Titre de l'histoire érotique : Habiba, ma beurette
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Titre de l'histoire érotique : Habiba, ma beurette
Depuis quelques jours je remarque, assise toujours à la même place une jeune femme de 25 ans environ. Je
dois dire avant tout que le bus de 9 heures 30 est toujours peu occupé. Pour moi, c’est impeccable, je ne
donne mes cours qu’à partir de 10 heures. Je l’ai remarquée à cause de son air triste, comme si le ciel lui était
tombé sur la tête. Elle descend également au même arrêt que moi.
Je la trouve bien mignonne, bien faite et sexy. Au bout d’une quinzaine elle est toujours assise à la même
place,; en face de moi. Elle a toujours son air de chien battu. Je ne peux m’empêcher de lui demander ce qu’elle
a, si elle a perdu un proche, sa place, je ne sais pas moi. Enfin elle me répond qu’elle a rompu avec son petit ami
auquel elle tenait beaucoup. Ou plutôt, c’est lui qui est parti parce qu’elle lui refusait quelque chose. Je la plains
un peu, après tout ce n’est pas mon affaire.
Plusieurs jours passent: elle est toujours triste. En sortant du bus je l’invite à boire un café au bistro du coin. Elle
accepte pour pouvoir se plaindre encore. Je n’aime pas les jérémiades. Elle voudrai encore me raconter sa
rupture: pourtant elle ajoute la vrai raison: elle se refusait à lui, pour des raisons religieuses: elle est musulmane
et malgré son amour, elle ne pouvait pas se donner à lui avant le mariage. Je la poussais dans ses derniers
retranchements pour savoir qu’elles connaissances elle avait du plaisir sexuel. En rougissant elle avouait qu’elle
se masturbait souvent. D’ailleurs avec son ami, leur sexualité se résumait à ce genre de caresses. Je
comprenais le gars qui en voulait un peu plus. Je lui demandais ce qu’elle faisait à midi; nous pourrions déjeuner
ensemble.
Je ne pensais pas qu’elle accepte. Tant mieux, j’avais mon après midi libre, je pourrai passer davantage de
temps avec elle qui n’avait rien à faire non plus.
Le déjeuner expédié, je l’invitais chez moi. Elle acceptait également.
J’ai oublié de dire que je suis une femme de 33 ans, célibataire depuis toujours, attirée par les filles depuis
toujours, même si je ne suis plus vierge depuis une bonne dizaine d’années. Cette fille, au teint clair, aux yeux
bleus profond, n’avait rien marquant comme beurette. Mais pour moi, peu importe la provenance des femmes,
je les aime, c’est tout. Et elle me plaisait particulièrement avec ses trais réguliers, son allure de dame du moyen
âge, et ce que je devinais: une belle poitrine avec de belles fesses.
Chez moi, je l’ai faite assoir sur mon divan. Je la tutoie d’autorité.
- Tu en a parlé à tes parents ?
- Non, ils ne voulaient pas que je fréquente mon ami.
- Pourquoi ?
- Ils me destinaient à un autre que j’ai en horreur.
- Tu partirai de chez toi pour ne pas l’épouser.
- S’il le faut bien sur, maintenant même.
- Si tu veux tu peux venir habiter ici, mais avant il faut que je te dise que j’aime les femmes pour faire l’amour
avec elles. Je risque de te faire des avances, est-ce que tu aurai peur si je t’en faisais maintenant pour coucher
avec moi ?
Elle me regarde avec un air effaré. Je sens qu’elle réfléchi sans doute pas dans le sens d’apprécier mon offre de
baiser avec moi. Je suis surprise quand elle répond
- Je préfère coucher avec toi plutôt qu’avec ce type: je suis majeure, je n’ai qu’à retourner chez moi, faire une
petite valise et revenir chez toi.
Elle part chez elle: je ne connais même pas son prénom. Tant pis, j’ai fait une boulette, elle ne reviendra jamais.
Pourtant vers 17 heures, elle frappe à la porte. Quand elle entre je ne peux m’empêcher de l’embrasser sur les
joues. Elle porte une petite valise. Je la guide cers sa chambre. Sa valise est sur le lit. Elle me rejoint dans le
séjour où je suis assise sur le divan. Je veux la faire parler encore. Bien sur elle reprend tout depuis le début: elle
se masturbe souvent depuis longtemps. Elle a rencontré son copain il y a un peu plus d’un an. Ils con
commencé presque de site à se caresser. Elle aimait sa main sur son sexe comme elle aimait lui donner du
plaisir. Une fois même il lui a sucé le sexe: elle en a joui, mais elle assimilait cette chose à l’amour interdit.
Je la rassure: aimer se branler est une chose normale, tant chez les garçons que chez les filles, une langue sur
son sexe, c’est aussi normal, ça fait partie des prémices et pas de la chose.
Je rattrape mon retard:
- Comment t’appelles-tu ?
- Habiba
- Joli nom.
- C’était le nom de ma grand-mère.
- Tu sais si je te propose de faire l’amour avec toi, c’est parce que tu me plais: tu es une très jolie fille sexy
comme je les aime.
- C’est sans doute pas bien de faire l’amour entre femme.
- Je n’en sais rien en tout cas c’est bon, et c’est le principal.
En bavardant j’ai pris sa main qu’elle me laisse. Je la caresse doucement pour ne pas l’effrayer. D’un seul coup
elle loge sa tête contre mon cou en pleurnichant.
- Si tu pleures encore une seule fois, tu retourne chez toi.
La menace porte ses fruits, elle laisse sa tête contre moi, et ses larmes sèchent. Je la prend par l’épaule la
redresse face à moi et je pose mes lèvres sur le siennes. Si elle ouvre la bouche la suite est gagnée. Ma langue
essaie de forcer ses lèvres quand d’un seul coup elle prend ma langue en entier dans sa bouche en passant un
bras autour de moi. Je fais durer le baiser longtemps, très longtemps. Elle ne s’en lasse pas. Je dois lui rappeler
son ex. je passe mes mains sur sa poitrine. Ses seins sont durs comme des pierres. Je les caresse lentement
quand elle se lève pour enlever sont-shift:
- C’est meilleur comme ça, non ?
- Bien sur. Tu veux que je me mette toute nue pour que tu me vois en entier ?
La réponse tarde un peu. Une petite voix:
- Si tu veux, et j’en ferai autant.
Je ne pensais jamais arriver si vite à ce que je cherchais.
Nous nous déshabillons de concert; elle me toise comme je fais avec elle. Nous nous regardons partout,
surtout nos pubis.
- Pourquoi tu es rasée ?
- C’est plus simple pour faire l’amour et c’est plus hygiénique.
- Je pourrai moi aussi être comme toi ?
- C’est à toi de décider.
Je la prend contre moi, l’embrasse encore, en la serrant bien contre ma poitrine. Nous sommes à peu de chose
près de la même taille. Nos seins se caressent: je la sens se donner à moi complètement. Je sens sur mon
pubis ses poils. Nous nous remettons sur le divan: j’ai abandonné sa bouche pour ses seins. Je lèche ses
tétons entourée d’une petit aréole. Puis une main caresse son ventre jusqu’à la lisière de ses poils. Je les
caresse un peu avant de descendre vers sa chatte. Mon seul doigt trouve un sexe totalement mouillé. Je le
glisse le long de tout son sexe, juste pour vérifié si elle n’a pas eu de rapports anaux. Son anus, ne fait que
frémir quand mon doigt y passe. Je vais enfoncer un peu dans son sexe qui n’est pas béant: elle est bien vierge.
J’en suis un peu déçue. Par contre quand je suis sur son clitoris, elle se tend vers moi, acceptant cette
masturbation comme une récompense. Je la sens jouir: elle est sur le point de me demander d’arrêter. Je
continue encore pour lui donner encore un peu de plaisir: elle éclate en un long orgasme.
- C’est la première fois que je jouis comme ça.
- Tant mieux, j’aimerai que tu me le rende.
Aves maladresse elle me masturbe pour me faire jouir longtemps après avoir commencé; Je lui montre comment
me branler. Elle recommence et cette fois ci je jouis presque normalement.
- C’est bien, nous venons de commencer à nous faire l’amour. Entre fille c’est plus complet. Ecarte bien les
jambes et reste assise;
Elle se demande où je veux en venir. Je pose ma tête entre ses cuisses, lui en lèche l’intérieur en montant
doucement vers son sexe. Cette fois elle comprend que je fais lui faire la même chose que son ami lui a fait. Ce
qu’elle ignore c’est que je sais parfaitement lécher le sexe d’une autre. J’arrive sur son anus. Cette fois je ne
cherche pas à savoir si elle s’en ai servi: avec moi elle est obligée de s’en servir. Ma langue lui lèche l’anus. Elle
en est étonnée:
- Pourquoi tu me passe la langue sur mon cul ?
- Pour t’apprendre tout. Tu me dira franchement ce que tu ressent.
Un petit moment après:
- Tu me fais du bien.
Je continue jusqu’à entrer légèrement dans ce petit trou. Je vais lécher ses lèvres jusqu’à hauteur de son vagin
où j’entre un peu.
- Tu me fais du bien.
- il faudra que je te dépucelle: ce sera bien mieux après.
- D’accord.
C’est dit comme une chose normale. Comme si j’allais le lui faire aussitôt.
Je monte vers son clitoris et là je m’attarde longtemps malgré ses orgasmes.
Quand je me relève, je l’embrasse encore. Elle trouve son goût sur ma langue et me la lèche comme si c’était
son sexe; Je me demande si je vais lui faire lécher ma chatte. Je remets ça à plus tard. Sinon elle serait dégoutée
pour la suite et je tiens à tout lui faire connaitre;
Nous dinons rapidement toujours nues, avant de faire comme les jeunes mariés: baiser à nouveau. Cette fois je
vais lui demander de me sucer la moule. Je m’assoies et lui demande de venir à) mes pied pour me rendre ce
que je lui ai fait, tout ce que je lui ai fait. J’insiste sur le « tout ».
Au début un peu déboussolée, elle s’y met quand même; elle me lèche les cuisses, viens, avec je le sens, un
léger dégout sur l’anus. Elle me le lèche longuement, un peu comme j’ai fait. Je lui demande d’entrer sa langue
dans mon cul. C’est difficile pour une première fois et pourtant petit à petit je sens sa langue envahir mon petit
trou. Elle fait comme j’ai fait: elle commence les allers et venues et me fait jouir. Il me semble que j’ai fait une
bonne découverte. Elle entre dans ma chatte et encore après quelques vas et viens elle me fait partir encore. Je
pose mes cuisses sur ses épaules pour être plus à l’aise quand elle me lèche le bouton. Là elle fait des progrès
rapide. Sa langue bien pointée sur mon couton me fait partir au 7° ciel
- Tu veux continuer un peu ?
- Bien sur c’est trop agréable.
- Alors nous allons faire autre chose. Tu veux ?
- Ca dépend, on jouit mieux ?
- Oui, ensemble.
- Allons ‘y. Décidément elle a pris goût à la chose.
- Couche toi sur le divan, les jambes bien écartées. Je viendrai sur toi pour te sucer partout et toi tu me le rendra,
mais en mettant des doigts dans mon petit trou. D’accord ?
- Bien sur.
Elle s’installe confortablement sur le dos, les jambes ouvertes. Avant de me mettre sur elle je vais l’embrasser
encore; j’ai pris goût à sa bouche et je vais sur elle. Je commende par lui lécher le clitoris, elle m’en fait autant.
Tout, absolument tout ce que je fais elle me le rend. Je lui met un doigt dans l’anus, elle m’en met trois. Et nous
voilà parties pour une bonne série de 69. Nous avons le visage plein de cyprine. Ca nous importe peu: c’est le
jus de nos jouissance, c’est donc bon.
Et arrive le moment où ni elle ni moi ne pouvons continuer. Nous nous levons pour aller nous coucher dans le
même lit. Avant de nous en dormir, elle me demande quand je la dépucellerai. Demain, sans doute: il lui tarde de
perdre sa virginité que le matin même elle tenait à conserver.
dois dire avant tout que le bus de 9 heures 30 est toujours peu occupé. Pour moi, c’est impeccable, je ne
donne mes cours qu’à partir de 10 heures. Je l’ai remarquée à cause de son air triste, comme si le ciel lui était
tombé sur la tête. Elle descend également au même arrêt que moi.
Je la trouve bien mignonne, bien faite et sexy. Au bout d’une quinzaine elle est toujours assise à la même
place,; en face de moi. Elle a toujours son air de chien battu. Je ne peux m’empêcher de lui demander ce qu’elle
a, si elle a perdu un proche, sa place, je ne sais pas moi. Enfin elle me répond qu’elle a rompu avec son petit ami
auquel elle tenait beaucoup. Ou plutôt, c’est lui qui est parti parce qu’elle lui refusait quelque chose. Je la plains
un peu, après tout ce n’est pas mon affaire.
Plusieurs jours passent: elle est toujours triste. En sortant du bus je l’invite à boire un café au bistro du coin. Elle
accepte pour pouvoir se plaindre encore. Je n’aime pas les jérémiades. Elle voudrai encore me raconter sa
rupture: pourtant elle ajoute la vrai raison: elle se refusait à lui, pour des raisons religieuses: elle est musulmane
et malgré son amour, elle ne pouvait pas se donner à lui avant le mariage. Je la poussais dans ses derniers
retranchements pour savoir qu’elles connaissances elle avait du plaisir sexuel. En rougissant elle avouait qu’elle
se masturbait souvent. D’ailleurs avec son ami, leur sexualité se résumait à ce genre de caresses. Je
comprenais le gars qui en voulait un peu plus. Je lui demandais ce qu’elle faisait à midi; nous pourrions déjeuner
ensemble.
Je ne pensais pas qu’elle accepte. Tant mieux, j’avais mon après midi libre, je pourrai passer davantage de
temps avec elle qui n’avait rien à faire non plus.
Le déjeuner expédié, je l’invitais chez moi. Elle acceptait également.
J’ai oublié de dire que je suis une femme de 33 ans, célibataire depuis toujours, attirée par les filles depuis
toujours, même si je ne suis plus vierge depuis une bonne dizaine d’années. Cette fille, au teint clair, aux yeux
bleus profond, n’avait rien marquant comme beurette. Mais pour moi, peu importe la provenance des femmes,
je les aime, c’est tout. Et elle me plaisait particulièrement avec ses trais réguliers, son allure de dame du moyen
âge, et ce que je devinais: une belle poitrine avec de belles fesses.
Chez moi, je l’ai faite assoir sur mon divan. Je la tutoie d’autorité.
- Tu en a parlé à tes parents ?
- Non, ils ne voulaient pas que je fréquente mon ami.
- Pourquoi ?
- Ils me destinaient à un autre que j’ai en horreur.
- Tu partirai de chez toi pour ne pas l’épouser.
- S’il le faut bien sur, maintenant même.
- Si tu veux tu peux venir habiter ici, mais avant il faut que je te dise que j’aime les femmes pour faire l’amour
avec elles. Je risque de te faire des avances, est-ce que tu aurai peur si je t’en faisais maintenant pour coucher
avec moi ?
Elle me regarde avec un air effaré. Je sens qu’elle réfléchi sans doute pas dans le sens d’apprécier mon offre de
baiser avec moi. Je suis surprise quand elle répond
- Je préfère coucher avec toi plutôt qu’avec ce type: je suis majeure, je n’ai qu’à retourner chez moi, faire une
petite valise et revenir chez toi.
Elle part chez elle: je ne connais même pas son prénom. Tant pis, j’ai fait une boulette, elle ne reviendra jamais.
Pourtant vers 17 heures, elle frappe à la porte. Quand elle entre je ne peux m’empêcher de l’embrasser sur les
joues. Elle porte une petite valise. Je la guide cers sa chambre. Sa valise est sur le lit. Elle me rejoint dans le
séjour où je suis assise sur le divan. Je veux la faire parler encore. Bien sur elle reprend tout depuis le début: elle
se masturbe souvent depuis longtemps. Elle a rencontré son copain il y a un peu plus d’un an. Ils con
commencé presque de site à se caresser. Elle aimait sa main sur son sexe comme elle aimait lui donner du
plaisir. Une fois même il lui a sucé le sexe: elle en a joui, mais elle assimilait cette chose à l’amour interdit.
Je la rassure: aimer se branler est une chose normale, tant chez les garçons que chez les filles, une langue sur
son sexe, c’est aussi normal, ça fait partie des prémices et pas de la chose.
Je rattrape mon retard:
- Comment t’appelles-tu ?
- Habiba
- Joli nom.
- C’était le nom de ma grand-mère.
- Tu sais si je te propose de faire l’amour avec toi, c’est parce que tu me plais: tu es une très jolie fille sexy
comme je les aime.
- C’est sans doute pas bien de faire l’amour entre femme.
- Je n’en sais rien en tout cas c’est bon, et c’est le principal.
En bavardant j’ai pris sa main qu’elle me laisse. Je la caresse doucement pour ne pas l’effrayer. D’un seul coup
elle loge sa tête contre mon cou en pleurnichant.
- Si tu pleures encore une seule fois, tu retourne chez toi.
La menace porte ses fruits, elle laisse sa tête contre moi, et ses larmes sèchent. Je la prend par l’épaule la
redresse face à moi et je pose mes lèvres sur le siennes. Si elle ouvre la bouche la suite est gagnée. Ma langue
essaie de forcer ses lèvres quand d’un seul coup elle prend ma langue en entier dans sa bouche en passant un
bras autour de moi. Je fais durer le baiser longtemps, très longtemps. Elle ne s’en lasse pas. Je dois lui rappeler
son ex. je passe mes mains sur sa poitrine. Ses seins sont durs comme des pierres. Je les caresse lentement
quand elle se lève pour enlever sont-shift:
- C’est meilleur comme ça, non ?
- Bien sur. Tu veux que je me mette toute nue pour que tu me vois en entier ?
La réponse tarde un peu. Une petite voix:
- Si tu veux, et j’en ferai autant.
Je ne pensais jamais arriver si vite à ce que je cherchais.
Nous nous déshabillons de concert; elle me toise comme je fais avec elle. Nous nous regardons partout,
surtout nos pubis.
- Pourquoi tu es rasée ?
- C’est plus simple pour faire l’amour et c’est plus hygiénique.
- Je pourrai moi aussi être comme toi ?
- C’est à toi de décider.
Je la prend contre moi, l’embrasse encore, en la serrant bien contre ma poitrine. Nous sommes à peu de chose
près de la même taille. Nos seins se caressent: je la sens se donner à moi complètement. Je sens sur mon
pubis ses poils. Nous nous remettons sur le divan: j’ai abandonné sa bouche pour ses seins. Je lèche ses
tétons entourée d’une petit aréole. Puis une main caresse son ventre jusqu’à la lisière de ses poils. Je les
caresse un peu avant de descendre vers sa chatte. Mon seul doigt trouve un sexe totalement mouillé. Je le
glisse le long de tout son sexe, juste pour vérifié si elle n’a pas eu de rapports anaux. Son anus, ne fait que
frémir quand mon doigt y passe. Je vais enfoncer un peu dans son sexe qui n’est pas béant: elle est bien vierge.
J’en suis un peu déçue. Par contre quand je suis sur son clitoris, elle se tend vers moi, acceptant cette
masturbation comme une récompense. Je la sens jouir: elle est sur le point de me demander d’arrêter. Je
continue encore pour lui donner encore un peu de plaisir: elle éclate en un long orgasme.
- C’est la première fois que je jouis comme ça.
- Tant mieux, j’aimerai que tu me le rende.
Aves maladresse elle me masturbe pour me faire jouir longtemps après avoir commencé; Je lui montre comment
me branler. Elle recommence et cette fois ci je jouis presque normalement.
- C’est bien, nous venons de commencer à nous faire l’amour. Entre fille c’est plus complet. Ecarte bien les
jambes et reste assise;
Elle se demande où je veux en venir. Je pose ma tête entre ses cuisses, lui en lèche l’intérieur en montant
doucement vers son sexe. Cette fois elle comprend que je fais lui faire la même chose que son ami lui a fait. Ce
qu’elle ignore c’est que je sais parfaitement lécher le sexe d’une autre. J’arrive sur son anus. Cette fois je ne
cherche pas à savoir si elle s’en ai servi: avec moi elle est obligée de s’en servir. Ma langue lui lèche l’anus. Elle
en est étonnée:
- Pourquoi tu me passe la langue sur mon cul ?
- Pour t’apprendre tout. Tu me dira franchement ce que tu ressent.
Un petit moment après:
- Tu me fais du bien.
Je continue jusqu’à entrer légèrement dans ce petit trou. Je vais lécher ses lèvres jusqu’à hauteur de son vagin
où j’entre un peu.
- Tu me fais du bien.
- il faudra que je te dépucelle: ce sera bien mieux après.
- D’accord.
C’est dit comme une chose normale. Comme si j’allais le lui faire aussitôt.
Je monte vers son clitoris et là je m’attarde longtemps malgré ses orgasmes.
Quand je me relève, je l’embrasse encore. Elle trouve son goût sur ma langue et me la lèche comme si c’était
son sexe; Je me demande si je vais lui faire lécher ma chatte. Je remets ça à plus tard. Sinon elle serait dégoutée
pour la suite et je tiens à tout lui faire connaitre;
Nous dinons rapidement toujours nues, avant de faire comme les jeunes mariés: baiser à nouveau. Cette fois je
vais lui demander de me sucer la moule. Je m’assoies et lui demande de venir à) mes pied pour me rendre ce
que je lui ai fait, tout ce que je lui ai fait. J’insiste sur le « tout ».
Au début un peu déboussolée, elle s’y met quand même; elle me lèche les cuisses, viens, avec je le sens, un
léger dégout sur l’anus. Elle me le lèche longuement, un peu comme j’ai fait. Je lui demande d’entrer sa langue
dans mon cul. C’est difficile pour une première fois et pourtant petit à petit je sens sa langue envahir mon petit
trou. Elle fait comme j’ai fait: elle commence les allers et venues et me fait jouir. Il me semble que j’ai fait une
bonne découverte. Elle entre dans ma chatte et encore après quelques vas et viens elle me fait partir encore. Je
pose mes cuisses sur ses épaules pour être plus à l’aise quand elle me lèche le bouton. Là elle fait des progrès
rapide. Sa langue bien pointée sur mon couton me fait partir au 7° ciel
- Tu veux continuer un peu ?
- Bien sur c’est trop agréable.
- Alors nous allons faire autre chose. Tu veux ?
- Ca dépend, on jouit mieux ?
- Oui, ensemble.
- Allons ‘y. Décidément elle a pris goût à la chose.
- Couche toi sur le divan, les jambes bien écartées. Je viendrai sur toi pour te sucer partout et toi tu me le rendra,
mais en mettant des doigts dans mon petit trou. D’accord ?
- Bien sur.
Elle s’installe confortablement sur le dos, les jambes ouvertes. Avant de me mettre sur elle je vais l’embrasser
encore; j’ai pris goût à sa bouche et je vais sur elle. Je commende par lui lécher le clitoris, elle m’en fait autant.
Tout, absolument tout ce que je fais elle me le rend. Je lui met un doigt dans l’anus, elle m’en met trois. Et nous
voilà parties pour une bonne série de 69. Nous avons le visage plein de cyprine. Ca nous importe peu: c’est le
jus de nos jouissance, c’est donc bon.
Et arrive le moment où ni elle ni moi ne pouvons continuer. Nous nous levons pour aller nous coucher dans le
même lit. Avant de nous en dormir, elle me demande quand je la dépucellerai. Demain, sans doute: il lui tarde de
perdre sa virginité que le matin même elle tenait à conserver.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
hum tres sympa mais bcp excitant je mouille,jai du fantasme pour les fille
Je suis un homme mais en lisant ton histoire je me masturbe.....
Merci pour cette merveilleuse histoire. Huguette tu fais une excellente conteuse. Cela confirme tes tendances lesbiennes. J'espère que tu ajouteras quelques chapitres à cette aventure, Habiba me parait être capable de devenir une splendide salope sous ta direction...
Bravo pour cette histoire tres excitante ,je me suis caressée en la lisant et vraiment c'est delicieux .Un grand merci charmante Huguette34 ,je crois que je vais vous lire tres souvent .Tendres pensées .kokinette77
trés belle aventure et quelle chance de l'avoir conduite.
j'en jouis de jalousie.j'espère que tu nous raconteras son dépucelage bientot.
merci huguette
mille bises
j'en jouis de jalousie.j'espère que tu nous raconteras son dépucelage bientot.
merci huguette
mille bises
bien sympa, la suite svp