Titre de l'histoire érotique : FUSION
Récit érotique écrit par DDD [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2007 dans la catégorie En solitaire
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Titre de l'histoire érotique : FUSION
Fusion.
Sophie, jolie rousse de 45 ans aux yeux verts, je suis veuve et patronne des parfumeries Saphir.
Fauchée par une voiture, dans un demi-coma, allongée sur le trottoir de cette rue de Genève, je me souviens…
1. Une jeune et riche veuve.
Il y a 10 ans, marié à Jean 50 ans fondateur des parfumeries Saphir, je vivais confortablement dans mon appartement parisien avenue Foch.
De condition très modeste, je refusais la crasse et les odeurs de ma cité. Violée des 15 ans dans une cave par celui que j'aurai pu aimer, je refuse de devenir sa petite putain. Dés ma majorité, je m'enfuis et je suis recueillie par une famille bien pensante soucieuse de bonnes actions. Contre le gîte et le couvert, j'ai le droit de poursuivre mes études d'aller à la messe, de faire le ménage et de me faire baiser par la mère, le fils et la fille dans le lit conjugal. Le père assiste mais ne consomme pas. Je suis consentante car j'aime le cul, surtout celui de la fille.
A force d'études et de persévérance je deviens journaliste de mode à 20 ans munie de solides bagages, armée pour la vie, je prends mon indépendance. Une seule ambition quitter ma misérable existence pour vivre la vie de Cendrillon, riche bourgeoise : voyages, hôtels, belles robes, sorties, argent, luxe, luxure.
Mon diplôme et mon cul vont me servir.
Recrutée par Saphir comme attachée de presse, sans vergogne et sans scrupule, comme savent être les femmes sans enfance, je décide de séduire le grand boss, un splendide gentleman de 50 ans aux tempes grisonnantes.
Travailleur acharné, Jean n'a jamais pris le temps de se marier, c'est un riche playboy célibataire endurci, constamment entouré de jolies filles Le combat est rude, j'élimine une à une les prétendantes.
Un soir, bingo ! Le boss m'emmène dans son appartement parisien, après une longue nuit d'amour et de sexe, je m'installe définitivement chez lui. Je ne remets jamais les pieds à la boite. Le mois suivant nous sommes mariés.
Très rangée, malgré mes antécédents de jolie putain, je ne prends pas d'amant, j'aime Jean, une totale harmonie règne dans notre couple, Jean me comble de cadeaux, je le comble de sexe.
Une nuit de décembre, Jean en voyage d'affaire en Suisse, je suis seule dans ma chambre, heureuse, lorsque le téléphone sonne.
" Ici l'hôpital St Charles à Genève, Vous êtes Madame X ?"
Ensommeillée je réponds un bref oui, la voix reprend.
"Monsieur, Jean X vient de décéder, il a été renversé par une voiture"
Jeune veuve, je me retrouve unique héritière et propriétaire des parfums Saphir.
Devant un conseil d'administration anéanti, j'annonce que je suis la patronne et conformément aux volontés de Jean l'affaire continue sous ma direction.
Je deviens rapidement une redoutable femme d'affaire, respectée et crainte. Toute à ma peine et à mon travail, je reste fidèle à l'amour de Jean.
Le soir seule dans mon lit, lorsque le désir se fait pressant et que mon sexe ouvert appelle désespérément la queue de Jean, je me lève, j'enfile une fine lingerie rouge, dernier cadeau de Jean, je dénoue mes longs cheveux roux. Femme fatale prête pour son amant, mes mains flattent mon corps et mes doigts jouent avec mon minou réchauffant mon bas ventre. Je pleure mon amour perdu en me pelotant.
Je me souviens de cette nuit d'été ou lassée de ma peine, l'image de Jean se brouille et disparaît de ma mémoire. Lascive, allongée les doigts dans mon puits d'amour, la caresse ne parviens pas à rassasier mon corps.
L'esprit embué, je m'assois sur le lit, face au miroir, mes longs cheveux roux tombent sur mes frêles épaules, impudique la main inutile dans la culotte, offerte à mon envie, je me contemple longuement, je suis belle, désirable...
J'arrache la fine étoffe qui me recouvre, je cherche mes bas noirs et je couvre mes lèvres de rouge, j'admire longuement cette femme nue somptueusement impudique, jambes écartées, le corps offert, réclamant une caresse.
Doucement mes mains soupèsent les seins, jouent avec les bouts, ma langue lèche, je plonge deux doigts dans ma grotte béante, je me pénètre profondément, je fais l'amour à mon reflet. J'ai chaud, je tremble, mon corps ondule doucement, j'ai envie d'une queue qui saurait apaiser cette superbe créature. Une queue mais pas un homme, pas de rival pour baiser cette femme.
Ma main n'a pas quitté mon sexe, lorsque dans la salle de bain je recherche un "je ne sais quoi "de dur, de gros.
Un flacon de parfum fera l'affaire, mes gestes deviennent désordonnées, revenue face au miroir, le flacon rentre sans peine dans cette catin dépravée, sa chatte la brûle, ma main frotte son clito, je frissonne lorsque à quatre pattes sur le lit elle me tend les fesses pour que je lui mette un doigt dans le cul.
Mes deux orifices pleins, je jappe de plaisir, enfin je m'aime, je me pelote, je me fais du bien. L'orgasme m'arrache une longue plainte de bonheur.
Les bras en croix, le flacon dans le sexe, je souris à mon amour.
1. Pas besoin d'homme.
Pendant plus de deux ans, folle de mon corps, je m'enferme chaque nuit dans mon délire narcissique.
Je fais installer un grand miroir au-dessus de ma couche. Je veux me voir me toucher, me faire plaisir.
Des jouets viennent bientôt compléter mon fantasme, je réunis une collection impressionnante de godes, de revues et de cassettes de toutes sortes. Jamais d'homme sur les cassettes, parfois des couples de femmes, toujours des filles seules qui se masturbent. J'aime accompagner mes émois du clapotis que fait la chatte d'une fille qui se doigte, je me mets alors a l'unisson et je jouis avec elle.
Mon corps change, devient magnifique, les seins s'alourdissent comme deux blanches pommes, mon clito se transforme en jolie petite bitte que je branle à la façon des hommes, mon petit trou toujours ouvert laisse pénétrer des objets de plus en plus gros. Ma liqueur abondante m'enivre, au bureau je dois constamment passer un doigt sur ma fente pour éponger cette bonne mouille, discrètement je me lèche après la caresse. Trois ou quatre fois par jour je m'isole dans les toilettes, je retire mon slip taché et tranquille, protégée, je renifle ma bonne liqueur. Sentir ma cyprine devient une drogue. Dans mon sac à main j'ai toujours un petit gode de poche.
Femme d'affaire, femme publique, les hommes qui m'entourent me croient lesbienne car sans cesse je repousse les avances des plus téméraires.
Mon assistante qui ignore tout de mes pratiques solitaires n'est pas la dernière à se poser des questions. Un jour, elle profite d'une réunion plus intime pour me dire que ma conduite irréprochable fait jaser, qu'a chaque fois que je réprimande un collaborateur, il attribue ma conduite à un manque d'homme. Je passe pour frigide et mal baisée. Les plus jeunes cadres de Saphir ont même lancé un défit.5000€ à celui qui réussirait à faire jouir la patronne.
Insensible au jugement, mais amusée par le pari, je me dois de veiller à la bonne ambiance dans l'entreprise. Afin de les rassurer, je me ferai baiser. Pour respecter les convenances je prendrai un gigolo.
Lors d'un pot d'anniversaire, je jette publiquement mon dévolu sur Marc mon jeune chef de publicité.
Marc convaincu de son pouvoir de séduction, pressé d'empocher la prime offerte par ses copains est une proie facile. Ce soir là, je l'emmène dans un hôtel luxueux de la rive droite.
Marc est macho, conscient de sa supériorité il ne doute pas un seul instant que je succombe à son charme, à peine arrivée, il me déshabille brusquement et me jette nue sur le lit.
"Prépare-toi, j'arrive"
Pleines de bonnes volontés je me branle doucement en attendant que Monsieur termine son bain.
Ma jouissance est particulièrement sonore, bientôt Marc réapparaît le corps musclé, revêtu d'un petit slip d'où s'échappent deux adorables fesses rondes et fermes.
Sur de son effet, il me tend les lèvres et commence à me caresser, mon corps réagi mal, pourtant je ne me dérobe pas, sa langue sur mon sexe mouillé me fait à peine frissonner.
Doucement je passe ma main dans son slip et je me saisis de son membre, l'engin durci sous la caresse, il est chaud, Marc peut être fier c'est une belle bonne grosse et longue bitte.
Plus de deux ans que je n'ai pas toucher un sexe d'homme, pourtant l'effet est moyen lorsque pressée par mon gigolo j'enfourne les 20 cm dans la bouche.
Pendant cette fellation Marc ne reste pas inactif, il a une remarque flatteuse lorsque son doigt trouve mon anus dilaté.
"Je vois que tu aimes bien être enculée, çà tombe bien, j'ai ce qu'il faut."
Marc est un bon partenaire, il me lime profondément la chatte, ses gestes sont précis, il quitte mon vagin pour pénétrer mon cul, repart revient, me fouille le sexe, ses couilles tapent sur mes fesses, j'ai beau mettre de la bonne volonté je ne jouis pas. Je regarde le plafond le corps soumis aux ardeurs de mon bel étalon.
Marc me baisera toute la nuit, me prenant pour une catin, un sac à foutre, il déchargera plusieurs fois, dans ma fente, dans mon cul, sur mon corps, dans ma bouche, dans mes cheveux, il ne me quittera qu'au petit matin.
"Décidément tu n'es qu'une femelle inaccessible et frigide."
Marc démissionnera le jour même.
Rentrée chez moi, seule devant mon miroir, je raconte tout à mon reflet, nous rions, je m'aime tendrement.
Depuis ce jour je n'ai jamais recouché avec un homme.
2. Ma sœur de cœur.
Après cette aventure, tout le monde s'accorda pour dire que j'étais une superbe plante vénéneuse, frigide et insensible. Les hommes se firent une raison, les avances cessèrent.
Il y a six mois, mon attention fut attirée par une stagiaire recrutée par le service presse.
La fille était très compétente, profitant d'une indisposition de l'attachée en titre, elle réussit à faire passer nos produits dans une émission réputée de télévision, les ventes avaient décollé.
Curieuse et désirant la remercier, je fis appeler la fille dans mon bureau.
Fin de stage ou plutôt jalousie de mon attachée de presse, la fille avait quitté l'entreprise.
Lors d'un dîner en ville, un client me fit remarquer qu'à la table à coté, la jeune fille qui discutait avec M....., le producteur TV connu, était Sabrina, ma jeune stagiaire. Il ne comprenait pas pourquoi Saphir ne l'avait pas gardée.
J'observais à la dérobade cette fille, elle était superbe, grande rousse aux yeux verts, la conversation agréable, élégante, mutine, aventureuse, solide. Je me revis à 20 ans. Mon sexe mouillait. Etait ce une impression ? Sabrina me regardait souvent en se tortillant.
A la fin du dîner, alors que mon hôte prenait congé, j'allais saluer le producteur, je le complimentais pour l'élégance de son invitée et j'en profitais pour remercier la fille pour son excellent travail chez Saphir.
Le lendemain matin, Sabrina forçait ma porte.
Nullement gênée par son intrusion, consciente de sa valeur, assise dans un fauteuil que je ne lui avais pas proposé, Sabrina m'expliqua que tout était à refaire dans la communication de Saphir et qu'elle avait un projet pour relancer les ventes.
Amusée, j'écoutais cette fonceuse, j'admirais sa jeunesse, sa fougue, son élocution, sa beauté.
Vêtue du même tailleur noir que moi, elle avait noué ses cheveux en arrière, et le décolleté du chemisier blanc laissait entrevoir deux petits seins laiteux, frémissant. De la jupe courte s'échappait deux longues jambes galbées, gainées de bas noirs.
Je fut émue lorsque par inadvertance elle croisa les jambes laissant apparaître furtivement un petit rectangle de chaire tendre sur fond de culotte rouge. A l'abri du bureau, discrètement je me touchais.
Je la priais de déjeuner avec moi, l'après midi Sabrina devenait l'attachée de presse en titre de la maison Saphir.
Le travail de Sabrina était excellent, le soir je pris l'habitude de la retenir sous prétexte divers. Enfermées dans mon bureau, nous évoquions la campagne de pub. Toujours court vêtue Samanta ne semblait jamais s'apercevoir que sa jupe retroussée sur ses jambes croisées laissait apparaître la naissance de ses cuisses et l'espace sombre de son sexe.
Ce soir la, elle me sourit lorsque se levant pour prendre une feuille sur mon bureau, elle me surprit la main dans la culotte.
Comme une collégienne prise en défaut, je bredouillais quelques explications qui ne firent que compliquer la situation.
Plongeant ses jolis yeux verts dans les miens elle dit simplement
"Moi aussi je me masturbe en pensant à toi".
Sabrina retira sa culotte et la posa sur la table. Tendrement elle s'approcha, me caressa les cheveux et me tendis ses lèvres. Le baiser fut délicieux, presque chaste.
Je lui proposais de prolonger la soirée en l'invitant chez moi pour partager mon repas.
C'était la première foi depuis la disparition de Jean, que je recevais une fille dans notre appartement. Je laissais Sabrina visiter et je m'éclipsais dans ma chambre, désireuse après ces tendres émotions de me rafraîchir.
Je pris une rapide douche, revêtue d'une robe d'intérieure quasi transparente qui ne dissimulait rien de mes appâts, je rejoignis la belle. Sabrina avait préparé un cocktail quelle me tendit tout en me complimentant pour la beauté de ma demeure, elle ajouta qu'une aussi belle femme ne pouvait pas vivre dans un appartement ordinaire.
Prenant conscience que Sabrina était en tailleur de travail, j'ouvris mes placards lui proposant de choisir des vêtements plus confortables.
Etonnée par l'ampleur de ma garde robe, Sabrina me demanda de choisir pour elle. Nous étions de la même taille, je choisis une robe de taffetas transparent rouge et laissais ma charmante hôtesse se mettre à l'aise pendant que je préparais une petite dînette.
Nous éclatâmes de rire lorsque Sabrina réapparu vêtue de rouge, le voile de la robe estompait à peine son sexe, nous avions oublié sa culotte sur mon bureau.
Mon rire se fige, Sabrina ouvre ses bras et m'enlace, nos corps se cherchent, s'appellent, je tremble de plaisir en découvrant cette fille dans ma robe. C'est mon corps que j'étreins, c'est mon parfum que je sens. Ce corps c'est le mien.
Lèvres soudées, je l'emmène dans ma chambre.
Le miroir nous offre le spectacle de deux belles femmes rousses identiques qui s'aiment, des sœurs unies dans la luxure.
Je rejette Sabrina sur le coté, prends sa main et la mets sur son sexe, la belle a compris mon invite, elle retrousse sa robe, ses mains prennent possession de son sexe qui ruisselle, Sabrina a une jolie technique, allongée sur le dos, jambe repliées, cuisses ouvertes, elle se masturbe l'index et le majeur dans la chatte pendant que son autre main à moitié cachée frotte le clitoris, doucement sans a coup elle se fait reluire en se contemplant dans le grand miroir, le bruit est régulier sensuel, la fille laisse échapper de petits gloussements. Etendue à son coté, je me caresse de la même manière, le rythme s'accélère nous jouissons une première fois ensemble.
Insatiable, je lèche ses doigts luisants, sa mouille est aigrelette elle ressemble à la mienne je repose sa main sur son sexe, docile Sabrina recommence la caresse solitaire que j'encourage en couvrant de baisés les doigts qui s'agitent dans sa grotte, Sabrina me saisi un sein et l'embrasse, sa succion est douce, mon sexe dégouline mais je n'ose pas interrompre cette bouche qui me tète.
Plus tard, Sabrina choisi trois godes dans ma panoplie, un gros brun, un vibro blanc effilé et une queue de chair factice, elle me demande de lui montrer mon envie, les yeux rempli de bonheur je prends le gros je l'enfile prestement dans mon cul, la bitte factice trouve sa place dans ma grotte gourmande, je ne suis qu'un trou obscène, je m'empale et me lime furieusement, pendant que mon autre main taquine mon clitoris avec le vibro au maximum. Le spectacle plaît à Sabrina qui m'encourage en se vautrant sur moi et en me suçant les seins.
Lorsque je pénètre Sabrina, c'est moi que je caresse, nos corps ne font qu'un.
Unie au même gode, on se cajole, on se besogne, on boit nos liqueurs, rassasiées le corps repu nous nous endormons qu'au petit matin les doigts dans le sexe de l'autre.
Epilogue.
Sabrina ne quitta plus mon appartement, nous vivons ensemble, elle est moi, je suis elle !
Les gens nous prennent pour deux sœurs. Cultivant cette ressemblance, nous portons les même habits, isolées dans les toilettes nous nous touchons dix à quinze fois par jour, échangeant nos culottes tachées, nous nous aimons passionnément. Notre fusion est si complète que lorsque l'une se caresse, le sexe de l'autre le sait et mouille d'envie.
Aujourd'hui, à Genève avant que cette stupide voiture me fauche, j'ai rencontré mon notaire, Sabrina sera mon unique héritière, je resterai dans son corps patronne de Saphir. Peut importe la mort.
Sophie, jolie rousse de 45 ans aux yeux verts, je suis veuve et patronne des parfumeries Saphir.
Fauchée par une voiture, dans un demi-coma, allongée sur le trottoir de cette rue de Genève, je me souviens…
1. Une jeune et riche veuve.
Il y a 10 ans, marié à Jean 50 ans fondateur des parfumeries Saphir, je vivais confortablement dans mon appartement parisien avenue Foch.
De condition très modeste, je refusais la crasse et les odeurs de ma cité. Violée des 15 ans dans une cave par celui que j'aurai pu aimer, je refuse de devenir sa petite putain. Dés ma majorité, je m'enfuis et je suis recueillie par une famille bien pensante soucieuse de bonnes actions. Contre le gîte et le couvert, j'ai le droit de poursuivre mes études d'aller à la messe, de faire le ménage et de me faire baiser par la mère, le fils et la fille dans le lit conjugal. Le père assiste mais ne consomme pas. Je suis consentante car j'aime le cul, surtout celui de la fille.
A force d'études et de persévérance je deviens journaliste de mode à 20 ans munie de solides bagages, armée pour la vie, je prends mon indépendance. Une seule ambition quitter ma misérable existence pour vivre la vie de Cendrillon, riche bourgeoise : voyages, hôtels, belles robes, sorties, argent, luxe, luxure.
Mon diplôme et mon cul vont me servir.
Recrutée par Saphir comme attachée de presse, sans vergogne et sans scrupule, comme savent être les femmes sans enfance, je décide de séduire le grand boss, un splendide gentleman de 50 ans aux tempes grisonnantes.
Travailleur acharné, Jean n'a jamais pris le temps de se marier, c'est un riche playboy célibataire endurci, constamment entouré de jolies filles Le combat est rude, j'élimine une à une les prétendantes.
Un soir, bingo ! Le boss m'emmène dans son appartement parisien, après une longue nuit d'amour et de sexe, je m'installe définitivement chez lui. Je ne remets jamais les pieds à la boite. Le mois suivant nous sommes mariés.
Très rangée, malgré mes antécédents de jolie putain, je ne prends pas d'amant, j'aime Jean, une totale harmonie règne dans notre couple, Jean me comble de cadeaux, je le comble de sexe.
Une nuit de décembre, Jean en voyage d'affaire en Suisse, je suis seule dans ma chambre, heureuse, lorsque le téléphone sonne.
" Ici l'hôpital St Charles à Genève, Vous êtes Madame X ?"
Ensommeillée je réponds un bref oui, la voix reprend.
"Monsieur, Jean X vient de décéder, il a été renversé par une voiture"
Jeune veuve, je me retrouve unique héritière et propriétaire des parfums Saphir.
Devant un conseil d'administration anéanti, j'annonce que je suis la patronne et conformément aux volontés de Jean l'affaire continue sous ma direction.
Je deviens rapidement une redoutable femme d'affaire, respectée et crainte. Toute à ma peine et à mon travail, je reste fidèle à l'amour de Jean.
Le soir seule dans mon lit, lorsque le désir se fait pressant et que mon sexe ouvert appelle désespérément la queue de Jean, je me lève, j'enfile une fine lingerie rouge, dernier cadeau de Jean, je dénoue mes longs cheveux roux. Femme fatale prête pour son amant, mes mains flattent mon corps et mes doigts jouent avec mon minou réchauffant mon bas ventre. Je pleure mon amour perdu en me pelotant.
Je me souviens de cette nuit d'été ou lassée de ma peine, l'image de Jean se brouille et disparaît de ma mémoire. Lascive, allongée les doigts dans mon puits d'amour, la caresse ne parviens pas à rassasier mon corps.
L'esprit embué, je m'assois sur le lit, face au miroir, mes longs cheveux roux tombent sur mes frêles épaules, impudique la main inutile dans la culotte, offerte à mon envie, je me contemple longuement, je suis belle, désirable...
J'arrache la fine étoffe qui me recouvre, je cherche mes bas noirs et je couvre mes lèvres de rouge, j'admire longuement cette femme nue somptueusement impudique, jambes écartées, le corps offert, réclamant une caresse.
Doucement mes mains soupèsent les seins, jouent avec les bouts, ma langue lèche, je plonge deux doigts dans ma grotte béante, je me pénètre profondément, je fais l'amour à mon reflet. J'ai chaud, je tremble, mon corps ondule doucement, j'ai envie d'une queue qui saurait apaiser cette superbe créature. Une queue mais pas un homme, pas de rival pour baiser cette femme.
Ma main n'a pas quitté mon sexe, lorsque dans la salle de bain je recherche un "je ne sais quoi "de dur, de gros.
Un flacon de parfum fera l'affaire, mes gestes deviennent désordonnées, revenue face au miroir, le flacon rentre sans peine dans cette catin dépravée, sa chatte la brûle, ma main frotte son clito, je frissonne lorsque à quatre pattes sur le lit elle me tend les fesses pour que je lui mette un doigt dans le cul.
Mes deux orifices pleins, je jappe de plaisir, enfin je m'aime, je me pelote, je me fais du bien. L'orgasme m'arrache une longue plainte de bonheur.
Les bras en croix, le flacon dans le sexe, je souris à mon amour.
1. Pas besoin d'homme.
Pendant plus de deux ans, folle de mon corps, je m'enferme chaque nuit dans mon délire narcissique.
Je fais installer un grand miroir au-dessus de ma couche. Je veux me voir me toucher, me faire plaisir.
Des jouets viennent bientôt compléter mon fantasme, je réunis une collection impressionnante de godes, de revues et de cassettes de toutes sortes. Jamais d'homme sur les cassettes, parfois des couples de femmes, toujours des filles seules qui se masturbent. J'aime accompagner mes émois du clapotis que fait la chatte d'une fille qui se doigte, je me mets alors a l'unisson et je jouis avec elle.
Mon corps change, devient magnifique, les seins s'alourdissent comme deux blanches pommes, mon clito se transforme en jolie petite bitte que je branle à la façon des hommes, mon petit trou toujours ouvert laisse pénétrer des objets de plus en plus gros. Ma liqueur abondante m'enivre, au bureau je dois constamment passer un doigt sur ma fente pour éponger cette bonne mouille, discrètement je me lèche après la caresse. Trois ou quatre fois par jour je m'isole dans les toilettes, je retire mon slip taché et tranquille, protégée, je renifle ma bonne liqueur. Sentir ma cyprine devient une drogue. Dans mon sac à main j'ai toujours un petit gode de poche.
Femme d'affaire, femme publique, les hommes qui m'entourent me croient lesbienne car sans cesse je repousse les avances des plus téméraires.
Mon assistante qui ignore tout de mes pratiques solitaires n'est pas la dernière à se poser des questions. Un jour, elle profite d'une réunion plus intime pour me dire que ma conduite irréprochable fait jaser, qu'a chaque fois que je réprimande un collaborateur, il attribue ma conduite à un manque d'homme. Je passe pour frigide et mal baisée. Les plus jeunes cadres de Saphir ont même lancé un défit.5000€ à celui qui réussirait à faire jouir la patronne.
Insensible au jugement, mais amusée par le pari, je me dois de veiller à la bonne ambiance dans l'entreprise. Afin de les rassurer, je me ferai baiser. Pour respecter les convenances je prendrai un gigolo.
Lors d'un pot d'anniversaire, je jette publiquement mon dévolu sur Marc mon jeune chef de publicité.
Marc convaincu de son pouvoir de séduction, pressé d'empocher la prime offerte par ses copains est une proie facile. Ce soir là, je l'emmène dans un hôtel luxueux de la rive droite.
Marc est macho, conscient de sa supériorité il ne doute pas un seul instant que je succombe à son charme, à peine arrivée, il me déshabille brusquement et me jette nue sur le lit.
"Prépare-toi, j'arrive"
Pleines de bonnes volontés je me branle doucement en attendant que Monsieur termine son bain.
Ma jouissance est particulièrement sonore, bientôt Marc réapparaît le corps musclé, revêtu d'un petit slip d'où s'échappent deux adorables fesses rondes et fermes.
Sur de son effet, il me tend les lèvres et commence à me caresser, mon corps réagi mal, pourtant je ne me dérobe pas, sa langue sur mon sexe mouillé me fait à peine frissonner.
Doucement je passe ma main dans son slip et je me saisis de son membre, l'engin durci sous la caresse, il est chaud, Marc peut être fier c'est une belle bonne grosse et longue bitte.
Plus de deux ans que je n'ai pas toucher un sexe d'homme, pourtant l'effet est moyen lorsque pressée par mon gigolo j'enfourne les 20 cm dans la bouche.
Pendant cette fellation Marc ne reste pas inactif, il a une remarque flatteuse lorsque son doigt trouve mon anus dilaté.
"Je vois que tu aimes bien être enculée, çà tombe bien, j'ai ce qu'il faut."
Marc est un bon partenaire, il me lime profondément la chatte, ses gestes sont précis, il quitte mon vagin pour pénétrer mon cul, repart revient, me fouille le sexe, ses couilles tapent sur mes fesses, j'ai beau mettre de la bonne volonté je ne jouis pas. Je regarde le plafond le corps soumis aux ardeurs de mon bel étalon.
Marc me baisera toute la nuit, me prenant pour une catin, un sac à foutre, il déchargera plusieurs fois, dans ma fente, dans mon cul, sur mon corps, dans ma bouche, dans mes cheveux, il ne me quittera qu'au petit matin.
"Décidément tu n'es qu'une femelle inaccessible et frigide."
Marc démissionnera le jour même.
Rentrée chez moi, seule devant mon miroir, je raconte tout à mon reflet, nous rions, je m'aime tendrement.
Depuis ce jour je n'ai jamais recouché avec un homme.
2. Ma sœur de cœur.
Après cette aventure, tout le monde s'accorda pour dire que j'étais une superbe plante vénéneuse, frigide et insensible. Les hommes se firent une raison, les avances cessèrent.
Il y a six mois, mon attention fut attirée par une stagiaire recrutée par le service presse.
La fille était très compétente, profitant d'une indisposition de l'attachée en titre, elle réussit à faire passer nos produits dans une émission réputée de télévision, les ventes avaient décollé.
Curieuse et désirant la remercier, je fis appeler la fille dans mon bureau.
Fin de stage ou plutôt jalousie de mon attachée de presse, la fille avait quitté l'entreprise.
Lors d'un dîner en ville, un client me fit remarquer qu'à la table à coté, la jeune fille qui discutait avec M....., le producteur TV connu, était Sabrina, ma jeune stagiaire. Il ne comprenait pas pourquoi Saphir ne l'avait pas gardée.
J'observais à la dérobade cette fille, elle était superbe, grande rousse aux yeux verts, la conversation agréable, élégante, mutine, aventureuse, solide. Je me revis à 20 ans. Mon sexe mouillait. Etait ce une impression ? Sabrina me regardait souvent en se tortillant.
A la fin du dîner, alors que mon hôte prenait congé, j'allais saluer le producteur, je le complimentais pour l'élégance de son invitée et j'en profitais pour remercier la fille pour son excellent travail chez Saphir.
Le lendemain matin, Sabrina forçait ma porte.
Nullement gênée par son intrusion, consciente de sa valeur, assise dans un fauteuil que je ne lui avais pas proposé, Sabrina m'expliqua que tout était à refaire dans la communication de Saphir et qu'elle avait un projet pour relancer les ventes.
Amusée, j'écoutais cette fonceuse, j'admirais sa jeunesse, sa fougue, son élocution, sa beauté.
Vêtue du même tailleur noir que moi, elle avait noué ses cheveux en arrière, et le décolleté du chemisier blanc laissait entrevoir deux petits seins laiteux, frémissant. De la jupe courte s'échappait deux longues jambes galbées, gainées de bas noirs.
Je fut émue lorsque par inadvertance elle croisa les jambes laissant apparaître furtivement un petit rectangle de chaire tendre sur fond de culotte rouge. A l'abri du bureau, discrètement je me touchais.
Je la priais de déjeuner avec moi, l'après midi Sabrina devenait l'attachée de presse en titre de la maison Saphir.
Le travail de Sabrina était excellent, le soir je pris l'habitude de la retenir sous prétexte divers. Enfermées dans mon bureau, nous évoquions la campagne de pub. Toujours court vêtue Samanta ne semblait jamais s'apercevoir que sa jupe retroussée sur ses jambes croisées laissait apparaître la naissance de ses cuisses et l'espace sombre de son sexe.
Ce soir la, elle me sourit lorsque se levant pour prendre une feuille sur mon bureau, elle me surprit la main dans la culotte.
Comme une collégienne prise en défaut, je bredouillais quelques explications qui ne firent que compliquer la situation.
Plongeant ses jolis yeux verts dans les miens elle dit simplement
"Moi aussi je me masturbe en pensant à toi".
Sabrina retira sa culotte et la posa sur la table. Tendrement elle s'approcha, me caressa les cheveux et me tendis ses lèvres. Le baiser fut délicieux, presque chaste.
Je lui proposais de prolonger la soirée en l'invitant chez moi pour partager mon repas.
C'était la première foi depuis la disparition de Jean, que je recevais une fille dans notre appartement. Je laissais Sabrina visiter et je m'éclipsais dans ma chambre, désireuse après ces tendres émotions de me rafraîchir.
Je pris une rapide douche, revêtue d'une robe d'intérieure quasi transparente qui ne dissimulait rien de mes appâts, je rejoignis la belle. Sabrina avait préparé un cocktail quelle me tendit tout en me complimentant pour la beauté de ma demeure, elle ajouta qu'une aussi belle femme ne pouvait pas vivre dans un appartement ordinaire.
Prenant conscience que Sabrina était en tailleur de travail, j'ouvris mes placards lui proposant de choisir des vêtements plus confortables.
Etonnée par l'ampleur de ma garde robe, Sabrina me demanda de choisir pour elle. Nous étions de la même taille, je choisis une robe de taffetas transparent rouge et laissais ma charmante hôtesse se mettre à l'aise pendant que je préparais une petite dînette.
Nous éclatâmes de rire lorsque Sabrina réapparu vêtue de rouge, le voile de la robe estompait à peine son sexe, nous avions oublié sa culotte sur mon bureau.
Mon rire se fige, Sabrina ouvre ses bras et m'enlace, nos corps se cherchent, s'appellent, je tremble de plaisir en découvrant cette fille dans ma robe. C'est mon corps que j'étreins, c'est mon parfum que je sens. Ce corps c'est le mien.
Lèvres soudées, je l'emmène dans ma chambre.
Le miroir nous offre le spectacle de deux belles femmes rousses identiques qui s'aiment, des sœurs unies dans la luxure.
Je rejette Sabrina sur le coté, prends sa main et la mets sur son sexe, la belle a compris mon invite, elle retrousse sa robe, ses mains prennent possession de son sexe qui ruisselle, Sabrina a une jolie technique, allongée sur le dos, jambe repliées, cuisses ouvertes, elle se masturbe l'index et le majeur dans la chatte pendant que son autre main à moitié cachée frotte le clitoris, doucement sans a coup elle se fait reluire en se contemplant dans le grand miroir, le bruit est régulier sensuel, la fille laisse échapper de petits gloussements. Etendue à son coté, je me caresse de la même manière, le rythme s'accélère nous jouissons une première fois ensemble.
Insatiable, je lèche ses doigts luisants, sa mouille est aigrelette elle ressemble à la mienne je repose sa main sur son sexe, docile Sabrina recommence la caresse solitaire que j'encourage en couvrant de baisés les doigts qui s'agitent dans sa grotte, Sabrina me saisi un sein et l'embrasse, sa succion est douce, mon sexe dégouline mais je n'ose pas interrompre cette bouche qui me tète.
Plus tard, Sabrina choisi trois godes dans ma panoplie, un gros brun, un vibro blanc effilé et une queue de chair factice, elle me demande de lui montrer mon envie, les yeux rempli de bonheur je prends le gros je l'enfile prestement dans mon cul, la bitte factice trouve sa place dans ma grotte gourmande, je ne suis qu'un trou obscène, je m'empale et me lime furieusement, pendant que mon autre main taquine mon clitoris avec le vibro au maximum. Le spectacle plaît à Sabrina qui m'encourage en se vautrant sur moi et en me suçant les seins.
Lorsque je pénètre Sabrina, c'est moi que je caresse, nos corps ne font qu'un.
Unie au même gode, on se cajole, on se besogne, on boit nos liqueurs, rassasiées le corps repu nous nous endormons qu'au petit matin les doigts dans le sexe de l'autre.
Epilogue.
Sabrina ne quitta plus mon appartement, nous vivons ensemble, elle est moi, je suis elle !
Les gens nous prennent pour deux sœurs. Cultivant cette ressemblance, nous portons les même habits, isolées dans les toilettes nous nous touchons dix à quinze fois par jour, échangeant nos culottes tachées, nous nous aimons passionnément. Notre fusion est si complète que lorsque l'une se caresse, le sexe de l'autre le sait et mouille d'envie.
Aujourd'hui, à Genève avant que cette stupide voiture me fauche, j'ai rencontré mon notaire, Sabrina sera mon unique héritière, je resterai dans son corps patronne de Saphir. Peut importe la mort.
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