Titre de l'histoire érotique : Julie 4
Récit érotique écrit par JulieK [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Julie 4
Antoine,m’obsède. Toute la journée, je guette ses SMS, j’attends ses coups de fils la boule au ventre. J’essaie de me calmer, mais n’y arrive pas. Quand je ne suis pas avec lui, j’ai terriblement peur de le perdre, qu’il couche avec une autre. J’en suis malade. J’aimerais marquer mon empreinte sur lui, qu’il porte mon prénom tatoué sur son sexe, qu’il porte un cage de chasteté...
En fait, dès que nous sommes ensemble, je m’applique à le vider complètement. J’aime le branler avec du lubrifiant, qu’il inonde mon corps de sa semence. Désormais, Il a les les couilles et le pubis rasés. La première fois c’est moi qui lui ai fait cela, depuis c’est lui qui s’entretient. J’aime lécher et gober ses boules lisses. Au départ pour le faire grimper, et après quand ,après la baise, elles sont visqueuses de nos jus mélangés.
Il ne met pas longtemps à rebander, et c’est toujours dans mon cul qu’il finit par par partir une deuxième fois. Il est le seul homme à part Laurent à avoir le droit de m’abuser par cette voie là. J’aime qu’il écartèle mon fondement. Et même si j’utilise de la crème pour faciliter l’intromission, ça me fait comme une brûlure délicieuse quand son gland force mon passage étroit.
- Je suis ta putain. Inonde-moi le cul. Prouve que tu es mon homme.
Pendant ce temps je me caresse le bouton.
-Vas-y, prends-moi plus fort, je t’appartiens
J’ai enfoncé deux doigts dans mon vagin et je sens nettement la boursouflure de son gland aller et venir au travers de la fine paroi. Je crois même pouvoir discerner le moment où le foutre jaillit de lui et qui se répand en moi dans un cri rauque.
Que de chemin parcouru depuis le jour où je suis devenue femme…
Retour à mon éducation
… Mes masturbations régulières parvenaient maintenant à me procurer des orgasmes facilement. Je me comportais comme une gamine en chaleur. Dès que je me retrouvais seule je me faisais jouir. Combien de fois? Certains jours au début, j’ai compté 8 fois. J’en avais l’entrejambe rougi et irrité. Puis je me suis calmée, et le régime de 2 ou 3 fois par jour est devenu un rythme régulier.
C’est alors que tu as décidé que je devais devenir une femme selon tes désirs d’homme, Laurent. Je me doutais que l’épilation intégrale serait l’étape de mon entrée dans ton monde. Je passais souvent devant les instituts en me demandant si tous le faisaient. Comment demander la chose? Je me voyais rouge de honte écarter les jambes devant l’esthéticienne dans l’arrière boutique. Tout cela commençait à me faire flipper. Mais je savais que c’était la condition pour avoir avoir enfin l’accès à ton corps. La voie pour que tu possède pleinement.
Finalement c’est par SMS que tu m’as annoncé le rendez-vous. C’était au centre ville, au premier étage d’un bâtiment bourgeois. Sur la porte, la plaque en cuivre indiquait qu’il s’agissait d’un salon de coiffure et d’esthétique. Je sonnais à la porte. Une femme d’un certain âge m’ouvrit. Je lui déclinais mon identité. Elle consulta son cahier. Dans la pièce qui était le salon de coiffure, il y avait environ 4 femmes qui avaient l’âge de ma mère et sans doute plus, des bourgeoises bien mises autour des quelles s’affairaient des coiffeuses aux mains expertes sur un fond musical discret. Je m’étais attendue à une boutique bas de gamme, pas à un salon pour mémères.
-Sophie, Sophie. La cliente de Monsieur L vient d’arriver.
- Tout de suite, madame. Je vis alors arriver une femme d’environ la trentaine qui me guida dans un pièce attenante.
- Installez-vous, me dit-elle, en regardant son cahier.
- Et bien, nous en avons pour une petite heure. Déshabillez-vous. Ne gardez que haut et la culotte. Je vais commencer par les jambes.
J’ôtai, mon pull et mon pantalon et tirai au maximum sur mon T shirt pour cacher que je m’avais pas de sous-vêtements.
- N’ayez pas peur, ici nous sommes entre femmes. C’est mon métier, et je peux vous assurer que j’en ai vu d’autres. Mais si vous le souhaitez je peux vous poser un masque sur les yeux. Vous vous sentirez moins gênée, si c’est ça qui vous préoccupe.
C’est comme cela que bande après bande, je me suis laissée débarrasser de toutes mes toisons. Me conformant à toutes les directives de la voix de cette femme douce mais ferme. Je me sentais comme une poupée dans les mains de cette femme. Le masque sur les yeux me rendait sensible à chaque contact, à chaque bruit. J’imaginais que dans la pièce des yeux inconnus et silencieux scrutaient mon entrejambe. Cette sensation de soumission me plaisait tout particulièrement. Je me livrais sans retenue. Et à chaque fois que la bande de cire était arrachée me causant une douleur vive, des doigts inconnus venaient poser sur moi une crème apaisante.
Quand vint le tour de mes parties génitales, le trouble m’a envahi. Je sentais au fond de moi que l’humidité gagnait mon sexe. Était-ce la douleur qui conduisait ce réflexe intime ou me comportais-je comme une petite cochonne? Je me sentais gonflée. J’avais l’impression que mon sexe prenait des dimensions incroyables. J’avais honte d’être excitée et exhibée ainsi. Elle m’a mise à quatre pattes pour m’épiler entre les fesses. J’avais l’impression d’être entièrement ouverte et qu’elle voyait l’intérieur de moi. Il me semblait que des coulées visqueuses s ‘écoulaient de moi de manière continue. Rien ne m’en donnait la confirmation mais au fond de moi j’essayais de retenir ce flot mouille qui s’échappait malgré moi. Je serrais les dents pour retenir mes gémissement. Je me sentais rouge de honte, les seins gonflés à en éclater.
-C’est terminé maintenant . Vous pouvez enlever votre bandeau.
J’avais toujours considéré l’épilation complète comme une pratique régressive. Un retour à la virginité infantile, un refus de s’assumer comme femme. C’est pourquoi je ne l’avais jamais pratiquée. Dans la glace je pus admirer mon corps sans poil, bien que légèrement rougi par l’épilation. Ça n’avait rien du corps d’une petite fille comme j’avais pu le craindre et parce que mes seins sont assez peu développés. Les petites lèvres légèrement visibles étaient celle d’une femme au corps jeune et sans doute désirable.
-Vous voyez, il ne fallait pas avoir peur. Et puis, beaucoup de femmes sont entièrement lisses maintenant. Même les femmes que vous avez vue dans le salon coiffure. Et vous seriez étonnée si je vous disait le nombre de femmes qui portent aussi des piercings et des anneaux en bas. D’ailleurs si un jour vous le souhaitez, je pourrais vous en poser…
J’allais pour remettre mes vêtements. Elle me désigna un sac d’un magasin de mode près de la table.
-Monsieur L, nous a apporté ce sac de vêtements pour vous.
Les sous-vêtements étaient noirs fins et soyeux. Jamais je n’avais porté de dentelles de cette qualité. Il avait ajouté à cela une paire de bas auto-fixant eux aussi de couleur noire. La robe de couleur sobre était courte mais classieuse. Dans la glace, je me découvrais enfin femme.
- Vous avez de la chance d’avoir un amant qui a du goût et qui en a les moyens. Maintenant permettez-moi de vous maquiller.
Le résultat final était saisissant. Je me sentais jolie et désirable. J’avais hâte de retrouver Laurent, de me donner à lui complètement de pouvoir enfin caresser son corps. J’étais incroyablement légère, il faisait beau, j’étais amoureuse. C’était comme un premier rendez-vous. J’aurais sans doute accepté la langue de mon esthéticienne dans ma bouche à ce moment. J’avais besoin d’une longue étreinte charnelle.
Nous étions maintenant à l’hôtel. Le repas et le champagne me tournaient un peu la tête. J’étais prête à te donner mon corps, Laurent. Lorsque je suis ressortie de la salle de bain ou j’étais allée me rafraîchir je t’ai trouvé nu sur le lit. Tu as été mon premier homme. Chez toi, tout était puissance et assurance dans les bras les épaules et les jambes. Rien à voir avec mes petits copains d’alors et leur corps d’adolescents. Ton sexe était large et dépourvu de pilosité, bien posé sur tes couilles détendues. J’ai esquissé un geste pour ôter ma robe.
-Non, reste habillée. Montre-moi ce que tu sais faire ta bouche.
Jusque là, la fellation n’avait jamais été mon truc. Juste pour faire bander, je prenais les queues dans la bouche, deux ou trois aller retour. Et une fois l’engin bien raide je continuais par une branlette avant de me faire enfiler. Et même si je ne sentais pas grand-chose, c’était important que le mec se vide en moi, son plaisir se substituant à celui que je n’avais pas.
Cette fois j’avais vraiment envie de ce sexe de sa peau fine douce et fragile tendue sur ce gland qui n’était pas décalotté. Ma langue parcourait la longueur de la tige de haut en bas et de bas en haut. Je scrutais les soubresauts de la bite maintenant érigée. J’étais excitée et je sentais mon sexe s’ouvrir, mon ventre se creuser. Mes lèvres ont entouré ton gland et j’ai pu enfin découvrir la chair tendue et rouge foncée et le méat d’où perlait une goutte de liqueur salée. Ma langue s’est attardée à la découverte de ce nouveau fruit, d’abord timidement sur le pourtour puis je l’ai embouchée pour la sentir enfin à l’intérieur de ma bouche.
J’ai fait quelques aller retour puis ma main a remplacé ma bouche pendant que ma langue s’est mise à lécher tes boules. Tu gémissais sous mes caresses.
-Reprends-moi dans la bouche.
Ta main a pris la mienne tandis que je fais de mon mieux pour faire pomper ton sexe.
-Caresse moi les couilles même temps. Non pas comme ça plus doucement!
Ton bassin s’est mis à onduler. J’essayais de synchroniser mes mouvements de tête.
Tu avais l’air d’apprécier, mais ma mâchoire commençait à se crisper. Tu as alors m’a saisi la tête que tu as fait aller et venir sur ton pieu à une vitesse de plus en plus rapide.
J’avais la bouche ouverte et j’avais l’impression que tu te servais de ma bouche pour te branler. A chaque pénétration j’avais l’impression que je ne pourrais pas supporter la prochaine. Pourtant tu rentrais à nouveau plus profondément en arrachant de nouveaux plaisirs qui amplifiaient des gémissements qui se sont transformés en cris quand ta semence s’est enfin répandue entre mes lèvres. Nous étions tous les deux vidés. Mes yeux remplis de larmes avaient fait couler mon maquillage. C’est ce j’ai vu quand j’ai vu mon visage dans le miroir.
- J’ai bien aimer baiser ta bouche de salope. J’avais gardé un semaine de foutre en prévision de la soirée. La prochaine fois il faudra être plus endurante. Mais pour première fois c’est plutôt bien.
Tu m’a tendu un petit paquet. Il contenait un petit collier de cuir muni d’un anneau métallique.
-Ce collier tu l’auras en permanence dans ton sac. Et le portera à chaque fois que je l’exigerais. Il sera un des gages de ta soumission.
-Et puis maintenant que tu sais trouver le plaisir toute toute seule, tu dois apprendre à te contrôler. Donc maintenant, tu n’auras plus le droit de jouir sous tes doigts ou avec un vibro. Tu te caresseras uniquement pour te maintenir le sexe en état d’excitation. La condition que je te donne pour prendre ton pied c’est d’avoir fait partir mec auparavant.
En fait, dès que nous sommes ensemble, je m’applique à le vider complètement. J’aime le branler avec du lubrifiant, qu’il inonde mon corps de sa semence. Désormais, Il a les les couilles et le pubis rasés. La première fois c’est moi qui lui ai fait cela, depuis c’est lui qui s’entretient. J’aime lécher et gober ses boules lisses. Au départ pour le faire grimper, et après quand ,après la baise, elles sont visqueuses de nos jus mélangés.
Il ne met pas longtemps à rebander, et c’est toujours dans mon cul qu’il finit par par partir une deuxième fois. Il est le seul homme à part Laurent à avoir le droit de m’abuser par cette voie là. J’aime qu’il écartèle mon fondement. Et même si j’utilise de la crème pour faciliter l’intromission, ça me fait comme une brûlure délicieuse quand son gland force mon passage étroit.
- Je suis ta putain. Inonde-moi le cul. Prouve que tu es mon homme.
Pendant ce temps je me caresse le bouton.
-Vas-y, prends-moi plus fort, je t’appartiens
J’ai enfoncé deux doigts dans mon vagin et je sens nettement la boursouflure de son gland aller et venir au travers de la fine paroi. Je crois même pouvoir discerner le moment où le foutre jaillit de lui et qui se répand en moi dans un cri rauque.
Que de chemin parcouru depuis le jour où je suis devenue femme…
Retour à mon éducation
… Mes masturbations régulières parvenaient maintenant à me procurer des orgasmes facilement. Je me comportais comme une gamine en chaleur. Dès que je me retrouvais seule je me faisais jouir. Combien de fois? Certains jours au début, j’ai compté 8 fois. J’en avais l’entrejambe rougi et irrité. Puis je me suis calmée, et le régime de 2 ou 3 fois par jour est devenu un rythme régulier.
C’est alors que tu as décidé que je devais devenir une femme selon tes désirs d’homme, Laurent. Je me doutais que l’épilation intégrale serait l’étape de mon entrée dans ton monde. Je passais souvent devant les instituts en me demandant si tous le faisaient. Comment demander la chose? Je me voyais rouge de honte écarter les jambes devant l’esthéticienne dans l’arrière boutique. Tout cela commençait à me faire flipper. Mais je savais que c’était la condition pour avoir avoir enfin l’accès à ton corps. La voie pour que tu possède pleinement.
Finalement c’est par SMS que tu m’as annoncé le rendez-vous. C’était au centre ville, au premier étage d’un bâtiment bourgeois. Sur la porte, la plaque en cuivre indiquait qu’il s’agissait d’un salon de coiffure et d’esthétique. Je sonnais à la porte. Une femme d’un certain âge m’ouvrit. Je lui déclinais mon identité. Elle consulta son cahier. Dans la pièce qui était le salon de coiffure, il y avait environ 4 femmes qui avaient l’âge de ma mère et sans doute plus, des bourgeoises bien mises autour des quelles s’affairaient des coiffeuses aux mains expertes sur un fond musical discret. Je m’étais attendue à une boutique bas de gamme, pas à un salon pour mémères.
-Sophie, Sophie. La cliente de Monsieur L vient d’arriver.
- Tout de suite, madame. Je vis alors arriver une femme d’environ la trentaine qui me guida dans un pièce attenante.
- Installez-vous, me dit-elle, en regardant son cahier.
- Et bien, nous en avons pour une petite heure. Déshabillez-vous. Ne gardez que haut et la culotte. Je vais commencer par les jambes.
J’ôtai, mon pull et mon pantalon et tirai au maximum sur mon T shirt pour cacher que je m’avais pas de sous-vêtements.
- N’ayez pas peur, ici nous sommes entre femmes. C’est mon métier, et je peux vous assurer que j’en ai vu d’autres. Mais si vous le souhaitez je peux vous poser un masque sur les yeux. Vous vous sentirez moins gênée, si c’est ça qui vous préoccupe.
C’est comme cela que bande après bande, je me suis laissée débarrasser de toutes mes toisons. Me conformant à toutes les directives de la voix de cette femme douce mais ferme. Je me sentais comme une poupée dans les mains de cette femme. Le masque sur les yeux me rendait sensible à chaque contact, à chaque bruit. J’imaginais que dans la pièce des yeux inconnus et silencieux scrutaient mon entrejambe. Cette sensation de soumission me plaisait tout particulièrement. Je me livrais sans retenue. Et à chaque fois que la bande de cire était arrachée me causant une douleur vive, des doigts inconnus venaient poser sur moi une crème apaisante.
Quand vint le tour de mes parties génitales, le trouble m’a envahi. Je sentais au fond de moi que l’humidité gagnait mon sexe. Était-ce la douleur qui conduisait ce réflexe intime ou me comportais-je comme une petite cochonne? Je me sentais gonflée. J’avais l’impression que mon sexe prenait des dimensions incroyables. J’avais honte d’être excitée et exhibée ainsi. Elle m’a mise à quatre pattes pour m’épiler entre les fesses. J’avais l’impression d’être entièrement ouverte et qu’elle voyait l’intérieur de moi. Il me semblait que des coulées visqueuses s ‘écoulaient de moi de manière continue. Rien ne m’en donnait la confirmation mais au fond de moi j’essayais de retenir ce flot mouille qui s’échappait malgré moi. Je serrais les dents pour retenir mes gémissement. Je me sentais rouge de honte, les seins gonflés à en éclater.
-C’est terminé maintenant . Vous pouvez enlever votre bandeau.
J’avais toujours considéré l’épilation complète comme une pratique régressive. Un retour à la virginité infantile, un refus de s’assumer comme femme. C’est pourquoi je ne l’avais jamais pratiquée. Dans la glace je pus admirer mon corps sans poil, bien que légèrement rougi par l’épilation. Ça n’avait rien du corps d’une petite fille comme j’avais pu le craindre et parce que mes seins sont assez peu développés. Les petites lèvres légèrement visibles étaient celle d’une femme au corps jeune et sans doute désirable.
-Vous voyez, il ne fallait pas avoir peur. Et puis, beaucoup de femmes sont entièrement lisses maintenant. Même les femmes que vous avez vue dans le salon coiffure. Et vous seriez étonnée si je vous disait le nombre de femmes qui portent aussi des piercings et des anneaux en bas. D’ailleurs si un jour vous le souhaitez, je pourrais vous en poser…
J’allais pour remettre mes vêtements. Elle me désigna un sac d’un magasin de mode près de la table.
-Monsieur L, nous a apporté ce sac de vêtements pour vous.
Les sous-vêtements étaient noirs fins et soyeux. Jamais je n’avais porté de dentelles de cette qualité. Il avait ajouté à cela une paire de bas auto-fixant eux aussi de couleur noire. La robe de couleur sobre était courte mais classieuse. Dans la glace, je me découvrais enfin femme.
- Vous avez de la chance d’avoir un amant qui a du goût et qui en a les moyens. Maintenant permettez-moi de vous maquiller.
Le résultat final était saisissant. Je me sentais jolie et désirable. J’avais hâte de retrouver Laurent, de me donner à lui complètement de pouvoir enfin caresser son corps. J’étais incroyablement légère, il faisait beau, j’étais amoureuse. C’était comme un premier rendez-vous. J’aurais sans doute accepté la langue de mon esthéticienne dans ma bouche à ce moment. J’avais besoin d’une longue étreinte charnelle.
Nous étions maintenant à l’hôtel. Le repas et le champagne me tournaient un peu la tête. J’étais prête à te donner mon corps, Laurent. Lorsque je suis ressortie de la salle de bain ou j’étais allée me rafraîchir je t’ai trouvé nu sur le lit. Tu as été mon premier homme. Chez toi, tout était puissance et assurance dans les bras les épaules et les jambes. Rien à voir avec mes petits copains d’alors et leur corps d’adolescents. Ton sexe était large et dépourvu de pilosité, bien posé sur tes couilles détendues. J’ai esquissé un geste pour ôter ma robe.
-Non, reste habillée. Montre-moi ce que tu sais faire ta bouche.
Jusque là, la fellation n’avait jamais été mon truc. Juste pour faire bander, je prenais les queues dans la bouche, deux ou trois aller retour. Et une fois l’engin bien raide je continuais par une branlette avant de me faire enfiler. Et même si je ne sentais pas grand-chose, c’était important que le mec se vide en moi, son plaisir se substituant à celui que je n’avais pas.
Cette fois j’avais vraiment envie de ce sexe de sa peau fine douce et fragile tendue sur ce gland qui n’était pas décalotté. Ma langue parcourait la longueur de la tige de haut en bas et de bas en haut. Je scrutais les soubresauts de la bite maintenant érigée. J’étais excitée et je sentais mon sexe s’ouvrir, mon ventre se creuser. Mes lèvres ont entouré ton gland et j’ai pu enfin découvrir la chair tendue et rouge foncée et le méat d’où perlait une goutte de liqueur salée. Ma langue s’est attardée à la découverte de ce nouveau fruit, d’abord timidement sur le pourtour puis je l’ai embouchée pour la sentir enfin à l’intérieur de ma bouche.
J’ai fait quelques aller retour puis ma main a remplacé ma bouche pendant que ma langue s’est mise à lécher tes boules. Tu gémissais sous mes caresses.
-Reprends-moi dans la bouche.
Ta main a pris la mienne tandis que je fais de mon mieux pour faire pomper ton sexe.
-Caresse moi les couilles même temps. Non pas comme ça plus doucement!
Ton bassin s’est mis à onduler. J’essayais de synchroniser mes mouvements de tête.
Tu avais l’air d’apprécier, mais ma mâchoire commençait à se crisper. Tu as alors m’a saisi la tête que tu as fait aller et venir sur ton pieu à une vitesse de plus en plus rapide.
J’avais la bouche ouverte et j’avais l’impression que tu te servais de ma bouche pour te branler. A chaque pénétration j’avais l’impression que je ne pourrais pas supporter la prochaine. Pourtant tu rentrais à nouveau plus profondément en arrachant de nouveaux plaisirs qui amplifiaient des gémissements qui se sont transformés en cris quand ta semence s’est enfin répandue entre mes lèvres. Nous étions tous les deux vidés. Mes yeux remplis de larmes avaient fait couler mon maquillage. C’est ce j’ai vu quand j’ai vu mon visage dans le miroir.
- J’ai bien aimer baiser ta bouche de salope. J’avais gardé un semaine de foutre en prévision de la soirée. La prochaine fois il faudra être plus endurante. Mais pour première fois c’est plutôt bien.
Tu m’a tendu un petit paquet. Il contenait un petit collier de cuir muni d’un anneau métallique.
-Ce collier tu l’auras en permanence dans ton sac. Et le portera à chaque fois que je l’exigerais. Il sera un des gages de ta soumission.
-Et puis maintenant que tu sais trouver le plaisir toute toute seule, tu dois apprendre à te contrôler. Donc maintenant, tu n’auras plus le droit de jouir sous tes doigts ou avec un vibro. Tu te caresseras uniquement pour te maintenir le sexe en état d’excitation. La condition que je te donne pour prendre ton pied c’est d’avoir fait partir mec auparavant.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quel plaisir cette suite, l'attente fut longue
Superbe récit qui nous laisse un peu sur notre faim en attendant la suite