Titre de l'histoire érotique : Invitation spéciale - 3 et fin

- Par l'auteur HDS Rain -
Récit érotique écrit par Rain [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Invitation spéciale - 3 et fin Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2011 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Invitation spéciale - 3 et fin
L’homme qui avait eu une relation sexuelle avec Elisa se mit derrière elle et fourra deux doigts dans sa fente, se contentant de mettre la ficelle du string de côté, sans prendre la peine de retrousser sa robe. Il palpait les parois vaginales d’Elisa avec la pulpe des doigts, ce qui avait l’air de lui plaire car, très vite, elle se mit à se trémousser pour les faire appuyer aux bons endroits. L’homme sur la chaise demanda à la blonde qu’elle se relève et qu’elle lèche la poitrine d’Elisa. Cette dernière excitée, faisait glisser les bretelles de sa robe pour donner libre accès à ses seins, déjà durcis par l’excitante suggestion. Elle avait perdu toute notion élémentaire ! Le bien, le mal ! Il ne restait que le désir et la luxure ! Rien d’autre ! La blonde suça le téton droit d’Elisa tout en faisant rouler le gauche avec son autre main jusqu’à ce qu’il pointe. Puis elle embrassa le gauche en molestant le droit. Elisa adorait qu’on lui écrase les tétons. Cela la rendait chaude comme la braise. L’homme prit la blonde en levrette et celui qui s’amusait avec ses doigts les enleva et sortit son gros chibre qu’il mit sous les yeux d’Elisa. Elle regarda sa bite et ne put s’empêcher de la prendre en bouche, savourant l’odeur de sa propre chatte, imprégnée sur celle-ci. Sa langue fusa sur le gland un bon moment avant d’ingurgiter le pénis. Il manquait quelques centimètres qui dépassaient des lèvres d’Elisa mais elle ne pouvait en avaler plus sans dégobiller. La blonde caressait le sein gauche d’Elisa et avait placé sa main droite entre ses propres cuisses pour se peloter le clitoris ou caresser les couilles de celui qui la prenait par derrière. Il s’acharnait sur sa chatte, son sexe large tambourinait à l’intérieur, écartant de plus en plus le fourreau rose qui était devenu aussi tendre que du beurre. La blonde avait le regard qui s’embrumait, ses fesses s’agitaient et s’empalaient sur la queue dont le propriétaire commençait, lui aussi, à grogner de plaisir.
Elisa prolongea la pipe, lâchant le phallus du gars par moment pour le ravaler l’instant suivant. Puis il quitta sa bouche pour proposer son vit à la blonde qui le goba immédiatement dès qu’il fut à portée. Cela la rendit jalouse. Elle lui en voulait ! Personne ne lui avait fait un coup pareil ! Aucun homme ne s’était retiré de sa bouche ! Et qui plus est, pour coller sa verge dans le bec d’une autre ! Elle allait se relever, vexée, mais avant qu’elle ait put se mettre debout, des bras puissants la ceinturèrent.
Puis elle sentit contre ses fesses quelque chose de dur. D’un coup, une main souleva sa robe et descendit son string à mi-cuisse. Pourtant elle était toujours ceinturée par les bras musclés qui la maintenaient captive. Elle tourna la tête pour voir qui venait de la déshabiller, quand elle vit la brune, nue, à l’exception de ses talons aiguilles qu’elle avait remis. Accroupie, elle avait l’air de reluquer le cul d’Elisa. Ou sa vulve. Le mec qui la maintenait par la taille se rapprocha d’elle et écrasa son sexe contre le sien. La brune, toujours dans la même position se mit à lécher ses couilles. Elisa appuyait son postérieur contre la bite inquisitrice. Elle sentait la tête de la femme contre le haut de ses cuisses et elle regarda par-dessus son épaule pour la voir sucer les bourses de l’homme qui la contenait. Il frotta le sommet de son gland contre le vagin d’Elisa. Cela l’excita, et elle fut même prise de bouffées de chaleur, et lorsque la brune passa sa douce langue sur sa chatte, elle recula d’un mouvement vif, et se planta sur le phallus tendu, qui jusque là s’était contenté de jouer à frotti frotta.
La blonde pompait toujours l’ingrat qui s’était retiré de la bouche d’Elisa. Celui qui la baisait par derrière venait de changer de trou. Il martelait son anus, se retirant à chaque aller-retour pour disparaître ensuite au fond de son cul, s’insérant jusqu’à la garde. La blonde étouffa ses cris de jouissance en absorbant la queue du gars qui, emprisonné dans sa bouche, ne put se retenir d’y gicler. Celui qui la sodomisait continua quelques secondes de plus avant de sortir son sexe et d’éjaculer entre ses fesses. Elle se leva et alla embrasser le mec qu’elle suçait qui fut surpris lorsqu’il constata qu’elle avait gardé son sperme en bouche et qu’elle le répandait dans la sienne tout en continuant à faire tournoyer sa langue autour de la sienne. Au début, il fut dégoûté, mais rapidement, l’excitation prit le dessus et il joua lui aussi à transvaser son foutre d’une bouche à l’autre.
La brune aspirait les lèvres d’Elisa, titillait son clitoris, léchait sa fente pendant que le gars derrière elle la pénétrait avec douceur et beaucoup de tendresse. Elle était aux anges et son excitation était en train de s’emballer comme son cerveau d’ailleurs qui diffusait des scènes pornographiques quelque part dans un recoin sombre de son esprit. Elle en voulait plus !
Elle aurait aimé que les trois autres mecs se joignent à la fête. Elle en aurait sucé un pendant qu’elle aurait branlé les deux autres. La blonde aurait regardé le spectacle, assise sur une chaise les jambes grandes ouvertes, se caressant tout en feulant de plaisir. D’un coup, celui qui l’avait ceinturée, stoppa net ses rêveries quand il intensifia la pénétration, accélérant la cadence. De la cyprine dégoulinait de sa chatte que buvait la brune, lapant la vulve et parfois aussi la queue du type qui se plantait de plus en plus violement entre ses reins. Elle avait le souffle court, le regard dans la brume et fut mentalement projetée dans une autre dimension quand la blonde rejoignit la brune pour lui offrir le meilleur cunnilingus de sa vie. De concert, elles la dévorèrent avec leurs lèvres humides et leur langue vicelarde léchant aussi bien le con d’Elisa que son trou du cul.
Les trois autres hommes observèrent la scène en se frottant le manche. Ils mataient les deux filles entre les jambes d’Elisa qui s’embrassaient à pleine bouche et promenaient leur langue dans ses orifices. Parfois les deux langues, collées, goutaient au même trou ! Elisa gémissait, haletait, criait des « bouffez-moi les filles », des « oh oui. Là c’est trop bon » et autres bout de phrases du même style. L’homme qui la prenait par derrière se retira et alla vers ses compères. Il chuchota quelque chose à leur oreille et tous sortirent de la pièce.
Elisa, trop occupée à apprécier l’attention toute spéciale que les deux filles lui prodiguaient, ne remarquât pas que les hommes étaient sortis. Elle s’était bien rendue compte que le mec avait quitté sa foufoune, mais cela n’avait aucune importance sur le moment, car les deux nanas sous ses cuisses lui donnaient du plaisir comme elle n’en avait jamais ressenti. Elle aurait voulu leur rendre la pareille et ouvrit un instant les yeux.
Elle constata a alors que les hommes avaient tous disparu ! Il ne restait plus qu’elle et les deux filles. La jouissance était imminente et, avant qu’elle ait lieu, la blonde et la brune cessèrent leurs caresses bucco-génitales et se mirent debout. Elisa, déçue, allait protester quand la brune obstrua sa vision en plaçant ses mains devant ses yeux et lui glissa dans le creux de l’oreille :
- Nous allons te bander les yeux et t’attacher. Ensuite tu pourras avoir le dessert. Tu es prête ?
- Allez-y ! Je suis prête à tout, dit-elle en riant.
Quelqu’un noua un bandeau de soie rouge sur ses yeux, plongeant Elisa dans l’obscurité la plus totale. Puis une paire de mains la poussa à travers la salle. La musique qui jouait Angie des Rolling Stones s’arrêta en plein milieu du morceau. Plusieurs mains (au moins quatre, s’imaginait-elle), déshabillèrent Elisa, ne lui laissant que son porte-jarretelle. Une bouche vint même déposer un chaste baiser sur son pubis. Soudain des mains vigoureuses empoignèrent ses bras les faisant passer dans le dos pour la menotter aux poignets. Des mains douces effleurèrent ses mollets, parfois osant aller jusqu’aux genoux. Puis Elisa fut conduite de nouveau à travers la salle, les mains attachées dans le dos. Quelqu’un la fit se mettre à genoux sur un canapé, sa chevelure blonde retombant devant le dossier. Ensuite, elle eut l’impression que tout le monde l’avait abandonnée, le cul en l’air, les mains menottées derrière le dos lorsqu’un lourd beat sortit des enceintes. Elle avait déjà entendu cette rythmique et commença à se torturer l’esprit pour trouver le titre du morceau quand cela lui revint à la huitième mesure.
Nine Inch Nails ! Le titre de la chanson est closer, se dit-elle. C’était une chanson qu’elle et Fred avaient beaucoup écoutée lors de leurs parties de jambes en l’air. Les paroles lui revenaient maintenant : “You let me violate you, you let me penetrate you” ponctuées par ce refrain “I wanna fuck you like an animal, I wanna feel you from the inside.” Serait-il possible que Fred soit derrière tout ça ? La panique revint au galop, lui coupant la respiration. Le salaud, si c’est lui qui est derrière tout ça, je le tue, songea-t-elle. Trent Reznor entonnait le premier refrain quand de nombreuses mains (des dizaines ?) se mirent à parcourir ses jambes. Elles caressaient, tâtaient, effleuraient, frottaient quand une paire de mains calleuses enserra son postérieur. C’est Fred se dit-elle. Ce sont ses mains ! Mais avant qu’elle pousse sa réflexion plus avant, deux doigts furent insérés dans son vagin et ressortirent aussitôt. On lui lâcha les fesses et elle entendit une personne faire le tour du canapé quand elle sentit l’odeur de ses propres sécrétions sous son nez. L’homme (Fred) me fait renifler mon entrejambe pensa-telle. Mais les doigts frôlaient déjà ses lèvres et s’y logèrent sans qu’elle y oppose la moindre objection. Deux secondes plus tard elle les goûtait du bout de la langue avant de finir par les sucer.
Les quatre hommes et les deux femmes exploraient ses jambes et le haut de ses cuisses. La brune faisait remonter ses mains vers ses fesses et s’empara des parties les plus charnues qu’elle massa. Un des hommes embrassa les pieds d’Elisa en les couvrant de doux baisers avant de commencer à les lécher. La blonde caressait l’intérieur de ses cuisses et s’approchaient dangereusement de ses lèvres génitales qui luisaient encore et encore de fluides vaginaux. La brune écarta les fesses d’Elisa et chatouilla sa raie avec un plumeau violet qu’elle avait placé sur le sofa. L’homme de l’autre côté du canapé se faisait toujours sucer les doigts.
Elisa avalait les doigts recouverts de ses sécrétions et sentait les mains qui découvraient chaque centimètre carré de la partie inférieure de son corps. Cela fit grimper son désir qui se mua très vite en excitation quand elle prit conscience qu’on lui léchait les orteils. Et quand la bouche absorba son gros orteil, elle ne put réprimer un gémissement de contentement. Elle adorait qu’on lui suce les doigts de pied. Fred passait parfois des dizaines de minutes à les savourer. Et quand il en avait fini avec les pieds, il s’emparait de son entrejambe qu’il dégustait jusqu’à ce qu’elle jouisse. Puis elle faillit se tordre de rire quand (une plume ? s’imagina-t-elle) chatouilla sa raie des fesses.
La brune remarqua que le plumeau provoquait des chatouilles et n’insista pas. A la place elle saisit un godemiché en verre transparent et le frotta contre la motte d’Elisa. La blonde fit le tour du sofa pour rejoindre le mec qui se faisait sucer les doigts. Ce dernier venait de faire descendre son pantalon et retira ses doigts pour enlever son caleçon derrière lequel son dard pointait. La blonde se pencha et roula une pelle à Elisa qui l’embrassa avec la même fougue. Deux mecs continuaient à lécher et sucer chacun un pied alors que les deux autres agrippaient ses fesses qu’ils ouvraient, écartaient, claquaient, refermaient pour recommencer dans le même ordre.
Elisa était trempée ! Savoir qu’elle était à la merci de tous ses hommes et femmes la rendait folle d’excitation. Elle désirait gouter à leur sexe, qu’ils la prennent à tour de rôle ou à même temps. Elle se croyait prête à être une véritable putain, capable d’assouvir tous les vices des ses messieurs dames ! Puis l’objet qui allait coulisser entre ses jambes, appuya un peu plus sur ses lèvres avant de s’enfoncer au fond de son ventre. Derrière le bandeau elle sentait que l’homme devant elle (Fred ?)L’homme qui avait eu une relation sexuelle avec Elisa se mit derrière elle et fourra deux doigts dans sa fente, se contentant de mettre la ficelle du string de côté, sans prendre la peine de retrousser sa robe. Il palpait les parois vaginales d’Elisa avec la pulpe des doigts, ce qui avait l’air de lui plaire car, très vite, elle se mit à se trémousser pour les faire appuyer aux bons endroits. L’homme sur la chaise demanda à la blonde qu’elle se relève et qu’elle lèche la poitrine d’Elisa. Cette dernière excitée, faisait glisser les bretelles de sa robe pour donner libre accès à ses seins, déjà durcis par l’excitante suggestion. Elle avait perdu toute notion élémentaire ! Le bien, le mal ! Il ne restait que le désir et la luxure ! Rien d’autre ! La blonde suça le téton droit d’Elisa tout en faisant rouler le gauche avec son autre main jusqu’à ce qu’il pointe. Puis elle embrassa le gauche en molestant le droit. Elisa adorait qu’on lui écrase les tétons. Cela la rendait chaude comme la braise. L’homme prit la blonde en levrette et celui qui s’amusait avec ses doigts les enleva et sortit son gros chibre qu’il mit sous les yeux d’Elisa. Elle regarda sa bite et ne put s’empêcher de la prendre en bouche, savourant l’odeur de sa propre chatte, imprégnée sur celle-ci. Sa langue fusa sur le gland un bon moment avant d’ingurgiter le pénis. Il manquait quelques centimètres qui dépassaient des lèvres d’Elisa mais elle ne pouvait en avaler plus sans dégobiller. La blonde caressait le sein gauche d’Elisa et avait placé sa main droite entre ses propres cuisses pour se peloter le clitoris ou caresser les couilles de celui qui la prenait par derrière. Il s’acharnait sur sa chatte, son sexe large tambourinait à l’intérieur, écartant de plus en plus le fourreau rose qui était devenu aussi tendre que du beurre. La blonde avait le regard qui s’embrumait, ses fesses s’agitaient et s’empalaient sur la queue dont le propriétaire commençait, lui aussi, à grogner de plaisir.
Elisa prolongea la pipe, lâchant le phallus du gars par moment pour le ravaler l’instant suivant. Puis il quitta sa bouche pour proposer son vit à la blonde qui le goba immédiatement dès qu’il fut à portée. Cela la rendit jalouse. Elle lui en voulait ! Personne ne lui avait fait un coup pareil ! Aucun homme ne s’était retiré de sa bouche ! Et qui plus est, pour coller sa verge dans le bec d’une autre ! Elle allait se relever, vexée, mais avant qu’elle ait put se mettre debout, des bras puissants la ceinturèrent.
Puis elle sentit contre ses fesses quelque chose de dur. D’un coup, une main souleva sa robe et descendit son string à mi-cuisse. Pourtant elle était toujours ceinturée par les bras musclés qui la maintenaient captive. Elle tourna la tête pour voir qui venait de la déshabiller, quand elle vit la brune, nue, à l’exception de ses talons aiguilles qu’elle avait remis. Accroupie, elle avait l’air de reluquer le cul d’Elisa. Ou sa vulve. Le mec qui la maintenait par la taille se rapprocha d’elle et écrasa son sexe contre le sien. La brune, toujours dans la même position se mit à lécher ses couilles. Elisa appuyait son postérieur contre la bite inquisitrice. Elle sentait la tête de la femme contre le haut de ses cuisses et elle regarda par-dessus son épaule pour la voir sucer les bourses de l’homme qui la contenait. Il frotta le sommet de son gland contre le vagin d’Elisa. Cela l’excita, et elle fut même prise de bouffées de chaleur, et lorsque la brune passa sa douce langue sur sa chatte, elle recula d’un mouvement vif, et se planta sur le phallus tendu, qui jusque là s’était contenté de jouer à frotti frotta.
La blonde pompait toujours l’ingrat qui s’était retiré de la bouche d’Elisa. Celui qui la baisait par derrière venait de changer de trou. Il martelait son anus, se retirant à chaque aller-retour pour disparaître ensuite au fond de son cul, s’insérant jusqu’à la garde. La blonde étouffa ses cris de jouissance en absorbant la queue du gars qui, emprisonné dans sa bouche, ne put se retenir d’y gicler. Celui qui la sodomisait continua quelques secondes de plus avant de sortir son sexe et d’éjaculer entre ses fesses. Elle se leva et alla embrasser le mec qu’elle suçait qui fut surpris lorsqu’il constata qu’elle avait gardé son sperme en bouche et qu’elle le répandait dans la sienne tout en continuant à faire tournoyer sa langue autour de la sienne. Au début, il fut dégoûté, mais rapidement, l’excitation prit le dessus et il joua lui aussi à transvaser son foutre d’une bouche à l’autre.
La brune aspirait les lèvres d’Elisa, titillait son clitoris, léchait sa fente pendant que le gars derrière elle la pénétrait avec douceur et beaucoup de tendresse. Elle était aux anges et son excitation était en train de s’emballer comme son cerveau d’ailleurs qui diffusait des scènes pornographiques quelque part dans un recoin sombre de son esprit. Elle en voulait plus !
Elle aurait aimé que les trois autres mecs se joignent à la fête. Elle en aurait sucé un pendant qu’elle aurait branlé les deux autres. La blonde aurait regardé le spectacle, assise sur une chaise les jambes grandes ouvertes, se caressant tout en feulant de plaisir. D’un coup, celui qui l’avait ceinturée, stoppa net ses rêveries quand il intensifia la pénétration, accélérant la cadence. De la cyprine dégoulinait de sa chatte que buvait la brune, lapant la vulve et parfois aussi la queue du type qui se plantait de plus en plus violement entre ses reins. Elle avait le souffle court, le regard dans la brume et fut mentalement projetée dans une autre dimension quand la blonde rejoignit la brune pour lui offrir le meilleur cunnilingus de sa vie. De concert, elles la dévorèrent avec leurs lèvres humides et leur langue vicelarde léchant aussi bien le con d’Elisa que son trou du cul.
Les trois autres hommes observèrent la scène en se frottant le manche. Ils mataient les deux filles entre les jambes d’Elisa qui s’embrassaient à pleine bouche et promenaient leur langue dans ses orifices. Parfois les deux langues, collées, goutaient au même trou ! Elisa gémissait, haletait, criait des « bouffez-moi les filles », des « oh oui. Là c’est trop bon » et autres bout de phrases du même style. L’homme qui la prenait par derrière se retira et alla vers ses compères. Il chuchota quelque chose à leur oreille et tous sortirent de la pièce.
Elisa, trop occupée à apprécier l’attention toute spéciale que les deux filles lui prodiguaient, ne remarquât pas que les hommes étaient sortis. Elle s’était bien rendue compte que le mec avait quitté sa foufoune, mais cela n’avait aucune importance sur le moment, car les deux nanas sous ses cuisses lui donnaient du plaisir comme elle n’en avait jamais ressenti. Elle aurait voulu leur rendre la pareille et ouvrit un instant les yeux. présentait sa bite à ses lèvres. Elisa l’absorba et effectua de lents va-et-vient, en exagérant les bruits de succion. Puis un doigt entra dans son anus ! Il s’y figea un instant avant de faire des petits allers-retours. Rapidement il fut remplacé par une épaisse queue qui s’engouffra jusqu’à la garde et ressortit. A ce moment là, Closer se termina et une bite (« moins grosse », pensa-t-elle), que celle ayant ouvert le passage, s’immisça entre ses fesses et commença une douce et lente sodomie. Ce fut à cet instant que Liz Fraser entonna :
“Love,love is a verb
Love is a doing work
Fearless on my breath.”
Elle reconnut immédiatement la chanson. Teardrop de Massive Attack, une autre chanson qu’elle avait écoutée en boucle avec Fred. Le salaud ! Il est à l’origine de cette folle histoire et il va le… Mais une voix, celle de la luxure, lui susurra de profiter de l’instant présent. Et ce fut ce qu’elle fit. Elle engloutit le sexe de Fred et le mordit gentiment ce qui provoqua un petit cri et un mouvement de recul de sa part.
- Tu n’es qu’un petit enfoiré, dit-elle, haletante sous les effets provoqués par la sodomie, quand il se retira.
- Je sais... Mais… Regarde ! Je suis en train de réaliser le fantasme dont nous nous sommes souvent inspirés lors de nos jeux érotiques. Et d’ailleurs lorsque tu as cru me prendre la main dans le sac, je n’étais qu’en train de préparer ce plan, certes diabolique, avec les charmantes jeunes filles avec lesquelles tu t’es bien amusée . Du moins c’est ce qu’il m’a semblé.
- Pourquoi tu ne me l’as pas dit ?
- Pourquoi ? Tu étais tellement furieuse que tu ne m’as pas laissé en placer une. Et tu m’as mis à la porte, jetant toutes mes affaires par les fenêtres. Tu as déjà oublié ?
Il avait raison ! Elle ne lui avait laissé pas la moindre chance d’explication. Elle avait même bazardé ses vinyles du balcon ainsi que ses habits, que le pauvre essayait de rattraper, avant qu’ils ne se fracassent ou se salissent lors de l’atterrissage. Elle s’en voulait un peu et ne put trouver mieux que de reprendre sa fellation en lui annonçant qu’elle allait lui « vider les couilles », une expression qu’elle employait souvent quand elle le faisait jouir qu’avec la bouche. Un instant décontenancé, il hésita et s’approcha d’elle et présenta à nouveau son pénis qu’elle fit disparaitre au fond de la gorge.
Tout ce qu’il avait vu à travers les trous, caché derrière une tapisserie des murs, l’avait fortement émoustillé. Il avait toujours aimé imaginer sa copine dans les bras d’autres hommes ou femmes en sa présence. Il lui avait fallu plus de cinq mois pour mettre au point cette soirée. Il avait passé de nombreuses heures à parcourir le web à la recherche d’individus susceptibles de participer à son orgie savamment orchestrée. De site en site, il avait avancé pas à pas jusqu’à ce qu’il trouve la perle rare qui proposait de réaliser n’importe quel fantasme contre une somme conséquente. Le site lui avait proposé ce manoir comme lieu des ébats et lui avait fourni une liste de personnes prêtes à assouvir les fantasmes des autres contre de l’argent. En discutant avec les filles et les quatre hommes, il avait appris qu’ils avaient été acteurs porno dans le passé et étaient rentrés dans cette boite un peu spéciale qui garantissait leur intimité avec le port de masques obligatoire pour les clients et les employés. D’ailleurs Fred avait toujours mis le sien (offert gratuitement par le site) lors de leur rencontre, et les autres en avait fait de même.
Elisa pompait la tige de Fred qui effleurait sa chevelure du bout des doigts. La blonde était retournée sur le canapé et s’étaient glissée entre le ventre d’Elisa et le dossier afin d’avoir accès à ses seins qu’elle suçotait pendant que la brune la fourrait avec le gode en verre. Un homme continuait à savourait ses orteils tandis que le second s’était enfilé dans la chatte de la brune qu’il baisait avec ardeur, ses hanches heurtant les fesses de sa partenaire. Les deux autres entraient et sortaient du cul d’Elisa, se relayant quand un était fatigué ou sur le point d’éjaculer. Elisa aurait criait de plaisir si la queue de Fred n’encombrait pas sa bouche ! Son esprit flottait sur un nuage aussi rose que l’intérieur de ses orifices. Elle allait jouir du cul ! Cela faisait prêt de dix minutes qu’ils emplissaient son rectum de leur sexe et sa fente subissait le même sort avec le sextoy depuis encore plus longtemps. Les trois orifices comblées Elisa explosa une première fois, son corps transporté par des soubresauts. Cela précipita l’éjaculation de Fred qui déversa son sperme dans sa bouche. Elle l’avala jusqu’à la dernière goûte, pour la première fois de sa vie, et cela ne fit qu’accentuer sa lubricité. Elle en voulait encore et le clama haut et fort :
« Baisez-moi encore ! »
Les deux hommes qui lui prenaient le cul se répandirent ensemble sur ses fesses quelques secondes après Fred. A ce moment là, la brune ressortit le gode et savoura les sécrétions d’Elisa en les lapant, sa tête se balançant sous les coups de reins de l’homme qui la prenait en levrette. La bonde aspirait ses tétons qui avaient durci sous sa bouche experte. Celui qui lui suçait les pieds avait rapidement nettoyé le foutre des gars qui l’avaient enculée, afin de lui aussi, pouvoir passer par la porte de derrière. Fred était retourné de l’autre côté du sofa et observait la scène d’un autre angle. La brune plongea sa langue dans la fente d’Elisa et la fit tournoyer sur ses lèvres en l’insérant de temps à autre dans son tunnel rose. Le mec qui la baisait passa à la vitesse supérieure, faisant tressauter ses fesses chaque fois que son pubis entrait en contact avec celles-ci. Celui qui essayait d’entrer dans son rectum était monté sur le canapé. Il était sur la pointe des pieds, jambes écartées à l’extérieur de celle d’Elisa, ses couilles ballotant sur la chevelure de la brune qui persistait à la brouter avec beaucoup de gourmandise. Dans cette position il avait du mal à atteindre son petit trou mais quand il y parvint, il s’engouffra dans cet abime souvent interdit pour y disparaitre complètement.
Fred examinait la scène avec une attention toute particulière. Sa vue se focalisait sur cet enchevêtrement de corps nus qui s’emboitaient ou se savouraient. De voir Elisa se faire lécher par deux filles alors qu’un homme la sodomisait et qu’un autre défonçait la chatte de celle qui lui dévorer le con, lui fit recouvrir sa vigueur. Sa verge cognait contre son ventre quand il fit de nouveau le tour du canapé et bécota tendrement son ex (peut-être qu’on est de nouveau ensemble songea-t-il un court instant) qui glissa sa langue entre ses lèvres humides. Il aurait voulu lui dire quelque chose mais il ignorait par où commencer. Il se contenta de l’embrasser pendant que trois personnes prenaient possession de son corps livré en une sorte d’offrande orgiaque dont il était le principal responsable. Elisa eut un nouvel orgasme, encore plus violent que le précédent. Cette fois-ci, ce fut son clitoris qui l’a propulsa au septième ciel. Celui qui la sodomisait se retira et amena son sexe vers la brune qui le masturba jusqu’à ce qu’il éjacule sur ses gros seins pendant que l’autre labourait son abricot. Ce dernier jouit sur ses hanches, quasiment au même moment où l’autre déchargea sur sa généreuse poitrine. L’autre femme cessa de palper la poitrine d’Elisa et sortit du sofa.
Fred s’approcha d’Elisa et l’embrassa tendrement pendant que les six autres quittaient discrètement la pièce. Puis, il fit une nouvelle fois le tour du canapé, la releva et la conduisit, toujours les yeux bandés et les mains attachées derrière le dos, vers la grande table où il l’allongea après lui avoir détaché les mains. Son pénis était encore en pleine forme et il le planta entre ses jambes qu’il releva pour prendre appui dessus. Lentement ils firent l’amour avec beaucoup de tendresse avant de s’écrouler côte à côte sur la table. Elisa regardait le plafond, son visage fendu d’un large sourire. Fred se tourna vers elle, et lui annonça qu’il l’aimait. Elle ne répondit rien, puis elle se leva et lui tendit la main pour l’aider à se mettre debout. Elle plongea alors ses yeux bleus dans les siens et déclara :
« Rentrons chez nous. Je suis épuisée. »

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