plus long que la moyenne. Je le pris en bouche et commençais à le sucer. Ainsi de profil, tout la salle put voir l’aisance par laquelle je pouvais enfoncer ces morceaux de plaisirs au fond de ma gorge et bientôt ce furent trois autres sexes qui se présentèrent à moi. L’un des spectateurs demanda son tour pour mon cul auquel je répondis que aujourd’hui, seul le jeune y avait accès. Je continuais de sucer ces calibres aux couleurs et tailles différentes. J’eus même droit à mon premier micro-pénis, et je pris soin de lui autant que pour les autres. Je reçus quelques jets de jus sur mon visage et dans ma bouche mais je recrachai ces semences conscient des risques d’infection. Je ne me faisais pas de soucis pour mes contestants choisis car chacun m’avait présenté une attestation médicale. Enfin, je sentis mon contestant accélérer, se raidir, être secoué de spasme et je profitais de la sensation de l’inondation de mes entrailles par sa chaude semence. Il resta un instant en moi sans bouger à reprendre sa respiration. Les autres participants s’étaient éloignés par petits groupes pour continuer leurs affaires un peu partout dans la salle, après que je leur eus fait signe de nous laisser tranquille. Un couple avait suivi notre exemple et se chevauchait au milieu de l’estrade et un homme était à genou par terre au milieu d’un cercle d’hommes de tous âges qui avaient visiblement l’intention de l’inonder de leur semence. Bizarrement, cette idée m’excita fortement et je me promis de garder cette vision pour la reproduire à l’occasion. Puis, mon jeune se retira de moi ce qui provoqua une cascade de son sperme sur l’estrade. Il me demanda si j’avais pris mon pied. Je répondais que oui mais que je n’avais pas encore eu mon éjaculation. La session était fini depuis bien longtemps mais il était inimaginable de partir maintenant. Il me mena par le pénis jusqu’au rangés de sièges. Il menait la marche encore habillé avec uniquement son pénis qui sortait en perdant du volume au fil du temps. Il m’installa debout derrière une fauteuil de cinéma et me fit me pencher en avant pour que le haut du siège vienne se loger au niveau de mon ventre et ma tête penchait de l’autre côté du siège. Dans cette position, j’avais le cul en l’air et mon pénis était facile d’accès pour toute personne se trouvant derrière moi. Il commenca par me doigter un peu puis m’attrapa les testicules avec la main gauche en insérant le pouce gauche dans mon trou alors qu’il me branlait avec la main droite. Il agitait le pouce dans mon fondement ce qui avait pour effet d’électriser mon corps déjà secoué par les évènements passés. Le massage intense de mes testicules et sa main sur mon sexe me fit venir en quelques minutes. Il sentir mon corps se contracter et notamment mon anus se resserrer à l’approche de l’orgasme. Ainsi, il me fit me relever et me prit en bouchent continuant de me masturber. Je déchargeais dans sa bouche tout mon plaisir et toute mon excitation face à cette seconde expérience. Le flot ne semblait pas vouloir s’arrêter mais il vint à se tarir après de longues secondes. Il se releva et m’embrassa la bouche encore pleine de mon propre jus que j’eus plaisir à partager avec mon contestant. Ensuite, nous nous rhabillâmes et il partit sans me dire au revoir. À peine avais-je le dos tourné pour chercher mes vêtements qu’il était parti. Je finis de récupérer mes vêtements et de m’habiller et je sortis du cinéma. Une pause au toilette s’imposa pour nettoyer tout le sperme séché que j’avais sur le visage. En me regardant dans la glace, je me dis que j’avais libérer mon Timide.

(à suivre)

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