Titre de l'histoire érotique : La cueillette des champignons
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : La cueillette des champignons
Patricia avait confié à son mari qu'elle avait envie d'essayer ce que plusieurs amies lui avaient déjà racontés, et qu'elles même avaient testé sous les yeux de leurs maris. Paul avait été surpris ne reconnaissant pas sa femme, elle si prude d'ordinaire. Et l'idée lui était venue d'en faire la surprise à sa femme pour son anniversaire Cela tombait bien, on arrivait fin septembre.
Il allait l'emmener cueillir des champignons. Un dimanche après-midi, ils partirent donc et arrêtèrent la voiture le long d'un petit chemin de Bois. Paul et Patricia descendirent de voiture et s'enfoncèrent dans une forêt peu dense, clairsemée de beaux vieux arbres.
Les paniers furent vite pleins cèpes, bolets, lépiotes, chanterelles Patricia se pencha pour ramasser la seule morille qu'ils avaient trouvée. Quand elle se releva, Paul se trouvait devant elle, il l'enlaça et colla ses lèvres à sa bouche Il lui saisit les deux mains doucement, et sans lui laisser le temps de réagir, sortit une corde de sa poche.
Celle-ci munie d'un nœud coulant se referma prestement autour des poignets. Patricia regarda son mari d'un air interrogateur, mais déjà celui-ci l'entraînait vers un gros chêne aux branches basses et noueuses.
La corde fut jetée autour d'une branche maîtresse, et Paul tendit rapidement celle-ci étirant les bras de sa femme vers le haut.
- Chéri, Non ! détache-moi !
Celle-ci voulut encore protester, mais déjà son mari lui écartait son chemisier, dévoilant une petite poitrine serrée dans un soutien couleur lilas. Il dégrafa rapidement son jeans, tira celui-ci sur ses hanches, et acheva de lui ôter.
Patricia se démenait, suspendue en sous-vêtement Paul promena ses mains sur son corps, frôlant ses seins et son pubis Puis il dégrafa son soutien, et arracha brutalement sa culotte. Les seins jaillirent, étirés vers le haut, le téton durci Patricia sentit les poils de son corps se dresser, caressé par un léger petit vent frais.
- Allez déconne pas, détache-moi ! dit-elle en riant.
Mais son mari saisit les deux paniers de champignons, et s'éloigna.
- Chéri, reviens ! enfin détache moi, revient.
La pauvre Patricia le vit disparaître entre les arbres, et entendit sa voiture démarrer !
Le silence s'installa, troublée par les mille bruits de la forêt, nue, attachée, elle essaya de faire glisser le nœud de ses poignets, mais elle ne réussit qu'à s'écorcher ceux-ci. Si quelqu'un venait. Elle regarda autour d'elle personne. Essayant encore de se libérer elle réalisa soudain que quelqu'un s'approchait d'elle par derrière.
Deux bras la ceinturèrent, et lui emprisonnèrent les seins Patricia voulut se retourner, quand son attention fut attirée par 4 hommes qui s'approchaient entre les arbres.
- Lâcher-moi, mais lâcher-moi.
Les hommes ont vit rejoint son ravisseur ils n'étaient même pas masqués !
- Alors voilà une petite souris attachée nue à un arbre mais que fais-tu là ma poupée ?
- Mais où est mon mari ?
- Chut ! Tu veux dire que tu nous attendais ma belle !
On lui enfonça un bâillon sa petite culotte dans la bouche pour l'empêcher de crier. Les hommes alors se déshabillèrent prestement, l'un d'eux empoigna sa verge en érection et s'approcha de Patricia.
- Regarde ce qu'on va te mettre tu ne l'oublieras pas.
- Mummm ! Nonnnnn !
Il tirait sur la peau découvrant un gland violacé par l'envie Il frotta celui-ci sur le ventre de Patricia, et l'enfourna dans le pli de ses cuisses. Toujours bloquée par l'arrière, elle ne pouvait pas bouger, serrant fortement les jambes. Deux des hommes s'approchèrent et la saisissant aux chevilles, les écartèrent l'une de l'autre. Patricia sentit son sexe s'ouvrir. La verge entra brutalement en elle, lui arrachant un cri malgré son bâillon elle sentait la progression d’une grosse bite dans son ventre puis les longs coulissements dans son vagin Patricia s'échauffait malgré tous Les autres hommes s'étaient mis en cercle autour d'elle et se masturbaient en la regardant, attendant leur tour ! La verge maintenant la perçait de toute sa longueur.
- Han ! han ! han tiens.
L'homme ponctuait chaque poussée d'un cri de bûcheron. Patricia poussa un petit cri à travers le bâillon quand elle sentit une seconde verge se glisser entre ses fesses. La corde tirait, la forçant à se dresser sur la pointe des pieds. La pression s'accentua contre la rosette de son anus elle sentit celle-ci s'écarter, puis une gigantesque impression d'être envahie totalement la remplit d'un coup. La verge était grosse, et chaque intromission lui arrachait des larmes qui commencèrent à goutter sur ses seins. Les deux hommes avaient trouvés leur rythme, et pulsaient de concert dans son vagin et son anus.
Malgré la légère douleur, Patricia se sentit envahir d'une profonde chaleur l'idée de ce sexe d'homme qui violait son fondement elle l'imaginait progresser en elle, refoulant les chairs, elle imaginait le gros gland coulisser dans ses chairs L'homme lui tenait les seins, s'accrochant parfois aux tétons pour se lancer en elle d'un coup.
- Ouais je vais venir, je vais t'inonder de ma purée, garce !
- Ah ! moi non plus je ne tiens plus ! rugit le second.
D'un coup les deux hommes se rejoignirent au plus profond d'elle et éjaculèrent puissamment. Elle sentit les lourdes giclées lui envahir les orifices le sperme coulait déjà sur ses cuisses lorsqu'ils se retirèrent Devant, l'homme tira une dernière fois sur son gland, lui envoyant une dernière giclée sur les poils pubiens. Il s'écoula lentement vers ses lèvres ouvertes.
Les deux hommes furent remplacés par deux autres. Leur entrée fut favorisée par le sperme qui s'écoulait de son vagin et de son anus. La longue poussée des deux hommes en elle l'un de l'autre, l'écrasant entre eux. Patricia s'excitait de ces hommes qui glissaient leur verge dans le sperme des autres, en elle les spermes allaient se mêler. Celui de devant la fixait dans les yeux en la besognant.
- Tu aimes hein ! On voit bien que t'adores les queues.
Il lui enleva le bâillon de la bouche, et lui saisissant la tête, colla sa bouche de force sur ses lèvres.
- Oh ! non ! Oh ! non.
Il régla le rythme de sa langue sur les coups de sa bite entrant, sortant Patricia gémissait.
- Oh, ah, oh, oui, ah, non ! ah.
L'homme faufila une main entre leurs sexes, et insinua un doigt dans le haut de la fente, découvrant le capuchon du clitoris.
- Oui, oui, oui, ah.. je jouisssss.
Patricia rugit elle sentait monter des plaisirs intenses en elle sombrant progressivement dans le délire. Les yeux exorbités, visage luisant de transpiration, dents plantées dans sa lèvre inférieure, elle se tendait, résistant à grand peine aux vagues bouillonnantes qui grondaient dans son sexe, son ventre commençait à se crisper involontairement, son vagin se contractait. Et puis elle fut ravagée intérieurement par une gigantesque flamme, qui la laissa pantelante Elle s'affaissa uniquement soutenue par les cordes et c'est à peine si elle sentit les deux hommes continuer à se masturber en elle.
- Salope ! Garce, cela t'a plu hein tiens voilà encore du jus.
En quelques mouvements, l'homme éjacula dans son vagin, le remplissant une fois encore en entier il se retira laissant s'échapper un flot de semence de la vulve de Patricia. Le dernier homme détachait la corde elle s'écroula dans ses bras qui ensuite la mit à genoux.
Les fesses hautes, offertes, s'offraient maintenant complètement à la pénétration alors tirant sur sa queue pour faire saillir fortement le gland il lui enfouit sa verge complètement dans le cul. Elle tressautait à chaque coup, sentant clapoter les testicules contre le jus qui s'écoulait de son vagin. Chaque coup la propulsait en avant, manquant la faire tomber en avant. Il s'activait maintenant dans son rectum avec un train d'enfer, soufflant, ahanant à grands cris.
- Toute entière je te la mets toute entière dans ton joli cul de femme mariée. Je t'encule, ah.
Elle glissa une main entre ses jambes, et saisissant les bourses, tira dessus légèrement leur imprimant le même rythme que son enculage.
- Ah ! Merci, tu me trais le dard... ahhhh.!
Une purée épaisse jaillit dans ses intestins elle serait les fesses, masturbant la dans son cul appréciant les jets chauds qui l'inondaient. Les autres hommes regardaient cette incroyable pénétration. Ils avaient repris leur verge en main, et dotés d'une nouvelle érection se masturbaient en cœur. Le seul qui n'avait pas encore joui, lui releva la tête, et força sa verge entre ses lèvres. Elle pénétra loin et Patricia eut un haut de cœur Il jouit de suite le sperme giclait dans sa gorge même, la forçant à avaler par saccades. Les autres s'étaient rapprochés, et leurs mains couraient énergiquement sur leur sexe.
- Ah ouais je gicle !
- Moi aussi, je viens ... !
- Tudieu, quelle garce!
Dirigeant leur sexe vers sa bouche, les jets n'en finirent plus de gicler, éclaboussant également la queue toujours plantée entre ses lèvres. L'un se retira de son cul et l'autre de sa bouche. Tous la regardèrent puis éclatèrent de rire.
- Bon anniversaire Patricia dirent-ils en cœur. Elle les regarda sans comprendre.
- Tu as aimé ?
- Comment connaissez-vous mon nom ?
- C'est le cadeau de Paul ton mari ! Viens on va te reconduire.
Patricia sourit en pensant à son mari à son cadeau fou heureusement, il n'avait pas vu qu'elle avait aimé cela.
- Bon anniversaire ma chérie ! s'écria Paul apparaissant de derrière un arbre.
- Paul ! tu as tout vu ! Tu es complètement fou.
- Mais oui Patricia j'espère que ton cadeau t'a plu ?
- Oh Paul, déroutant au début, mais tellement agréable mais qui sont ces hommes ?
- Des collègues de bons amis et se tournant vers eux, il leur dit :
- Allez-les gars, venez souper chez nous, on va vous faire une bonne omelette aux champignons et puis ça m'étonnerait que Patricia ne nous offre pas encore une petite gâterie au dessert.
Il allait l'emmener cueillir des champignons. Un dimanche après-midi, ils partirent donc et arrêtèrent la voiture le long d'un petit chemin de Bois. Paul et Patricia descendirent de voiture et s'enfoncèrent dans une forêt peu dense, clairsemée de beaux vieux arbres.
Les paniers furent vite pleins cèpes, bolets, lépiotes, chanterelles Patricia se pencha pour ramasser la seule morille qu'ils avaient trouvée. Quand elle se releva, Paul se trouvait devant elle, il l'enlaça et colla ses lèvres à sa bouche Il lui saisit les deux mains doucement, et sans lui laisser le temps de réagir, sortit une corde de sa poche.
Celle-ci munie d'un nœud coulant se referma prestement autour des poignets. Patricia regarda son mari d'un air interrogateur, mais déjà celui-ci l'entraînait vers un gros chêne aux branches basses et noueuses.
La corde fut jetée autour d'une branche maîtresse, et Paul tendit rapidement celle-ci étirant les bras de sa femme vers le haut.
- Chéri, Non ! détache-moi !
Celle-ci voulut encore protester, mais déjà son mari lui écartait son chemisier, dévoilant une petite poitrine serrée dans un soutien couleur lilas. Il dégrafa rapidement son jeans, tira celui-ci sur ses hanches, et acheva de lui ôter.
Patricia se démenait, suspendue en sous-vêtement Paul promena ses mains sur son corps, frôlant ses seins et son pubis Puis il dégrafa son soutien, et arracha brutalement sa culotte. Les seins jaillirent, étirés vers le haut, le téton durci Patricia sentit les poils de son corps se dresser, caressé par un léger petit vent frais.
- Allez déconne pas, détache-moi ! dit-elle en riant.
Mais son mari saisit les deux paniers de champignons, et s'éloigna.
- Chéri, reviens ! enfin détache moi, revient.
La pauvre Patricia le vit disparaître entre les arbres, et entendit sa voiture démarrer !
Le silence s'installa, troublée par les mille bruits de la forêt, nue, attachée, elle essaya de faire glisser le nœud de ses poignets, mais elle ne réussit qu'à s'écorcher ceux-ci. Si quelqu'un venait. Elle regarda autour d'elle personne. Essayant encore de se libérer elle réalisa soudain que quelqu'un s'approchait d'elle par derrière.
Deux bras la ceinturèrent, et lui emprisonnèrent les seins Patricia voulut se retourner, quand son attention fut attirée par 4 hommes qui s'approchaient entre les arbres.
- Lâcher-moi, mais lâcher-moi.
Les hommes ont vit rejoint son ravisseur ils n'étaient même pas masqués !
- Alors voilà une petite souris attachée nue à un arbre mais que fais-tu là ma poupée ?
- Mais où est mon mari ?
- Chut ! Tu veux dire que tu nous attendais ma belle !
On lui enfonça un bâillon sa petite culotte dans la bouche pour l'empêcher de crier. Les hommes alors se déshabillèrent prestement, l'un d'eux empoigna sa verge en érection et s'approcha de Patricia.
- Regarde ce qu'on va te mettre tu ne l'oublieras pas.
- Mummm ! Nonnnnn !
Il tirait sur la peau découvrant un gland violacé par l'envie Il frotta celui-ci sur le ventre de Patricia, et l'enfourna dans le pli de ses cuisses. Toujours bloquée par l'arrière, elle ne pouvait pas bouger, serrant fortement les jambes. Deux des hommes s'approchèrent et la saisissant aux chevilles, les écartèrent l'une de l'autre. Patricia sentit son sexe s'ouvrir. La verge entra brutalement en elle, lui arrachant un cri malgré son bâillon elle sentait la progression d’une grosse bite dans son ventre puis les longs coulissements dans son vagin Patricia s'échauffait malgré tous Les autres hommes s'étaient mis en cercle autour d'elle et se masturbaient en la regardant, attendant leur tour ! La verge maintenant la perçait de toute sa longueur.
- Han ! han ! han tiens.
L'homme ponctuait chaque poussée d'un cri de bûcheron. Patricia poussa un petit cri à travers le bâillon quand elle sentit une seconde verge se glisser entre ses fesses. La corde tirait, la forçant à se dresser sur la pointe des pieds. La pression s'accentua contre la rosette de son anus elle sentit celle-ci s'écarter, puis une gigantesque impression d'être envahie totalement la remplit d'un coup. La verge était grosse, et chaque intromission lui arrachait des larmes qui commencèrent à goutter sur ses seins. Les deux hommes avaient trouvés leur rythme, et pulsaient de concert dans son vagin et son anus.
Malgré la légère douleur, Patricia se sentit envahir d'une profonde chaleur l'idée de ce sexe d'homme qui violait son fondement elle l'imaginait progresser en elle, refoulant les chairs, elle imaginait le gros gland coulisser dans ses chairs L'homme lui tenait les seins, s'accrochant parfois aux tétons pour se lancer en elle d'un coup.
- Ouais je vais venir, je vais t'inonder de ma purée, garce !
- Ah ! moi non plus je ne tiens plus ! rugit le second.
D'un coup les deux hommes se rejoignirent au plus profond d'elle et éjaculèrent puissamment. Elle sentit les lourdes giclées lui envahir les orifices le sperme coulait déjà sur ses cuisses lorsqu'ils se retirèrent Devant, l'homme tira une dernière fois sur son gland, lui envoyant une dernière giclée sur les poils pubiens. Il s'écoula lentement vers ses lèvres ouvertes.
Les deux hommes furent remplacés par deux autres. Leur entrée fut favorisée par le sperme qui s'écoulait de son vagin et de son anus. La longue poussée des deux hommes en elle l'un de l'autre, l'écrasant entre eux. Patricia s'excitait de ces hommes qui glissaient leur verge dans le sperme des autres, en elle les spermes allaient se mêler. Celui de devant la fixait dans les yeux en la besognant.
- Tu aimes hein ! On voit bien que t'adores les queues.
Il lui enleva le bâillon de la bouche, et lui saisissant la tête, colla sa bouche de force sur ses lèvres.
- Oh ! non ! Oh ! non.
Il régla le rythme de sa langue sur les coups de sa bite entrant, sortant Patricia gémissait.
- Oh, ah, oh, oui, ah, non ! ah.
L'homme faufila une main entre leurs sexes, et insinua un doigt dans le haut de la fente, découvrant le capuchon du clitoris.
- Oui, oui, oui, ah.. je jouisssss.
Patricia rugit elle sentait monter des plaisirs intenses en elle sombrant progressivement dans le délire. Les yeux exorbités, visage luisant de transpiration, dents plantées dans sa lèvre inférieure, elle se tendait, résistant à grand peine aux vagues bouillonnantes qui grondaient dans son sexe, son ventre commençait à se crisper involontairement, son vagin se contractait. Et puis elle fut ravagée intérieurement par une gigantesque flamme, qui la laissa pantelante Elle s'affaissa uniquement soutenue par les cordes et c'est à peine si elle sentit les deux hommes continuer à se masturber en elle.
- Salope ! Garce, cela t'a plu hein tiens voilà encore du jus.
En quelques mouvements, l'homme éjacula dans son vagin, le remplissant une fois encore en entier il se retira laissant s'échapper un flot de semence de la vulve de Patricia. Le dernier homme détachait la corde elle s'écroula dans ses bras qui ensuite la mit à genoux.
Les fesses hautes, offertes, s'offraient maintenant complètement à la pénétration alors tirant sur sa queue pour faire saillir fortement le gland il lui enfouit sa verge complètement dans le cul. Elle tressautait à chaque coup, sentant clapoter les testicules contre le jus qui s'écoulait de son vagin. Chaque coup la propulsait en avant, manquant la faire tomber en avant. Il s'activait maintenant dans son rectum avec un train d'enfer, soufflant, ahanant à grands cris.
- Toute entière je te la mets toute entière dans ton joli cul de femme mariée. Je t'encule, ah.
Elle glissa une main entre ses jambes, et saisissant les bourses, tira dessus légèrement leur imprimant le même rythme que son enculage.
- Ah ! Merci, tu me trais le dard... ahhhh.!
Une purée épaisse jaillit dans ses intestins elle serait les fesses, masturbant la dans son cul appréciant les jets chauds qui l'inondaient. Les autres hommes regardaient cette incroyable pénétration. Ils avaient repris leur verge en main, et dotés d'une nouvelle érection se masturbaient en cœur. Le seul qui n'avait pas encore joui, lui releva la tête, et força sa verge entre ses lèvres. Elle pénétra loin et Patricia eut un haut de cœur Il jouit de suite le sperme giclait dans sa gorge même, la forçant à avaler par saccades. Les autres s'étaient rapprochés, et leurs mains couraient énergiquement sur leur sexe.
- Ah ouais je gicle !
- Moi aussi, je viens ... !
- Tudieu, quelle garce!
Dirigeant leur sexe vers sa bouche, les jets n'en finirent plus de gicler, éclaboussant également la queue toujours plantée entre ses lèvres. L'un se retira de son cul et l'autre de sa bouche. Tous la regardèrent puis éclatèrent de rire.
- Bon anniversaire Patricia dirent-ils en cœur. Elle les regarda sans comprendre.
- Tu as aimé ?
- Comment connaissez-vous mon nom ?
- C'est le cadeau de Paul ton mari ! Viens on va te reconduire.
Patricia sourit en pensant à son mari à son cadeau fou heureusement, il n'avait pas vu qu'elle avait aimé cela.
- Bon anniversaire ma chérie ! s'écria Paul apparaissant de derrière un arbre.
- Paul ! tu as tout vu ! Tu es complètement fou.
- Mais oui Patricia j'espère que ton cadeau t'a plu ?
- Oh Paul, déroutant au début, mais tellement agréable mais qui sont ces hommes ?
- Des collègues de bons amis et se tournant vers eux, il leur dit :
- Allez-les gars, venez souper chez nous, on va vous faire une bonne omelette aux champignons et puis ça m'étonnerait que Patricia ne nous offre pas encore une petite gâterie au dessert.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bof la rubrique des chats écrasés est plus bandante.
génial j ai adoré
belle histoire
ma femme va souvent seule au champignon,serait un scénario comme celui la
ma femme va souvent seule au champignon,serait un scénario comme celui la