Titre de l'histoire érotique : Initiation coloré
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2015 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Initiation coloré
Nous sommes, ma femme et moi, un couple qui Jusqu'ici, n'avons pas eu de temps pour s'occuper de nous. Maintenant, l'approche de la quarantaine nous fait voir les choses sous un angle différent, il y a toujours le boulot, mais il y a aussi tout le reste. Les enfants sont grands, il nous reste le sexe.
Question sexe, depuis toujours ma femme m'a posé des problèmes. Jusqu'ici je n'avais rien dit, mais depuis quelques mois cette situation m'est devenue tout à fait intolérable.
Un matin d'hiver, le destin est venu à mon aide sous forme d'une belle plaque de verglas dans un virage. Fracture du crâne, une semaine de coma un mois d’hôpital, que demandez de plus ?
C'était l'occasion ou jamais, j'étais une victime, mon équilibre psychologique avait dû souffrir de l'accident. Mon caractère en était sûrement altéré. Bref ma femme ne devait plus me contrarier en rien, et il était évident que nous devions récupérer le temps perdu.
Je lui ai clairement exposé la chose, je voulais la voir en épouse soumise, je voulais la voir baisée par quelqu'un d'autre, par plusieurs, des noires, des arabes, des chinois. J’ai vraiment mis le paquet.
Comme je m'y attendais, ma femme a marqué un certain temps avant de fondre en larmes complètement sidérée par cette proposition inattendue. Il était temps de passer à la seconde phase, arborer une mine de chien battu, en errant sans but dans la maison. Aucune femme ne peut résister longtemps à un pareil traitement.
15 jours se passent, ma femme aborde le sujet. Je n’aurais pas cru qu'elle puisse tenir si longtemps. Elle me dit :
- Ecoute chéri, je veux plus que tu restes comme ça, je veux te revoir comme avant. Je vais faire un effort, je ferai mon possible.
J'en attendais pas tant. Maintenant, faut surtout pas tout faire capoter, il faut y aller en douceur.
- Depuis mon accident, tu es très gentille de t'occuper de moi comme tu le fais ! Je ne tiendrais pas le coup sinon tu sais. Tu ne peux pas savoir par où je suis passé. C'est terrible tu sais.
- Oui, mon chéri. Je sais, ça peut arriver. J'en ai parlé aux médecins, ils m'ont tous dit que ça pouvait arriver.
Hé ! Je ne remercierai jamais assez la médecine son aide qu'elle m'a apporté sans le savoir.
- Bon, t'es gentille, tu vas voir, on va faire tout ça progressivement. Je voudrais que nous soyons un couple comme les autres.
Le lendemain, j'accueille mon épouse d'un air enjoué :
- Regarde chérie, regarde, sur Internet j'ai fait passer une super annonce : « Homme 40 ans, recherche mec bien membré capable d'initier mon épouse à toutes les perversions possibles ».
- Ah chéri ! Oui ! Si tu crois que c'est bien pour toi, alors c'est aussi bien pour moi.
Hé, les choses se passent plus facilement que prévu. Je sais qu'avec une annonce pareille, on est certain d'avoir des réponses.
Le lendemain ma boite Mail croule sous les réponses. Il n'y avait l'embarras du choix des blancs, des noirs, des arabes, des jeunes, des vieux, des petites, des grosses, des longues, des dures, il y en avait vraiment pour tous les goûts.
Une des lettres, plus perverse que les autres, retient mon attention. C'était un certain Abdel qui écrivait, une lettre parfaite, presque sans faute, un français parfait, une éducation certaine, à mon gout le candidat idéal. Nous décidons de nous rencontrer dans un café du centre-ville pour faire plus ample connaissance et fixer les limites.
Installé dans le fond du café, je l'ai tout de suite reconnu. Pourtant, je ne l'avais jamais vu, il correspondait trait pour trait à ce que je m'attendais, un beur, la trentaine, bon chic-bon genre.
Ma femme, allait être servie. Le programme qu'il avait réservé à mon épouse m'a laissé rêveur. Il était comment dire ? Mieux que prévu. Quelques jours plus tard, Abdel me téléphone pour me faire part des derniers détails, le rendez-vous est prévu pour ce samedi.
Tout guilleret, j'annonce à ma femme que je lui ai trouvé son premier partenaire, un mec super, comme il faut et qui nous attend pour faire connaissance au "Cadran bistro de la gare, un bar bien connu du centre-ville pour son ambiance intime et chaleureuse.
- Oui ! Si tu veux, chéri, et pour toi chéri, j'irai.
Ah, la charmante épouse toute dévouée à son mari malade !
- Il le faut chérie, il le faut.
Pour cette première entrevue, il a suivi à la lettre mes conseils, il est bien nippé, il fait vraiment classe, sans paraître coincé ou pédant. Il nous accueille à sa table, comme si nous étions des amis de longue date. A mon grand étonnement, la conversation s'engage sur tout et sur rien, et il n'est jamais question de sexe entre nous, même par allusion.
Il sait comment faire pour ne pas effrayer les oies blanches. Au deuxième cocktail, l'atmosphère se détend, je sens que ma femme n'est plus sur la défensive, et Abdel le sent aussi. Un chasseur sent toujours le gibier venir. Brutalement, mais de façon on ne peut plus naturelle, il aborde le sujet, en termes toutes fois très vagues :
- Alors ! Comment envisagez-vous cette après-midi ?
Sans nous laissez le temps de répondre, il s'adresse à moi, en me disant :
- Et vous, à propos, vous serez des nôtres ?
- Oui, oui, répond ma femme malgré tout encore un peu anxieuse de se retrouver pour la première fois seule dans les bras d'un autre homme que son mari.
- Aucun problème ! Je comprends les réticences de votre épouse.
Puis s'adressant à moi il dit :
- C’est très bien, comme ça, vous vous rendrez compte que votre femme n'est pas tombée en de mauvaises mains.
Il est bien aussi vicieux que je l'avais imaginé. Chic, distingué, intelligent, mais profondément vicieux.
Ma femme quant à elle, est sous le charme du bonhomme, elle s'attendait sans doute à ce que je lui présente un homme des cavernes, et c'est loin d'être le cas. Je suis moi-même un peu inquiet de la tournure des évènements, est-ce que je n'aurais pas introduit le loup dans la bergerie ? Mais, il est un peu tard pour se poser ce genre de question.
- Allez ! Venez. Je vous emmène. dit Abdel.
S'adressant à moi, il me dit comme pour se justifier :
- Vous verrez, j'ai une collection d'armes blanches qui vous intéresseront sûrement.
Merde alors. Si je m'attendais à çà. Il faudra se méfier de ce mec. Il nous entraine rapidement dans le parking souterrain tout proche, et nous fait monter dans sa grosse voiture.
Nous partons direction le quartier des affaires. Abdel nous conduit à son bureau. Nous sommes un samedi après-midi, l'immeuble est absolument vide. Il doit utiliser son passe magnétique pour ouvrir la grille et le portique auto. Le parking souterrain est absolument désert. Abdel se parque bien sagement à sa place réservée.
L'ascenseur ne tarde pas à venir. Nous y montons sans un mot. La porte se ferme. Abdel appuie sans hésiter sur le dernier étage. Je regarde stupidement la porte, quand soudain je remarque du coin de l'œil qu’il a déjà pris ma femme dans ses bras, et lui roule une pelle à lui décrocher les amygdales.
Ma femme n'est pas insensible à cette marque d'affection, elle insère une jambe d'Abdel entre ses cuisses, appuyant son pubis tout contre son sexe qui ne s'y attendait visiblement pas, mais qui semble vivement apprécier.
Il lui glisse maintenant sa main droite sous sa jupe, et revient tout naturellement, et à ma plus grande stupéfaction avec le slip de ma femme enroulé autour de son poignet.
Il n'en reste bien évidement pas là, il replonge aussitôt sa main entre les cuisses de ma fidèle épouse, visiblement à la fête. En quelques mouvements rapides et bien ciblés, il a tôt fait de l'amener à l'orgasme. Les râles de bonheur de mon épouse ne me laissent aucun doute.
Tout en tenant sa taille, il nous ouvre la porte de son bureau. La pièce est spacieuse, et le mobilier de classe, un énorme bureau fait face à une table de réunion. Ce mec doit être important pour avoir un bureau de cette taille.
Derrière le bureau, sur le mur faisant face au visiteur, la cartouche introductive du Coran. Par Dieu tout puissant et miséricordieux. Cette cartouche est vraiment splendide et impressionnante, que l'on soit ou non croyant, le travail est remarquable. Elle a très certainement été découpée au laser dans une épaisse feuille de métal.
Une imposante collection d'armes blanches islamiques et autres orne les murs le sabre courbe Ottoman traditionnel à un seul tranchant, très impressionnant. Au moins pour les armes il n'a pas menti. J'espère aussi qu'en fin de parcours je pourrais récupérer ma femme.
Je ne m'attendais pas à ce que les choses prennent cette tournure. Ma femme avait approuvé l'idée du bout des lèvres, et ici dans l'ascenseur elle s'est vraiment comportée comme la dernière des traînées. Faut dire ce qui est, je la croyais moins docile.
Tout à mon inspection des lieux, je ne me suis pas rendu compte que Abdel avait basculée ma femme sur la table de réunion. Sa robe remontée jusqu'à sa taille, dévoilant ses bas à couture. Il lui a fait mettre ses jambes sur ses épaules, lui ouvrant ainsi tout droit la voie royale de sa chatte luisante.
Il est lui, toujours entièrement habillé. Il s'est contenté d'ouvrir sa braguette et il la besogne le plus naturellement du monde sur cette couche insolite, qui de toutes évidences ne devait pas en être à son premier exploits.
En gamin espiègle, il s'amuse à lui taquiner la vulve à frotter son gland sur son clitoris, à entrer, à sortir, à s'attarder sur ses lèvres. Ma femme visiblement apprécie ce traitement, et elle ne manque d'ailleurs pas de le faire bruyamment remarquer par des râles puissants.
Pour m'emmerder, je suis sûr qu'elle en remet même une couche, mais il est évident que dans l’ensemble, ça lui plait. Abdel prend à juste titre, les râles de ma femme pour un compliment. Il décide que le moment est venu de passer aux choses sérieuses, et il se met à pistonner ma femme lentement, et profondément. Je ne tarde pas à comprendre que ce traitement-là lui convient à merveille.
Je vois les jambes de ma femme se serrer de plus en plus fort autour du cou de l'homme qui la besogne divinement bien. Elle semble vouloir l'emprisonner dans son sexe, et retenir l'orgasme qui petit à petit la gagne. Ce mec commence sérieusement à me faire chier et cette truie qui n'arrête pas de gueuler à rameuter tout le quartier. Elle pourrait le lâcher au moins, bordel, je suis là, il est évident que ce type ne va pas se faire la malle avant qu'il en ait fini.
Un râle plus puissant que les autres me ramènent à la triste réalité, je suis cocu, et bien cocu. Ma femme vient de se payer un orgasme comme je lui en ait rarement vu prendre, et Abdel n'en a visiblement pas fini avec elle. Je commence mieux à le comprendre ce type. C'est un sournois.
Il reste là, avec sa queue à l'entrée du con de ma femme, qui dégouline de foutre. Il s'amuse à y faire rentrer et sortir son gland, rien que son gland. Ce va et vient lancinant prolonge l'orgasme de ma femme qui mouille abondamment. Cela en devient même écœurant je trouve.
Tout d'un coup, je vois à la courbure du dos de ma femme que quelque chose de tout à fait inattendu est en train de se passer sous mes yeux, ce salaud est en train de la sodomiser, ma femme, la mère de mes enfants se faire enculer devant moi, ici, sur cette table, par un inconnu, décidément j'aurai tout connu.
Ce salaud d'Abdel a bien préparé son coup, en faisant jouer son gland dans sa chatte, il s'en est servi comme d'un piston, il n'avait plus à attendre pour pouvoir l'enculer comme un chef, et dire que moi, je n'y suis jamais arrivé, et ce n'est pas que j'ai pas demandé, même supplié.
Bordel de bordel ! Un baiseur comme lui, on ne devrait pas le laisser courir dans les rues.
Pendant toutes ces méditations intensives, devant moi, mes cornes en prenaient un sérieux coup. Bientôt je devrai faire gaffe avant de passer sous l'Arc de Triomphe.
Abdel a pénétré la rondelle de ma de femme de toute la longueur de son gland. Il ne faudra pas longtemps pour que tout son sexe le suive, et je ne dois pas trop compter sur elle pour le retenir car elle est en train de gueuler son plaisir comme une folle, et ses coups de reins sont destinés à se faire empaler plus par la bite qui lui défonce son cul pour la première fois de sa vie.
Abdel, un grand sourire de satisfaction, il se retire tout délicatement de ma femme, en la couvrant de baisers et en la complimentant sur sa beauté et sa féminité. Il se met tendrement à côté d'elle, lui soulève délicatement la tête, la prend dans ces bras, lui roule un patin de ramoneur, tout en lui caressant son entrejambes, pour la faire descendre en douceur et lui procurer un nouvel orgasme.
Ma femme apprécie cette marque de courtoisie et de savoir-vivre à laquelle il est vrai, je ne l'ai pas habitué. A son tour, elle saisit l'homme dans ces bras, et le serre jusqu'à à l'étouffer en guise de remerciement.
Abdel se retire délicatement, en baisant une dernière fois la main de ma femme, en homme du monde. Se retournant vers moi, il me tient un discours assez inattendu au vu de la situation :
- Je crois avoir rempli ma première part du contrat ?
- Euh ! Oui, oui. Bien sûr. Vous en avez fait même peut-être plus que prévu.
- Merci, ce fut aussi un plaisir pour moi. Oui ! Madame, ce fut un plaisir pour moi, vous avez été charmante, j'ai fort apprécié votre compagnie. Il se fait tard maintenant, ajoute-il, puis-je vous suggérer de passer vous rafraîchir à la salle de bain, avant que j'appelle votre taxi ?
Devant tant de gentillesse, devant tant de courtoisie et de savoir-vivre, nous ne savons plus quoi répondre. Ma femme revenue à elle, prend ses vêtements pour s'arranger dans la salle de bain attenante au bureau.
J'entends qu'elle prend une rapide douche. C'est vrai qu'elle en a bien besoin cette cochonne ! Elle nous réapparaît toute habillée, tandis qu'Abdel me faisait l'honneur de sa collection, m'expliquant dans les détails et secrets de fabrication, les avantages des différentes armes blanches de sa collection. Très intéressant je dois dire.
Ma femme n'ose plus relever la tête, je crois qu'elle a compris qu'il y a une limite entre une séance d'échangisme raisonnable et la façon absolument indécente avec laquelle elle s'est comportée. Mais c'est vrai que moi, j'ai rien à redire à Abdel, il a été vraiment réglo avec nous.
Après cette première aventure qui s'était bien passée, ma femme devait bien en convenir, il est impératif pour moi de profiter de l'élan acquis pour la faire passer à l'étape suivante, la même chose, en groupe.
Abdel encore lui, nous donne rendez-vous avec ma femme, encore au Cadran il y a visiblement ses habitudes. Comme à notre première rencontre, il est encore sapé comme un Milord, ce que ma femme apprécie tout particulièrement. Après les banalités d'usage, la conversation sérieuse s'engage.
- Madame dit Abdel ! Je crois que nous nous connaissons suffisamment. En effet après avoir passé si bien votre première épreuve. Et je vous en remercie encore. Votre mari et moi, pensons qu'il est grand temps de passer à l'étape suivante de votre initiation en groupe !
- Euh... déjà ?
- Oui, il le faut, votre mari a été très clair avec moi dès le début sur ce sujet. Je ne suis pas ici uniquement pour vous baiser, mais pour vous initier. Il faut vous prévenir que ça ne se passera comme la première fois, en accord avec votre mari, j'ai choisi vos amants d'un jour pour leurs capacités sexuelles beaucoup plus que pour leur éducation Je tiens à vous prévenir. Cela va éviter les malentendus.
- Ah ! Qu'est-ce que tu en penses chéri ?
- Il le faut ma chérie, on s'était mis d'accord je crois.
- Bien chéri, tout ce que tu voudras. Je ferai tout ce que tu veux pour toi. Même si pour moi, c'est très pénible. Je t'aime, tu sais.
- Oh chérie ! Avec Abdel ça n'a pas été trop pénible. Je crois même que ça a dû bien te plaire, tu ne crois pas ?
Nous terminons nos verres, et suivons Abdel. Nous étions sur le point de monter dans notre voiture, lorsqu'il vient à notre hauteur au volant de sa grosse voiture.
- Montez avec moi, ça sera plus facile et aussi plus prudent, pour votre voiture, moi dans le quartier, on me connaît.
On a vite compris à voir la direction prise. Oui, c'est plus prudent d'être connu dans ce genre de quartier. Surtout si on veut revoir sa voiture ou sa femme suivant l'ordre d'importance qu'on accorde aux choses. On s'arrête devant un ensemble HLM. Pas des pires, mais il y a mieux, ça c'est sûr.
Abdel ce dirige sans hésiter dans une cage d’escalier. Sur son chemin, les quelques gamins qui squattait le pas de porte s’écarte, Abdel ici, c'est celui qui a réussi.
Au premier étage, il s'engage dans un couloir à l'éclairage douteux, il fait quelques mètres. Il n'a pas le temps de toquer que la porte s'ouvre.
- Entre ! On t'as vu arriver avec la pouf.
Un moment, j'ai peur que ma femme ne recule. Nos regards se croisent, je la connais pour comprendre que malgré son envie de prendre ses jambes à son coup, elle va rester pour moi. Quelle charmante épouse.
Le jeune nous laisse entrer, en regardant les avantages et arguments de ma femme. L'appartement est minuscule, la pièce juste meublée, de trois fauteuils en tissus, une table basse et un grand divan, qui ont connus des jours meilleurs.
Au mur un horrible tableau censé représenter une rivière qui coule. Ce n’est pas possible des horreurs pareilles.
Abdel s'installe royalement dans un des fauteuils. A voir son attitude, je comprends qu'il ne participera pas à la fête, il est ici, juste pour le plaisir des yeux. Il est réglo. C'est déjà çà.
Les deux copains du jeune qui nous a fait entrer sont déjà installés sur le divan. Je me présente dit-il tout en allant rejoindre les deux autres :
- Moi c'est Athos, lui c'est Porthos et lui c'est Aramis, Abdel, pour nous, c'est D’Artagnan. Dans le quartier on nous appelle les mousquetaires. soudain un ton très autoritaire en s'adressant à ma femme :
- Toi, là pouf, tu vas commencer par te mettre à poil vite fait ! Salope.
Ma femme est un peu interloquée par ce changement de style, Abdel l'avait habituée à plus de tact. Ne sachant quoi faire, mais ne voulant pas me décevoir, elle s'exécute. Elle garde son serre taille, ses escarpins et ses bas, dernier rempart sans doute de sa pudeur féminine.
Sans un mot, Athos se met à tourner autour d'elle, et l'examine sous tous les angles comme on peut examiner un cheval, en se demandant si "oui ou non" il va l'acheter. Ce qui est tout à fait absurde, puisque de toute façon, il va la baiser. Je l'ai vu tout de suite à la bosse qui orne son Jeans.
Porthos plus timide, entreprend de lui peloter les seins, tandis que Aramis quant à lui, commence à lui lécher la chatte. A mon grand étonnement, je dois bien constater que le visage de ma femme s'illumine sous les caresses expertes qui lui sont procurées.
Les trois mecs se déshabillent. Ils bandent et sont fort bien pourvus. Ils la font mettre à genoux et lui présentent leurs sexes déjà tous avec une superbe érection. Devant l'offre, ma femme ne sait visiblement pas par le quel commencer. Pour ne pas faire de jaloux, elle entreprend de les sucer tous les trois, chacun à leur tour.
Après une courte sucette, Porthos délaisse sa place pour aller se placer derrière elle sans tenir compte des protestations des deux autres qui voyaient leur sucette un moment compromise.
Les deux mecs se rassurent lorsqu'ils constatent qu'après avoir forcé ma femme à se mettre à 4 pattes, leur copain ne l'encule pas d'un coup à sec mais qu'il a décidé de se montrer très gentil avec elle, en lui léchant le con puis le cul.
Cela avait l'air de plaire à ma femme qui suçait les deux autres de plus en plus fort, et de plus en plus vite. Mais, alors qu'elle ne s'y attendait pas, elle se sent soudain traversée au plus profond d'elle par un grand coup de bite par Porthos.
En amateur éclairé, au moment d'éjaculer Porthos se retire pour mettre sa bite dans la bouche de ma femme, pour y libérer d'un coup toute sa semence. Ma femme a beau essayer d'aspirer tout ce qu'elle peut, il y en a trop. Le sperme barbouille son visage, son cou, et dégouline sur sa poitrine.
Ensuite, saisissant violement ma femme par ses cheveux, il lui flanque sa queue en bouche, accompagné du rituel, mais bien inutile : "Suce Salope" !
Il ne faut pas longtemps pour que le membre reprenne vigueur, longueur, et consistance. Porthos décide qu'il est temps de passer à l'étape suivante. C'est alors, qu'il apostrophe ma femme, alors qu'elle était en train de lui procurer une honorable gâterie :
- Ca suffit Salope, Je vais te Peter la rondelle maintenant !
Mais les deux autres commencent à protester, ils veulent leur part, et maintenant.
- Ok, ça va les mecs ! C'est vrai. Il en faut pour tout le monde.
Il s'adresse à nouveau à ma femme, toujours sur son ton autoritaire :
- Toi, la salope, tu files dans la cuisine et tu ramènes au trot une chaise.
Ma femme s'exécute sans un mot, et nous reviens, la tête basse et vaincue en traînant derrière elle cette chaise qui, elle le sait, va devenir le lieu de son calvaire.
A son retour elle est accueillie par un Porthos plein d'admiration pour sa prouesse intellectuelle :
- C'est bien connasse ! T'as pris la bonne. Bon, viens ici je vais t'expliquer la manœuvre, je vais m'assoir, toi tu viens sur moi te faire enculer et une fois que t'es bien entrée à fond, tu t'occupes de mes potes. T'as compris ? Je ne dois pas répéter ?
- Non, non, ça ira.
Porthos s'installe sur sa chaise, et ma femme s'assied comme il le lui demande, en écartant largement ses fesses avec ses mains pour faciliter la pénétration de sa petite rondelle par un sexe de bonne taille qui lui est présenté.
C'est terriblement humiliant pour une femme. Mais Porthos n'est pas du genre à s'encombrer l'esprit il est un homme sain, il jouit de la queue, il ne jouit pas du cerveau.
Pour ma femme, ce n’est pas sa première enculade, après l'épisode Abdel mais enfin, on ne peut pas dire non plus que c'est une experte en la matière. Porthos s'en rend vite compte, et il n'en a que plus de plaisir.
Il l'empoigne vigoureusement par les hanches et l'abaisse sur sa bite, jusqu'à ce que sa rondelle vienne heurter ses couilles. La grimace de douleur que fait ma femme à ce moment n'échappe pas aux deux autres :
- Attends Salope ! T'as encore rien vu. Quand tu sortiras d'ici ton cul tu pourras y mettre l'éclairage.
- Premier arrivé, premier servi dit Athos en plaçant sa queue entre les seins de ma femme pour qu'elle lui fasse une petite cravate de notaire, histoire de la mettre en train.
- Ouais, bonne idée dit Porthos D'une pierre deux coups.
- - Et moi, qu'est-ce que je fais ? dit Aramis
- Et bien toi, t'attends, tu nous fous la paix, et tu te fais sucer du con.
- Ton tour viendra dit Porthos sur un ton ironique.
En gros feignant, Athos profite du travail de Porthos qui encourage fermement de ses deux poignets vigoureux, ma femme à monter et à descendre en rythme sur sa hampe dressée. Mais Athos n'est pas content du tout :
- Ce n’est pas une cravate de notaire çà ! On ne t’a pas appris comment tu devais faire ? A ton âge ? Empoigne tes nichons, serre les contre ma queue, et quand elle arrive à ta bouche tu la pompe.
Morte de honte, ma femme s'exécute. Son délicat visage s’empourpre. Un instant, je vois une larme perler aux coins de ses yeux. Mais la leçon a porté et c'est une femme nouvelle qui nait sous nos yeux.
Elle s'empare de ses seins pour administrer une branlette à Athos qui est aux anges. Porthos n'est pas oublié, c'est avec des efforts qu'elle entreprend de chevaucher celui qui l'encule comme une cavalière le ferait d'un cheval au trot, elle est pressée elle a vu la bite d’Aramis une bite énorme, une bite qu'elle enfilerait bien volontiers au fond de son con.
En femme organisée, elle décide de terminer le plus vite possible pour pouvoir entreprendre un double avec les deux autres. Un double, elle pense bien qu'ici, elle n'y échappera pas.
Triomphante, elle s'adresse maintenant aux deux autres, restés bouche bée devant une femme qui se permettait de prendre l'initiative !
- J'ai envie d'un double, d'un sandwich si vous préférez. Toi Aramis, avec une bite comme tu as, tu vas me baiser désolé mais grosse comme elle est, elle ne saurait pas m'enculer. Et toi Athos, tu prends la place qui reste.
Aramis a rapidement compris ce qu'on attend de lui, il se couche par terre, sa gigantesque queue érigée comme un obélisque. Ma femme vient se mettre à genoux au-dessus de lui. Elle s'empare de sa queue d'une main pour la mettre dans son con, elle se ravise, et lui administre une fellation. Elle doit estimer qu'il est beaucoup trop tôt pour se passer de la participation d'une bite pareille.
Aramis est fier comme un paon, et surtout ravi de cet intermède non prévu au programme. La queue, pourtant couverte de salive est si énorme qu'elle a du mal à pénétrer ma femme qui pourtant fait de louables efforts pour se l'enfiler jusqu'aux couilles.
Au tour de d’Athos maintenant, comme une élève désireuse de montrer que la leçon a bien été retenue, elle s'est penchée vers la bouche de Aramis, et elle est en train de lui rouler une pelle d'enfer, tandis qu'elle écarte ,sans pudeur son cul de ses deux mains, laissant sa rosette bien apparentes, une rosette qui a encore des traces du passage de Porthos.
Athos l'encule sans problème, à tel point même qu'elle se demande s’il n'aurait pas été souhaitable d'inverser les positions avec Aramis, mais il est trop tard maintenant pour y penser.
C'est son premier sandwich, et elle est visiblement folle d'excitation. Je n'en reviens pas moi-même de son comportement déchainée. Elle chevauche sans retenue aucune les deux bites raides, et ne se gêne pas pour se payer orgasme sur orgasme.
Jugeant qu'ils ont été suffisamment agréables avec elle, et qu'il est temps d'en profiter eux aussi, ils se mettent à la besogner à leur rythme.
A plusieurs occasions, elle se crispe, le regard révulsé. Un orgasme, un autre ! Au point où elle en est, elle ne pourra pas descendre plus bas, alors autant profiter de la situation elle se déchaine, jamais elle ne se serait crue si masochistes, elle jouit de la situation, de l'humiliation qui lui est imposée, ici, devant son mari, et peut-être aussi devant Abdel, son amant d'un jour, mais un amant exceptionnel, un amant dont elle se souviendra sa vie durant.
Comment peut-elle jouir ainsi, elle si précieuse, si délicate, si raffinée, jouir en public, prise par ces 3 hommes, des brutes, des bêtes qui la besognent sans aucun égard ? Elle jouit comme une folle, elle se découvre toute une face de sa personnalité qu'elle ne connaissait pas, mais qu'elle a bien décidé d'explorer.
Les 3 mecs ne désarment pas, ils l'ont pistonnée tous les trois comme des bêtes, ils se la sont échangés jusqu'à épuisement total de tous ses orifices, ne tenant aucun compte ni de ses râles de plaisir, ni de ses cris de souffrance. Mais il y a une fin à tout, le soir commençait à tomber, et leur énergie aussi.
Une dernière fois, ils ont forcé ma femme à se mettre à genoux devant eux.
Elle croyait qu'elle allait de nouveau devoir les sucer, mais non, c'était le final, et il leurs fallait quelque chose de plus déshonorant encore pour clôturer la séance ils se sont une dernière fois branlés devant elle, et ce sont arrangés pour décharger tous les trois sur son visage, un visage épanoui, et qui ruisselait de sperme.
En mari attentif, j'avais remarqué aux coins des yeux de ma femme des larmes. La honte, l'humiliation, d'avoir malgré tout ressenti, dans de telles circonstances, du plaisir en public.
- Va te rhabiller, salope dit Athos, et va te laver d'abord, t'es dégoûtante je ne tiens pas à ce que les voisins fassent des remarques et disent que je fais entrer des poufs de bas-étage ici !
C'est avec ces mots prononcés sur le même ton autoritaire qu'elle avait connu en entrant, qu’ il signifie à ma femme que pour elle, la récréation est terminée.
Le même Athos s'adresse ensuite à moi et à Abdel, sur un ton on ne peut plus aimable pour nous inviter à prendre un thé à la menthe.
Ma femme revient, nous trouve attablés devant notre verre de thé brûlant, on ne lui en propose pas un. Elle qui avait été le seul centre d'intérêt des 3 mecs pendant des heures, n'existait plus, elle était devenue à leurs yeux transparente.
Abdel se lève, c'est le signal, nous prenons congé de nos hôtes.
Pas un mot jusqu'à la voiture. Ma femme baisse la tête, l'humiliation qu'elle a connue aujourd'hui est totale, jamais elle n'aurait pu imaginer pire ces 3 mecs l'ont réduite à l'état d'objet sexuel, de poupée gonflable, un sac à foutre.
Abdel nous reconduit jusqu'au pas de notre porte. Il se donne la peine de sortir de sa voiture pour aider mon épouse à ouvrir la portière. Tout en l'extrayant de son siège, il ne la quitte pas des yeux, des yeux verts qui le fascinent visiblement.
Il n'y a aucun mépris dans son regard qui transperce ma femme, une femme qui a pourtant été publiquement humiliée devant nous, de la pire façon qui soit, et pendant des heures. A y regarder de plus près, il y a même de l'admiration devant cette femme qui a passé toutes ces épreuves pour sauver son couple.
Question sexe, depuis toujours ma femme m'a posé des problèmes. Jusqu'ici je n'avais rien dit, mais depuis quelques mois cette situation m'est devenue tout à fait intolérable.
Un matin d'hiver, le destin est venu à mon aide sous forme d'une belle plaque de verglas dans un virage. Fracture du crâne, une semaine de coma un mois d’hôpital, que demandez de plus ?
C'était l'occasion ou jamais, j'étais une victime, mon équilibre psychologique avait dû souffrir de l'accident. Mon caractère en était sûrement altéré. Bref ma femme ne devait plus me contrarier en rien, et il était évident que nous devions récupérer le temps perdu.
Je lui ai clairement exposé la chose, je voulais la voir en épouse soumise, je voulais la voir baisée par quelqu'un d'autre, par plusieurs, des noires, des arabes, des chinois. J’ai vraiment mis le paquet.
Comme je m'y attendais, ma femme a marqué un certain temps avant de fondre en larmes complètement sidérée par cette proposition inattendue. Il était temps de passer à la seconde phase, arborer une mine de chien battu, en errant sans but dans la maison. Aucune femme ne peut résister longtemps à un pareil traitement.
15 jours se passent, ma femme aborde le sujet. Je n’aurais pas cru qu'elle puisse tenir si longtemps. Elle me dit :
- Ecoute chéri, je veux plus que tu restes comme ça, je veux te revoir comme avant. Je vais faire un effort, je ferai mon possible.
J'en attendais pas tant. Maintenant, faut surtout pas tout faire capoter, il faut y aller en douceur.
- Depuis mon accident, tu es très gentille de t'occuper de moi comme tu le fais ! Je ne tiendrais pas le coup sinon tu sais. Tu ne peux pas savoir par où je suis passé. C'est terrible tu sais.
- Oui, mon chéri. Je sais, ça peut arriver. J'en ai parlé aux médecins, ils m'ont tous dit que ça pouvait arriver.
Hé ! Je ne remercierai jamais assez la médecine son aide qu'elle m'a apporté sans le savoir.
- Bon, t'es gentille, tu vas voir, on va faire tout ça progressivement. Je voudrais que nous soyons un couple comme les autres.
Le lendemain, j'accueille mon épouse d'un air enjoué :
- Regarde chérie, regarde, sur Internet j'ai fait passer une super annonce : « Homme 40 ans, recherche mec bien membré capable d'initier mon épouse à toutes les perversions possibles ».
- Ah chéri ! Oui ! Si tu crois que c'est bien pour toi, alors c'est aussi bien pour moi.
Hé, les choses se passent plus facilement que prévu. Je sais qu'avec une annonce pareille, on est certain d'avoir des réponses.
Le lendemain ma boite Mail croule sous les réponses. Il n'y avait l'embarras du choix des blancs, des noirs, des arabes, des jeunes, des vieux, des petites, des grosses, des longues, des dures, il y en avait vraiment pour tous les goûts.
Une des lettres, plus perverse que les autres, retient mon attention. C'était un certain Abdel qui écrivait, une lettre parfaite, presque sans faute, un français parfait, une éducation certaine, à mon gout le candidat idéal. Nous décidons de nous rencontrer dans un café du centre-ville pour faire plus ample connaissance et fixer les limites.
Installé dans le fond du café, je l'ai tout de suite reconnu. Pourtant, je ne l'avais jamais vu, il correspondait trait pour trait à ce que je m'attendais, un beur, la trentaine, bon chic-bon genre.
Ma femme, allait être servie. Le programme qu'il avait réservé à mon épouse m'a laissé rêveur. Il était comment dire ? Mieux que prévu. Quelques jours plus tard, Abdel me téléphone pour me faire part des derniers détails, le rendez-vous est prévu pour ce samedi.
Tout guilleret, j'annonce à ma femme que je lui ai trouvé son premier partenaire, un mec super, comme il faut et qui nous attend pour faire connaissance au "Cadran bistro de la gare, un bar bien connu du centre-ville pour son ambiance intime et chaleureuse.
- Oui ! Si tu veux, chéri, et pour toi chéri, j'irai.
Ah, la charmante épouse toute dévouée à son mari malade !
- Il le faut chérie, il le faut.
Pour cette première entrevue, il a suivi à la lettre mes conseils, il est bien nippé, il fait vraiment classe, sans paraître coincé ou pédant. Il nous accueille à sa table, comme si nous étions des amis de longue date. A mon grand étonnement, la conversation s'engage sur tout et sur rien, et il n'est jamais question de sexe entre nous, même par allusion.
Il sait comment faire pour ne pas effrayer les oies blanches. Au deuxième cocktail, l'atmosphère se détend, je sens que ma femme n'est plus sur la défensive, et Abdel le sent aussi. Un chasseur sent toujours le gibier venir. Brutalement, mais de façon on ne peut plus naturelle, il aborde le sujet, en termes toutes fois très vagues :
- Alors ! Comment envisagez-vous cette après-midi ?
Sans nous laissez le temps de répondre, il s'adresse à moi, en me disant :
- Et vous, à propos, vous serez des nôtres ?
- Oui, oui, répond ma femme malgré tout encore un peu anxieuse de se retrouver pour la première fois seule dans les bras d'un autre homme que son mari.
- Aucun problème ! Je comprends les réticences de votre épouse.
Puis s'adressant à moi il dit :
- C’est très bien, comme ça, vous vous rendrez compte que votre femme n'est pas tombée en de mauvaises mains.
Il est bien aussi vicieux que je l'avais imaginé. Chic, distingué, intelligent, mais profondément vicieux.
Ma femme quant à elle, est sous le charme du bonhomme, elle s'attendait sans doute à ce que je lui présente un homme des cavernes, et c'est loin d'être le cas. Je suis moi-même un peu inquiet de la tournure des évènements, est-ce que je n'aurais pas introduit le loup dans la bergerie ? Mais, il est un peu tard pour se poser ce genre de question.
- Allez ! Venez. Je vous emmène. dit Abdel.
S'adressant à moi, il me dit comme pour se justifier :
- Vous verrez, j'ai une collection d'armes blanches qui vous intéresseront sûrement.
Merde alors. Si je m'attendais à çà. Il faudra se méfier de ce mec. Il nous entraine rapidement dans le parking souterrain tout proche, et nous fait monter dans sa grosse voiture.
Nous partons direction le quartier des affaires. Abdel nous conduit à son bureau. Nous sommes un samedi après-midi, l'immeuble est absolument vide. Il doit utiliser son passe magnétique pour ouvrir la grille et le portique auto. Le parking souterrain est absolument désert. Abdel se parque bien sagement à sa place réservée.
L'ascenseur ne tarde pas à venir. Nous y montons sans un mot. La porte se ferme. Abdel appuie sans hésiter sur le dernier étage. Je regarde stupidement la porte, quand soudain je remarque du coin de l'œil qu’il a déjà pris ma femme dans ses bras, et lui roule une pelle à lui décrocher les amygdales.
Ma femme n'est pas insensible à cette marque d'affection, elle insère une jambe d'Abdel entre ses cuisses, appuyant son pubis tout contre son sexe qui ne s'y attendait visiblement pas, mais qui semble vivement apprécier.
Il lui glisse maintenant sa main droite sous sa jupe, et revient tout naturellement, et à ma plus grande stupéfaction avec le slip de ma femme enroulé autour de son poignet.
Il n'en reste bien évidement pas là, il replonge aussitôt sa main entre les cuisses de ma fidèle épouse, visiblement à la fête. En quelques mouvements rapides et bien ciblés, il a tôt fait de l'amener à l'orgasme. Les râles de bonheur de mon épouse ne me laissent aucun doute.
Tout en tenant sa taille, il nous ouvre la porte de son bureau. La pièce est spacieuse, et le mobilier de classe, un énorme bureau fait face à une table de réunion. Ce mec doit être important pour avoir un bureau de cette taille.
Derrière le bureau, sur le mur faisant face au visiteur, la cartouche introductive du Coran. Par Dieu tout puissant et miséricordieux. Cette cartouche est vraiment splendide et impressionnante, que l'on soit ou non croyant, le travail est remarquable. Elle a très certainement été découpée au laser dans une épaisse feuille de métal.
Une imposante collection d'armes blanches islamiques et autres orne les murs le sabre courbe Ottoman traditionnel à un seul tranchant, très impressionnant. Au moins pour les armes il n'a pas menti. J'espère aussi qu'en fin de parcours je pourrais récupérer ma femme.
Je ne m'attendais pas à ce que les choses prennent cette tournure. Ma femme avait approuvé l'idée du bout des lèvres, et ici dans l'ascenseur elle s'est vraiment comportée comme la dernière des traînées. Faut dire ce qui est, je la croyais moins docile.
Tout à mon inspection des lieux, je ne me suis pas rendu compte que Abdel avait basculée ma femme sur la table de réunion. Sa robe remontée jusqu'à sa taille, dévoilant ses bas à couture. Il lui a fait mettre ses jambes sur ses épaules, lui ouvrant ainsi tout droit la voie royale de sa chatte luisante.
Il est lui, toujours entièrement habillé. Il s'est contenté d'ouvrir sa braguette et il la besogne le plus naturellement du monde sur cette couche insolite, qui de toutes évidences ne devait pas en être à son premier exploits.
En gamin espiègle, il s'amuse à lui taquiner la vulve à frotter son gland sur son clitoris, à entrer, à sortir, à s'attarder sur ses lèvres. Ma femme visiblement apprécie ce traitement, et elle ne manque d'ailleurs pas de le faire bruyamment remarquer par des râles puissants.
Pour m'emmerder, je suis sûr qu'elle en remet même une couche, mais il est évident que dans l’ensemble, ça lui plait. Abdel prend à juste titre, les râles de ma femme pour un compliment. Il décide que le moment est venu de passer aux choses sérieuses, et il se met à pistonner ma femme lentement, et profondément. Je ne tarde pas à comprendre que ce traitement-là lui convient à merveille.
Je vois les jambes de ma femme se serrer de plus en plus fort autour du cou de l'homme qui la besogne divinement bien. Elle semble vouloir l'emprisonner dans son sexe, et retenir l'orgasme qui petit à petit la gagne. Ce mec commence sérieusement à me faire chier et cette truie qui n'arrête pas de gueuler à rameuter tout le quartier. Elle pourrait le lâcher au moins, bordel, je suis là, il est évident que ce type ne va pas se faire la malle avant qu'il en ait fini.
Un râle plus puissant que les autres me ramènent à la triste réalité, je suis cocu, et bien cocu. Ma femme vient de se payer un orgasme comme je lui en ait rarement vu prendre, et Abdel n'en a visiblement pas fini avec elle. Je commence mieux à le comprendre ce type. C'est un sournois.
Il reste là, avec sa queue à l'entrée du con de ma femme, qui dégouline de foutre. Il s'amuse à y faire rentrer et sortir son gland, rien que son gland. Ce va et vient lancinant prolonge l'orgasme de ma femme qui mouille abondamment. Cela en devient même écœurant je trouve.
Tout d'un coup, je vois à la courbure du dos de ma femme que quelque chose de tout à fait inattendu est en train de se passer sous mes yeux, ce salaud est en train de la sodomiser, ma femme, la mère de mes enfants se faire enculer devant moi, ici, sur cette table, par un inconnu, décidément j'aurai tout connu.
Ce salaud d'Abdel a bien préparé son coup, en faisant jouer son gland dans sa chatte, il s'en est servi comme d'un piston, il n'avait plus à attendre pour pouvoir l'enculer comme un chef, et dire que moi, je n'y suis jamais arrivé, et ce n'est pas que j'ai pas demandé, même supplié.
Bordel de bordel ! Un baiseur comme lui, on ne devrait pas le laisser courir dans les rues.
Pendant toutes ces méditations intensives, devant moi, mes cornes en prenaient un sérieux coup. Bientôt je devrai faire gaffe avant de passer sous l'Arc de Triomphe.
Abdel a pénétré la rondelle de ma de femme de toute la longueur de son gland. Il ne faudra pas longtemps pour que tout son sexe le suive, et je ne dois pas trop compter sur elle pour le retenir car elle est en train de gueuler son plaisir comme une folle, et ses coups de reins sont destinés à se faire empaler plus par la bite qui lui défonce son cul pour la première fois de sa vie.
Abdel, un grand sourire de satisfaction, il se retire tout délicatement de ma femme, en la couvrant de baisers et en la complimentant sur sa beauté et sa féminité. Il se met tendrement à côté d'elle, lui soulève délicatement la tête, la prend dans ces bras, lui roule un patin de ramoneur, tout en lui caressant son entrejambes, pour la faire descendre en douceur et lui procurer un nouvel orgasme.
Ma femme apprécie cette marque de courtoisie et de savoir-vivre à laquelle il est vrai, je ne l'ai pas habitué. A son tour, elle saisit l'homme dans ces bras, et le serre jusqu'à à l'étouffer en guise de remerciement.
Abdel se retire délicatement, en baisant une dernière fois la main de ma femme, en homme du monde. Se retournant vers moi, il me tient un discours assez inattendu au vu de la situation :
- Je crois avoir rempli ma première part du contrat ?
- Euh ! Oui, oui. Bien sûr. Vous en avez fait même peut-être plus que prévu.
- Merci, ce fut aussi un plaisir pour moi. Oui ! Madame, ce fut un plaisir pour moi, vous avez été charmante, j'ai fort apprécié votre compagnie. Il se fait tard maintenant, ajoute-il, puis-je vous suggérer de passer vous rafraîchir à la salle de bain, avant que j'appelle votre taxi ?
Devant tant de gentillesse, devant tant de courtoisie et de savoir-vivre, nous ne savons plus quoi répondre. Ma femme revenue à elle, prend ses vêtements pour s'arranger dans la salle de bain attenante au bureau.
J'entends qu'elle prend une rapide douche. C'est vrai qu'elle en a bien besoin cette cochonne ! Elle nous réapparaît toute habillée, tandis qu'Abdel me faisait l'honneur de sa collection, m'expliquant dans les détails et secrets de fabrication, les avantages des différentes armes blanches de sa collection. Très intéressant je dois dire.
Ma femme n'ose plus relever la tête, je crois qu'elle a compris qu'il y a une limite entre une séance d'échangisme raisonnable et la façon absolument indécente avec laquelle elle s'est comportée. Mais c'est vrai que moi, j'ai rien à redire à Abdel, il a été vraiment réglo avec nous.
Après cette première aventure qui s'était bien passée, ma femme devait bien en convenir, il est impératif pour moi de profiter de l'élan acquis pour la faire passer à l'étape suivante, la même chose, en groupe.
Abdel encore lui, nous donne rendez-vous avec ma femme, encore au Cadran il y a visiblement ses habitudes. Comme à notre première rencontre, il est encore sapé comme un Milord, ce que ma femme apprécie tout particulièrement. Après les banalités d'usage, la conversation sérieuse s'engage.
- Madame dit Abdel ! Je crois que nous nous connaissons suffisamment. En effet après avoir passé si bien votre première épreuve. Et je vous en remercie encore. Votre mari et moi, pensons qu'il est grand temps de passer à l'étape suivante de votre initiation en groupe !
- Euh... déjà ?
- Oui, il le faut, votre mari a été très clair avec moi dès le début sur ce sujet. Je ne suis pas ici uniquement pour vous baiser, mais pour vous initier. Il faut vous prévenir que ça ne se passera comme la première fois, en accord avec votre mari, j'ai choisi vos amants d'un jour pour leurs capacités sexuelles beaucoup plus que pour leur éducation Je tiens à vous prévenir. Cela va éviter les malentendus.
- Ah ! Qu'est-ce que tu en penses chéri ?
- Il le faut ma chérie, on s'était mis d'accord je crois.
- Bien chéri, tout ce que tu voudras. Je ferai tout ce que tu veux pour toi. Même si pour moi, c'est très pénible. Je t'aime, tu sais.
- Oh chérie ! Avec Abdel ça n'a pas été trop pénible. Je crois même que ça a dû bien te plaire, tu ne crois pas ?
Nous terminons nos verres, et suivons Abdel. Nous étions sur le point de monter dans notre voiture, lorsqu'il vient à notre hauteur au volant de sa grosse voiture.
- Montez avec moi, ça sera plus facile et aussi plus prudent, pour votre voiture, moi dans le quartier, on me connaît.
On a vite compris à voir la direction prise. Oui, c'est plus prudent d'être connu dans ce genre de quartier. Surtout si on veut revoir sa voiture ou sa femme suivant l'ordre d'importance qu'on accorde aux choses. On s'arrête devant un ensemble HLM. Pas des pires, mais il y a mieux, ça c'est sûr.
Abdel ce dirige sans hésiter dans une cage d’escalier. Sur son chemin, les quelques gamins qui squattait le pas de porte s’écarte, Abdel ici, c'est celui qui a réussi.
Au premier étage, il s'engage dans un couloir à l'éclairage douteux, il fait quelques mètres. Il n'a pas le temps de toquer que la porte s'ouvre.
- Entre ! On t'as vu arriver avec la pouf.
Un moment, j'ai peur que ma femme ne recule. Nos regards se croisent, je la connais pour comprendre que malgré son envie de prendre ses jambes à son coup, elle va rester pour moi. Quelle charmante épouse.
Le jeune nous laisse entrer, en regardant les avantages et arguments de ma femme. L'appartement est minuscule, la pièce juste meublée, de trois fauteuils en tissus, une table basse et un grand divan, qui ont connus des jours meilleurs.
Au mur un horrible tableau censé représenter une rivière qui coule. Ce n’est pas possible des horreurs pareilles.
Abdel s'installe royalement dans un des fauteuils. A voir son attitude, je comprends qu'il ne participera pas à la fête, il est ici, juste pour le plaisir des yeux. Il est réglo. C'est déjà çà.
Les deux copains du jeune qui nous a fait entrer sont déjà installés sur le divan. Je me présente dit-il tout en allant rejoindre les deux autres :
- Moi c'est Athos, lui c'est Porthos et lui c'est Aramis, Abdel, pour nous, c'est D’Artagnan. Dans le quartier on nous appelle les mousquetaires. soudain un ton très autoritaire en s'adressant à ma femme :
- Toi, là pouf, tu vas commencer par te mettre à poil vite fait ! Salope.
Ma femme est un peu interloquée par ce changement de style, Abdel l'avait habituée à plus de tact. Ne sachant quoi faire, mais ne voulant pas me décevoir, elle s'exécute. Elle garde son serre taille, ses escarpins et ses bas, dernier rempart sans doute de sa pudeur féminine.
Sans un mot, Athos se met à tourner autour d'elle, et l'examine sous tous les angles comme on peut examiner un cheval, en se demandant si "oui ou non" il va l'acheter. Ce qui est tout à fait absurde, puisque de toute façon, il va la baiser. Je l'ai vu tout de suite à la bosse qui orne son Jeans.
Porthos plus timide, entreprend de lui peloter les seins, tandis que Aramis quant à lui, commence à lui lécher la chatte. A mon grand étonnement, je dois bien constater que le visage de ma femme s'illumine sous les caresses expertes qui lui sont procurées.
Les trois mecs se déshabillent. Ils bandent et sont fort bien pourvus. Ils la font mettre à genoux et lui présentent leurs sexes déjà tous avec une superbe érection. Devant l'offre, ma femme ne sait visiblement pas par le quel commencer. Pour ne pas faire de jaloux, elle entreprend de les sucer tous les trois, chacun à leur tour.
Après une courte sucette, Porthos délaisse sa place pour aller se placer derrière elle sans tenir compte des protestations des deux autres qui voyaient leur sucette un moment compromise.
Les deux mecs se rassurent lorsqu'ils constatent qu'après avoir forcé ma femme à se mettre à 4 pattes, leur copain ne l'encule pas d'un coup à sec mais qu'il a décidé de se montrer très gentil avec elle, en lui léchant le con puis le cul.
Cela avait l'air de plaire à ma femme qui suçait les deux autres de plus en plus fort, et de plus en plus vite. Mais, alors qu'elle ne s'y attendait pas, elle se sent soudain traversée au plus profond d'elle par un grand coup de bite par Porthos.
En amateur éclairé, au moment d'éjaculer Porthos se retire pour mettre sa bite dans la bouche de ma femme, pour y libérer d'un coup toute sa semence. Ma femme a beau essayer d'aspirer tout ce qu'elle peut, il y en a trop. Le sperme barbouille son visage, son cou, et dégouline sur sa poitrine.
Ensuite, saisissant violement ma femme par ses cheveux, il lui flanque sa queue en bouche, accompagné du rituel, mais bien inutile : "Suce Salope" !
Il ne faut pas longtemps pour que le membre reprenne vigueur, longueur, et consistance. Porthos décide qu'il est temps de passer à l'étape suivante. C'est alors, qu'il apostrophe ma femme, alors qu'elle était en train de lui procurer une honorable gâterie :
- Ca suffit Salope, Je vais te Peter la rondelle maintenant !
Mais les deux autres commencent à protester, ils veulent leur part, et maintenant.
- Ok, ça va les mecs ! C'est vrai. Il en faut pour tout le monde.
Il s'adresse à nouveau à ma femme, toujours sur son ton autoritaire :
- Toi, la salope, tu files dans la cuisine et tu ramènes au trot une chaise.
Ma femme s'exécute sans un mot, et nous reviens, la tête basse et vaincue en traînant derrière elle cette chaise qui, elle le sait, va devenir le lieu de son calvaire.
A son retour elle est accueillie par un Porthos plein d'admiration pour sa prouesse intellectuelle :
- C'est bien connasse ! T'as pris la bonne. Bon, viens ici je vais t'expliquer la manœuvre, je vais m'assoir, toi tu viens sur moi te faire enculer et une fois que t'es bien entrée à fond, tu t'occupes de mes potes. T'as compris ? Je ne dois pas répéter ?
- Non, non, ça ira.
Porthos s'installe sur sa chaise, et ma femme s'assied comme il le lui demande, en écartant largement ses fesses avec ses mains pour faciliter la pénétration de sa petite rondelle par un sexe de bonne taille qui lui est présenté.
C'est terriblement humiliant pour une femme. Mais Porthos n'est pas du genre à s'encombrer l'esprit il est un homme sain, il jouit de la queue, il ne jouit pas du cerveau.
Pour ma femme, ce n’est pas sa première enculade, après l'épisode Abdel mais enfin, on ne peut pas dire non plus que c'est une experte en la matière. Porthos s'en rend vite compte, et il n'en a que plus de plaisir.
Il l'empoigne vigoureusement par les hanches et l'abaisse sur sa bite, jusqu'à ce que sa rondelle vienne heurter ses couilles. La grimace de douleur que fait ma femme à ce moment n'échappe pas aux deux autres :
- Attends Salope ! T'as encore rien vu. Quand tu sortiras d'ici ton cul tu pourras y mettre l'éclairage.
- Premier arrivé, premier servi dit Athos en plaçant sa queue entre les seins de ma femme pour qu'elle lui fasse une petite cravate de notaire, histoire de la mettre en train.
- Ouais, bonne idée dit Porthos D'une pierre deux coups.
- - Et moi, qu'est-ce que je fais ? dit Aramis
- Et bien toi, t'attends, tu nous fous la paix, et tu te fais sucer du con.
- Ton tour viendra dit Porthos sur un ton ironique.
En gros feignant, Athos profite du travail de Porthos qui encourage fermement de ses deux poignets vigoureux, ma femme à monter et à descendre en rythme sur sa hampe dressée. Mais Athos n'est pas content du tout :
- Ce n’est pas une cravate de notaire çà ! On ne t’a pas appris comment tu devais faire ? A ton âge ? Empoigne tes nichons, serre les contre ma queue, et quand elle arrive à ta bouche tu la pompe.
Morte de honte, ma femme s'exécute. Son délicat visage s’empourpre. Un instant, je vois une larme perler aux coins de ses yeux. Mais la leçon a porté et c'est une femme nouvelle qui nait sous nos yeux.
Elle s'empare de ses seins pour administrer une branlette à Athos qui est aux anges. Porthos n'est pas oublié, c'est avec des efforts qu'elle entreprend de chevaucher celui qui l'encule comme une cavalière le ferait d'un cheval au trot, elle est pressée elle a vu la bite d’Aramis une bite énorme, une bite qu'elle enfilerait bien volontiers au fond de son con.
En femme organisée, elle décide de terminer le plus vite possible pour pouvoir entreprendre un double avec les deux autres. Un double, elle pense bien qu'ici, elle n'y échappera pas.
Triomphante, elle s'adresse maintenant aux deux autres, restés bouche bée devant une femme qui se permettait de prendre l'initiative !
- J'ai envie d'un double, d'un sandwich si vous préférez. Toi Aramis, avec une bite comme tu as, tu vas me baiser désolé mais grosse comme elle est, elle ne saurait pas m'enculer. Et toi Athos, tu prends la place qui reste.
Aramis a rapidement compris ce qu'on attend de lui, il se couche par terre, sa gigantesque queue érigée comme un obélisque. Ma femme vient se mettre à genoux au-dessus de lui. Elle s'empare de sa queue d'une main pour la mettre dans son con, elle se ravise, et lui administre une fellation. Elle doit estimer qu'il est beaucoup trop tôt pour se passer de la participation d'une bite pareille.
Aramis est fier comme un paon, et surtout ravi de cet intermède non prévu au programme. La queue, pourtant couverte de salive est si énorme qu'elle a du mal à pénétrer ma femme qui pourtant fait de louables efforts pour se l'enfiler jusqu'aux couilles.
Au tour de d’Athos maintenant, comme une élève désireuse de montrer que la leçon a bien été retenue, elle s'est penchée vers la bouche de Aramis, et elle est en train de lui rouler une pelle d'enfer, tandis qu'elle écarte ,sans pudeur son cul de ses deux mains, laissant sa rosette bien apparentes, une rosette qui a encore des traces du passage de Porthos.
Athos l'encule sans problème, à tel point même qu'elle se demande s’il n'aurait pas été souhaitable d'inverser les positions avec Aramis, mais il est trop tard maintenant pour y penser.
C'est son premier sandwich, et elle est visiblement folle d'excitation. Je n'en reviens pas moi-même de son comportement déchainée. Elle chevauche sans retenue aucune les deux bites raides, et ne se gêne pas pour se payer orgasme sur orgasme.
Jugeant qu'ils ont été suffisamment agréables avec elle, et qu'il est temps d'en profiter eux aussi, ils se mettent à la besogner à leur rythme.
A plusieurs occasions, elle se crispe, le regard révulsé. Un orgasme, un autre ! Au point où elle en est, elle ne pourra pas descendre plus bas, alors autant profiter de la situation elle se déchaine, jamais elle ne se serait crue si masochistes, elle jouit de la situation, de l'humiliation qui lui est imposée, ici, devant son mari, et peut-être aussi devant Abdel, son amant d'un jour, mais un amant exceptionnel, un amant dont elle se souviendra sa vie durant.
Comment peut-elle jouir ainsi, elle si précieuse, si délicate, si raffinée, jouir en public, prise par ces 3 hommes, des brutes, des bêtes qui la besognent sans aucun égard ? Elle jouit comme une folle, elle se découvre toute une face de sa personnalité qu'elle ne connaissait pas, mais qu'elle a bien décidé d'explorer.
Les 3 mecs ne désarment pas, ils l'ont pistonnée tous les trois comme des bêtes, ils se la sont échangés jusqu'à épuisement total de tous ses orifices, ne tenant aucun compte ni de ses râles de plaisir, ni de ses cris de souffrance. Mais il y a une fin à tout, le soir commençait à tomber, et leur énergie aussi.
Une dernière fois, ils ont forcé ma femme à se mettre à genoux devant eux.
Elle croyait qu'elle allait de nouveau devoir les sucer, mais non, c'était le final, et il leurs fallait quelque chose de plus déshonorant encore pour clôturer la séance ils se sont une dernière fois branlés devant elle, et ce sont arrangés pour décharger tous les trois sur son visage, un visage épanoui, et qui ruisselait de sperme.
En mari attentif, j'avais remarqué aux coins des yeux de ma femme des larmes. La honte, l'humiliation, d'avoir malgré tout ressenti, dans de telles circonstances, du plaisir en public.
- Va te rhabiller, salope dit Athos, et va te laver d'abord, t'es dégoûtante je ne tiens pas à ce que les voisins fassent des remarques et disent que je fais entrer des poufs de bas-étage ici !
C'est avec ces mots prononcés sur le même ton autoritaire qu'elle avait connu en entrant, qu’ il signifie à ma femme que pour elle, la récréation est terminée.
Le même Athos s'adresse ensuite à moi et à Abdel, sur un ton on ne peut plus aimable pour nous inviter à prendre un thé à la menthe.
Ma femme revient, nous trouve attablés devant notre verre de thé brûlant, on ne lui en propose pas un. Elle qui avait été le seul centre d'intérêt des 3 mecs pendant des heures, n'existait plus, elle était devenue à leurs yeux transparente.
Abdel se lève, c'est le signal, nous prenons congé de nos hôtes.
Pas un mot jusqu'à la voiture. Ma femme baisse la tête, l'humiliation qu'elle a connue aujourd'hui est totale, jamais elle n'aurait pu imaginer pire ces 3 mecs l'ont réduite à l'état d'objet sexuel, de poupée gonflable, un sac à foutre.
Abdel nous reconduit jusqu'au pas de notre porte. Il se donne la peine de sortir de sa voiture pour aider mon épouse à ouvrir la portière. Tout en l'extrayant de son siège, il ne la quitte pas des yeux, des yeux verts qui le fascinent visiblement.
Il n'y a aucun mépris dans son regard qui transperce ma femme, une femme qui a pourtant été publiquement humiliée devant nous, de la pire façon qui soit, et pendant des heures. A y regarder de plus près, il y a même de l'admiration devant cette femme qui a passé toutes ces épreuves pour sauver son couple.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une suite svp
Ah ah ah!!! Excellent, il est cependant dommage, vu la qualité, de ne pas avoir une meilleure description du ressenti lors de la transformation de la charmante épouse modèle en chienne lubrique et perverse. Peut être que le "mari" est plus sensible au charme des maures qu'à sa femme adorée