Titre de l'histoire érotique : L'Ordonnatrice s'amuse.
Récit érotique écrit par Le_divin_marquis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2006 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : L'Ordonnatrice s'amuse.
L’Ordonnatrice me fit continuer mon chemin. On m’avait préparer comme la veille, mais le diamètre du godemichet anal était plus volumineux. Rien pour me déranger cependant, étant donné mes prédispositions naturelles... Aux anneaux qui pendaient à mes mamelons fraîchement percés ont avait ajouté des poids qui m’agaçaient continuellement, me gardant aussi humide qu’un marécage...
“Suis moi et ne pose même pas tes regards sur moi car tu pourrais le regretter...”
Elle me claqua violemment une fesse. Je la suivais dans la cour. La tiédeur matinale sur ma nudité offerte me donna envie de pisser. D’ailleurs, je commençais à me demander quand on me laisserait le temps pour ça. L’Ordonnatrice m’avait amené dans un coin reculé de la cour.
“Abaisse-toi comme une chienne et pisse!” J’étais rouge de confusion. Je ne pouvais me laisser aller devant elle, j’avais un blocage malgré mon envie.
“Attend petite sotte...” dit la dominatrice. “Position normale!” Je me mis à quatre pattes. L’Ordonnatrice enleva le godemichet anal sans aucune douceur. Je sentis alors une énorme queue qui tentait d’envahir mon cul. L’Ordonnatrice avait une queue! Et quel engin... Elle me sodomisa jusqu’au fond, avec difficulté malgré l’ouvrage du godemichet. Elle m’encula sans finesse, animalement, venant cogner à chaque fois sur ma vessie dont je craignais l’explosion. Mon cul frémissait, j’étais soumise, heureuse et ramonée!
“Pisse chienne!” cria-t-elle.
Je me suis laissé aller en même temps que j’orgasmais, arrosant un peu les cuisses de ma maîtresse si spéciale.
“Tu va payer pour ça, mais plus tard”... Je sentis alors les spasmes de son plaisir jusqu’au fond de mes reins, la douce brûlure de son foutre d’hermaphrodite. Elle remit le godemichet anal, emprisonnant son sperme en moi. “Viens.”
...
Elle m’amena dans la pièce de supplice aux murs glacés. Rosie gisait là, nue sur le plancher, les mains enchaînées et attachées à un anneau mural. Elle ouvrit les yeux à notre approche.
L’Ordonnatrice lui dit de se coucher sur le dos. Elle obéit rapidement, et voyant les zébrures du fouet sur ses reins, je compris vite pourquoi. Ensuite, l’Ordonnatrice m’ordonna de m’accroupir les fesses au-dessus de la bouche de Rosie.
“Je vais enlever le godemichet de ton anus maintenant, et je veux que tu fasses avaler tout mon foutre que je viens d’y laisser à cette salope de Rosie. Toi Rosie, lèche bien tout, sinon...”
Elle enleva le godemichet avec aisance. Rosie, la bouche grande ouverte au-dessous de moi, reçue un filet de sperme qu’elle avala rapidement. Je regardais cet acte avec gêne, me demandant comment Rosie pouvait-elle faire une telle chose avec autant d’aisance, déguster une telle dose de foutre bien visqueux directement de mon anus dilaté. Elle enfonça sa langue fouineuse, quelle divine putain me disais-je intérieurement, alors que ce qu’elle faisait commençait sérieusement à me faire mouiller. Ca langue irrita encore plus les bords de mon délicieux cul, m’électrisa littéralement. J’avais encore envie de sentir une énorme queue dans mon cul. Le puissant va-et-vient d’une bite endiablée qui vous encule violemment. A la place, je n’avais que cette langue qui ne faisait que me mettre à bout de nerf...
“Suis moi et ne pose même pas tes regards sur moi car tu pourrais le regretter...”
Elle me claqua violemment une fesse. Je la suivais dans la cour. La tiédeur matinale sur ma nudité offerte me donna envie de pisser. D’ailleurs, je commençais à me demander quand on me laisserait le temps pour ça. L’Ordonnatrice m’avait amené dans un coin reculé de la cour.
“Abaisse-toi comme une chienne et pisse!” J’étais rouge de confusion. Je ne pouvais me laisser aller devant elle, j’avais un blocage malgré mon envie.
“Attend petite sotte...” dit la dominatrice. “Position normale!” Je me mis à quatre pattes. L’Ordonnatrice enleva le godemichet anal sans aucune douceur. Je sentis alors une énorme queue qui tentait d’envahir mon cul. L’Ordonnatrice avait une queue! Et quel engin... Elle me sodomisa jusqu’au fond, avec difficulté malgré l’ouvrage du godemichet. Elle m’encula sans finesse, animalement, venant cogner à chaque fois sur ma vessie dont je craignais l’explosion. Mon cul frémissait, j’étais soumise, heureuse et ramonée!
“Pisse chienne!” cria-t-elle.
Je me suis laissé aller en même temps que j’orgasmais, arrosant un peu les cuisses de ma maîtresse si spéciale.
“Tu va payer pour ça, mais plus tard”... Je sentis alors les spasmes de son plaisir jusqu’au fond de mes reins, la douce brûlure de son foutre d’hermaphrodite. Elle remit le godemichet anal, emprisonnant son sperme en moi. “Viens.”
...
Elle m’amena dans la pièce de supplice aux murs glacés. Rosie gisait là, nue sur le plancher, les mains enchaînées et attachées à un anneau mural. Elle ouvrit les yeux à notre approche.
L’Ordonnatrice lui dit de se coucher sur le dos. Elle obéit rapidement, et voyant les zébrures du fouet sur ses reins, je compris vite pourquoi. Ensuite, l’Ordonnatrice m’ordonna de m’accroupir les fesses au-dessus de la bouche de Rosie.
“Je vais enlever le godemichet de ton anus maintenant, et je veux que tu fasses avaler tout mon foutre que je viens d’y laisser à cette salope de Rosie. Toi Rosie, lèche bien tout, sinon...”
Elle enleva le godemichet avec aisance. Rosie, la bouche grande ouverte au-dessous de moi, reçue un filet de sperme qu’elle avala rapidement. Je regardais cet acte avec gêne, me demandant comment Rosie pouvait-elle faire une telle chose avec autant d’aisance, déguster une telle dose de foutre bien visqueux directement de mon anus dilaté. Elle enfonça sa langue fouineuse, quelle divine putain me disais-je intérieurement, alors que ce qu’elle faisait commençait sérieusement à me faire mouiller. Ca langue irrita encore plus les bords de mon délicieux cul, m’électrisa littéralement. J’avais encore envie de sentir une énorme queue dans mon cul. Le puissant va-et-vient d’une bite endiablée qui vous encule violemment. A la place, je n’avais que cette langue qui ne faisait que me mettre à bout de nerf...
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