Titre de l'histoire érotique : J'ai jouis quatre fois
Récit érotique écrit par God(e) of Sex [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2017 dans la catégorie Pour la première fois
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Titre de l'histoire érotique : J'ai jouis quatre fois
Une fois de plus, en refermant mon ordinateur, un sentiment de culpabilité m’envahit. De la semence plein les doigts, je ne savais plus quoi faire de ceux-ci pour effectuer le reste des tâches à accomplir : nettoyer mon entre-jambes, mes mains, me rhabiller, mais en tout premier : attendre que mon sang cesse de tant affluer mon engin que je voyais se désenfler progressivement. Ce rituel élémentaire suivait toujours cette activité caractéristique puisque, à l’âge de vingt ans, bien que je n’eu jamais l’occasion de goûter aux beautés du désir charnel, je m’adonnais en revanche très régulièrement au plaisir solitaire. C’est pour cette raison que je me sentais honteux. Mon existence vierge de relation sexuelle me complexait et je n’attendais qu’une chose : expulser de mon être cette frustration qui m’habitait depuis tant d’années. Mais bien sûr, j’étais trop gêné, ou timide, pour oser tenter un quelconque premier pas vers une personne du sexe opposé afin de me libérer. Je ne savais si je croyais encore à cette lubie qu’est le grand amour et que mon attente se révèlerait justifiée lorsque le moment de notre rencontre serait venu, ou si j’étais simplement trop peu sentimentalement dynamique pour bâtir une relation. J’étais pourtant socialement actif, j’étais très apprécié, je connaissais beaucoup de monde, j’avais à mon actif bon nombre d’activités qui me permettaient de multiples nouvelles rencontres, mais lorsqu’il s’agissait de sentiment, ou même d’assouvir ce besoin rudimentaire qu’est le plaisir du corps, je me révélais alors aussi subtil qu’un bâton de bois.
Bref, je faisais un tour en voiture, seul, musique à fond afin de se faire évader de ma tête ces idées sombres qui m’envahissaient. J’avançais sans vraiment trop savoir où j’allais, l’asphalte grésillait sous mes pneus et les paysages défilaient sous mes yeux. Je cru alors reconnaître la maison d’un ami, Silvano, avec qui je m’entendais assez bien. Sous l’effet de la surprise puisque cet ami habitait vraiment loin de chez moi, je ralentis, et me retrouvai effectivement face à la bâtisse que je connaissais assez bien pour y avoir passées quelques soirées arrosées en compagnie de nos amis, et parfois même, lorsque nous étions en comité réduit, de sa magnifique mère, Alina, à la peau lisse comme la pelure d’une pêche et aux couleurs non sans rappeler ses origines méditerranéennes. Avec son physique non négligeable, il était de notoriété publique que la mère de Silvano était une femme désirable. De plus, le célibat de cette dernière nous nourrissait tous de fantasmes insatiables puisqu’on devinait qu’une dame de cette trempe ne puisse s’intéresser à gamins de nos âges. Dans l’espoir de parler avec mon ami, je frappai à la porte, trois coups distincts. Lorsque je vis la porte s’ouvrir, quelle ne fut pas ma stupeur en voyant le visage qui venait d’apparaître de voir qu’il ne s’agissait pas de mon ami, mais de sa mère, merveilleusement vêtue d’une légère robe noire qui laissait deviner ses formes affriandantes. J’étais bouche bée par sa beauté. Simple, délicate, sobre, tout ce qu’elle était me faisait tourner la tête. Sa robe tournoyant dans l’air sous l’effet du vent, elle me dit :
-Oh, salut Steeve, je ne t’attendais pas. Tu désires voir Silvano, je suppose ?
-Bonjour, Alina, lui répondis-je, d’un air nias probablement, toujours sous son charme. Exactement, est-ce qu’il est là ?
-Je suis désolée, mais malheureusement il est de sortie ce soir. Mais rentre quand même si l’envie t’en dit !
D’abord surpris, je supposai qu’elle me proposait cela par pure politesse, je lui répondis donc :
-Oh non, merci pour la proposition, je ne voudrais pas vous déranger.
-Au contraire, me dit-elle, rentre ! Ça serait dommage que tu aies fait tout ce trajet pour rien ! répondit-elle en affichant un sourire ravageur qui en avait fait sûrement craquer plus d’un.
Face à de pareils arguments, je ne pouvais que céder. Mais bon, je n’étais pas contre passer quelques minutes en compagnie d’une des plus belles femmes qu’il m’ait été donné de voir.
-Vous avez gagné, dis-je en signe de défaite.
Sur ces paroles, j’entrai dans la maison des songes. Elle ferma la porte et me guida vers le living où elle me débarrassa de mon manteau. Ses gestes étaient doux et lents et je ressentis un léger tressaillement lorsque ses doigts effleurèrent ma main pour saisir ma veste.
Un peu gêné de me retrouver seul avec la superbe mère de mon ami chez lui, je ne savais que dire. Le silence devenant pesant, je me lançai pour un compliment :
-Je suppose que vous êtes occupée ce soir au vu de cette magnifique tenue.
Compliment certes maladroit mais qui fit son effet puisque je vis de nouveau la rangée de dents blanches entre ses lèvres que je devinais pulpeuses.
-Oh oui, merci, tu as remarqué, dit-elle en transformant son sourire en un air un peu triste qui s’afficha sur son visage. J’avais rendez-vous ce soir, mais Monsieur a annulé et a préféré passer sa nuit à travailler sur une « urgence » m’a-t-il dit.
-Je me demande quel genre d’homme préférerait une nuit de travail à une nuit en votre compagnie, dis-je, véritablement surpris.
J’avais lâché cette réflexion abrupte sans aucun tact, sans la contrôler, puisqu’il s’agissait de ma véritable pensée, et non de ce que je voulais en fait dire.
Dans le même temps, je me retournai et vis dans la salle à manger une belle petite table dressée dans l’optique d’une soirée romantique. Pétales de roses, flûtes, vin, champagne, les ingrédients étaient présents pour qu’Alina et Monsieur passent une bonne soirée.
-Eh bien dans ce cas tu es mon rendez-vous galant de ce soir, dit-elle en poussant un rire fort.
Je rigolai avec elle puisque je savais qu’elle disait cela en me considérant comme l’enfant qu’est son fils pour elle, mais mon cerveau tournait trop vite sous la pression de cette proposition et alimentait déjà mon imagination grandissante. Mais au vu des circonstances, le quiproquo était aisé et je me permis donc de passer cette soirée en sa compagnie dans l’objectif de la séduire.
-Avec grand plaisir !
Je pris une des chaises en l’invitant à s’asseoir, et fis de même pour ma part sur celle d’en face. La table était ronde, ce qui nous permettait d’être relativement proches, assez en tout cas, pour voir cette pointe de pétillant dans ses yeux qui lui était propre. La conversation était passionnante, pleine de vélocité, de vie, mais surtout de joie de vie. Les rires étaient puissants et sonores, vrais. Ils venaient du cœur et n’importe quel témoin, s’il y en avait eu, aurait pu vous affirmer que les deux personnes que nous étions et qui apprenaient à se connaître ont créé dès le début une relation particulière, spéciale, comme si les deux protagonistes se connaissaient depuis toujours mais se révélaient aussi, sans artifice, tels qu’ils étaient. Nous parlions de tout et de rien, mais le plus infime détail de la moins intéressantes de nos conversations avait son importance, mais surtout, une oreille sincère pour l’écouter. Nous naviguions donc sur toutes sortes de sujets : Silvano, son père, elle se confia à moi, sa famille, son pays qui lui manquait tant. Nous enchaînions les mets, en passant de l’apéro aux fromages en passant par l’entrée, et surtout, le repas principal. Des repas succulents, préparés avec amour disait-elle, puisqu’il s’agissait selon sa famille de l’ingrédient ultime pour mener à bien une recette transmise de génération en génération. Chaque détail de son repas me permettait d’admirer un peu plus chaque seconde son visage, son nez fin, ses yeux expressifs, ses pommettes, ses joues rondes, ses lèvres sur lesquelles je voyais se dessiner sa salive, mais aussi son corps, ses formes, son décolleté qui m’offrait une vue des plus plaisantes lorsqu’elle s’avançait vers moi pour partager un rire, une histoire, ou un secret. Sa peau n’était pas la seule partie de son corps à me renvoyer vers ses racines : le bleu de ses yeux me rappelait la clarté sans égale de la mer de Genova ; ses cheveux noirs de jais me renvoyaient à la profondeur et à la complexité de son être ; son humeur changeant me faisait penser aux montagnes de Naples dont les sentiers sont imprévisibles mais dont la vue est, arrivé au sommet, splendide ; ses manières et son sourire ressemblait à ceux des plus honorables divas, et enfin, ses courbes sans pareil me poussait à la confondre avec les plus beaux tableaux et chefs d’œuvres de son pays : l’Italie.
La soirée prenait une tournure inattendue mais charmante. Je passais réellement un moment exceptionnel, et j’espérais qu’elle aussi. Les verres s’enchaînaient, et bientôt ce fut le tour des bouteilles. Le vin et le champagne étaient délicieux, mais après trois bouteilles de chaque, les effets se faisaient ressentir au niveau de la tête. Les conversations étaient donc plus légères, plus aérées, plus drôles. Chaque rire était poussé au maximum de ses capacités et la complicité se faisait de plus en plus forte. Elle en profita donc pour se lever d’un bond, enlever ses hauts talons, ce qui me permis de regarder du coin de l’œil ses pieds fins et délicats et s’affaler sur le fauteuil. Depuis ma chaise, je la vis saisir une télécommande, et bientôt la sono installée dans toute la maison diffusa une musique de jazz très sexy, très envahissante, ce genre de musique de fond qui vous prend par les tripes et qui vous permet de faire de grandes choses.
-Viens t’asseoir près de moi !
Je lui obéis sur le champ.
Une fois assis à côté d’elle, je sentis ses cuisses serrées contre les miennes, son odeur corporelle qui respirait la liberté, son haleine presque haletante dont les vapeurs m’excitaient presque, mais surtout, ses pieds sur mes jambes, pour lui permettre de s’asseoir confortablement, qui se reposaient sur mon sexe qui commençait à durcir de façon exponentielle. La tension sexuelle était palpable, et chaque mot, chaque geste, chaque odeur qu’elle dégageait me renvoyait à mon excitation grandissante. Je ne savais pas encore si le sentiment était réciproque, mais j’avais l’impression qu’elle faisait tout ce qui était en son pouvoir de femme désirable, aux courbes parfaitement dessinées, à la poitrine que je devinais ferme sous sa robe noire et ses hanches suffisamment larges pour me permettre d’imaginer deux fesses, telles deux globes qui se rencontrent tant elles étaient belles, pour faire naître en moi le feu de l’excitation.
Bientôt je n’arriverais presque plus à me contenir et c’est ce moment qu’elle choisit pour me dire :
-Ah mais au fait, je ne t’ai pas encore donné ton dessert il me semble.
Sous le charme, sous le choc, je ne savais que répondre. Je ne savais pas non plus si le mot « dessert » était judicieusement choisi pour me faire passer un message ou s’il s’agissait simplement d’un hasard.
-Effectivement, je n’ai pas encore eu cette chance, lui répondis-je sobrement.
Elle m’interrompit dans mes pensées bien trop désorganisées pour confirmer tous les soupçons que j’avais depuis le début de cette soirée en approchant tendrement son visage du mien, ses lèvres pulpeuses mises en évidence. Elle ferma les yeux, j’inclinai mon visage pour accueillir son baiser sur mes lèvres. C’est comme si une révélation naissait en moi : toutes ces idées que je me faisais depuis plusieurs heures se révélaient vraies, en cet instant précis. Nous échangions nos salives, nos bouches apprenaient à se connaître. Dans un premier temps, seules nos lèvres communiquaient mais elles ne tardèrent pas à s’ouvrir pour laisser place à nos langues qui n’attendaient que de se rencontrer. Je les devinais comme des danseuses étoiles qui tournoyaient dans la nuit, les lumières braquées vers elles essayant d’accomplir les plus belles figures de leur carrière. Nos langues se mélangeaient et ne formaient plus qu’une, tantôt dans sa bouche, tantôt dans la mienne. Nos salives passaient d’un habitacle à l’autre, d’un corps à un autre, pour le plus grand plaisir de mes sens qui étaient en extase. Le baiser durait, nous nous mangions les mâchoires, nous arrêtant parfois pour respirer, et nous reprenions aussitôt l’apnée pour de longues minutes dégoulinantes. Ce qui était au départ un baiser sincère et passionné se transformant en une excitante découverte de bouche fougueuse et téméraire. Nos mains bientôt se baladèrent sur nos corps à la recherche d’excitation. Je sentais ses pieds se refermer, serrer et relâcher mon sexe en érection évidente. Je sentais le sang irriguer chaque millimètre cube de ma verge et celle-ci monter en puissance et en taille sous un pantalon qui avait de la peine à contenir tout ce bonheur. Je ressentais aussi l’effet de ses doigts sur ma peau, en train de se promener dans les recoins de mon corps. Je sentais ses ongles courir le long de mon torse, jouer avec mes poils, me caresser l’intérieur des cuisses et aussi saisir mon visage pour partager un baiser tumultueux. De mon côté, je ne me gênais pas et laissai ma timidité envers les femmes me quittant, en profitant chaque parcelle de sa peau qui s’offrait à moi. Je parcourais ses seins que je sentais pointer sous son soutien-gorge que je devinais un peu étroit. Elle se fit de plus en plus absente et recula en évitant mes lèvres pour me dire :
-Monte dans ma chambre, j’arrive, avec une respiration haletante.
Bref, je faisais un tour en voiture, seul, musique à fond afin de se faire évader de ma tête ces idées sombres qui m’envahissaient. J’avançais sans vraiment trop savoir où j’allais, l’asphalte grésillait sous mes pneus et les paysages défilaient sous mes yeux. Je cru alors reconnaître la maison d’un ami, Silvano, avec qui je m’entendais assez bien. Sous l’effet de la surprise puisque cet ami habitait vraiment loin de chez moi, je ralentis, et me retrouvai effectivement face à la bâtisse que je connaissais assez bien pour y avoir passées quelques soirées arrosées en compagnie de nos amis, et parfois même, lorsque nous étions en comité réduit, de sa magnifique mère, Alina, à la peau lisse comme la pelure d’une pêche et aux couleurs non sans rappeler ses origines méditerranéennes. Avec son physique non négligeable, il était de notoriété publique que la mère de Silvano était une femme désirable. De plus, le célibat de cette dernière nous nourrissait tous de fantasmes insatiables puisqu’on devinait qu’une dame de cette trempe ne puisse s’intéresser à gamins de nos âges. Dans l’espoir de parler avec mon ami, je frappai à la porte, trois coups distincts. Lorsque je vis la porte s’ouvrir, quelle ne fut pas ma stupeur en voyant le visage qui venait d’apparaître de voir qu’il ne s’agissait pas de mon ami, mais de sa mère, merveilleusement vêtue d’une légère robe noire qui laissait deviner ses formes affriandantes. J’étais bouche bée par sa beauté. Simple, délicate, sobre, tout ce qu’elle était me faisait tourner la tête. Sa robe tournoyant dans l’air sous l’effet du vent, elle me dit :
-Oh, salut Steeve, je ne t’attendais pas. Tu désires voir Silvano, je suppose ?
-Bonjour, Alina, lui répondis-je, d’un air nias probablement, toujours sous son charme. Exactement, est-ce qu’il est là ?
-Je suis désolée, mais malheureusement il est de sortie ce soir. Mais rentre quand même si l’envie t’en dit !
D’abord surpris, je supposai qu’elle me proposait cela par pure politesse, je lui répondis donc :
-Oh non, merci pour la proposition, je ne voudrais pas vous déranger.
-Au contraire, me dit-elle, rentre ! Ça serait dommage que tu aies fait tout ce trajet pour rien ! répondit-elle en affichant un sourire ravageur qui en avait fait sûrement craquer plus d’un.
Face à de pareils arguments, je ne pouvais que céder. Mais bon, je n’étais pas contre passer quelques minutes en compagnie d’une des plus belles femmes qu’il m’ait été donné de voir.
-Vous avez gagné, dis-je en signe de défaite.
Sur ces paroles, j’entrai dans la maison des songes. Elle ferma la porte et me guida vers le living où elle me débarrassa de mon manteau. Ses gestes étaient doux et lents et je ressentis un léger tressaillement lorsque ses doigts effleurèrent ma main pour saisir ma veste.
Un peu gêné de me retrouver seul avec la superbe mère de mon ami chez lui, je ne savais que dire. Le silence devenant pesant, je me lançai pour un compliment :
-Je suppose que vous êtes occupée ce soir au vu de cette magnifique tenue.
Compliment certes maladroit mais qui fit son effet puisque je vis de nouveau la rangée de dents blanches entre ses lèvres que je devinais pulpeuses.
-Oh oui, merci, tu as remarqué, dit-elle en transformant son sourire en un air un peu triste qui s’afficha sur son visage. J’avais rendez-vous ce soir, mais Monsieur a annulé et a préféré passer sa nuit à travailler sur une « urgence » m’a-t-il dit.
-Je me demande quel genre d’homme préférerait une nuit de travail à une nuit en votre compagnie, dis-je, véritablement surpris.
J’avais lâché cette réflexion abrupte sans aucun tact, sans la contrôler, puisqu’il s’agissait de ma véritable pensée, et non de ce que je voulais en fait dire.
Dans le même temps, je me retournai et vis dans la salle à manger une belle petite table dressée dans l’optique d’une soirée romantique. Pétales de roses, flûtes, vin, champagne, les ingrédients étaient présents pour qu’Alina et Monsieur passent une bonne soirée.
-Eh bien dans ce cas tu es mon rendez-vous galant de ce soir, dit-elle en poussant un rire fort.
Je rigolai avec elle puisque je savais qu’elle disait cela en me considérant comme l’enfant qu’est son fils pour elle, mais mon cerveau tournait trop vite sous la pression de cette proposition et alimentait déjà mon imagination grandissante. Mais au vu des circonstances, le quiproquo était aisé et je me permis donc de passer cette soirée en sa compagnie dans l’objectif de la séduire.
-Avec grand plaisir !
Je pris une des chaises en l’invitant à s’asseoir, et fis de même pour ma part sur celle d’en face. La table était ronde, ce qui nous permettait d’être relativement proches, assez en tout cas, pour voir cette pointe de pétillant dans ses yeux qui lui était propre. La conversation était passionnante, pleine de vélocité, de vie, mais surtout de joie de vie. Les rires étaient puissants et sonores, vrais. Ils venaient du cœur et n’importe quel témoin, s’il y en avait eu, aurait pu vous affirmer que les deux personnes que nous étions et qui apprenaient à se connaître ont créé dès le début une relation particulière, spéciale, comme si les deux protagonistes se connaissaient depuis toujours mais se révélaient aussi, sans artifice, tels qu’ils étaient. Nous parlions de tout et de rien, mais le plus infime détail de la moins intéressantes de nos conversations avait son importance, mais surtout, une oreille sincère pour l’écouter. Nous naviguions donc sur toutes sortes de sujets : Silvano, son père, elle se confia à moi, sa famille, son pays qui lui manquait tant. Nous enchaînions les mets, en passant de l’apéro aux fromages en passant par l’entrée, et surtout, le repas principal. Des repas succulents, préparés avec amour disait-elle, puisqu’il s’agissait selon sa famille de l’ingrédient ultime pour mener à bien une recette transmise de génération en génération. Chaque détail de son repas me permettait d’admirer un peu plus chaque seconde son visage, son nez fin, ses yeux expressifs, ses pommettes, ses joues rondes, ses lèvres sur lesquelles je voyais se dessiner sa salive, mais aussi son corps, ses formes, son décolleté qui m’offrait une vue des plus plaisantes lorsqu’elle s’avançait vers moi pour partager un rire, une histoire, ou un secret. Sa peau n’était pas la seule partie de son corps à me renvoyer vers ses racines : le bleu de ses yeux me rappelait la clarté sans égale de la mer de Genova ; ses cheveux noirs de jais me renvoyaient à la profondeur et à la complexité de son être ; son humeur changeant me faisait penser aux montagnes de Naples dont les sentiers sont imprévisibles mais dont la vue est, arrivé au sommet, splendide ; ses manières et son sourire ressemblait à ceux des plus honorables divas, et enfin, ses courbes sans pareil me poussait à la confondre avec les plus beaux tableaux et chefs d’œuvres de son pays : l’Italie.
La soirée prenait une tournure inattendue mais charmante. Je passais réellement un moment exceptionnel, et j’espérais qu’elle aussi. Les verres s’enchaînaient, et bientôt ce fut le tour des bouteilles. Le vin et le champagne étaient délicieux, mais après trois bouteilles de chaque, les effets se faisaient ressentir au niveau de la tête. Les conversations étaient donc plus légères, plus aérées, plus drôles. Chaque rire était poussé au maximum de ses capacités et la complicité se faisait de plus en plus forte. Elle en profita donc pour se lever d’un bond, enlever ses hauts talons, ce qui me permis de regarder du coin de l’œil ses pieds fins et délicats et s’affaler sur le fauteuil. Depuis ma chaise, je la vis saisir une télécommande, et bientôt la sono installée dans toute la maison diffusa une musique de jazz très sexy, très envahissante, ce genre de musique de fond qui vous prend par les tripes et qui vous permet de faire de grandes choses.
-Viens t’asseoir près de moi !
Je lui obéis sur le champ.
Une fois assis à côté d’elle, je sentis ses cuisses serrées contre les miennes, son odeur corporelle qui respirait la liberté, son haleine presque haletante dont les vapeurs m’excitaient presque, mais surtout, ses pieds sur mes jambes, pour lui permettre de s’asseoir confortablement, qui se reposaient sur mon sexe qui commençait à durcir de façon exponentielle. La tension sexuelle était palpable, et chaque mot, chaque geste, chaque odeur qu’elle dégageait me renvoyait à mon excitation grandissante. Je ne savais pas encore si le sentiment était réciproque, mais j’avais l’impression qu’elle faisait tout ce qui était en son pouvoir de femme désirable, aux courbes parfaitement dessinées, à la poitrine que je devinais ferme sous sa robe noire et ses hanches suffisamment larges pour me permettre d’imaginer deux fesses, telles deux globes qui se rencontrent tant elles étaient belles, pour faire naître en moi le feu de l’excitation.
Bientôt je n’arriverais presque plus à me contenir et c’est ce moment qu’elle choisit pour me dire :
-Ah mais au fait, je ne t’ai pas encore donné ton dessert il me semble.
Sous le charme, sous le choc, je ne savais que répondre. Je ne savais pas non plus si le mot « dessert » était judicieusement choisi pour me faire passer un message ou s’il s’agissait simplement d’un hasard.
-Effectivement, je n’ai pas encore eu cette chance, lui répondis-je sobrement.
Elle m’interrompit dans mes pensées bien trop désorganisées pour confirmer tous les soupçons que j’avais depuis le début de cette soirée en approchant tendrement son visage du mien, ses lèvres pulpeuses mises en évidence. Elle ferma les yeux, j’inclinai mon visage pour accueillir son baiser sur mes lèvres. C’est comme si une révélation naissait en moi : toutes ces idées que je me faisais depuis plusieurs heures se révélaient vraies, en cet instant précis. Nous échangions nos salives, nos bouches apprenaient à se connaître. Dans un premier temps, seules nos lèvres communiquaient mais elles ne tardèrent pas à s’ouvrir pour laisser place à nos langues qui n’attendaient que de se rencontrer. Je les devinais comme des danseuses étoiles qui tournoyaient dans la nuit, les lumières braquées vers elles essayant d’accomplir les plus belles figures de leur carrière. Nos langues se mélangeaient et ne formaient plus qu’une, tantôt dans sa bouche, tantôt dans la mienne. Nos salives passaient d’un habitacle à l’autre, d’un corps à un autre, pour le plus grand plaisir de mes sens qui étaient en extase. Le baiser durait, nous nous mangions les mâchoires, nous arrêtant parfois pour respirer, et nous reprenions aussitôt l’apnée pour de longues minutes dégoulinantes. Ce qui était au départ un baiser sincère et passionné se transformant en une excitante découverte de bouche fougueuse et téméraire. Nos mains bientôt se baladèrent sur nos corps à la recherche d’excitation. Je sentais ses pieds se refermer, serrer et relâcher mon sexe en érection évidente. Je sentais le sang irriguer chaque millimètre cube de ma verge et celle-ci monter en puissance et en taille sous un pantalon qui avait de la peine à contenir tout ce bonheur. Je ressentais aussi l’effet de ses doigts sur ma peau, en train de se promener dans les recoins de mon corps. Je sentais ses ongles courir le long de mon torse, jouer avec mes poils, me caresser l’intérieur des cuisses et aussi saisir mon visage pour partager un baiser tumultueux. De mon côté, je ne me gênais pas et laissai ma timidité envers les femmes me quittant, en profitant chaque parcelle de sa peau qui s’offrait à moi. Je parcourais ses seins que je sentais pointer sous son soutien-gorge que je devinais un peu étroit. Elle se fit de plus en plus absente et recula en évitant mes lèvres pour me dire :
-Monte dans ma chambre, j’arrive, avec une respiration haletante.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
On exige une suite jeune homme...cest une merveille ce recit .....un voyage intergénérationnel tellement excitant
Voilà un gars sincèrement amoureux, aque c'est un bonheur de lire cela.
Merci l'ami de nous avoir fait partager tes émotions et ton émoi physique de bandaison toute naturelle.
Merci l'ami de nous avoir fait partager tes émotions et ton émoi physique de bandaison toute naturelle.