Titre de l'histoire érotique : Il est temps de tout dire
Récit érotique écrit par SabineG [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 6 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.3 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de SabineG ont reçu un total de 25 267 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 3 526 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : Il est temps de tout dire
Bonjour. Je m'appelle Sabine et voici mon histoire.
Mais avant de vous ouvrir la porte et de vous inviter à plonger au plus profond de mon âme et de mon corps, je tiens à vous dire que tous les faits relatés ici sont réels. Il me faut cependant changer quelques lieux et le nom des protagonistes car ces révélations seront faites sans leur consentement. Il me parait sage de ne pas en révéler trop sur leur véritable identité. Plaisir, perversion même, mais respect, chacun a le droit à sa vie privée.
Donc autres noms, autres lieux mais la vie sexuelle sans fard d’une jeune cinquantenaire enfin libre. Prêt ?
J’ai longtemps était très sage. Ne remontons pas trop loin (ce sera l’objet d’un autre épisode) mais disons que depuis le milieu de ma vingtaine j’avais atteint le Graal féminin : l’image d’une épouse et mère comblée, socialement reconnue, active, sportive, bien à la ville et à la campagne… Je pense que j’aurais même pu être modèle dans une publicité pour une marque de lessive révolutionnaire ou pour une assurance scolaire. Sourire, dents blanches et sveltesse de bon aloi, coupe de cheveux sous contrôle… je vous le disais, la belle femme froide que la société nous donne en pâture au quotidien.
Ma vie sexuelle de l’époque (car il faut bien en parler) ? Un rapide feu de paille pour la découverte, deux grossesses et dix-sept années de devoir conjugal sans faille. Une relation par semaine, le vendredi soir ou le samedi soir, deux en période de vacances, et encore pas à chaque vacances, le tout dans le noir et en moins d’un quart d’heure les jours de désir fou… Il me semblait que quelques baisers sur les seins, une caresse ou deux sur mon sexe a la toison naturelle, une ouverture maladroite par une main rapidement humidifiée d’un coup de langue bâclé étaient la définition même des fameux préliminaires. J’avais lu beaucoup lu sur le sujet (oui j’avoue j’étais déjà curieuse) mais la vénération qui ressortait systématiquement des « préliminaires » me semblait largement surfaite. Inutile donc de vous dire que le coït saccadé et irrégulier qui s’en suivait n’avait pas la moindre chance de m’amener à l’orgasme mais comme c’était attendu je simulais. Plutôt bien au début, le faire me donner un certain plaisir, puis je fus rapidement rendue au minimum syndical : quelques « hummm », un « oh » et un « aah » un peu plus fort et hop un bisou de bonne nuit avant de se tourner.
Je crois que j’ai eu moins de plaisir en dix-sept ans que dans les trois premières années de ma découverte sexuelle et certainement beaucoup moins que la première semaine de ma révélation !
Alors pourquoi ne pas prendre un amant me demandez-vous ? Eh bien parce que j’étais une femme bien tout simplement. Ou plus précisément une femme qui s’accommodait de son abstinence en se disant que c’était ainsi. Voire pire, en se questionnant sur la perversité de mon âme lorsque le désir qui brulait mon ventre me poussait parfois à me caresser devant Canal Plus les premiers samedi du mois ou mon mari avait mieux à faire. J’avais bien eu quelques flirts, rien de plus sérieux que des effleurements ou des regards appuyés, pas même un baiser, mais déjà assez pour m’enflammer et humidifier à nouveau le coton de mes culottes sages.
Le calme avant la tempête ou plus anatomiquement vrai : la traversée du désert.
Et puis j’ai rencontré Alain.
(a suivre – dites-moi si cela vous intrigue…. sabine.guillard2 sur skype)
Mais avant de vous ouvrir la porte et de vous inviter à plonger au plus profond de mon âme et de mon corps, je tiens à vous dire que tous les faits relatés ici sont réels. Il me faut cependant changer quelques lieux et le nom des protagonistes car ces révélations seront faites sans leur consentement. Il me parait sage de ne pas en révéler trop sur leur véritable identité. Plaisir, perversion même, mais respect, chacun a le droit à sa vie privée.
Donc autres noms, autres lieux mais la vie sexuelle sans fard d’une jeune cinquantenaire enfin libre. Prêt ?
J’ai longtemps était très sage. Ne remontons pas trop loin (ce sera l’objet d’un autre épisode) mais disons que depuis le milieu de ma vingtaine j’avais atteint le Graal féminin : l’image d’une épouse et mère comblée, socialement reconnue, active, sportive, bien à la ville et à la campagne… Je pense que j’aurais même pu être modèle dans une publicité pour une marque de lessive révolutionnaire ou pour une assurance scolaire. Sourire, dents blanches et sveltesse de bon aloi, coupe de cheveux sous contrôle… je vous le disais, la belle femme froide que la société nous donne en pâture au quotidien.
Ma vie sexuelle de l’époque (car il faut bien en parler) ? Un rapide feu de paille pour la découverte, deux grossesses et dix-sept années de devoir conjugal sans faille. Une relation par semaine, le vendredi soir ou le samedi soir, deux en période de vacances, et encore pas à chaque vacances, le tout dans le noir et en moins d’un quart d’heure les jours de désir fou… Il me semblait que quelques baisers sur les seins, une caresse ou deux sur mon sexe a la toison naturelle, une ouverture maladroite par une main rapidement humidifiée d’un coup de langue bâclé étaient la définition même des fameux préliminaires. J’avais lu beaucoup lu sur le sujet (oui j’avoue j’étais déjà curieuse) mais la vénération qui ressortait systématiquement des « préliminaires » me semblait largement surfaite. Inutile donc de vous dire que le coït saccadé et irrégulier qui s’en suivait n’avait pas la moindre chance de m’amener à l’orgasme mais comme c’était attendu je simulais. Plutôt bien au début, le faire me donner un certain plaisir, puis je fus rapidement rendue au minimum syndical : quelques « hummm », un « oh » et un « aah » un peu plus fort et hop un bisou de bonne nuit avant de se tourner.
Je crois que j’ai eu moins de plaisir en dix-sept ans que dans les trois premières années de ma découverte sexuelle et certainement beaucoup moins que la première semaine de ma révélation !
Alors pourquoi ne pas prendre un amant me demandez-vous ? Eh bien parce que j’étais une femme bien tout simplement. Ou plus précisément une femme qui s’accommodait de son abstinence en se disant que c’était ainsi. Voire pire, en se questionnant sur la perversité de mon âme lorsque le désir qui brulait mon ventre me poussait parfois à me caresser devant Canal Plus les premiers samedi du mois ou mon mari avait mieux à faire. J’avais bien eu quelques flirts, rien de plus sérieux que des effleurements ou des regards appuyés, pas même un baiser, mais déjà assez pour m’enflammer et humidifier à nouveau le coton de mes culottes sages.
Le calme avant la tempête ou plus anatomiquement vrai : la traversée du désert.
Et puis j’ai rencontré Alain.
(a suivre – dites-moi si cela vous intrigue…. sabine.guillard2 sur skype)
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par SabineG
13 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très agréable a lire et à imaginer... oui on veux la suite
Oui vivement la suite début très intriguant...merci a vous.
Merci a tous c'est tres gentil, je viens de poster la suite, j'espere qu'elle vous plaira ! bises
Continuez Sabine, j'attends la suite avec intérêt! Olga
Bonsoir,
votre histoire est très bien écrite et vous savez éveiller l'appétit chez vos lecteur.
A très bientôt le plaisir de lire la suite de la révélation de votre vraie nature, sachant que tout ceci est donc vrai. Vivement la tempête ....
votre histoire est très bien écrite et vous savez éveiller l'appétit chez vos lecteur.
A très bientôt le plaisir de lire la suite de la révélation de votre vraie nature, sachant que tout ceci est donc vrai. Vivement la tempête ....
super debut d'histoire on attend la suite avec impatience bisous
Je pense que c'est le début d'un longue histoire... cela a été un peu la même chose avec ma première épouse (arrivée vierge au mariage alors que j'avais déjà e quelques aventures... Les années passant, les enfant arrivant et grandissant, la fatigue du boulot, etc ont fait que nos rapports se sont espacés, une fois le samedi soir au plus... Malheureusement le décès survenant, après une période de tristesse la vie a repris et je ne suis un peu inconsciemment laissé entrainer dans une spirale de luxure... C'était merveilleux... Tu peux retrouver mes histoire sous le pseudo " LE MATOU LIBERTIN " Je relate certains épisodes de ma vie (cf Amour de jeunesse). Amicalement !
Une belle écriture, c'est si rare !
Bienvenue, Sabine.
Bienvenue, Sabine.
bonjour Sabine tu sers l apero pour nous mettre en appétit....j ai faim de la suite de tes peripéties. tu peux m ecrire sur le mail si tu veux
Bonjour Sabine,
Votre premier récit me met l'eau à la bouche ...!!!!
j'ai hâte de découvrir votre découverte de votre nature frustrée ...!!!!
Vivement la suite !
Votre premier récit me met l'eau à la bouche ...!!!!
j'ai hâte de découvrir votre découverte de votre nature frustrée ...!!!!
Vivement la suite !
Ne jamais demander des compliments ils viennent en cours de chemin La Belle ..
La forme promet
B.
La forme promet
B.
Bon début pour un premier texte, bienvenue SabineG dans notre monde...
mmm ca commence bien j ai hate de connaitre la suite