Titre de l'histoire érotique : Isabelle et Thomas - histoire érotique

Thomas était à la fois anxieux et excité. Il marchait rapidement dans la rue, voulant atteindre l’hôtel où Isabelle était descendue le plus rapidement possible. Thomas et Isabelle se connaissaient depuis deux longues années maintenant, mais une forte distance les séparait tout de même. Ainsi, lorsqu’un festival annuel poussa Isabelle à séjourner en ville pendant plusieurs jours, ni l’un ni l’autre n’hésitèrent bien longtemps à profiter de l’occasion pour passer du temps ensemble…

Thomas mesurait 1m80, avec des cheveux châtains moyennement longs, bien assortis à ses yeux marron. Il portait ce jour-là une chemise blanche à manches longues, ouverte, les deux manches retroussées jusqu’aux coudes, un t-shirt gris, un jean bleu et des baskets noires. Il savait très bien qu’Isabelle trouvait les chemises très « sexy », et ce fait était bien présent dans son esprit lorsqu’il eut à se préparer quelques heures plutôt pour venir à la rencontre d’Isabelle.

Arrivé à l’hôtel en question, il resta figé devant la porte pendant trente bonnes secondes, avant de se reprendre et de frapper, avec détermination, sur la porte. Isabelle ne mit pas longtemps pour ouvrir la porte et, accueillant Thomas avec un large sourire, invita ce dernier à entrer. La porte à peine ouverte, Thomas dévorait déjà Isabelle des yeux. Elle était légèrement plus âgée que Thomas, lui en avait 21 et elle 27. C’était une sublime jeune femme d’environ 1m75, plutôt sportive, dotée d’une poitrine généreuse, avec de longs cheveux bruns, repoussés en arrière, qui descendaient jusqu’aux épaules. Elle portait un débardeur noir qui moulait fermement sa poitrine, offrant également une belle vue sur son décolleté, ce que Thomas ne manqua assurément pas de remarquer immédiatement.

Thomas et Isabelle avaient, en deux ans, développé une relation « amicale » plutôt ambigüe, il n’était pas rare qu’ils se retrouvaient soudainement, au cours d’une conversation, à flirter de manière assez intense. Thomas avait fini par éprouver une passion dévorante pour Isabelle, elle l’excitait, il la convoitait, il brûlait d’envie pour elle.

Ils s’installèrent sur le canapé de la chambre, et commencèrent à discuter pendant environ trente bonnes minutes… Thomas ne cessait de dévorer Isabelle des yeux, ce qu’elle remarqua évidemment très rapidement. Après avoir décidé du programme de la journée, Isabelle se leva pour rejoindre la salle de bain afin de terminer de se préparer rapidement, suivie par Thomas. Isabelle était face au miroir de la salle de bain, tandis que Thomas se tenait en plein milieu de l’entrée de la pièce, à quelques pas derrière Isabelle. Il contemplait le reflet d’Isabelle dans le miroir… mais la contemplait également elle, de dos. Il déclara alors :

- « C’est pour moi que tu te fais belle, Isa ? Tu n’as pas besoin de ça pour être belle à mes yeux, tu sais… »
- « Ahaha, Thomas ! J’aime vraiment quand tu sors de belles phrases comme celle-ci. »
- « Et je peux t’assurer qu’elles sont tout à fait sincères, tu es sublime. »
- « Tu es vraiment adorable ! »

Thomas s’approcha lentement d’elle, tandis qu’elle finissait tout juste de se préparer. Elle était toujours face au miroir, et Thomas derrière elle. Il posa soudainement, mais délicatement, ses mains sur les épaules d’Isabelle, les faisant descendre lentement le longs de ses bras, jusqu’à atteindre les avant-bras. Il plaça alors ses mains sur les hanches d’Isabelle, qui demanda aussitôt :

- « Thomas ? Que fais-tu… ? »
- « Tu as toujours aimé l’inattendu, non ? »

Elle ne répondit pas, mais se contenta alors d’esquisser un large sourire avant de se retourner lentement pour faire face à Thomas. Elle plaça ses mains sur le cou de Thomas, approchant lentement sa tête de la sienne avant d’embrasser langoureusement ce dernier.

Elle remarqua très vite la bosse au niveau du pantalon de Thomas, qui trahissait la puissante érection qui ébranlait alors le sexe de ce dernier. Sans plus de cérémonies, elle l’attrapa par la main et l’emmena dans la pièce d’à côté… la chambre. Dans un vif mouvement de bascule, elle poussa Thomas, qui atterrit sur le lit, sur le dos. Isabelle se mit à califourchon sur lui, se baissa, et l’embrassa avec fougue, tout en passant une main dans ses cheveux, et l’autre dans son pantalon, au niveau de son sexe. Elle se redressa, dézippa la braguette du jean de Thomas, pendant que ce dernier retirait le débardeur d’Isabelle. Elle arracha le jean de Thomas et retira son caleçon, laissant apparaître son sexe, qui bandait avec une férocité inouïe. Isabelle esquissa un large sourire, prit le sexe de Thomas en main, commençant de lents mouvements de va-et-vient avant de déclarer :

- « Je vois que mon jouet est déjà bien durci… ce n’est que maintenant que tu te décides à m’en faire profiter… ? »

Avant même que Thomas n’eut l’idée de répondre, elle commença une pompe divine, léchant d’abord sa queue et le gland, avant de le prendre complètement en bouche. Ce n’était que le début, mais elle sentait déjà l’extase qui envahissait lentement le corps de Thomas. Elle se remit ensuite à califourchon sur Thomas, et inséra le sexe de ce dernier dans le sien. Thomas agrippa fermement les seins d’Isabelle, qui commençait alors de lents va-et-vient, augmentant progressivement la cadence. La superbe poitrine d’Isabelle sautait de plus en plus, au fur et à mesure que la cadence des va-et-vient augmentait… Thomas agrippa soudainement les hanches d’Isabelle, s’assit, et embrassa avec fougue Isabelle, avant de retrouver sa position initiale, gémissant de plaisir.

Ils changèrent de position au bout de quelques instants, Thomas se positionna derrière Isabelle pour prendre cette dernière en levrette, inséra son sexe… et à la différence d’Isabelle, il ne décida pas de commencer lentement. Doté d’une vigueur inouïe par la scène qui se déroulait, ses ardeurs renforcées par le plaisir immense que lui procurait la vue du corps sublime d’Isabelle, il agrippa les cheveux de cette dernière, tout en maintenant toujours son autre main sur une des hanches de cette dernière. Ils hurlaient tous les deux plaisir.

Après un long moment, Isabelle plaqua de nouveau Thomas sur le dos, et branla ce dernier avec force.

- « Vas-y ! Soulage-toi ! Donne-moi ton foutre ! »
- « Oh, Isabelle ! Oh, oui ! Oh, continue, bordel ! »

Il éjacula en jets puissants, toujours en gémissant de plaisir, et surtout, au plus grand plaisir d’Isabelle. Ils s’allongèrent l’un à côté de l’autre, leurs corps étaient chauds, ils étaient épuisés… si bien qu’ils ne tardèrent pas à rejoindre Morphée.