Titre de l'histoire érotique : Fessée et baisée par son ex-patron - histoire érotique

Laisse moi te raconter mon dernier week-end. Je bavardais avec un de mes amis, Patrick, celui qui m'avait sauté dans ma jeunesse dans la cave d'amis en commune. On parlait "souvenirs", mes anciens patrons et je m'amusais à leur donner des notes.

"- Monsieur S. ! Ah, lui, je lui donne 5/20 !
- pourquoi ? me demande Patrick. C'était un mauvais baiseur ?
- Ça j'en sais rien, il ne m'a jamais baisée ! Mais quel gros con !!! Tiens, c'est comme JPZ, mon patron de la société M... Pour lui, il ne mérite que 1/20 ! Un p'tit roquet nerveux qui courrait partout et qui ne déléguait aucune tâche ! Un gringalet ! Je lui mettrait une baffe qu'il ferait 3 fois le tour de son slip sans toucher l'élastique !!! En plus, vu sa taille, il doit avoir une petite bite !
- Ah ah ah ! Quelle tendresse tu as envers tes employeurs ! me dit Patrick."

Et nous avons continué comme ça à passer en revue quelques uns de mes patrons. Puis Patrick m'a proposé de l'accompagner le lendemain à un barbecue.
" Allez, viens avec moi ! Ma femme est dans le sud pour le week-end et il
fait beau, profitons-en ! ".

Oui, il faut dire que Patrick est un homme marié et qu'il trompe sa femme, notamment avec moi. Il avait raison, enfin du beau temps et j'aime bien les barbecues, j'ai donc accepté. Le jour dit, j'avais pris ma douche et je regardais mes affaires pour savoir ce que j'allais mettre.

"- Mmmmm, je te mettrais bien ma queue, moi ! fit Patrick en se frottant contre mon dos.
- Allez, on n'a guère de temps, on risque d'arriver en retard !... "

Je choisis un ensemble jupe et veste, tandis que Patrick me dit : "Mets plutôt cet ensemble bleu clair, pantalon léger et veste". Patrick, toujours dans mon dos et nu, continuait à jouer. Sa queue était déjà presque dure et il me faisait des avances pressantes en me taquinant. Ce n'était pas vraiment dans ses habitudes ! Charmée malgré moi et amusée, je lui dit en riant :

"- Toi alors ! Tu sais y faire ! Et ta queue est vraiment trop belle !!! Mmmmm, elle ne demande qu'à être sucée ! ...
- Ouiiii, viens ma petite salope ! Viens me sucer, vide-moi les couilles avant de partir.... ".

Il me baisa avec fougue, comme toujours. Au moment de me rhabiller, il me dit :

"- Fais-moi plaisir tu veux, ne remets pas ta culotte ! J'ai envie que tu m'excites aujourd'hui !
- Mmmmm ! Est-ce raisonnable ? dis-je en souriant.
- Mets plutôt ça ! "

Il me tendit un plug de bonne taille.

"- Ce sera notre petit secret !" dit-il en me faisant un clin d'œil.
- Bon... si tu y tiens... mais... j'ai jamais mis un plug de cette taille ! J'ai peur de ne pas le supporter !
- Viens là, je vais t'aider ! ".

Il m'attira vers lui et me coucha en travers de ses genoux, comme il faisait d'habitude pour me donner une fessée. J'avais le pantalon sur les chevilles et donc plus de culotte. Il enduit le plug d'un peu de vaseline et me l'enfonça doucement, petit à petit dans mon petit trou.

"Aaaaaah ! fis-je en gémissant. Il est un peu gros quand même !
- Mais non, tu vas voir, tu vas finir par bien le supporter ! et il commença à me doigter la chatte pendant qu'il continuait à m'enfoncer le plug.
- Aïïïïïïe ! Je ne sais pas si c'est vraiment une bonne idée ! dis-je en me trémoussant un peu de douleur. Non, retire-le, je n'en veux pas ! "

CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! Une dizaine de claques s'abattirent brutalement sur mes fesses, me faisant sursauter.

"Et depuis quand tu contestes mes ordres ?!!! Je te dis que tu le porteras, un point c'est tout ! ".

Patrick avait retrouvé l'autorité que je lui connaissais, il m'enfonça rapidement le reste du plug et le cala bien au fond de mon cul, sans tenir compte de mes protestations de douleur !

" Relève-toi et rhabille-toi ! ordonna-t-il d'un ton sec. Tu vois, je ne peux pas être gentil trop longtemps sinon tu cherches à me désobéir !
- Euh... oui, répondis-je timidement.
- Et maintenant, que ressens-tu ? ".

Il actionna un bouton d'une télécommande. "AAAAAAHH ! criai-je, mais qu'est-ce que c'est ?".
Le plug était télécommandé et Patrick venait de m'en faire la démonstration.
"Et alors ? fit-il avec un grand sourire, je parie que ça te fait mouiller en plus ! dit-il en mettant sa main directement à mon entrejambe.

Ses doigts me massaient la chatte à travers le tissu de mon pantalon et bien entendu, je mouillais beaucoup. Le fait d'avoir un objet dans mon petit trou m'a toujours fait mouiller et me donne envie d'écarter les jambes. Patrick le savait fort bien. Il faudrait que je sache me tenir !...

"Allez c'est l'heure ! Nous partons !".

Une cinquantaine de personnes étaient déjà présentes à notre arrivée. Quelques présentations, c'était presque tous des hommes d'affaire, des amis de Patrick.

Me promenant parmi tout ce monde, je remarquai que les hommes me détaillaient longuement en souriant à Patrick, et je m'aperçus que j'étais la seule femme ! Bah, tant pis ! Je suis allée me servir quelques boissons pendant qu'il discutait avec quelques amis... Un homme vint me faire la conversation aimablement. Au moment où j'allais lui répondre, je ressentis une secousse dans mon cul : Patrick, planqué quelque part, devait m'observer et jouer avec la télécommande !!!

"- Vous connaissez beaucoup de monde ici ? me demanda l'homme.
- Non, en fait je ne connais personne. Je suis venue avec Patrick P.
- Ah, d'accord ! Il y a un peu de bruit ici, on pourrait aller à l'intérieur pour parler sans crier...
- Bonne idée, dis-je en le suivant dans la maison.
- Là, c'est beaucoup mieux ! Et puis, dit-il en souriant bizarrement, on pourrait... comment dire... approfondir notre connaissance !... "

Et sur ce, il me mis une main directement sur la chatte et commença à me masser, exactement en même temps que Patrick actionna sa télécommande ! Je poussai donc un gémissement au moment où la main de cet homme me caressait. Quelques secondes après, d'un air un peu choqué tout de même, je le repoussai vertement :

" - Mais enfin Monsieur ! Non, je ne suis pas comme ça !!!
- C'est ça ! dit-il brutalement en colère. Tu t'imagines que je vais te croire, dit-il en m'entraînant dans la maison ! Tu te pointes sans culotte, avec un god dans le cul et la chatte mouillée comme une salope, et t'es pas comme ça !!!".

Je restais là, stupide. Mais comment cet homme savait-il ce que je portais ? Il me mit devant un miroir et je vis que j'avais une énorme auréole de mouille bien visible sur mon pantalon bleu clair, et qu'on voyait parfaitement l'extrémité du god qui dépassait de mon cul ! Je devins rouge de honte ! Le salaud de Patrick ! Il avait fait exprès de me dire quels vêtements je devais porter ! Et les regards que j'avais surpris, c'était pour ça aussi sans doute !

“ Allez, dépêche-toi, j'ai pas que ça à faire ! dit cet homme, en me retournant.”

J'étais encore dans mes pensées quand il me baissa le pantalon aux genoux et m'obligea à me pencher en avant. Afin de ne pas tomber, je mis mes mains en avant pour me retenir à la table basse qui se trouvait là. Je tombai à 4 pattes et il m'enfila directement sa queue bien tendue dans ma chatte, et commença à me bourrer avec violence. Je l'entendais derrière moi :
“HAN HAN HAN ! TIENS MA SALOPE ! PRENDS TOI CA DANS LA CHATTE, CA T'APPRENDRA A VENIR FAIRE LA PUTE !!!”.

Mon plug était toujours enfoncé au fond de mon petit trou, et ses coups de bite par l'arrière me l'enfonçait en même temps. Je soupçonnais Patrick de nous regarder dans un coin car je sentais les vibrations du plug de temps en temps, et je poussais des petits cris de jouissance. Quand tout à coup, les vibrations ne s'arrêtèrent plus. Je devenais comme folle de désir et je tendais mon cul en arrière à chaque coup de queue pour bien sentir la grosse tige de mon baiseur.
“OUIIII ! VIENS ! METS-LA MOI BIEN PROFOND, OOOOH QUE J'AIME TA GROSSE QUEUE !!!!
TA VRAIE NATURE PRENDS LE DESSUS ! TIENS MA CHIENNE ! TIENS MA PUTE ! HAN HAN HAN !!! TU VAS PAS ETRE DECUE !!!
OUIIIII ! PLUS FORT !!! “

Et ces mots orduriers continuaient à m'exciter terriblement. Il me mit de grands coups dans la chatte et dans un cri, il me lâcha son jus épais en 3 ou 4 giclées bien épaisses. CLAC CLAC ! Il me mit 2 bonnes claques sur les fesses et me remonta le pantalon sommairement avant de me traîner littéralement dehors.

“ - Allez ma salope ! Dehors avant qu'on nous remarque ! Et plus vite que ça !”

J'eus tout juste le temps de refermer mon pantalon avant de réapparaître parmi les invités. Le problème, c'est que je sentais son jus qui commençait à me dégouliner de la chatte. Et comme maintenant, je savais que mon pantalon ne cachait rien, je ne savais plus où me mettre. Je serrai les jambes le plus possible quand “bzzz !”, les vibrations de mon plug me firent écarter les cuisses à nouveau. Patrick était toujours caché, j'avais de la haine pour lui !!! Puis une voix au micro :

"Messieurs ! On m'entend bien ?
Messieurs, tout d'abord merci d'avoir répondu à mon invitation. C'est une grande joie de vous annoncer que ma société, la société M., a atteint son milliard de C.A. et il me semble normal de vous faire partager cette grande nouvelle, à vous tous, partenaires de M. depuis des années !".

Je n'en revenais pas ! La société M., celle qui avait le gringalet au 1/20 à sa tête !!! Le discours reprenait :

“Mais puisque pour avancer, il faut connaître nos défauts et nos détracteurs, j'ai le plaisir de vous annoncer que nous avons parmi nous... Marie ! Montez avec moi sur le podium Marie”, fit mon ex-patron JPZ en s'adressant à moi.

J'étais à côté de la plaque et je ne réagis pas. Toutes à mes pensées et en train de me concentrer sur le sperme qui me coulait le long des jambes, je n'avais pas écouté ce qu'il disait. “Bzzzz !”, une vibration du plug dans mon cul et Patrick, soudain à côté de moi, qui me tenait le bras et qui me disait : “Eh bien, tu es sourde ?!!! Monte, on te dit !
- Mais où étais-tu ? dis-je, le regard haineux.
T'occupe pas et monte ! ordonna-t-il.”

Ce que je fis. Je me retrouvai donc sur le podium avec mon ex-patron, devant un parterre d'une bonne centaines de collaborateurs, et JPZ s'adressait à moi et à l'assemblée sans que je fasse bien attention à ses questions. Il me demandait ce que je trouvais de négatif dans la société, dans les dirigeants, etc. Je l'ai regardé, surprise...

“- Ben, je ne trouve rien à dire ! dis-je bêtement.
Ah ah ah ! Vous entendez ça, vous tous ? Allons allons, je sais que vous avez quelque chose à dire à ce sujet...
Mais, euh, non, je vous assure, je ne vois vraiment pas....
Alors il va falloir que je vous aide un peu... fit-il. Puis, se retournant vers son auditoire, il annonça :

“ Figurez-vous Messieurs, que je mérite un 1/20 d'après cette dame, et que j'ai une petite bite. Eh bien, en attendant elle aime ça, la bite ! Regardez comme elle mouille !!!” dit-il en me mettant la main à la chatte.

Tout le monde se mit à rire. Sauf moi. Je sentais la honte m'envahir et le rouge me monter aux joues. Je ne savais plus quoi faire, d'autant que je reconnaissais petit à petit les anciens collègues de cette société, où j'avais travaillé. J'aurais voulu être une petite souris et aller me cacher quelque part...

“ On va lui montrer ce que c'est qu'une vraie bite ! dit-il triomphalement. Puis se retournant vers moi, il me saisit le bras sans ménagement et m'ordonna sèchement :

Allez ! Baisse-toi et mets-toi sur mes genoux ! “

Joignant le geste à la parole, il me fit coucher en travers de ses genoux et le piège se referma sur moi car un type vint m'attacher les mains ensemble pendant que j'étais allongée. JPZ baissa mon pantalon et toute l'assemblée pu voir le plug enfoncé dans mon cul.

“ - Eh bien Marie ! Je ne savais pas que j'avais embauché une belle salope !!!
- Nooon, je vous en priiiie ! dis-je timidement.
Mais !!! En plus elle vient de se faire mettre !!! cria-t-il sans m'écouter. Regardez ça ! Elle a encore du sperme qui coule le long de ses jambes !!! Tu as bien mérité ta fessée, toi !!!”.

CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! Comment dire comment je me sentais ! Je me mis à pleurer de douleur et de honte ! J'étais sur les genoux de mon ex-patron, cul nu, le pantalon sur les chevilles, en train de me faire fesser devant une centaine de personnes, dont certaines avec qui j'avais travaillé !!! Et le voilà qui interpelait mes anciens collègues, pour ajouter à ma honte !

“- Eh ! Daniel D. ! Tu te souviens de Marie, quand elle était ta secrétaire ? dit-il en criant pour couvrir mes cris et les rires de l'assistance, en continuant sa fessée. Regarde comme elle obéit maintenant !!! Et Thierry H, toi aussi tu l'as eu comme secrétaire !!! “.

J'étais mortifiée ! Fessée et humiliée en public, devant les rires de tous les hommes présents ! La fessée s'éternisait, j'avais mal et je ne savais pas comment tout ça allait finir. Après un temps que je ne saurai estimé, car il me parut interminable, JPZ arrêta enfin sa fessée, et me redressa face à l'assemblée. J'avais des larmes qui coulaient et j'étais ridicule, toujours le pantalon aux chevilles et un plug qui dépassait de mon petit trou.

“ CA VOUS A PLU ? demanda JPZ à ses hôtes.
- OUIIIII ! répondirent-ils ensemble.
ALORS, TOUT LE MONDE POURRA EN PROFITER !!! “.

Il se retourna vers moi et me fit asseoir sur un banc assez étroit et pas très long. “ Allez, fais pas de manière et enlève-moi ça !” me dit-il en tirant sur mon haut, que j'avais réussi à garder. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, il enleva tous mes vêtements et je me retrouvais complètement nue. Aidé par le type qui était venu m'attacher les mains, j'eus un appareil dans la bouche qui me maintenait la bouche ouverte, et j'étais maintenant allongée sur le dos, sur ce petit banc, mes pieds ramenés vers la tête et mes poignets attachés à chacune de mes chevilles. Et mes jambes solidement attachées sur la droite et sur la gauche afin qu'elles soient bien écartées. J'avais mes trous bien dégagés, à hauteur de bites.

Ce faisant, JPZ me dit alors, assez bas pour qu'il n'y ait que moi qui entende : “Je voulais te mettre en levrette mais je préfère comme ça, pour que tu puisses regarder ceux qui viendront te baiser !!!”. Puis il se retourna vers l'assemblée :

“ MES AMIS, JE DECLARE LA FETE OUVERTE !!! ET POUR FAIRE BONNE MESURE, JE VAIS COMMENCER PAR LUI DEMONTRER QUE JE VAUX PLUS QUE 1/20 !!! ”.

Tout le monde rit à ces paroles, et JPZ se plaça devant moi, juste devant mes jambes bien écartées. Il dégrafa sa braguette et en sortit un braquemard d'une bonne taille. Après quelques va-et-vient sur sa bite, il me regarda d'un oeil mauvais et s'enfila d'un seul coup au fond de ma chatte ! “MMMMMMM !!! fis-je de douleur ! La bouche grande ouverte, je ne pouvais pas parler. Il me défonça la chatte sauvagement pendant 5 mn avant de me gicler au fond de moi, puis il se retira et enfonça sa bite dans ma bouche. Il n'avait pratiquement pas débandé et pendant qu'il me baisait littéralement la bouche, il encouragea l'assemblée à venir l'imiter. Un des commerciaux avec qui j'avais bossé vint alors, et riant à gorge déployée, il me dit : “AH AH AH ! MOI AUSSI J'VAIS TE LA METTRE BIEN PROFOND MA SALOPE !!!”. Je voyais sa grosse queue s'approcher de ma chatte et il m'embrocha à son tour. Pendant qu'il était en train de me limer, JPZ venait de gicler une 2ème fois dans ma bouche. “MMMM ! MMMMMMMM !”. Son sperme débordait de ma bouche et mon ex-collègue continuait à rire. J'étais morte de honte !!!

Toute la journée se passa ainsi, je reçus des queues dans ma chatte et dans ma bouche, et je dus avaler des litres de foutre. La journée se continua en soirée, et la soirée se finit aux alentours de 3h du matin. Patrick s'amena alors avec JPZ près de moi, et lui dit : “Allez, on va se la prendre en double ! Pour te remercier de cette organisation et de cette bonne journée, je te laisse son cul, je vais la prendre par la chatte !”. Je me retrouvai en sandwich avec la grosse queue de mon ex-patron dans mon cul, et elle était plus grosse que le plug !!! Avec la bite de Patrick qui me fouillait la chatte, je devenais folle de plaisir et de jouissance et je criais comme je pouvais : MMMMM !!! MMMMM !!! OUIIIII !!! EST BONNNNN ! Et ils me giclèrent chacun dans mes trous. “Quelle belle petite pute, cette Marie !!! J'espère que tu pourras me l'envoyer de temps en temps, dit JPZ à Patrick.”. “Pas de problème, répondit celui-ci, après tout, on est des frères !!!”.