Titre de l'histoire érotique : la boucle bouclée

- Par l'auteur HDS Saxe -
Récit érotique écrit par Saxe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : la boucle bouclée Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-01-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : la boucle bouclée
Francette, Francette !
Bon sang ça fait un bail qu’on ne m’a pas appelée comme ça, un bon paquet d’année !
Je regarde vers le trottoir d’en face d'où il me semble que vient l’appel. Je remarque deux jeunes hommes qui me font un signe de la main . Je reste un certain temps indécise puis malgré le long temps passé je les reconnais soudain .
Freddy, Dé dé !
La dernière fois que je les ai vus je devais avoir douze ans. Il traversent et puis malgré les années passées nous nous épanchons en embrassades, exclamations de joie .Ils m’entraînent vers une brasserie toute proche. Nous avons tant de souvenirs d’enfance à évoquer !
Que deviens tu ? me demande Dédé .
Eh bien je suis mariée depuis trois mois et je viens d’obtenir un diplôme d’ingénieur.-« Félicitations »
Et vous ?
Moi je viens d’ouvrir un bureau d’import-export juste à coté et c’est d’ailleurs pour le faire visiter à Freddy que nous sommes ici .
Et toi Freddy ?
Devines me répond il ?
J’ai tout de suite deviné ,j’ai dis -Médecin ?
Ils ont éclatés de rire tous les deux. Dédé a ajouté - Il a eu la vocation très jeune. Il y a dans son regard des sous entendus. Je rougis fortement, je tourne la tête vers Freddy et j’y lis comme de la tendresse .Il doit ce souvenir lui aussi.
Je fais un saut de treize années en arrière, j’avais à peine dix ans.
Je sautais à la corde et chantonnais.
« Le palais royal est un beau quartier … ». Pourtant j ‘avais la tête ailleurs, je surveillais avec anxiété l’entrée du jardin. J’espérais Dédé , il m’avait quittée la veille en me disant -« si tu veux demain on jouera encore ! » Il m’avait quittée brusquement lorsque maman m’avait appelée. Nous avions joué au papa et à la maman et nous nous étions sentis coupable quelque part. Il avait placé un grand carton dans le fond de la buanderie et couchés l’un contre l’autre il avait écrasé ses lèvres contre les miennes. J’avais senti mon cœur battre la chamade dans mon étroite poitrine et le contact frais de nos cuisses nues m’avais procuré une étrange sensation au bas du ventre , quelque chose de trouble et de nouveau. J’avais aimé les caresses chastes de ses mains sur mon corps . Nous avions répété innocemment les gestes de nos parents et nous y avions découvert un plaisir insoupçonné.
« Ou les jeunes filles sont a marier…………….. » J e continuais à sauter machinalement les yeux rivés vers l’entrée du jardin. Allait il venir ?
« Mademoiselle………. » Soudain il est apparu suivi à ma grande surprise de Freddy. Cela m’a contrariée dans un premier temps. Voulait t il le mêler à nos jeux ?
Dédé a demandé « on va jouer comme hier ? »
J’ai répondu désignant du menton Freddy - « on peut pas jouer au papa et à la maman avec deux papas ! » Un instant Dédé a paru désarçonné puis une brusque idée a du lui traverser l’esprit. Il a ajouté tout souriant « Freddy sera le Docteur ! » .L’idée ne m’a pas semblé mauvaise, et ça a du se lire sur mon visage car aussitôt Dédé à couru en direction de la buanderie suivi de Freddy et de moi même. C’était une petite salle située juste derrière la maison qui servait jadis à laver le linge mais qui depuis l’usage généralisé des machines a laver ne servait plus que de débarras. J’y suis entrée le cœur battant. Déjà Dédé me prenait par la main et m’attirait vers la couche de carton sur laquelle la veille il m’avait serrée contre lui. Je m’allongeais et me suis de suite serrée contre lui. La présence de Freddy me gênait un peu mais lorsque Dédé est monté sur moi et qu’à nouveau nos cuisses nues se sont emmêlées j’ai ressenti le même trouble que la veille. Un plaisir étrange qui montait de mon bas ventre et qui se diffusait insidieusement à tout mon corps. Comme un picotement délicieux entre mes cuisses, une espèce de chaleur brûlante et humide toute nouvelle. A nouveau il a posé ses lèvres contre les miennes comme dans un baiser de cinéma long et appuyé. Mais cette fois dans une ample caresse sa main avait glissé sous ma jupe pour me palper le derrière. Par dessus le coton de ma culotte bateau elle épousait le joufflu de mes fesses et me procurait de délicieux frissons. Malgré le temps passé j’ai le souvenir encore de la manière que j’avais eu
de me cambrer pour lui faciliter la tache. Sa main s’était mise à effleurer la raie de mon petit cul me procurant d’ineffables sensations. Elle allait et venait et par moment s’y insinuait plus profondément. Peu être par timidité elle n’osait comme je le désirait maintenant ardemment s’y insinuer plus profondément. Alors je me suis tortillée un peu plus jusqu'à que l’un de ses doigts à travers le coton de ma culotte se posa sur mon petit trou .Il a du sentir que cela me convenait car soudain il l’enfonça franchement me procurant une sensation affolante et trouble. Maintenant il me doigtait vivement encouragé qu’il devait l’être par mes petits cris de plaisir. Jamais je n’avais ressenties de telles sensations, des frissons de partout et surtout cette envie folle et nouvelle d’être pénétrée par ce doigt indiscret. Mon derrière allait effrontément au devant de la caresse et Dédé s’enhardissait de plus en plus à mon grand ravissement. Je geignais honteusement ,mon petit cul offert encore davantage à chacune des pressions de son doigt fureteur. Qui sait jusqu'où cela aurait été si à ce moment Freddy ne s’était manifesté .
-Et moi à quoi je joue ? demanda-t-il d’une faible voix conscient peut être part là d’interrompre ces jeux inattendus. Nous l’avions en effet complètement oublié. Il avait un petit air penaud et interrogateur. Dédé a dit alors -« c’est vrai il doit jouer aussi ! »
Il m’a reposée à coté de lui sur la couche de carton, m’a recouverte d’une grande toile qui traînait par là et a ajouté .
-« Docteur ma femme est malade » m’assignant d’autorité le rôle de patiente. Retombée brusquement de ces troubles plaisirs et presque contrainte je suis a mon tour entrée de le jeu.
J’ai adopté une mine maladive à la grande satisfaction apparente de Freddy qui s’ est avancé vers moi.
-« Ou est- ce que vous avez mal, Madame ?
Habituellement quand nous pratiquions ce jeu c’était toujours des maux de gorge ou de ventre que nous évoquions , ceux que nous avions le plus souvent dans la réalité.
Mais je ne sais ce qui m’est d’un coup passé par la tête et sans réfléchire j’ai dis.
-« J’ai mal à la zézette ! »
Si vous aviez vous leurs têtes à cet instant ! Moi même je me demandais ce qui m’avais prise. Si j’avais pu seulement retirer ces paroles scandaleuses !
Freddy s’est alors avancé vers moi -« Il faut que je regarde » me dit il alors d’une voix hésitante. Il a rabattue la couverture qui était sensée me couvrir. J’ai alors écartées mes cuisses largement, ma jupette retroussée lui offrant largement la vue de ma petite culotte moulant intimement mon abricot imberbe .Nous avions tous les trois retenu notre souffle.
Les deux garçons regardaient comme fascinés mon entre-jambes.
Puis Freddy a dit-« il faut que je la touche ! »
J ‘ ai murmuré la gorge serrée un « oui » timide ,alors il l’a effleurée du bout du doigt.
-Tu as mal là ?
-Oui
Et là ?
1Aussi . Je répondais rouge de honte et d’émotion ! Bon sang ça me faisait une drôle de sensation ,ça picotait et curieusement je sentais ma vulve s’humidifier.
Au bout d’un moment il s’est enhardi et l’a caressée franchement me procurant d’affolantes sensations. J’écartais de plus en plus mes jambes et ses pressions sur mon minou se faisaient de plus en plus fortes
-Enlèves lui sa culotte a dit Dédé.
-Freddy a porté son visage vers moi , nos regards se sont croisés dans une interrogation muette. J’ai soulevé mes fesses comme pour l’encourager. Il a tiré vers le bas l’élastique de ma culotte révélant au grand jour ma chatte lisse et mon petit cul tout rose. Un petit air frais
me chatouillait agréablement. Je sentais les regards intrigués et voyeurs de mes deux compagnons et d’être dénudée comme ça me procurait une plaisir étrange. A dix ans déjà je découvrais les troubles de l’exhibition. Inconsciemment dans un geste d’impudeur totale j’ai relevé mes genoux vers ma poitrine leur offrant ainsi la vue entière de mon petit cul et de ma vulve lisse. T out entier dans son rôle de toubib Freddy a effleuré ma fente moite. Dédé lui a glissé une main curieuse vers mes fesses relevées. Un de ses doigts s’est insinué dans le creux de ma raie jusqu’à mon petit trou me procurant un trouble plaisir. Je poussais maintenant de petits cris de petite femelle excitée. Il s haletaient comme de jeunes animaux en rut et s’enhardissant de plus en plus me caressaient maintenant franchement. Quatre mains parcouraient mais chaires tendres. Je gigotais , allant au devant même de le jeux. Dédé toujours plus téméraire a dit alors.
-« sens lui la foufoune »
Bon sang nous étions de jeunes animaux réinventant l’amour . Freddy a fourré alors son nez entre mes lèvres enflées .Enivré sans doute il l’y a soudain enfouit tout du long, puis l’a embrassée du bout de sa langue. Encouragé Dédé a posé du coup sa bouche sur mes fesses. Nous ne nous contrôlions plus. Je criais -« C’est bon, c’est bon ! »
Puis une folle envie a trottée dans ma tête. J’ai demandé dans un souffle-« Montrez moi vos zizis !» .J’éprouvais le besoin maintenant de participer de manière plus active a cette folie érotique. J’avais exhibée ma zézette et à mon tour j’étais désireuse de mater ce qu’ont les garçons entre leurs jambes. Pendant un bref instant je l’ai ai sentis hésitants puis Dédé a lissé son short et son slip d’un seul coup. Il me révélait alors un zizi dressé et imberbe. Freddy plus timoré ne se décidait pas , alors c’est moi qui d’un geste sec a mis à jour l’objet désiré. A cette époque Dédé devait avoir à peine quelques mois de plus que moi et sa queue sans doute pas encore développée était fine et courte. Mais celle de Freddy qui courait vers ses quatorze années m’a semblée énorme. Décidément déjà très douée pour mon age j’ai pris en mains les deux membres érigés. Instinctivement je les ai branlées timidement d’abord puis de plus en plus énergiquement encouragée par le bonheur que je semblais leur dispenser. Franchement l’ambiance s’était élevée d’un cran dans l’obscure buanderie. Maintenant couchés sur la litière de carton nous nous caressions les uns les autres de plus en plus frénétiquement. A un moment au paroxysme du plaisir sans trop savoir ce que je faisais , j’ai portée la bite de Dédé à ma bouche. Réinventant la pipe je lui ai léchée sucée sa petite bite dure de plaisir. Elle allait et venait dans ma bouche de plus en plus rapidement ,cependant que d’une autre main j’asticotais rudement la grosse pine de Freddy . Pour ne pas faire de jaloux j’ai tourné ma tête vers celle de ce dernier et à grand peine je l’ai enfoncée dans ma petite bouche de fillette salace. Elle remplissait ma gorge mais pour la première fois je connaissais le plaisir que procure à une femme un gros chibre bien gonflé. Délaissé le pauvre Dédé toujours en avance d’une idée s’est placé alors derrière moi pour placer sa queue entre mes fesses juste sur mon petit trou . Dans l’état ou j’étais tout était bon qui me procurais plaisir et cette pression sur ma rondelle me faisait onduler de la croupe. Je ne sais comment cela se serait terminé si soudain maman n’était rentrée dans la buanderie . Je ne vous dis pas dans quel état elle était. Affolés nous ne savions quelle contenance prendre , eux leurs deux bites érigées et moi ma culotte baissées. Elle hurlait - « Petits chenapans petits vicieux, entraîner une petite fille comme ça » . Se tournant vers moi « Rentre a la maison vilaine ! » puis prenant le deux autres garçons par le bras elle alla faire un scandale auprès de leurs mamans respectives. Je vous raconte pas le tapage ,ma mère hurlant et traitant les garçons de vicieux et en retour les autres mères me traitant de gourgandine et que si a dix ans je me comportais comme ça qu’est ce que ce sera plus tard !
Après ça nous ne nous sommes plus parlés tous les trois. Maman m’avait menacée des pires punitions si jamais elle me voyait leur parler. Puis deux années plus tard Papa a vendu notre maison et nous avons alors habités Paris.
Et maintenant treize années plus tard nous nous retrouvions heureux et malgré tout gênés quelque peu. Dans leurs têtes aussi les mêmes images avaient sûrement surgis.
-Comme tu es devenue belle a dit Dédé
-oh oui a renchéri Freddy tu es splendide.
J’ai remercié toute rougissante. Puis j’ai rajouté- « vous êtes de beaux mecs vous aussi. » .Nos regards se sont accrochés et j’ai lu le désir dans leurs yeux. Moi même je me sentais pas mal troublées. J’ai pensé à mon tout jeune époux ,et j’ai eu honte de mes vilaines pensées.
-« Tu te souviens a dit Dédé ? » sans pitié pour ma pudeur. Freddy avec gentillesse a détourné la conversation . Nous nous sommes racontés alors , mon récent mariage, nos études ,nos vies depuis notre brusque séparation. .Tu viens visiter mes bureaux m’a proposé Dédé. J’ai hésité un moment. La sagesse me disait de refuser une telle visite ,mais une petite voix enfantine criait en moi d’accepter. Il me fallait dire non , mais du fond de moi la petite perverse de mes dix ans insistait. Je décidais de refuser mais a ma grande surprise une voix fluette s’échappa de ma gorge en un « oui » timide. J’ai pensé à mon mari mais comme ils se levaient , comme un robot je les ai suivis. Je me suis même accrochée à leurs bras alors que nous traversions les rues qui menaient au bureau de Dédé. Après cinq minutes de marche nous nous y sommes retrouvés le coeur battant. A l’image de la buanderie de notre enfance un grand désordre y régnait. Les meubles n’étaient pas encore déballées. Dédé installa trois chaises et nous ouvrit alors une bouteille de champagne .Dans trois verres de plastique nous avons trinqués à sa réussite. Nous plaisantions de manière apparemment insouciante mais je sentais comme une charge électrique entre nous qui ne demandait qu’à éclater. Je n’aurais jamais du accepter un second verre de champagne car maintenant un sourd désir de sexe m’envahissait. J’avais envie de retrouver nos jeux d’antan. Et comme Dédé de plus en plus pressant se penchait vers moi je lui ai laissé prendre ma bouche. Cette fois ce n’était plus le chaste baiser d’antan, mais une langue de miel qui se mêlait à la mienne. Je chavirais de plaisir entre ses bras ,et à vrai dire physiquement aussi car Dédé m’entraînait déjà sur la moquette. Un peu comme jadis il m’avait couchée sur la couche de carton. Nous nous régalions de nos langues emmêlées. Rapidement Dédé me pétrit les seins. -« Je ne les connaissais pas ceux là , plaisante t il ! » .Et pour cause ! entre la fillette que j’étais et la femme d’aujourd’hui il y a un bon 90 c ! . Très vite il a déboutonne mon chemisier et extrait avec douceur mes seins de leur soutien-gorge. Il les a tétés goulûment. ’J’adorais, sensible comme je le suis, mes tétons du coup érigés comme de petits sexes. Je geignais sous les légères morsures et je me sentais toute humide entre les cuisses. Je songeais du coup à Freddy et pour le mettre à contribution j’ai relevé et écarté largement mes jambes lui offrant ainsi le vue de ma culotte de dentelle.« Docteur j’ai mal à la zézette ! »« Laissez moi l’ausculter « .Il me semblais retourner treize années en arrière. Il a posé ses mains sur le fond soyeux de mon slip et j’ai senti ses doigts adroits explorer franchement ma fente. Bon sang je ne savais plus ou j’étais, les seins et le minou titillés par les deux coquins. Très rapidement Freddy m’a débarrassée de mon slip, et sa bouche vorace m’a dévorée et m’a léchée délicieusement. Ce n’était plus le petit garçon appliquant maladroitement sa bouche sur ma fente mais la langues experte d’un homme affamé. Sous les caresses simultanées je criais et me tortillais de plaisir . J’ai tendu la main vers l’entrecuisse de Dédé tellement soudain j’avais envie de sentir une bite. E t oh surprise ! ce n’était plus le petit zizi tout menu d’enfant mais un énorme chibre tout tendu et tout dur. Du coup je me suis sentie encore plus couler entre mes jambes. Dédé a alors délaissé mes seins pour se déshabiller offrant à ma vue son sexe érigé. J e m’en suis saisie avec impatience e je l’ai portée à ma bouche. J’ai agrippée ses couilles velues et j’ai enfoncé la colonne de chaire brûlante dans le fond de ma gorge. C’est fou ce que j’aime sucer les grosses queues. Comme affamée je la dévorais, l’engloutissant jusqu’au fond de mon palais avec délice. Soudainement j’ai senti comme une houle furieuse monter en moi. Mon clito furieusement léché par Freddy , le gros chibre coulissant dans ma bouche c’était trop de plaisir .J’ai poussé un long feulement .Une houle de plaisir intense m’a submergée en une longue et forte jouissance. Je me suis longuement épanchée dans la bouche de Freddy. Je crois qu’un instant je me suis comme évanouie sous l’orgasme qui m’envahissait. Un bref moment car Freddy présenta soudain son sexe entre mes lèvres bavantes et s’y enfonça brusquement. Quel instant magique pour une femme que cet instant ou l’on se sent envahie ainsi par une grosse colonne de chaire brûlante ! j’ ai interrompue un instant la fellation que je prodiguais pour crier -« oh oui c’est bonnnnnnn ! » puis je l’ai replacée en bouche maintenant pilonnée dans mes deux orifices. Dédé excité encourageait maintenant son ami - « vas y baises la bien , mets lui bien ta queue ! hein que tu aimes Fanette ? » . J’ai réussi à articuler tout en ayant la bouche pleine un « Oui elle est bonne ,c’est bon c’est bon ! »Je pense que ces paroles ont eues un trop fort effet d’ excitation sur lui car il accéléra ses mouvements coulissants dans ma bouche et me la remplie pour mon régal de son sperme chaud. Dans l’état ou j’étais j’avalais tout goulûment, me délectant même de sa semence. Sans le moindre dégoût Freddy se pencha alors vers moi et tout en assénant ses coups de boutoirs il mêla sa langue a la mienne dans un suave baiser brûlant. Il m’a longuement baisée encore et jamais je n’avais ressenti un tel plaisir et une telle communion comme ainsi avec les partenaires de mon enfance. Comme si enfin j’avais été au bout d’un jeu interrompu brusquement. Un orgasme simultané et ravageur nous a transportés alors dans une sphère de jouissance jusque là inconnue. Nous sommes restés un long moment sans bouger imbriqués l’un dans l’autre savourant encore et le plus possible cette communion d’amour. Sa chaire dans la mienne ! Quand il s’est retiré nous avons échangés de doux baisers tous les trois. Adossée contre un mur, entre mes deux amants d’enfance je les embrassais à tour de rôle avec entre mes doigts leurs queues maintenant flasques. Pas un instant je ne me suis sentie coupable envers mon jeune époux. J’étais cette petite fille qui allait jusqu’ au bout d’une folie arrêtée treize années auparavant . Je branlais nonchalamment leurs bites qui doucement reprenaient vigueur comme autrefois dans la buanderie. A un moment un trop plein de sperme a reflué de ma chatte entre-ouverte. Une giclée blanche et visqueuse a perlé de manière obscène. Dédé en a profité en y glissant ses doigts. J’ai à nouveau ondulé sous la caresse et mes mains sont du coup devenues plus actives à branler les deux queues durcies maintenant. Mon clito trituré me procurait d’intenses sensations. Humecté de sperme et de mes propres sécrétions, le doigt fureteur de Dédé s’insinuait de plus en plus profondément. Alors a son tour il a glissé entre mes cuisses et sans le dégoût du sperme de son ami il m’a à son tour léchée. Plus téméraire que Freddy sa langue s’est vite insinuée entre mes fesses jusqu’au petit repli brun qui ornait le fond. Pour mieux ressentir la douceur je me suis retournée et à quatre pattes lui offrant ainsi largement ma croupe. Quel délice de sentir une langue agile et gourmande vous dévorer. Il me mangeait comme un affamé et je me donnais à sa gourmandise ! C’est alors qu’il m’a saisie par les hanches. J’ai poussé un feulement quand j’ai senti son chibre épais me pénétrer. Arrimée par la bouche au sexe dur de Freddy je me faisais défoncer par mon coquin de Dédé . Il coulissait de plus en plus vite dans mon vagin en feu cependant que j’aspirais jusqu’à la glotte la pine de mon tendre Freddy .Je jouissais comme une femelle en folie par rafale successives. Toujours plein d’idée a alors pointé mon petit trou et d’une douce pression m’a enculée totalement. J’ai cru que le sol tremblait sous moi sous le trouble plaisir. C’était trop bon cette queue qui remplissait mon cul. J’ai interrompu la gâterie que je prodiguais à Freddy e j’ai dis« viens prends moi toi aussi ! »avec souplesse il s’est glissé sous moi , a ajusté sa bite entre les lèvres de ma chatte en feu et j’ai poussé pour le sentir en moi .j’ai hurlé de plaisir sous la double pénétration. Ils allaient et venaient en moi de plus en plus vite et je crois que pendant un long moment je n’étais plus qu’une chienne en rut heureuse d’être doublement ramonée. Quand Freddy a inondé mon cul de sa semence j’ai
exploser à mon tour ,la chatte à son tour pleine du sperme de Dédé . J’ai mis du temps à émerger. J’étais heureuse ! Cette fois personne n’avait interrompu nos jeux .Il y a treize ans j’étais restées sur ma faim. Sans rien savoir des jeux de l’amour la petite fille de dix ans était restée en manque. La boucle était maintenant bouclée. Maintenant je n’avais plus qu’un désir ! Sans la moindre culpabilité rejoindre mon amour de mari. Totalement guérie !

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