Titre de l'histoire érotique : Gazon avec une cliente - histoire érotique

Ma clientèle est faite de VIP. Je connais toujours mes clients, pour certain depuis mes début. J’ai souvent la même demande qui revient:
Mon épouse aimerai, elle aussi trouver une fille pour la nuit ou la journée. Ce genre d’idées me tracassaient depuis un moment. Je ne suis pas insensible à une belle femme. Il m’arrivait souvent de trouver une femme amie pour me satisfaire, entre deux baises hétéros.
J’ai réfléchi que l’âge venant, je ne serais plus la même physiquement: j’aurai de moins en moins d’amis/clients, la dèche, quoi.
Grace à internet j’ai pu ouvrir un site particulièrement destinés aux femmes et seulement à elle. Il y a deux ans que j’ai ouvert mon affaire. Je ne m’en plains pas du tout, il marche du feu de dieu.
Les clientes sont normalement des femmes d’affaires plus nombreuses chaque jour. Certaines sont attirées par les femmes, d’autres ne viennent que pour le fun, pour passer un instant agréable en compagnie de filles pas bêtes du tout.
Tant que je peux je participe moi aussi à la fête quand je n’ai plus de « chair fraiche » à offrir.
Je ne suis jamais déçue par les amantes de rencontre, au contraire.
Ainsi hier, j’avais rendez vous dans un restaurant parisien super coté. La femme que je devait voir était grande, brune avec un journal sous le bras gauche. Je l’ai vite repéré au bar: une femme dans les 35 ans, brune aus lèvres sensuelles. Je me suis approchée d’elle en me faisant connaitre. Elle m’a jaugée, comme pour savoir si elle pouvait compter sur mes capacités.
Nous sommes passées à table, juste le temps de nous restaurer: le reste devenant important.
Dans notre chambre, j’ai fait les premier pas en l’embrassant sur la bouche. La sienne s’est ouverte, sa langue venant à la rencontre de la mienne.
Elle est chaude, j’aime bien les filles comme elle. Au moins pas de baratin, la baise aussitôt.
J’aime quand même prendre mon temps avant de me donner, j’aime bien les caresses. Elle n’en est pas avare, ses mains me déshabillent rapidement. Sa bouche suit le mouvement des vêtements qu’elle fait tomber. Si au début, sa bouche était contre la mienne, maintenant elle est descendu vers ma poitrine d’abord et mon pubis. Je suis enfin nue. J’espère qu’elle me laissera la caresser aussi.
Elle revient sur ma bouche, je peux à mon tour faire ce que je veux. Je ne fais pas de détail, je la mets nue en un rien de temps. Elle est splendide, sexy, baisable en un mot.
Maintenant elle doit subir ce que je vais faire: je pelote ses seins, les embrasse, les lèche avant de prendre un téton dans la bouche;: je la tète comme un nouveau né. Elle me donne sa poitrine en entier: je change de sein pour continuer ce qu’elle aime. Une main va vers son pubis, je trouve sa fourrure taillée avec soin en triangle indiquant la direction de sa chatte.
Je continue sur ses seins, je peux maintenant aller dans sa moule. En moi-même je me demande quel genre de con je vais trouver. Je trouve d’abord son clitoris. Il est déjà bien gonflé, prêt aux caresses. Je la branle un moment, juste pour voir si elle mouille bien. Pour moi c’est parfait: je pourrais la faire jouir, plus que ce qu’elle croit certainement: j’en aurai ma part certainement.
Je reprends la masturbation; elle écarte les jambes pour que j’aille plus loin. Je la doigte un instant avant d’aller en bas. Je trouve son anus, je le caresse tout autour avant de m’apercevoir que je la fait jouir ainsi. Madame aime la sodomie: je lui en donnerai.
Elle m’entraine sur le lit. Nous sommes cote à cote quand elle vient sur moi, comme si elle allait me baiser comme un homme. Elle caresse sa poitrine contre la mienne: si elle aime ça, moi j’adore sentir les seins nus d’une femme sur les miens. Pendant qu’elle me caresse les seins, son pubis se frotte au mien. Je ne sens pas son sexe, elle me semble agir portée par l’excitation.
Nous n’avons pas échanger deux mots depuis que nous sommes dans me chambre. Enfin elle parle:
- Toi tu sais baiser. Te me feras jouir ?
- Bien sur, je trainerai pour que tu ne jouisse pas rapidement, je trainerai exprès.
- Non fais moi jouir, maintenant.
- D’accord, tu aimes que je te branle que je te suce, que je t’encule ? Je peux tout te faire, il suffit de me demander
- Fais ce que tu veux: je veux jouir beaucoup et longtemps.
Je ne dis rien: elle est plus que chaude. Elle est mariée: je le vois à son alliance. Elle doit se faire mettre partout par son mari ou amant, je ne sais pas et ça m’est égal. Qu’elle aime baiser me suffit.
Je vais commencer par la chauffer avec ma bouche. Je m’installe devant ses jambes ouvertes: elle a un joli sexe, bien régulier, ce qui est rare. Tant mieux pour ma langue. J’écarte avec le bout les lèvres pour trouver juste en dessous les autres les plus fines. En haut je trouve son clitoris, toujours bien bandé. Je l’aspire longuement, elle commence à gémir. J’aime sucer les femmes qui aime ça. Je vais aller jusqu’à son sursaut quand elle jouit. Je n’arrête pas: ma langue est déjà dans sa gaine agitée encore de spasmes. Je fais le tour du propriétaire, puisque maintenant tout son sexe est à moi. Ma langue va d’abord vers le fond pour ne pas y arriver: je me contente de lécher le haut, juste à l’entrée de son vagin. Elle réagit encore en jouissant. Si j’abandonne sa moule, c’est pour aller taquiner l’anus. J’en fait le tour: elle jouit. J’entre dans son cul, elle jouit.
Je ne sais pas si elle s’en rend compte, j’ai besoin moi aussi de jouir. Ou je me branle devant elle ou elle me fait l’amour.
Je suis de nouveau à ses coté, elle digère les orgasmes. Satisfaite de ce que je lui ai fait, elle m’embrasse sur la bouche pour y trouver son gout. Enfin elle pose sa main sur ma chatte. Je suis au moins aussi mouillée qu’elle. Mon clitoris enfin est branlé. Elle connait son affaire: je ne suis pas sa première amante, simplement plus expérimentée que les autres sans doute. Elle attend que je jouisse complètement avant de me doigter longuement, malgré les orgasmes qu’elle me fait avoir.
- Tu aimes entrer ta langue dans mon cul: je vais te mettre deux doigts.
- Oui, encules moi, je préfère avec la langue pour t’embrasser après, j’aime le gour de mon cul.
- Tu léchera mes doigts.
Elle n’attends pas la réponse: elle entre ses doigts lentement pour finir pas me sodomiser. Quand je jouis, elle tient parole: je peux lécher les doigts.
Elle a besoin d’une étreinte plus forte: le 69 est la bonne solution. Elle m’attire sur elle, ses jambes ouvertes, sa bouche prête à lécher. D’avance je commence à mouiller encore plus. Je l’enjambe, m’installe sur sa bouche pour prendre sa chatte dans ma bouche. Qu’elle séance de léchage de gazon. Nous ne nous en lassons pas.
Nous jouissons pratiquement ensemble je ne sais combien de fois. Ce n’est plus une cliente, elle devient mon amante.
Maintenant elle redevient une simple cliente avec laquelle je vais jouir: elle sort un double gode de son sac. Elle me demande de le lui mettre dans le sexe, bien enfoncé, de me le mettre aussi et de le manipuler pour les aller et venues.
Première partie réussie: je la baise avec cette fausse bite, j’aime assez regarder un gode qui s’enfonce comme il faut dans une chatte. Maintenant il me faut me mettre les jambes emmêlées avec elle pour me baiser aussi. J’assure les mouvements pendant qu’elle en profite. C’est un peu ça le métier que je fais. J’arrive à la faire jouir encore. Son orgasme entraine le mien par contagion.
Satisfaite de nos étreintes elle me donne un cadeau à la hauteur des orgasmes que je lui ai donné: une bague pour que le prochaine fois je soit encore avec elle: je l’ai bien baisée. Elle en parlera à son mari et son amante. Je vais avoir des clients nouveaux.