Titre de l'histoire érotique : Il faut deux queues pour bien remplir Juliette, mais elle ne le savait pas ... - histoire érotique

Histoire

Ma femme est très belle. pas de cette beauté plastique, classique, lisse des magazines, mais elle est faite de charme, de séduction, de lumière, et possède une paire de jambes qui n’en finissent pas de déboucher sur un cul superbe, qu’elle porte magnifiquement, du haut de ses 4O ans passés.

Juliette a toujours aimé le sexe. Elle aime se sentir prise avec fièvre, et s’abandonner à la mâle étreinte d’un homme viril et décidé à bien la remplir de son sperme.
Elle a peu de tabou, et notre vie sexuelle a toujours été riche et fournie dans son ensemble, bien que nous ne soyons jamais sortis de l’intimité de notre couple, sexuellement parlant.
Parmi ses fantasmes, j’en connais deux : Celui de faire l’amour avec une autre femme (qui ne m’inclut pas nécessairement d’ailleurs) et celui de faire l’amour avec deux hommes. Ce dernier était et de loin celui qui l’excite le plus.
Ce qu’elle était loin d’imaginer, c’est que cette idée m’excitait également.

Car bien que loin d’être timorée, elle à eu l’occasion de franchir le pas et à décliné au dernier moment. Une fois, voilà quelques années déjà, dans le feu de l’action avec son partenaire de l’époque, lorsque celui-ci lui proposa de se faire prendre par deux queues en même temps dont la sienne, elle accepta sur l’instant car son excitation à ce moment là était ultime, mais une fois le rendez-vous fixé, l’excitation retombée, elle se fit peur et décida de l’annuler avec que de passer à l’acte, n’étant pas bien sure d’assumer ce genre d’expérience et préférant pour l’instant le laisser au rang de fantasme.

Je suppose néanmoins que cela lui laissa un gout d’inachevé et un certain regret de ne pas avoir osé vivre cette expérience osée à laquelle elle doit repenser de temps à autre. D’une part ce n’est pas son tempérament que de ne pas oser, et d’autre part, il m’a bien semblé qu’elle est particulièrement sensible, si d’aventure nous matons un petit porno comme cela arrive parfois, lorsque une jolie blonde se fait prendre en sandwich par deux hommes. A quatre patte sur l’un. Sodomisée par l’autre.

Je décidai donc, de lui faire ce cadeau. Lui offrir une belle bite en plus de la mienne, un autre homme pour la posséder à deux, la remplir par tous ses trous et la faire hurler de plaisir sous nos coups de boutoirs qui pilonneront en même temps son petit cul ainsi que sa chatte. L’idée de lui permettre d’accéder à de nouveaux plaisirs et de partager cela avec elle, de lui permettre de réparer cette hésitation, de vivre cette expérience et de la partager avec elle acheva de me motiver définitivement pour passer à l’acte.

La question était comment enclencher ? Comment lui permettre de révéler ce fantasme inassouvi et inavouable sans la braquer ?
Devais-je l’emmener diner par hasard un soir dans une boite libertine ? Lui glisser l’idée pendant que nous faisons l’amour lorsqu’elle est bien chaude ?
Inviter sans la prévenir un « copain » à la maison, aborder le sujet pendant le repas, la chauffer à blanc devant mon pote lui laisser entendre que je ne serai pas contre une partie à trois, puis à la fin du repas, laisser mon « copain » la faire vaciller et le rejoindre pour la baiser à deux sur la table du salon ?
Proposer le coup à un de ses ex ?

C’est là que le destin me donna un petit coup de pouce.
Je reçus quelques jours plus tard une invitation à un évènement via Facebook me conviant à l’inauguration d’un nouveau restaurant lounge sur Lyon. Une rapide visite sur le site me permit de découvrir qu’il s’agissait en fait d’un restaurant club libertin mais le flyer d’invitation manquait explicitement de clarté en mettant d'avantage l’accent sur le coté restaurant. Il n’en fallait pas plus pour tenter le coup. L’inauguration avait lieu le surlendemain, je le fis suivre à ma chérie en lui textant « resto jeudi soir, j’ai bouclé la baby-sitter Chérie ! ». Elle me répondit d’un smiley bisou, et je compris qu’elle avait enregistré la sortie sans plus de question.

Jeudi je rentre du travail le plus vite possible. Juliette vient d’arriver aussi de son coté avec bébé. Nous expédions au plus vite les affaires domestiques, la baby-sitter, bébé avant de monter prendre une douche et nous préparer pour filer au resto.

Dans la salle de bain je taquine ma chérie, en venant l’embrasser, la peloter, lui disant que je vais glisser mes mains partout en même temps, elle me répond taquine elle aussi que je ne suis pas Shiva, je lui répond d’un air entendu que j’ai les moyens de le devenir.
• Et si j’avais deux queues pour te baiser en même temps ? tu imagines ? lui dis-je. Une petite flamme s’allume dans ses yeux rieurs. Pour toute réponse elle me dit d’air de petite fille pas sage :
• Tu me les mettrai en même temps pour bien me remplir c’est ça ? avant de me décrocher une pelle et un coup de langue à faire bander un curé.
• Hum.. te remplir par tous les trous.. tu imagines, sentir mes deux queues en toi à la foi ? dans tes deux trous ? hum.

Je la galoche à fond, la sentant collée à moi, frémissante, un brin excitée même sans doute par mes mots équivoques…je lui branle un peu son petit clito d’une main tandis que de l’autre je glisse un doigt vers sa raie. Pendant que ma main gauche s’enfonce vers sa chatte déjà trempée, ma main droit glisse elle dans le sillon de ses fesses pour se diriger vers son cul. Sa langue se fait plus pointue dans ma bouche et son regard s’enfièvre, je vois à nouveau les yeux de la petite chienne que j’aime tant baiser.

Tout en l’embrassant, mes deux mais se rejoignent à l’entrée de sa chatte et je la branle doucement avec mes 4 doigts, tandis que nous nous roulons des pelles langoureuses. J’ai envie de la prendre maintenant mais je préfère nous retenir en garder son excitation en réserve pour tout à l’heure.
Alors tandis que ma main gauche lui enfonce maintenant trois doigts bien profonds dans la chatte le majeur de ma main droite, bien trempé de sa cyprine, ressort va se planter sans faillir dans son petit cul pour le branler en même temps. Elle à un moment de recul, de refus, mais devant n’a pas le temps de m’en empêcher, alors elle l’accepte, se relâche et abandonne son petit trou à mon doigt expert. Apres quelques minutes à nous chauffer ainsi je suis bouillant.
Sans crier gare, je la fais pivoter d’un quart de tour dans mes bras pour la retourner dos à moi et en un geste éclair pointer ma queue sur son petit anus avant de tout doucement, la laisser glisser vers sa chatte trempée.
je décide de m’y enfoncer tout en douceur.
C’est chaud. C’est mouillé. Elle frétille du bassin tandis que ma queue se fraie un passage dans sa chatte trempée mais toute fermée avant de s’enfoncer jusqu’à la garde en elle.
• Humm…
Je sens mes couilles buter contre ses fesses et j’en profite pour bien les écarter, ce qui lui découvre sa petite étoile.
Mes mains remontent sur ses seins et lui pincent les tétons.ma main droite remonte le long de sa gorge et je j’envahis sa bouche de ma langue décidée, tandis que ma main ferme lui maintient la bouche contre la mienne.
Puis, aussi doucement que je suis rentré, je me retire…
Elle se retourne les yeux brillants à moitié pas contente…
• Ha non, tu peux pas me faire ça ?
• Tu crois ? Je souris d’un air énigmatique et lui promet un dénouement rapide et heureux. « Fais moi confiance » ajoutais-je. Elle me renvoie un regard énigmatique… Se douterai t’elle que je mijote quelque chose après tout ?
• Dépêchons nous Darling, sinon nous allons être en retard. C’est chic et glamour ce soir. tu mets quoi ?
• Ma petite robe rouge et mes escarpins dorés?
• Très joli, mais pourquoi ne mettrai-tu pas ta jolie robe noire échancrée que tu met si rarement ?
• Mais elle est complètement indécente ? Et puis j’ai grossi …
• Tu es tellement sexy dedans, je suis sur qu’elle te va encore, vérifie !

D’un air dubitatif elle plonge le bras dans sa penderie pour en ressortir ladite robe noire, qui effectivement ne pèse pas bien lourd en tissu.

• C’est vrai qu’elle est belle… Mais tu vas pas être jaloux chéri, tu sais qu’avec cette robe et mes escarpins noirs je vais me faire mater grave ? Surtout si on va danser après ? Je souris intérieurement…si tu savais ce que je te prépare tu ne t’inquièterai pas de ca ma chérie …
• Darling, vas y, c’est l’occasion ou jamais ! Tu es trop belle dedans… Tu sais quoi, tu devrais même aller au bout du schéma …
• …
• Ben je t’avoue que ça m’exciterai terriblement de savoir qu’en dessous de cette robe qu’on à envie d’arracher, que tu portes la petite guêpière noire et les bas résilles qui vont avec …

Elle se marre et me regarde.

• Mais chéri je vais vraiment être habillée hyper sex ?
• Oui ma chérie, c’est exactement ce dont j’ai envie. te voir belle, sexy et constater que tous les mecs qui te matent se mettent à bander illico pour toi.
• Elle sourit … ha les femmes …

20h40. Nous arrivons avec 10 min de retard. Je me gare sans souci. Nous sortons de la voiture. C’est le printemps, il faut bon ! Je regarde ma femme qui est trop belle et tellement sexy. Elle dégage une sensualité et une sexualité exacerbée. Une autre pourrait avoir l’air d’une pute avec des habits aussi sexy, mais elle, est juste classe et terriblement sexy. La voir donne envie de la baiser instantanément.
Je lui prends la main et nous nous dirigeons vers l’entrée.
Le serveur nous installe. Menu. Je commande direct une bouteille de champagne, ça fait partie du programme et Juliette y est tellement sensible. Lorsque en contemplant les gravures accrochées au mur elle s’exclame :

• Mais c’est une boite de cul ton truc ? me dit-elle
• ...

De surprise j’ai failli verser le champagne à coté, tandis que je remplissais les coupes de champagne… De deux choses l’un soit je joue l’andouille, soit j’assume … Allez c’est le moment d’être franco.

• Oui !
• …
• On trinque Darling ? Je lui tends sa coupe en souriant :) Tout en la prenant et en me retournant mon sourire, elle me demande :
• C’est quoi le plan Lino ? Tu veux te faire un délire avec deux nanas ?

Là encore, il va falloir choisir les détours et le chemin direct. J’opte encore pour la seconde option. En même temps sa suggestion est tentante, j’ai presque envie de saisir la balle au bond, mais je reste sur mon idée initiale.

• Te baiser ma chérie. Te baiser et te remplir comme tu aimes. Et pour bien te remplir, je pense que nous allons sans difficulté trouver un homme ce soir qui viendra t’offrir sa bite en même temps que la mienne. Pour te prendre ensemble, collés tous les deux contre toi, nos deux sexes durs et enfoncés en toi, dardant ta chatte, remplissant tes fesses. Je veux te baiser mon amour, et ce soir et pour te baiser comme je le souhaite, je serai plusieurs, pour être partout et te combler par tous les moyens. Je veux plonger mon regard dans le tien lorsque tu exploseras dans un orgasme total, comblé, pénétrée, malaxée, prise, remplie de giclées de sperme chaud par deux mecs complètements fous de ton corps…
• …

Son regard est intense. Elle apprécie le cadeau. Ses doigts serrent les miens. Je vois que mes mots ont portés et je la devine excitée par cette perspective qui s’ouvre soudainement à elle, avec moi, ensemble, sans devoir craindre la jalousie de son homme, ce soir, je lui offre la liberté de réaliser ce fantasme et réparer cet hésitation du passé...
Les plats arrivent et la discussion reprends badine, sur un peut tout et rien.
Nous buvons bien, légèrement plus que de coutume, et lorsque je recommandais une seconde bouteille de champagne en plein milieu du plat, son sourire coquin très clair m’indique qu’elle est intellectuellement en chemin et que l’idée du coupette arrive à point nommé pour l’aider à faire tomber ses dernières hésitations.

D’ailleurs, tout en discutant je la voyais jeter des coups d’œil dans l’assistance des autres clients. Elle mate la coquine ! elle matte les mecs dans l’assistance. Car en fait, après le restaurant, les clients passent du coté piste de danse, coins câlins et sauna / jacuzzi. Son regard examine tous les mâles de l’assistance. je n’ose pas encore lui demander si elle trouve quelqu’un à son gout mais je préfère lancer la conversation sur des sujets plus de circonstance.

Nous parlons de sexe, de nos expériences passées, le dessert arrive, la seconde bouteille de champagne se vide, et je vois que ma chérie est passée en mode « pompette ». Nous reparlons de cette expérience qu’elle a failli faire.
Je lui raconte de mon coté, comment une fois, j’ai découvert l’amour avec deux femmes… Elle me raconte comment elle a failli dire oui et puis finalement s’est ravisée. J’observe qu’elle croise et décroise les jambes de plus en plus souvent.
Dans l’espace contigu au restaurant la musique a déjà démarré, assourdie par le dédale des couloirs reliant le restaurant avec l’espace club. C’est le moment de proposer à ma petite chérie un moment de détente :
• Et que dirais tu d’un petit jacuzzi ? Après ton dernier voyage en Allemagne c’est juste de la rigolade :) Elle fronce le nez :
• D’abord c’était un spa naturiste, et pas un club libertin ! Et puis j’aurais aimé t’y voir me répond t’elle d’une oeil torve. mais ok excellente idée va pour un jacuzzi après le dessert.
• Allez go !

Nous nous dirigeons vers les vestiaires, et prenons rapidement le chemin indiqué pour rejoindre le jacuzzi.
Ce dernier de grande taille est déjà passablement rempli. Deux couples y sont installés, et il reste juste la place pour un troisième. Nous nous jetons un rapide coup d’oeil, accord tacite, et nous rejoignons l’espace disponible dans le jacuzzi.
A ma gauche une jeune femme très jolie, charmante brune, pulpeuse, à ma droite Juliette qui se trouve elle même juste à coté d’un grand black très grand, très musclé, très beau.
Le jacuzzi a beau être grand difficile de trouver de la place pour les pieds sans frôler l’un ou l’autre de ses voisins. Juliette et moi nous regardons nous sourions, et naturellement ma main droite s’égare sur sa cuisse gauche.
je suis un peu troublé par la jolie jeune femme à ma gauche. je n’ose pas trop la regarder d’autant que mon attention est essentiellement tournée sur ma partenaire, mais je ne peux m’empêcher de me demander quelle serait sa réaction si je posais ma main sur sa cuisse aussi naturellement que je viens de la faire avec ma femme lorsque je sentis une main se refermer délicatement sur mon sexe qui bandait déjà à moitié, et commencer à le branler lentement. Mais il me fallu bien une petite seconde avant de comprendre que ce n’était pas celle de Juliette !
Sous la caresse, mon érection grossi, et c’est d’un air presque paniqué que je me tourne vers ma chérie pour lui chuchoter à l’oreille ce qui se passe. Mais elle a tout vu, elle me regarde en souriant, d’un air curieux et insistant et soudain je sentis sa main rejoindre la première.
Elle continuait de me regarder en se marrant franchement.
• Alors, on fais moins le malin maintenant ? :)
Pas le moindre signe de jalousie. La situation semble l’amuser et mon embarras en particulier. Alors sa bouche gourmande s’approcha de la mienne en un baiser langoureux et lascif à souhait.
La sensation de douceur chaude au niveau de mon gland me fit savoir que ma voisine avait également porté ses lèvres sur ma queue.
Sensation exquise, je prends garde de peur de m’abandonner à cette volupté rare, consistant à rouler une pelle de la mort à son amoureuse tout en se faisant sucer divinement par une totale étrangère, jolie de surcroit :) Ma chérie détourne la tête pour regarder un instant faire ma charmante voisine avant de doucement se couler vers mon sexe pour la rejoindre.
je sors un peu de l’eau pour que ma queue soit bien découverte tandis que je les sens toutes deux faire courir leur langue sur ma hampe et l’autre sur mon gland. L’une descend me lécher les couilles avant de jouer avec et de les gober une puis l’autre, tandis que l’autre bouche descend sur mon sexe pour l’avaler entièrement. je sens ses lèvres contre mon ventre et ma queue serrée dans sa gorge.
Soudain je réalise que ma Juliette s’anime du bassin et qu’il se pourrait bien que son voisin de droite n’y soit pas pour rien !
Il faut dire qu’en se retournant pour m’embrasser puis me sucer elle offre à la vue de son voisin, le beau black ses merveilleuses fesses rebondies à la peau si douce et si blanche. De ce fait, le bougre en profite pour lui caresser les fesses et de plus en plus insistant, fouiller son intimité. Juliette semble bien réceptive aux caresses de ce Goliath car je sens de légers mouvements de son corps m’indiquant qu’elle s’était mis à onduler du bassin.
Autour de ma bite je sens les bouches de mes deux suceuses qui se mélangent au détour de ma queue. Elles s’embrassent même goulument on dirait.
Le black derrière Juliette la branle maintenant franchement. Ses gros doigts vont et bien dans sa chatte sans s’arrêter et je m’aperçoit que Juliette est profondément excitée par ce instant de transgression. Elle à d’ailleurs écarté ses jambes, et replié l’une d’elle pour faciliter ses manœuvres.
Elle me regarde, je lui prends la main, lui serre les doigts, elle referme les yeux et s’abandonne à cette caresse qui devient presque brutale. le black en ayant profité pour lui rajouter un quatrième doigt dans la chatte.
Je glisse doucement ma main droite vers ses fesses, direction son petit cul tout contracté, elle ouvre alors les yeux me regarde, et très doucement je la sens qui sen détend pour faciliter mon introduction. elle referme les yeux en guise d’assentiment. Je la branle aussi doucement, en même temps que le black. Juliette gémit !

Quelques minutes plus tard, le black et sa nana sortent du jacuzzi, nous invitant du regard à les suivre. Nous déclinons tous les deux sans nous concerter.
nous nous regardons en souriant, tout émoustillés, tout excités, de ce qui vient de se passer.
L’autre couple qui est resté avec nous dans le sauna change de position et la brune vient se placer à coté de Juliette, et sans aucune hésitation ni aucune gène se met à la caresser. Sur les épaules et les seins.
Son mec, un grand blond, plutôt baraqué et bronzé, se colle à elle et la caresse tandis qu’elle caresse ma femme. Il me jet un oeil et me fait signe de nous diriger tous les quatre vers les pièces attenantes. D’une main complice j’attire l’attention de Juliette et lui murmure à l’oreille :
• Chérie, tu es prête, j’ai très envie de te baiser avec ce type et cette nana.. tous les 4, ça offre pas mal de possibilités non ?
• Tu es sur ? Tu es sur qu’on ne va pas le regretter ? …
• tu as vue comme tu étais excité pendant que ce mec te branlait et que tu galochais cette fille sur ma bite ? Elle souri à cette évocation :
• Humm .. c’était excitant, c’était bon …de sentir ta queue dans ma bouche, cette fille qui te suçait en même temps que moi et qui m’a embrassée, hum ca m’excitait … et ces doigts qui allaient et venaient dans ma chatte …et ta main qui est venu prendre mon petit trou, tu sais que je ne veux pas en ce moment, mais tu l’as fait quand même et c’était bon...
• Viens chérie, suivons les ….

Un coup d’œil au mec, qui depuis tout à l’heure n’en fini pas de reluquer ma Juliette, pour lui faire signe qu’on est ok et les voilà qui se lèvent aussitôt , ajustent leur serviettes après s’être rapidement retournés pour s’assurer que nous les suivons et nous décrocher un sourire complice.

Nous sortons à notre tour. Je suis un peu gêné du fait de mon érection, mais après tout, c’est naturel et ici pas vraiment choquant. Je constate au passage que le type est particulièrement « gros ». Son sexe est immense au repos et offre des dimensions déjà imposantes. Je vois que cela n’a pas échappé non plus à ma Juliette.

Nous les suivons donc jusqu’a les rejoindre dans ce que nous croyons être un pièce mais qui s’avère très vite être en fait un labyrinthe de cloison. Ici l’obscurité règne en maître. Juliette me serre la main, je lui serre en retour pour la rassurer. Nous avons apparemment perdu les autres.

Sur notre gauche, une petite alcôve s’offre à nous, une croix de saint-André est placée face à l'entrée et les murs laissent apparaitre des trous à différentes hauteurs. pas difficile d’imaginer ce qui peut en surgir. Au milieu un matelas à la propreté douteuse aucun moyen de fermer la porte. Juliette me tire par la main un peu plus loin.
Nous continuons notre chemin pratiquement à l’aveugle, toujours aucune trace de nos « amis ». Soudain un « psst » résonna faiblement à mes oreilles sur la droite. je tendis l’oreille et l’entendis à nouveau.
« Psst ». nous dirigeons nos pas vers le bruit.
Dans l’obscurité, un carré encore plus sombre se détache en face de nous. une main blanche surgit, et nous fait signe de pénétrer dans la petite alcôve. J’y grimpe, un léger bisou sur la bouche m’accueilli, je reconnus ma suceuse du jacuzzi, qui me gratifia au passage de son prénom
• Chloé, salut.
• Salut, moi c’est Lino.
• Et moi Thomas, prononça l’homme en me tendant la main.
• Et voici Juliette donc complétai-je en me retournant pour présenter ma femme qui pénétrait à son tour les lieux.
• Salut lança t’elle à la cantonade en souriant. Quel sourire …

Il y faisait noir comme dans un four mais les yeux s’habituaient au peu de lumière disponible et nous nous distinguions en silhouettes sombres sur noir.

Chloé à genoux sur le matelas, s’approcha de Juliette et resta debout ainsi face à elle en la regardant droit dans les yeux. Juliette n’osait bouger ou prendre l’initiative. Lentement, Chloé approcha sa bouche de la sienne et déposa un doux baiser sur les lèvres de ma Juliette qui timidement d’abord puis plus fougueusement ensuite le lui rendit. Thomas, vient se placer derrière Chloé et lui caressa les seins, la chatte, ses bras, ses cuisses, ses fesses …. Je fis de même avec Juliette laissant courir mes mains sur toutes les zones accessibles de son corps.
L’excitation montait en flèche. je sentais le corps chaud et doux de ma femme, parcourus de temps à autre de frissons, collée au corps chaud et doux de Chloé, leurs langues emmêlées, leurs lèvres ouvertes, leurs chattes se mouillant doucement de cyprine sous l’excitation de ce baiser de plus en plus enfiévré, partagé de surcroit avec les caresses de leurs hommes, la sensation de leurs mains qui pétrissent leur corps…
C’était chaud, sexuel, inhabituel et terriblement excitant. Et cette excitation était continue.

Ma main glisse alors vers la chatte de Juliette, j’y rencontre la main de Thomas plongée qui après avoir bien branlé sa femme commençait à branler la mienne. Nous restons quelques instants ainsi, nos deux mains sur la chatte de Juliette, de plus en plus excitée.
Leur baiser s’enflamme, Chloé descend sur les seins de ma femme, elles tombent toutes deux horizontalement et soudain Chloé se retourne, posant sa chatte écartée à la bouche de ma Juliette et plongeant sa langue dans l’intimité de mon amoureuse après lui avoir vigoureusement écarté les jambes.

Je vis ma Juliette hésiter un instant à peine, avant de tendre le cou vers la chatte de Chloé, y plonger la langue, puis les lèvres, puis l’invitant à descendre un peu plus son bassin, histoire d’être confortablement installée, se mit à lui bouffer la chatte comme j’aime lui bouffer la chatte justement. Elle gémissait en même temps sous les assauts de Chloé qui semblait elle-même experte de cette manœuvre. Cette dernière mouillait comme une folle et frottait littéralement son entrejambe sur le beau visage de ma femme. Ma Juliette eut bientôt le visage plein de mouille. A ma grande surprise, je la vis pointer sa langue vers le cul de Chloé et s’y attarder. A cette manœuvre, les fesses de cette dernière plongèrent vers ma Juliette qui joua avec sa langue sur l’anus coopératif de Chloé. C’était la première fois que je voyais deux femmes se donner du plaisir d’aussi près.

Dans le feu de leur étreinte, leurs deux corps basculèrent sur le coté. Juliette avait maintenant sa tête qui reposait sur la cuisse de Chloé, qui les jambes ouvertes offrait sa chatte aux coups de langues déterminés de ma compagne, tandis qu’elle fourrageait l’entrejambe de ma Juliette et à ce qu’il me semble, commence elle aussi à s’intéresser à son petit cul.

Devant ce spectacle je réalisais que je bandais comme un taureau. Thomas en face de moi bandait tout autant offrant à notre vue une bite d’un calibre impressionnant.
Ce fut le moment que choisi Thomas pour rentrer dans la danse.
Je le vis s’approcher des fesses de sa compagne, puis il continua son chemin et se dirigea vers ma Juliette, qui toute abandonnée à ces caresses buccales ne vit rien venir. Il s’approcha d’elle a genoux, se rapprocha de sa tête, et plaçant sa queue juste à coté de la bouche de ma Juliette, pour qu’elle la suce.

Mon cœur battait la chamade, partagé entre le refus de voir ce sexe gigantesque se glisser dans la bouche de ma femme et l’excitation qui montait en flèche en voyant dans quelle cette expérience la plongeait. Ma Juliette était pour ainsi dire en transe.
La bite de Thomas vint appuyer sur sa joue. Elle ouvrit les yeux à ce contact, dont elle devina la nature et le propriétaire et d’un regard que je ne lui connaissait pas, tourna à peine la tête, ce qu’il faut pour avaler le membre et faire disparaitre le gland dans sa bouche.
Pendant ce temps, Chloé continuait ses ondulations du bassin, et continuait de bouffer littéralement la chatte de ma Juliette.
Thomas, enfonçait sa queue impressionnante dans la gorge de ma femme, à une profondeur dont je la croyais littéralement incapable jusqu’à présent. A mon tour je m’approchais d’elle et lui proposais à mon tour mon sexe gonflé comme jamais. Alors, scène incroyable, je la vis nous saisir tous les deux d’une main, puis plonger et mettre nos deux queues dans sa bouche, puis nous sucer profondément a tour de rôle. Chloé s’était un peu décalée, et je décidais de prendre le relai de ma femme. Je me penchais vers sa chatte pour y poser mes lèvres. son gout était différent. un gout de femelle excitée, mais pas l’odeur de la mienne. Sa chatte ultra mouillée, sentait bon j’y enfonçais ma langue, découvrant l’intimité de cette petite garçe qui continuait à bouffer le clito de ma femme d’une manière qui décidément semblait beaucoup lui plaire. Il bascula son bassin pour me présenter son cul, et je continais de lui bouffer son petit cul délicieux. C’est avec ma femme que j’avais découvert cette pratique, qui je le reconnais est follement excitante.
La situation devenait surréaliste ! Je bouffai le cul de Chloé qui bouffait la chatte de Juliette qui elle-même suçait la grosse bite de Thomas.
Nos quatre corps remuaient et des gémissements se faisaient entendre de plus en plus forts. La chaleur était de plus en plus forte, dégagée par 4 corps excités, le corps de Juliette était ruisselant de sueur, son visage ruisselant de mouille et sa bouche grande ouverte accueillait deux queues respectables qui plongeait tour à tour dedans.
Il régnait une odeur complexe de sexe féminin mouillé, de bite, de sueur et ce mélange des phéromones qui nous maintenais dans une excitation rare.
Après quelques minutes de ce rythme je sentis monter le plaisir et je changeais alors de position.

Je vins m’allongeais près de ma Juliette tandis qu’elle suçait Thomas à fond. J’invitais Thomas à se placer comme moi de l’autre coté, pour nous retrouver allongés tous les trois, collés, Juliette au milieu. Thomas s’exécute et commence à lui caresser les seins et les jambes. J’embrasse ma femme à langue que veux-tu, puis doucement, j’invitais ma Juliette à pivoter, à faire demi-tour, pour se retrouver face à face au bel étalon qui se mit à lui manger la langue avec volupté et me retrouver moi contre son dos.
Je voyais ses mains enlacer ma belle et je la voyais frémir sous ces caresses prodiguées par des mains étrangères. Une de ses mains se dirigea vers sa chatte trempée. il y glissa un puis deux, puis trois doigts et se mit à la branler de plus en plus fort. Chloé, délaissée par ce nouveau traitement se dirigea vers moi et me galoche à grands coups de langue.
Mon sexe bandé est collé contre les fesses de ma femme je la sens qui se trémousse de plus en plus sous le doigté acharné de Thomas. La jambe de ma Juliette s’éleva un peu pour laisser Thomas passer, qui saisi alors sa queue et d’un geste vif, la glisse au fond de sa chatte. Juliette gémit lors de cette pénétration. J’en bande à m’en faire exploser la queue en la voyant décoller. je glisse alors mes doigts dans sa chatte, y retrouvant sa bite en train de démonter ma nana. Je trempais bien mes doigts avec la mouille de Juliette qui mouillait maintenant comme une folle, puis revint étaler sa mouille à l’entrée de son petit cul et sur ma queue.
Je me positionnais alors juste à l’entrée de ses fesses, comme tout à l’heure en nous préparant à la salle de bain.
Mais cette fois, je poussai, je forçai très doucement son anus qui s’ouvrit tout en douceur pour venir me répondre au fond de son cul. Ma femme se retourna pour me rouler à son tour une énorme pelle, et me soufflera voix basse : "Ho oui, met la moi, sodomise moi ! Remplis mes fesses".
Nous y étions. Ma Juliette était prise entre deux corps, deux hommes, deux grosses bites en train de la démonter par tous ses trous.
Alors mes doigts saisirent bien ses fesses et les écartèrent un peu pour faciliter encore mon passage.
Je la senti frémir lorsque mon gland força la première entrée de ses fesses. Mais elle n’eut pas l’occasion de manifester quoi que ce soit car les coups de queue de Thomas qui lui fourrageait son bas ventre ne lui laissait pas de cesse et provoquait en elle un plaisir grandissant dans lequel la petite douleur de provoqué par son cul dilaté par ma queue se transforma en une sensation de plaisir supplémentaire.
elle se détendit, se relâcha et me murmura un « ho oui viens … » qui s'acheva dans un râle. Je continuais de m’enfoncer tout doucement en elle.
Sa respiration s'accélère ...
Au bout de quelques secondes, je la sentis remuer encore plus de la croupe, et ma queue s’enfonça tout seule au fond de son cul rejoignant celle de Thomas.

Je devinais en effet celui-ci à travers la fine épaisseur de peau séparant son vagin de son cul. Je me mis à aller et venir à mon tour, rapidement nos mouvements se synchronisent, la bite de Thomas et la mienne se relayaient au fond de ma chérie pour la remplir alternativement d’un de nos deux sexes. Ses mouvements à elle se calent aussi sur les nôtres, et pendant plusieurs minutes nous sommes à l’unisson tous les trois. Juliette râle, sa voix est grave et c’est presque dans un feulement qu’elle laissa échapper :
"Ho oui ! Prenez moi, prenez moi bien, remplissez moi tous les deux de votre jus … » A peine si je reconnais sa voix. Ma Juliette est littéralement en transe…

Puis je me retire car j’ai envie de lui enfoncer ma queue au fond de la gorge comme jamais. Thomas la sais et la fait rouler sur lui, se mettant sur le dos.
Ma femelle est maintenant à quatre pattes, au dessus de Thomas allongé sur le dos, et dans cette position d’abandon, elle a toujours sa queue en elle, penchée vers, elle l’embrasse tandis que ses seins frottent sur son torse au rythme des coups de boutoirs qu’il lui assène. Car il lui démonte carrément la chatte maintenant. A grands coups de queue profonds, exactement comme elle aime…

Juliette gémit désormais un râle ininterrompu ponctué par les coups de reins .. hum…hum…hum…hum...

Je fais le tour, et me dirigeait vers ma femme à genoux, puis la saisissant par sa crinière de lionne je lui relève la tête, ses yeux sont à moitié plissés, et je lui colle ma queue dans la gorge. Elle me suce goulument, mais je ne me résout pas à la lâcher et décidai de lui enfonce ma bite plus profondément à chaque fois. je l’entends qui manque de s’étouffer, lutte, tente de résister, de refuser ce sexe, qui pousse dans sa gorge pour se frayer un chemin, menace d’étouffer, et puis soudain elle cède, et alors ma queue glisse toute entière dans sa bouche. Elle me regarde de ses grands yeux surprise de ne plus avoir d’air. Alors je me retire pour la laisser reprendre son souffle et je lui enfonce a nouveau. A nouveau nos mouvements se synchronisent avec Thomas pour le plus grand plaisir de Juliette. A chaque coup de bite qu’elle se prend par derrière, elle est projetée sur ma queue et avale ma bite à fond. Après quelques mouvements supplémentaires je me retire de sa bouche et reviens me placer derrière elle.
La vue est incroyablement excitante.
Déjà que je la trouve belle ma femme, mais dans cette position de femelle prise, à 4 pattes, les jambes écartées, la croupe relevée, j’admire au passage sa chatte béante, trempée, ruisselante de mouille, dans laquelle une bite luisante de cyprine va et viens au fond de son ventre. Je ne peux m’empêcher d’apprécier la beauté et l’excitation de la scène. Elle est femelle. Elle est ouverte. Elle est offerte, demandant à être remplie. C’est une déesse du sexe... J’aime la baiser…

Son petit cul encore un peu ouvert de la pénétration précédente luit d’un peu de mouille. Cette vision est tellement excitante. J’approche à nouveau ma queue hypnotisé par sa croupe, Je m’approche, mais finalement, je décide de changer d’objectif au dernier moment. Je veux lui remplir la chatte comme jamais plus (le croyais-je alors) elle n’en aurait l’occasion. Ma queue glisse doucement contre celle de Thomas, puis se fit un passage pour la rejoindre dans la chatte de Juliette.
Juliette à deux bites dans sa chatte ! Un feu nouveau lui déchirer les entrailles. Deux bites qui se relaient pour s’enfoncer en elle, deux bites qui la pilonnent. Elle se mord un poing et frappe le matelas de l’autre pour ne pas hurler. Thomas et moi jouons de nos aller-retour chaque de nos mouvements amplifiant encore un peu plus les réactions de Juliette qui finit par exposer dans un orgasme fabuleux. Son corps est parcours de spasmes incontrôlables. Sa chatte inonde d’une mouille crémeuse que je lui connais lorsqu’elle est particulièrement excitée. Je me retire et c’est le moment que je choisi pour lui enfoncer ma bite bien lubrifiée par sa mouille entre ses petites fesses adorables. Je m’y enfonce d’un seul coup. Juliette gémit et se cambre sous ma grosse queue qui la rempli soudainement ce qui semble amplifier encore son orgasme.
Thomas qui a retrouvé toute la place disponible la baise à fond de chatte et moi, je l’encule à fond.
Ma Juliette se met à gémir de plus en fort, elle crie maintenant et râle de plus en plus fort à chaque coup de bite.
• On va te remplir maintenant ma petite Ju, on va te remplir de notre foutre. Tu es ma petite femelle, mais ce soir tu vas vider mes couilles et aussi celles de mon copain Thomas. Tout en lui disant cela je sentais ma bite grossir et l’orgasme monter. De même je sentais de l'autre coté le sexe de Thomas de plus en plus gros. Il allait gicler lui aussi.

A ces mots, je sentis ma Juliette se contracter à nouveau, ces paroles lui déclenchaient plusieurs nouveaux orgasmes en cascade et dans un dernier râle je lui balance la purée au fond de son petit cul tout dilaté. Je sortis mon sexe entièrement et le réintroduit encore pour avoir le plaisir de voir mon sperme couler de mon sexe pour bien lui remplir les fesses. Et je la pénétrai à nouveau ainsi entièrement à plusieurs reprises.

Son corps n’était plus que tremblements, ruisselante de sueur. Exhalant mille parfums de stupre et de sexe, ses membres encore tremblants sous l’intensité du plaisir qui semblait l’avoir dominé.

Thomas à son tour libéra de longues giclées de foutre tout au fond de sa chatte et ma Ju jouis encore, et encore, en se sentant autant remplie par deux mâles assouvissant leur plaisir dans son corps.
Nous restâmes emboités ainsi plusieurs minutes. De temps en temps Thomas ou moi, donnions un léger mouvement de bassin et Juliette redressée, assise sur nos queues, remplie entièrement, ne pouvait à chaque fois s’empêcher de gémir encore et en écho à nos mouvements reprendre légèrement les siens. Puis elle se pencha vers Thomas, lui roula une pelle pour le remercier, puis en souriant se redressa, se retourna vers moi toujours emmanchée sur le sexe énorme de Thomas et le cul dilaté par le mien et me galocha d’une façon telle que je me ressenti bander immédiatement dans son petit cul. Elle recula sa tête, m’adressa un sourire mutin, un clin d’oeil et me chuchota : « merci ».
Je lui souris et pour toute réponse caressai langoureusement son clito tout gonflé !
Nous sorties de l’alcôve qui avait accueilli nos ébats en nous retournant vers Thomas et Chloé pour constater que cette dernière suçait Thomas dans le but manifeste de le faire rebander au plus vite. Ce dernier nous adressa un petit signe de la main, et nous quittâmes cet espace, en direction des douches que nous avions aperçues tout à l’heure.
• Une petite douche ?
• Et comment.. tu sais qu’il n’est pas tard et que la piste de danse est encore ouverte ? on se douche, et direction coupette et piste de danse ?
• Ses yeux de petite fille se mirent à briller
• Ouiiiiiii ! Danser ! Champagne !
• Je souris, quelle expérience …
C’est vrai qu’il n’est pas tard. A peine 11h00 et la baby-sitter nous à donné permission jusqu’au bout de la nuit ….

Se pourrait-il que la soirée ne soit pas encore finie ?