Titre de l'histoire érotique : La femme de mon ami Bachir Episode 3 : Nadir l’étalon
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2011 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : La femme de mon ami Bachir Episode 3 : Nadir l’étalon
Pendant longtemps nous vécûmes, Bachir, Kamila et moi une vie super agréable d’un couple à trois. Cela dura environ six mois au cours desquels, je m’étais installé presque en permanence chez mon ami Bachir et vécus avec sa femme des moments d’érotisme intense. J’étais en quelque sorte devenu le deuxième mari de Kamila, au grand bonheur de Bachir qui pouvait ainsi nous regarder faire l’amour ensemble pratiquement toutes les nuits les jours; sans presque jamais participer directement au spectacle, sinon par les indications de ce qu’il voulait nous voir faire, en ce moment précis. Kamila s’était avérée une amante extraordinaire, ouverte à tout et disponible pour tout. Nous passions presque toutes nos nuits ensemble à faire l’amour sans aucune limite devant son mari. La plupart du temps, il s’enfonçait confortablement dans le fauteuil qui faisait face au grand lit et, après nous avoir indiqué ce qu’il voulait que nous fassions, se contentait de nous regarder sans plus intervenir. Il indiquait mais ne dirigeais même plus. Il se contenter d’indiquer le scénario à suivre et était sûr qu’il sera joué exactement comme il le voulait.
Presque toujours, une fois la scène démarrée, il sortait son sexe du pantalon de pyjama qu’il portait et le caressait doucement, en contemplant le spectacle érotique que nous donnions sa femme et moi en maltraitant le grand lit conjugal. Kamila adorait regarder le sexe de son mari qui grandissait à vue d’œil devant nous, suivant l’intensité de l’excitation que lui procurait le spectacle de son corps qui se dénudait lentement sous mes caresses et finissait toujours par exposer tous ses appâts devant ses yeux exorbités. Son érection atteignait son paroxysme au moment où il apercevait mon engin dur comme un roc et frétillant d’impatience, prendre possession d’un de ses trous. Il était visiblement aux anges : il avait sur les lèvres – ouvertes et frémissantes – le sourire béat d’un homme heureux et les yeux qui brillaient de mille étoiles. Il continuait de caresser doucement son sexe. Il ne se branlait pas; du moins pas au début de la scène; il résistait à l’envie de le faire et attendait la fin de nos ébats à Kamila et à moi, pour vider ses bourses trop pleines. Il se vidait presque tout le temps sur le visage et la poitrine de sa femme.
Il adorait voir Kamila s’escrimer avec le sperme : le mien qu’elle recevait partout – vagin, cul ou bouche – et le sien qui lui parvenait directement sur le visage, la bouche et la poitrine. Ses yeux brillaient encore plus intensément quand il la regardait avaler tout le foutre qu’elle avait en bouche et lécher avec délectation ses doigts, après qu’ils eussent ramassé nos sécrétions sur le reste de son corps. Chaque fois qu’elle faisait cela, Kamila jetait à son mari un regard coquin, dans lequel il pouvait lire du plaisir et aussi de la reconnaissance. La reconnaissance de lui permettre de vivre de tels moments de plaisir – et de bonheur. Elle m’avait avoué, plus d’une fois, qu’elle était heureuse avec nous deux. Qu’elle s’éclatait réellement et qu’elle adorait de plus en plus ce qu’elle faisait avec nous. Elle avait pris goût à la pratique sexuelle libre. Et elle ne pouvait plus vivre sans.
Kamila et moi, au cours de nos rapports, avions fini par intégrer la présence permanente de son mari à nos côtés, et surtout ses directives préalables à nos étreintes. Il faut dire que nous y trouvions notre compte, sachant que ses fantasmes nous faisaient vivre à tous les trois des moments exceptionnels de jouissances sexuelles. Ce qu’il exigeait de nous, nous donnait, en lui obéissant, autant de plaisir qu’à lui. Nous avions même fini – Kamila et moi – par nous demander s’il lisait dans nos esprits chaque fois qu’il exigeait de nous quelque chose de nouveau. Ce qu’il nous demandait, c’était exactement ce que nous avions envie de vivre. Il s’agissait dans ces premiers moments de nos relations d’appliquer différentes positions du Kâma-Sûtra ; celles qui le faisaient fantasmer le plus. Y compris les plus sportives : celles, harassantes, qui nous transformaient - Kamila et moi – en acrobates et plus souvent encore, en pantins désarticulés.
Par la suite, il exigeait de moi que je doigte le cul de ma maîtresse pendant que je la possédais par devant ou que je lui masturbe le vagin pendant que je l’enculais. Il voulait que sa femme prenne goût à cet ersatz de double pénétration, avant d’aller plus loin et participer lui-même directement à enculer sa femme pendant que moi je m’occupais de sa chatte. La fois où il décida de participer à nos ébats, il ne nous l’avait pas préalablement annoncé. Comme d’habitude, il avait décrit le scénario de la scène qu’il voulait voir et avait demandé à Kamila de chevaucher mon sabre, à la manière d’une farouche amazone.
- El youm, entiya li et-nikouh ! Matchi ‘houa ! Errekbi zebou ! (Aujourd’hui, c’est à toi de le niquer ! Pas à lui ! Chevauche son zob !)
Et bien entendu, nous obéîmes à ses ordres. Je me mis en position allongée sur le dos, le zob - qu’elle avait entretemps mis en émoi avec ses lèvres et sa langue - dressé comme le mât d’une tente, attendant en frémissant, la superbe chatte de Kamila venir s’empaler sur lui. Elle se mit à califourchon sur mes cuisses et prit mon engin dans ma main droite pour le positionner à l’entrée de sa chatte gluante, entre ses grandes lèvres. Elle coulait telle une fontaine. Elle abaissa brusquement son bassin et fit pénétrer le sabre complètement à l’intérieur de son vagin. Il alla très loin, jusqu’au fond de son tunnel. J’avais l’impression que le gland de mon sexe avait rencontré la limite du vagin ; je me fis la réflexion que depuis que j’étais l’amant de cette femme, je n’avais encore jamais été aussi loin dans son tunnel.
J’aurai aimé aller encore plus loin et voir le manche ressortir par la bouche ouverte de ma maîtresse, qui criait son plaisir et dégoulinait de bave. Elle se mit à monter et descendre lentement son bassin, cherchant à faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Elle me regardait avec ses yeux plein d’étoiles, cherchant à deviner l’intensité de mon excitation et le moment où j’allais éclater en elle.
- Et-hab ki Kamila tnikek ! Ki Kamila tkoun fouguek ! Ki telaâ ou tahbat foug zebek! Goul en-hab ! Goul ! Bghit en-sem3ek et-goul en-hab ki en-nikek ! (Tu aimes que Kamila te nique ! Que Kamila soit sur toi ! Quand elle monte et descend sur ton zob ! Dis, j’aime ! Dis ! Je veux t’entendre dire que tu aimes que je te baise !)
- En-hab ! Zid etal-3i ou habti foug zebi! (J’aime ! Continue de monter et descendre sur mon zob !)
Nos cris, nos gémissements et nos phrases impudiques se mélangeaient. Cela dura longtemps; chacun de nous deux essayant de se retenir, pour faire durer le plus longtemps possible le plaisir. Puis Kamila souleva encore une fois ses hanches et s’arrêta en position haute, pour, pensais-je retarder la survenue de l’orgasme que je lisais sur son visage devenu tout rouge à cause des efforts qu’elle fournissait. Cela m’amena à faire moi-même les mouvements de va-et-vient dans son vagin, en relevant et rabaissant mon bassin, à un rythme de plus en plus rapide et avec de plus en plus de force. Ce fut à ce moment précis que Bachir, sans crier gare, entra en scène. Kamila qui était immobile, les hanches relevées présentait son fessier à son mari. Je le vis subitement se dresser derrière elle, son sexe dans la main et venir se positionner de manière à pouvoir l’enculer. Je ne sus jamais si cela avait été prémédité par mon ami, ou s’il avait cédé à une pulsion subite, en voyant l’anus de sa femme ouvert et palpitant et, en regardant mon manche aller et venir entre ses grandes lèvres.
Kamila ne se doutait pas de ce qui était entrain de se préparer ; elle était toute entière dans son plaisir de se faire pilonner la chatte par mon engin. Quand elle sentit une main puissante se refermer sur une de ses hanches pour la maintenir dans la bonne position, elle tourna la tête pour voir ce qui se passait. Elle ne put rien voir nettement, mais elle comprit très vite que Bachir allait entrer en action. Je vis son sourire s’agrandir et sa lèvre supérieure se mettre à palpiter, laissant apparaître ses canines de louve. Elle avait compris qu’elle allait être enculée et qu’elle allait subir, pour la première fois dans sa vie, une vraie double pénétration. Elle jubilait ! Elle tournait la tête pour essayer de voir la scène. En vain. Elle se mit en attente. Une attente extrêmement jouissive, que je pouvais lire dans son regard qui s’était voilé et à sa tête qui s’était immobilisée.
Je l’entendis pousser un énorme « aaaaaaah » de contentement, en même temps que je ressentis le sexe de Bachir investir le boyau de Kamila et venir se frotter contre le mien, à travers les fines parois vaginale et rectale. Je n’avais encore jamais ressenti une telle sensation ! Mon manche continuait de pilonner rageusement le vagin, moulant, brulant et inondé de Kamila et rencontrait, à travers les parois du rectum et du vagin, à chacun de ses allers-retours, celui de Bachir, qui allait et venait tout aussi rageusement dans la chatte de son épouse. C’était une sensation étrange ; mais combien plaisante ! Combien délicieuse !
Contrairement à Kamila qui ne pouvait rien voir du visage de son mari, je pouvais contempler l’air farouche et décidé de Bachir entrain d’enculer sa femme, en même temps que moi, son ami, j’allais et venais dans son vagin. Il avait les narines qui palpitaient de contentement et la bouche ouverte comme pour mieux respirer l’oxygène du plaisir qu’il prenait. Ses yeux s’étaient voilés, comme s’il cherchait à mieux apprécier l’intensité du plaisir qui l’inondait. Il ne parlait pas, mais il poussait, à chaque pénétration brutale de son engin dans le cul de sa femme, un « han » de bucheron, qui devenait de plus en plus sonore. Kamila et moi étions plus « bavards ». Elle, elle n’arrêtait pas de commenter ce qu’elle ressentait et moi, de crier tout le plaisir qui m’envahissait.
- ‘Hakdha Bachir ! Nik martek mel lour ! Kesser-li gaâri! Enta melour ou Rafik mel goudam! Hach‘hal h’louwin zboub ki yet-tlaqaw ! Ach’hal en-hab ‘houm ki yet-laqaw ! Zidou nikouni ‘hakdhak ! En-habkoum fi zoudj ! En-hab zboub koum ! (Comme cela Bachir ! Tire ta femme par derrière ! Défonce-moi le cul ! Toi par derrière et Rafik par devant ! C’est tellement délicieux deux zobs qui se rencontrent ! J’adore quand ils se rencontrent ! Continuez à me baiser comme cela ! Je vous aime tous les deux ! J’adore vos zobs !)
Tous les trois, nous étions au paradis. Bachir et moi qui avions nos manches qui allaient et venaient dans les deux tunnels de la femme et qui nous procuraient une merveilleuse sensation de bien-être, dont l’intensité croissait à chaque fois qu’ils se frottaient l’un à l’autre en se croisant. Kamila qui sentait son vagin rempli par un superbe manche qui limait furieusement sa paroi vaginale et frottait contre un autre zob qui lui remplissait le cul, et allait et venait tout aussi furieusement à l’intérieur de son rectum. Nos manches se croisaient à travers les fines membranes de son vagin et de son rectum et, en se croisant, l’emmenaient au septième ciel. Elle criait que c’était bon ! Que c’était du miel ! Que nous lui faisions mal ! Et qu’elle voulait que nous fassions encore plus mal ! Qu’elle se sentait défaillir ! Qu’elle allait s’évanouir, tellement l’excitation était forte ! Elle criait tout cela, en arabe et avec ses mots crus.
Elle écarquillait les yeux pour me regarder sous elle pousser un long cri de satisfaction chaque fois que mes hanches remontaient pour pilonner sa chatte, qui m’attendait à une dizaine de centimètre au dessus du gland de mon sexe. Et un gémissement encore plus sonore chaque fois qu’il croisait et frottait le manche de Bachir, qui allait et venait dans son cul. Elle voyait mes yeux qui brillaient de désir et de plaisir et ma bouche ouverte pour me permettre de mieux respirer. Elle voyait que j’étais tout prêt de jouir. Et il était vrai que j’avais du mal à retenir l’orgasme que je sentais dévaler. Et je voyais que mes deux partenaires étaient absolument dans le même état. Bachir avaient les lèvres qui s’étiraient jusqu’à devenir blanches; de la salive dégoulinait de sa bouche, sans qu’il puisse la retenir; son regard était toujours voilé. Je sentais qu’il n’allait pas tarder à exploser. Kamila aussi montrait des signes qu’elle n’allait pas tarder à avoir un immense orgasme. Mais elle c’était par la voix qu’elle nous le montrait :
- Ra‘hi djaya ! Ra‘hi djaya ! Dhork nefragh ! Zidou, djebdou quahbet-koum ! Edjebdouni bezzour ! Bezzour ! Farghou fiya ! Farghou fi thqab Kamila ! Ferghou ! Djayaaaaaa ! (Je vais jouir ! Je vais jouir ! Je vais décharger maintenant ! Continuez à tirer votre pute ! Tirez-moi en force ! En force ! Ejaculez en moi ! Ejaculez dans les trous de Kamila ! Ejaculez ! Je jouiiiiis !)
Et nous eûmes tous les trois, de manière presque synchronisée, un formidable orgasme, qui nous emmena au bord de la syncope. Je crois même que Kamila s’était évanouie quelques secondes. Elle s’affala sur moi, entrainant dans sa chute son mari qui était solidement accroché à ses hanches. J’entendais, comme dans un rêve, nos trois respirations haletantes se calmer petit à petit et reprendre au bout d’une dizaine de minutes, leur rythme normal. Nous restâmes comme cela – Kamila toujours allongée sur moi et Bachir affalé sur le dos de sa femme – un certain temps, sans rien dire, à savourer notre bonheur. Puis Bachir se leva, regarda un moment son sexe encore en érection, enduit d’un liquide marron, réfléchissant certainement à ce qu’il allait faire.
Il se décida pour quelque chose que je n’avais encore jamais vu, ni bien entendu, vécu. Il vint se planter devant le visage de sa femme, qui le regardait avec des yeux interrogateurs.
- Ghesli-li zebi beffoumek ! Elahsih ! Ou bel3i koulech ! (Nettoie-moi le zob avec ta bouche ! Lèche-le ! Et avale tout !)
Cela sonnait comme un ordre ! Un ordre qu’elle devait obligatoirement exécuter ! Kamila, un peu décontenancée, regarda vers moi pour que je lui indique ce qu’elle devait faire. Je ne dis rien. J’étais curieux d’assister à la suite des évènements. Je devinais que Bachir venait de trouver une manière de faire durer encore l’immense plaisir qu’il venait de prendre. Il attrapa sa femme par les cheveux pour l’obliger à positionner sa bouche devant son manche dégoulinant de sperme et des sécrétions annales de Kamila, l’obligea à écarter les lèvres et les dents et le fit pénétrer dans la cavité buccale ainsi offerte.
- Lahsih ! Pompih ! (Lèche-le ! Pompe-le !)
Et elle fit tout ce que lui ordonnait son mari. Au début, je la voyais qui faisait la moue. Elle semblait faire les choses à contrecœur. Nettoyer ses propres cacas avec sa bouche ! Quelle horreur ! Et puis, au fur et à mesure que l’engin allait et venait dans sa bouche, je voyais ses yeux qui souriaient. Elle appréciait ce qu’elle était entrain de faire. Elle semblait même aimer le goût qu’elle avait en bouche. Elle finit par faire sortir le manche pour le regarder attentivement. Et elle se mit à le lécher frénétiquement, nettoyant la moindre parcelle. Quand elle eût terminé, elle leva la tête pour regarder son mari. Elle avait un immense sourire sur les lèvres et dans les yeux un regard brillant de provocation.
- Nouit ma en-dirou‘hch ! Ahsebt en-3ef ! Kamila tegdar el-koulech ! (Tu croyais que je ne le ferais pas ! Tu pensais que cela allait me répugner ! Kamila peut absolument tout faire !)
Pour la remercier Bachir vint la prendre entre ses bras et lui donna un vrai baiser d’amoureux. Un baiser plein de tendresse. Et il vint s’allonger dans le lit à la droite de sa femme et sombra très rapidement dans un profond sommeil, nous laissant Kamila et moi enlacés comme des tourtereaux. Elle avait posé sa tête contre mon épaule et se laissait caresser la nuque, en ronronnant tel un chaton. Elle ne tarda pas elle-aussi à s’endormir.
Notre vie à trois continua ainsi pendant encore quelques mois. Et puis un jour, sans que ni Bachir, ni moi ne nous y attendions, Kamila - qui travaillait comme assistante de Direction dans un grand laboratoire étranger - rentra à la maison vers dix-huit heures, en compagnie d’un véritable Apollon. Un homme d’une beauté vraiment exceptionnelle. Grand, svelte, les épaules larges, la taille fine et les hanches étroites. Un vrai sportif de haut niveau, pensais-je au moment même où je l’aperçus. Il avait le teint buriné des hommes qui passent beaucoup de temps en plein air. Et en plus, il était vêtu avec élégance; une élégance faussement débraillée qui le rendait encore plus séduisant: il portait un costume gris en alpagua, une chemise blanche à rayures du même gris que son costume, dont les deux premiers boutons étaient défaits. Il était vraiment superbe. Dès que je le vis, j’en avais été jaloux. J’avais compris que Kamila avait flashé sur lui et qu’elle voulait en faire son nouvel amant de cœur.
Je regardais Bachir, qui était assis dans son fauteuil de prédilection dans le salon, en attendant en ma compagnie le retour à la maison de notre épouse. Il semblait aussi surpris que moi de voir le bel éphèbe. Mais très vite, il se reprit et son sourire béat revint immédiatement sur ses lèvres. Il venait tout simplement de comprendre qu’il allait vivre – que nous allions vivre – une nouvelle aventure érotique, qu’il n’avait pas lui-même préparée et, rien pour cela, ne pouvait être qu’exceptionnelle. Il me lança une œillade comme pour me demander de laisser faire et de ne pas intervenir. Je restais donc dans mon coin, à faire la gueule, attendant la suite des évènements.
- Je vous présente Nadir, un nouveau collègue de travail. Il est ingénieur commercial et vient de débarquer du siège de la société à Paris. Il est français d’origine algérienne et vient pour une mission de réorganisation de la Direction commerciale de la filiale algérienne. Il sera avec nous pendant une quinzaine de jours. Je te présente Bachir, mon mari et Rafik, son ami et mon amant !
- Bonjour Nadir, fit Bachir en lui tendant amicalement la main. Sois le bienvenu ! Ne fais pas attention à Rafik, il est jaloux ! Il ne veut pas partager Kamila avec toi !
Bachir avait très vite saisi la situation et l’avait acceptée de bon cœur. Contrairement à moi, qui continuais de bouder dans mon coin, il avait très vite compris ce qui se passait. Il avait compris que Kamila avait cédé à une pulsion érotique, en rencontrant Nadir et lui avait rapidement mis le grappin dessus. Elle avait dû lui avouer qu’elle avait flashé sur lui et qu’elle le voulait comme amant. Elle lui avait aussi tout raconté sur nos moments de folies. Et s’il était là, c’est qu’il avait accepté les règles du jeu.
- Kamila m’a raconté que vous aviez une vie érotique trépidante. Je ne l’avais pas crue sur le moment. Je ne pensais pas que dans ce pays, il existait ce genre de comportements érotiques. Et vous m’en voyez heureux. Et puis elle est tellement bandante ! Elle m’a fait bander pendant tout le trajet qui nous a ramené ici. Je crois que si nous étions en France, je lui aurais fait arrêter la voiture sur un parking et je l’aurais tirée sans attendre d’arriver à la maison.
Le langage cru du mec et l’envie de baiser Kamila qu’il décrivait sans fausse honte avait tout de suite plu à Bachir. Il prit sa femme par une main et Nadir par l’autre main et les entraina vers la chambre à coucher. Me laissant en plan dans le salon, sans autre forme de procès. Je restais un long moment tout seul, ruminant ma rage. Je commençais à entendre les petits bruits si caractéristiques d’un couple qui commençait à se fricoter, avant de s’envoyer en l’air. J’entendais Bachir commander à Nadir de déshabiller Kamila lentement et d’aller à la découverte de son corps de Venus. (J’imaginais Bachir enfoncé dans son fauteuil, un sourire de carnassier sur la bouche, entrain de donner ses ordres). Et juste après j’entendais Kamila glousser comme une dinde (Je devenais méchant, tant j’étais jaloux) en se faisant effeuiller par son nouvel amant.
- Tu es vraiment superbe ! disait le mec, avec son accent français. Quelle poitrine ! Quels nichons ! Doux ! Durs ! Je vais me régaler ! Quel cul ! Je ne sais plus où mettre mes mains !
- Dans ma chatte ! Caresse-la ! Tu vois comme elle est déjà mouillée ! Ouiiii ! Comme ça ! Continue de la caresser ! Mets-y trois doigts ! Comme ça !
Cela dura environ un quart d’heure. Je me morfondais dans le salon à écouter tous les bruits et chuchotements qui me parvenaient de la chambre, dont la porte était restée largement béante. Je n’y tenais plus, il fallait que j’aille arrêter le spectacle. Il fallait que je chasse l’intrus. Il me fallait reprendre Kamila ! Il fallait qu’elle comprenne qu’elle est à moi ! Rien qu’à moi ! Pas même à son mari ! Je déboulais comme un fou dans la chambre avec l’intention de faire un esclandre. Et en pénétrant dans la chambre, je tombais sur le spectacle de Kamila, dans sa merveilleuse nudité, entrain de chevaucher l’immense engin de Nadir allongé en dessous d’elle, en travers du lit.
Je ne pus m’empêcher d’admirer les dimensions exceptionnelles du sexe du garçon. Je me vantais d’avoir un engin de bonne taille, mais à côté de celui de Nadir, il était tout rikiki. Je regardais du côté de Bachir, qui était comme à son habitude enfoncé voluptueusement dans son fauteuil, le sexe en érection maximale dans sa main droite, entrain de regarder la scène en souriant de toutes ses dents. Il sentit ma présence et tourna la tête vers moi. De l’index de sa main gauche, il me fit signe de me taire et de m’approcher de lui pour mater la scène. Le geste qu’il fit était un ordre ! Pas une prière ! Cela arrêta net le mouvement que j’allais faire pour séparer les deux amants. Vaincu, je me plaçais à côté de lui et me mis – à mon corps défendant – à regarder la scène.
J’étais aussi honteux que devait l’être un mari qui venait de découvrir qu’il était cocu. Je baissais la tête, n’osant pas trop regarder la scène qui se déroulait devant moi. Kamila continuait de chevaucher l’immense bâton de Nadir. Elle criait son plaisir – pas encore très fort, pour le moment - et gémissait à chaque mouvement de son bassin. C’était elle qui menait la danse et faisait monter et descendre ses hanches au rythme qu’elle choisissait, en fonction du degré de plaisir qu’elle ressentait. Et en fonction de l’état dans lequel était son amant. Quand elle voulait le titiller très fort et l’amener au bord de l’orgasme, elle donnait à ses mouvements de bassin montants et descendants, un rythme endiablé. Quand elle sentait qu’il allait éclater, elle ralentissait jusqu’à arrêter totalement le mouvement.
Elle menait la danse et était heureuse de le faire. Elle était maintenant complètement entrée en elle. Elle était à l’écoute de ses sensations. Elle s’était mise à parler. Elle avait oublié que l’homme qui était sous elle ne comprenait pas l’arabe. Mais qu’importe, c’était à elle-même qu’elle s’adressait !
- Ach’hal zebek kbir ! En-haslou mlih ! Yewdjaâni ! En’habou ! Bachir chouf zebou ach’hal touil ou smin ! Zebou a3mar-li gaâ saouti ! (Comme ton zob est immense ! Je le sens bien ! Il me fait mal ! Je l’aime ! Bachir regarde son zob comme il est long et gros ! Son zob remplit toute ma chatte !)
Nadir lui, se contentait de gémir et de souffler comme un phoque. Je le voyais qui attrapait sa maîtresse par les hanches et qui accompagnait ses mouvements montants et descendant ; sans faire d’autres efforts. C’était Kamila qui faisait tout. Et elle adorait ça ! Et soudain, elle arrêta ses mouvements en restant en position haute, les hanches relevées au maximum. Le formidable engin de Nadir était complètement ressorti de la chatte et attendait en frétillant son retour. Elle tourna la tête vers son mari et me vit à son côté ; elle eut un merveilleux sourire de contentement.
- Rafik, arouah et-nikni melour ! Ezreb, arouah ! Bghit enhas zeboubkoum fi zoudj ! Nadir melgoudem ! ou enta melour ! Akhradj zebek ou aroual etnik Kamila ! (Rafik, vient me niquer par derrière ! Fait vite, viens ! J’ai envie de sentir vos zobs à tous les deux ! Nadir par devant ! Et toi par derrière ! Sors ton zob et viens niquer Kamila !)
En l’entendant parler comme cela, toute ma fureur et toute ma jalousie s’étaient envolées. Je sentais l’excitation s’emparer de mon bas ventre et mon sexe se mettre à frétiller. Je regardais le beau cul de la femme offert à nos regards et à ma concupiscence qui avait repris tous ses droits. Je voulais maintenant prendre possession de ce magnifique cul que je voyais palpiter en attendant d’être pénétré. Je jetais un regard rapide vers Bachir, qui continuait imperturbablement de sourire, et ouvrit la braguette de mon pantalon pour sortir le manche qui s’impatientait. Je me mis debout derrière Kamila – elle avait le cul à la bonne hauteur – et sans précaution aucune je la pénétrais violemment. Elle poussa un petit cri de douleur et attendis que j’effectue deux allers-retours dans son rectum avant de demander à son autre amant de pilonner sa vulve.
- Nique-ni ! Baise-moi ! Monte et descends dans ma chatte !
Nadir comprit immédiatement que maintenant c’était à lui de faire les efforts qu’il fallait pour la faire jouir. Et il y alla en force en poussant des « han » de bucheron. Kamila resta comme cela, immobile, le cul en l’air, pendant que nous ses amants, pilonnions violemment ses deux trous. Moi, particulièrement qui voulait lui faire mal pour la punir de me tromper ! J’y allais avec fureur et sans précaution. Je voulais qu’elle ait vraiment mal ! Mais au lieu de cela, la merveilleuse femme s’était remise à crier tout son bonheur d’être prise doublement.
- Aâcel ! Mlih ! Yemma ! Yemma, choufi bentek ! Choufi bentek woulat qahba ! Inikou‘ha zoudj erdjels ! Bachir querab etchouf martek li ma tebtache etferagh ! Arouah ya tehane ! Tehane ! Arouah werrili grounek ! Groun li dert‘houmlek ! (Du miel ! C’est bon ! Maman ! Maman regarde ta fille ! Regarde ta fille, elle est devenue pute ! Elle se fait tirer par deux hommes ! Bachir approche-toi pour voir ta femme qui ne va pas tarder à décharger ! Approche espèce de cocu ! Viens me montrer tes cornes ! Les cornes que je t’ai faites !)
Et puis elle s’arrêta de parler. Je sentis tous ses muscles se figer et sa respiration s’arrêter. Elle hurla qu’elle allait jouir et eut un énorme orgasme qui me sembla avoir duré une éternité. Elle déchargea des litres de cyprine qui allèrent s’étaler sur le bas ventre et les couilles de Nadir, qui continuait imperturbablement à pilonner la vulve de Kamila. Je sentis à travers les parois rectale et vaginale que lui-même accélérait le rythme de ses va-et-vient, me poussant à faire de même. Il poussa subitement un long râle et cria que ça venait.
- Ça vient ! Ça vient ! Je vais jouir ! Je jouiiiiiiis !
Et il lâcha, en soufflant comme un phoque, plusieurs jets de sperme à l’intérieur du vagin de la belle. Il continua encore un temps à pilonner la vulve de Kamila, attendant que je jouisse moi aussi. Quelques secondes plus tard, ce fut mon tour de décharger une quantité impressionnante de sperme dans le cul de la femme. Il ressortit totalement à l’extérieur et alla s’étaler par terre à côté du lit. Kamila, épuisée, s’effondra sur Nadir qui l’enlaça tendrement, en lui susurrant à l’oreille des mots que je ne pus entendre, mais qui semblaient être une espèce de déclaration d’amour. Moi je restais encore quelques secondes dans le cul de Kamila, puis je sortis en regardant Bachir qui lui aussi venait d’éjaculer par terre après une branlette frénétique.
Je ne crois pas que pendant tout le temps que Nadir était là - il resta avec nous pendant toute la durée de sa mission et ne nous quitta qu’à contrecœur parce que sa Direction réclamait à cors et à cris son retour - j’eus avec lui un comportement d’ami. Je crois que j’avais toujours été jaloux de lui. Jaloux qu’il donnait autant de plaisir à Kamila; jaloux qu’il ait un engin aussi monumental et puissant; et jaloux qu’il soit un superbe coup pour notre femme, qui était entrain de tourner nymphomane. Mais je dois avouer que pendant toute cette période, j’avais eu ma part de plaisir et de bonheur. Surtout que Kamila continuait à me dire qu’elle m’aimait vraiment et que j’étais devenu indispensable à sa vie de femme.
Mais nous avait-elle affirmé à tous les trois – Nadir était encore avec nous – que maintenant qu’elle avait goûté à l’amour avec plusieurs hommes, elle en était devenue accro.
- Même quand Nadir sera parti, il me faudra trouver quelqu’un d’aussi bien monté que lui et d’aussi performant, pour le remplacer. Je veux avoir toujours un troisième homme avec moi ! Et si je ne le trouve pas, ce sera à vous deux de me le trouver.
Presque toujours, une fois la scène démarrée, il sortait son sexe du pantalon de pyjama qu’il portait et le caressait doucement, en contemplant le spectacle érotique que nous donnions sa femme et moi en maltraitant le grand lit conjugal. Kamila adorait regarder le sexe de son mari qui grandissait à vue d’œil devant nous, suivant l’intensité de l’excitation que lui procurait le spectacle de son corps qui se dénudait lentement sous mes caresses et finissait toujours par exposer tous ses appâts devant ses yeux exorbités. Son érection atteignait son paroxysme au moment où il apercevait mon engin dur comme un roc et frétillant d’impatience, prendre possession d’un de ses trous. Il était visiblement aux anges : il avait sur les lèvres – ouvertes et frémissantes – le sourire béat d’un homme heureux et les yeux qui brillaient de mille étoiles. Il continuait de caresser doucement son sexe. Il ne se branlait pas; du moins pas au début de la scène; il résistait à l’envie de le faire et attendait la fin de nos ébats à Kamila et à moi, pour vider ses bourses trop pleines. Il se vidait presque tout le temps sur le visage et la poitrine de sa femme.
Il adorait voir Kamila s’escrimer avec le sperme : le mien qu’elle recevait partout – vagin, cul ou bouche – et le sien qui lui parvenait directement sur le visage, la bouche et la poitrine. Ses yeux brillaient encore plus intensément quand il la regardait avaler tout le foutre qu’elle avait en bouche et lécher avec délectation ses doigts, après qu’ils eussent ramassé nos sécrétions sur le reste de son corps. Chaque fois qu’elle faisait cela, Kamila jetait à son mari un regard coquin, dans lequel il pouvait lire du plaisir et aussi de la reconnaissance. La reconnaissance de lui permettre de vivre de tels moments de plaisir – et de bonheur. Elle m’avait avoué, plus d’une fois, qu’elle était heureuse avec nous deux. Qu’elle s’éclatait réellement et qu’elle adorait de plus en plus ce qu’elle faisait avec nous. Elle avait pris goût à la pratique sexuelle libre. Et elle ne pouvait plus vivre sans.
Kamila et moi, au cours de nos rapports, avions fini par intégrer la présence permanente de son mari à nos côtés, et surtout ses directives préalables à nos étreintes. Il faut dire que nous y trouvions notre compte, sachant que ses fantasmes nous faisaient vivre à tous les trois des moments exceptionnels de jouissances sexuelles. Ce qu’il exigeait de nous, nous donnait, en lui obéissant, autant de plaisir qu’à lui. Nous avions même fini – Kamila et moi – par nous demander s’il lisait dans nos esprits chaque fois qu’il exigeait de nous quelque chose de nouveau. Ce qu’il nous demandait, c’était exactement ce que nous avions envie de vivre. Il s’agissait dans ces premiers moments de nos relations d’appliquer différentes positions du Kâma-Sûtra ; celles qui le faisaient fantasmer le plus. Y compris les plus sportives : celles, harassantes, qui nous transformaient - Kamila et moi – en acrobates et plus souvent encore, en pantins désarticulés.
Par la suite, il exigeait de moi que je doigte le cul de ma maîtresse pendant que je la possédais par devant ou que je lui masturbe le vagin pendant que je l’enculais. Il voulait que sa femme prenne goût à cet ersatz de double pénétration, avant d’aller plus loin et participer lui-même directement à enculer sa femme pendant que moi je m’occupais de sa chatte. La fois où il décida de participer à nos ébats, il ne nous l’avait pas préalablement annoncé. Comme d’habitude, il avait décrit le scénario de la scène qu’il voulait voir et avait demandé à Kamila de chevaucher mon sabre, à la manière d’une farouche amazone.
- El youm, entiya li et-nikouh ! Matchi ‘houa ! Errekbi zebou ! (Aujourd’hui, c’est à toi de le niquer ! Pas à lui ! Chevauche son zob !)
Et bien entendu, nous obéîmes à ses ordres. Je me mis en position allongée sur le dos, le zob - qu’elle avait entretemps mis en émoi avec ses lèvres et sa langue - dressé comme le mât d’une tente, attendant en frémissant, la superbe chatte de Kamila venir s’empaler sur lui. Elle se mit à califourchon sur mes cuisses et prit mon engin dans ma main droite pour le positionner à l’entrée de sa chatte gluante, entre ses grandes lèvres. Elle coulait telle une fontaine. Elle abaissa brusquement son bassin et fit pénétrer le sabre complètement à l’intérieur de son vagin. Il alla très loin, jusqu’au fond de son tunnel. J’avais l’impression que le gland de mon sexe avait rencontré la limite du vagin ; je me fis la réflexion que depuis que j’étais l’amant de cette femme, je n’avais encore jamais été aussi loin dans son tunnel.
J’aurai aimé aller encore plus loin et voir le manche ressortir par la bouche ouverte de ma maîtresse, qui criait son plaisir et dégoulinait de bave. Elle se mit à monter et descendre lentement son bassin, cherchant à faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Elle me regardait avec ses yeux plein d’étoiles, cherchant à deviner l’intensité de mon excitation et le moment où j’allais éclater en elle.
- Et-hab ki Kamila tnikek ! Ki Kamila tkoun fouguek ! Ki telaâ ou tahbat foug zebek! Goul en-hab ! Goul ! Bghit en-sem3ek et-goul en-hab ki en-nikek ! (Tu aimes que Kamila te nique ! Que Kamila soit sur toi ! Quand elle monte et descend sur ton zob ! Dis, j’aime ! Dis ! Je veux t’entendre dire que tu aimes que je te baise !)
- En-hab ! Zid etal-3i ou habti foug zebi! (J’aime ! Continue de monter et descendre sur mon zob !)
Nos cris, nos gémissements et nos phrases impudiques se mélangeaient. Cela dura longtemps; chacun de nous deux essayant de se retenir, pour faire durer le plus longtemps possible le plaisir. Puis Kamila souleva encore une fois ses hanches et s’arrêta en position haute, pour, pensais-je retarder la survenue de l’orgasme que je lisais sur son visage devenu tout rouge à cause des efforts qu’elle fournissait. Cela m’amena à faire moi-même les mouvements de va-et-vient dans son vagin, en relevant et rabaissant mon bassin, à un rythme de plus en plus rapide et avec de plus en plus de force. Ce fut à ce moment précis que Bachir, sans crier gare, entra en scène. Kamila qui était immobile, les hanches relevées présentait son fessier à son mari. Je le vis subitement se dresser derrière elle, son sexe dans la main et venir se positionner de manière à pouvoir l’enculer. Je ne sus jamais si cela avait été prémédité par mon ami, ou s’il avait cédé à une pulsion subite, en voyant l’anus de sa femme ouvert et palpitant et, en regardant mon manche aller et venir entre ses grandes lèvres.
Kamila ne se doutait pas de ce qui était entrain de se préparer ; elle était toute entière dans son plaisir de se faire pilonner la chatte par mon engin. Quand elle sentit une main puissante se refermer sur une de ses hanches pour la maintenir dans la bonne position, elle tourna la tête pour voir ce qui se passait. Elle ne put rien voir nettement, mais elle comprit très vite que Bachir allait entrer en action. Je vis son sourire s’agrandir et sa lèvre supérieure se mettre à palpiter, laissant apparaître ses canines de louve. Elle avait compris qu’elle allait être enculée et qu’elle allait subir, pour la première fois dans sa vie, une vraie double pénétration. Elle jubilait ! Elle tournait la tête pour essayer de voir la scène. En vain. Elle se mit en attente. Une attente extrêmement jouissive, que je pouvais lire dans son regard qui s’était voilé et à sa tête qui s’était immobilisée.
Je l’entendis pousser un énorme « aaaaaaah » de contentement, en même temps que je ressentis le sexe de Bachir investir le boyau de Kamila et venir se frotter contre le mien, à travers les fines parois vaginale et rectale. Je n’avais encore jamais ressenti une telle sensation ! Mon manche continuait de pilonner rageusement le vagin, moulant, brulant et inondé de Kamila et rencontrait, à travers les parois du rectum et du vagin, à chacun de ses allers-retours, celui de Bachir, qui allait et venait tout aussi rageusement dans la chatte de son épouse. C’était une sensation étrange ; mais combien plaisante ! Combien délicieuse !
Contrairement à Kamila qui ne pouvait rien voir du visage de son mari, je pouvais contempler l’air farouche et décidé de Bachir entrain d’enculer sa femme, en même temps que moi, son ami, j’allais et venais dans son vagin. Il avait les narines qui palpitaient de contentement et la bouche ouverte comme pour mieux respirer l’oxygène du plaisir qu’il prenait. Ses yeux s’étaient voilés, comme s’il cherchait à mieux apprécier l’intensité du plaisir qui l’inondait. Il ne parlait pas, mais il poussait, à chaque pénétration brutale de son engin dans le cul de sa femme, un « han » de bucheron, qui devenait de plus en plus sonore. Kamila et moi étions plus « bavards ». Elle, elle n’arrêtait pas de commenter ce qu’elle ressentait et moi, de crier tout le plaisir qui m’envahissait.
- ‘Hakdha Bachir ! Nik martek mel lour ! Kesser-li gaâri! Enta melour ou Rafik mel goudam! Hach‘hal h’louwin zboub ki yet-tlaqaw ! Ach’hal en-hab ‘houm ki yet-laqaw ! Zidou nikouni ‘hakdhak ! En-habkoum fi zoudj ! En-hab zboub koum ! (Comme cela Bachir ! Tire ta femme par derrière ! Défonce-moi le cul ! Toi par derrière et Rafik par devant ! C’est tellement délicieux deux zobs qui se rencontrent ! J’adore quand ils se rencontrent ! Continuez à me baiser comme cela ! Je vous aime tous les deux ! J’adore vos zobs !)
Tous les trois, nous étions au paradis. Bachir et moi qui avions nos manches qui allaient et venaient dans les deux tunnels de la femme et qui nous procuraient une merveilleuse sensation de bien-être, dont l’intensité croissait à chaque fois qu’ils se frottaient l’un à l’autre en se croisant. Kamila qui sentait son vagin rempli par un superbe manche qui limait furieusement sa paroi vaginale et frottait contre un autre zob qui lui remplissait le cul, et allait et venait tout aussi furieusement à l’intérieur de son rectum. Nos manches se croisaient à travers les fines membranes de son vagin et de son rectum et, en se croisant, l’emmenaient au septième ciel. Elle criait que c’était bon ! Que c’était du miel ! Que nous lui faisions mal ! Et qu’elle voulait que nous fassions encore plus mal ! Qu’elle se sentait défaillir ! Qu’elle allait s’évanouir, tellement l’excitation était forte ! Elle criait tout cela, en arabe et avec ses mots crus.
Elle écarquillait les yeux pour me regarder sous elle pousser un long cri de satisfaction chaque fois que mes hanches remontaient pour pilonner sa chatte, qui m’attendait à une dizaine de centimètre au dessus du gland de mon sexe. Et un gémissement encore plus sonore chaque fois qu’il croisait et frottait le manche de Bachir, qui allait et venait dans son cul. Elle voyait mes yeux qui brillaient de désir et de plaisir et ma bouche ouverte pour me permettre de mieux respirer. Elle voyait que j’étais tout prêt de jouir. Et il était vrai que j’avais du mal à retenir l’orgasme que je sentais dévaler. Et je voyais que mes deux partenaires étaient absolument dans le même état. Bachir avaient les lèvres qui s’étiraient jusqu’à devenir blanches; de la salive dégoulinait de sa bouche, sans qu’il puisse la retenir; son regard était toujours voilé. Je sentais qu’il n’allait pas tarder à exploser. Kamila aussi montrait des signes qu’elle n’allait pas tarder à avoir un immense orgasme. Mais elle c’était par la voix qu’elle nous le montrait :
- Ra‘hi djaya ! Ra‘hi djaya ! Dhork nefragh ! Zidou, djebdou quahbet-koum ! Edjebdouni bezzour ! Bezzour ! Farghou fiya ! Farghou fi thqab Kamila ! Ferghou ! Djayaaaaaa ! (Je vais jouir ! Je vais jouir ! Je vais décharger maintenant ! Continuez à tirer votre pute ! Tirez-moi en force ! En force ! Ejaculez en moi ! Ejaculez dans les trous de Kamila ! Ejaculez ! Je jouiiiiis !)
Et nous eûmes tous les trois, de manière presque synchronisée, un formidable orgasme, qui nous emmena au bord de la syncope. Je crois même que Kamila s’était évanouie quelques secondes. Elle s’affala sur moi, entrainant dans sa chute son mari qui était solidement accroché à ses hanches. J’entendais, comme dans un rêve, nos trois respirations haletantes se calmer petit à petit et reprendre au bout d’une dizaine de minutes, leur rythme normal. Nous restâmes comme cela – Kamila toujours allongée sur moi et Bachir affalé sur le dos de sa femme – un certain temps, sans rien dire, à savourer notre bonheur. Puis Bachir se leva, regarda un moment son sexe encore en érection, enduit d’un liquide marron, réfléchissant certainement à ce qu’il allait faire.
Il se décida pour quelque chose que je n’avais encore jamais vu, ni bien entendu, vécu. Il vint se planter devant le visage de sa femme, qui le regardait avec des yeux interrogateurs.
- Ghesli-li zebi beffoumek ! Elahsih ! Ou bel3i koulech ! (Nettoie-moi le zob avec ta bouche ! Lèche-le ! Et avale tout !)
Cela sonnait comme un ordre ! Un ordre qu’elle devait obligatoirement exécuter ! Kamila, un peu décontenancée, regarda vers moi pour que je lui indique ce qu’elle devait faire. Je ne dis rien. J’étais curieux d’assister à la suite des évènements. Je devinais que Bachir venait de trouver une manière de faire durer encore l’immense plaisir qu’il venait de prendre. Il attrapa sa femme par les cheveux pour l’obliger à positionner sa bouche devant son manche dégoulinant de sperme et des sécrétions annales de Kamila, l’obligea à écarter les lèvres et les dents et le fit pénétrer dans la cavité buccale ainsi offerte.
- Lahsih ! Pompih ! (Lèche-le ! Pompe-le !)
Et elle fit tout ce que lui ordonnait son mari. Au début, je la voyais qui faisait la moue. Elle semblait faire les choses à contrecœur. Nettoyer ses propres cacas avec sa bouche ! Quelle horreur ! Et puis, au fur et à mesure que l’engin allait et venait dans sa bouche, je voyais ses yeux qui souriaient. Elle appréciait ce qu’elle était entrain de faire. Elle semblait même aimer le goût qu’elle avait en bouche. Elle finit par faire sortir le manche pour le regarder attentivement. Et elle se mit à le lécher frénétiquement, nettoyant la moindre parcelle. Quand elle eût terminé, elle leva la tête pour regarder son mari. Elle avait un immense sourire sur les lèvres et dans les yeux un regard brillant de provocation.
- Nouit ma en-dirou‘hch ! Ahsebt en-3ef ! Kamila tegdar el-koulech ! (Tu croyais que je ne le ferais pas ! Tu pensais que cela allait me répugner ! Kamila peut absolument tout faire !)
Pour la remercier Bachir vint la prendre entre ses bras et lui donna un vrai baiser d’amoureux. Un baiser plein de tendresse. Et il vint s’allonger dans le lit à la droite de sa femme et sombra très rapidement dans un profond sommeil, nous laissant Kamila et moi enlacés comme des tourtereaux. Elle avait posé sa tête contre mon épaule et se laissait caresser la nuque, en ronronnant tel un chaton. Elle ne tarda pas elle-aussi à s’endormir.
Notre vie à trois continua ainsi pendant encore quelques mois. Et puis un jour, sans que ni Bachir, ni moi ne nous y attendions, Kamila - qui travaillait comme assistante de Direction dans un grand laboratoire étranger - rentra à la maison vers dix-huit heures, en compagnie d’un véritable Apollon. Un homme d’une beauté vraiment exceptionnelle. Grand, svelte, les épaules larges, la taille fine et les hanches étroites. Un vrai sportif de haut niveau, pensais-je au moment même où je l’aperçus. Il avait le teint buriné des hommes qui passent beaucoup de temps en plein air. Et en plus, il était vêtu avec élégance; une élégance faussement débraillée qui le rendait encore plus séduisant: il portait un costume gris en alpagua, une chemise blanche à rayures du même gris que son costume, dont les deux premiers boutons étaient défaits. Il était vraiment superbe. Dès que je le vis, j’en avais été jaloux. J’avais compris que Kamila avait flashé sur lui et qu’elle voulait en faire son nouvel amant de cœur.
Je regardais Bachir, qui était assis dans son fauteuil de prédilection dans le salon, en attendant en ma compagnie le retour à la maison de notre épouse. Il semblait aussi surpris que moi de voir le bel éphèbe. Mais très vite, il se reprit et son sourire béat revint immédiatement sur ses lèvres. Il venait tout simplement de comprendre qu’il allait vivre – que nous allions vivre – une nouvelle aventure érotique, qu’il n’avait pas lui-même préparée et, rien pour cela, ne pouvait être qu’exceptionnelle. Il me lança une œillade comme pour me demander de laisser faire et de ne pas intervenir. Je restais donc dans mon coin, à faire la gueule, attendant la suite des évènements.
- Je vous présente Nadir, un nouveau collègue de travail. Il est ingénieur commercial et vient de débarquer du siège de la société à Paris. Il est français d’origine algérienne et vient pour une mission de réorganisation de la Direction commerciale de la filiale algérienne. Il sera avec nous pendant une quinzaine de jours. Je te présente Bachir, mon mari et Rafik, son ami et mon amant !
- Bonjour Nadir, fit Bachir en lui tendant amicalement la main. Sois le bienvenu ! Ne fais pas attention à Rafik, il est jaloux ! Il ne veut pas partager Kamila avec toi !
Bachir avait très vite saisi la situation et l’avait acceptée de bon cœur. Contrairement à moi, qui continuais de bouder dans mon coin, il avait très vite compris ce qui se passait. Il avait compris que Kamila avait cédé à une pulsion érotique, en rencontrant Nadir et lui avait rapidement mis le grappin dessus. Elle avait dû lui avouer qu’elle avait flashé sur lui et qu’elle le voulait comme amant. Elle lui avait aussi tout raconté sur nos moments de folies. Et s’il était là, c’est qu’il avait accepté les règles du jeu.
- Kamila m’a raconté que vous aviez une vie érotique trépidante. Je ne l’avais pas crue sur le moment. Je ne pensais pas que dans ce pays, il existait ce genre de comportements érotiques. Et vous m’en voyez heureux. Et puis elle est tellement bandante ! Elle m’a fait bander pendant tout le trajet qui nous a ramené ici. Je crois que si nous étions en France, je lui aurais fait arrêter la voiture sur un parking et je l’aurais tirée sans attendre d’arriver à la maison.
Le langage cru du mec et l’envie de baiser Kamila qu’il décrivait sans fausse honte avait tout de suite plu à Bachir. Il prit sa femme par une main et Nadir par l’autre main et les entraina vers la chambre à coucher. Me laissant en plan dans le salon, sans autre forme de procès. Je restais un long moment tout seul, ruminant ma rage. Je commençais à entendre les petits bruits si caractéristiques d’un couple qui commençait à se fricoter, avant de s’envoyer en l’air. J’entendais Bachir commander à Nadir de déshabiller Kamila lentement et d’aller à la découverte de son corps de Venus. (J’imaginais Bachir enfoncé dans son fauteuil, un sourire de carnassier sur la bouche, entrain de donner ses ordres). Et juste après j’entendais Kamila glousser comme une dinde (Je devenais méchant, tant j’étais jaloux) en se faisant effeuiller par son nouvel amant.
- Tu es vraiment superbe ! disait le mec, avec son accent français. Quelle poitrine ! Quels nichons ! Doux ! Durs ! Je vais me régaler ! Quel cul ! Je ne sais plus où mettre mes mains !
- Dans ma chatte ! Caresse-la ! Tu vois comme elle est déjà mouillée ! Ouiiii ! Comme ça ! Continue de la caresser ! Mets-y trois doigts ! Comme ça !
Cela dura environ un quart d’heure. Je me morfondais dans le salon à écouter tous les bruits et chuchotements qui me parvenaient de la chambre, dont la porte était restée largement béante. Je n’y tenais plus, il fallait que j’aille arrêter le spectacle. Il fallait que je chasse l’intrus. Il me fallait reprendre Kamila ! Il fallait qu’elle comprenne qu’elle est à moi ! Rien qu’à moi ! Pas même à son mari ! Je déboulais comme un fou dans la chambre avec l’intention de faire un esclandre. Et en pénétrant dans la chambre, je tombais sur le spectacle de Kamila, dans sa merveilleuse nudité, entrain de chevaucher l’immense engin de Nadir allongé en dessous d’elle, en travers du lit.
Je ne pus m’empêcher d’admirer les dimensions exceptionnelles du sexe du garçon. Je me vantais d’avoir un engin de bonne taille, mais à côté de celui de Nadir, il était tout rikiki. Je regardais du côté de Bachir, qui était comme à son habitude enfoncé voluptueusement dans son fauteuil, le sexe en érection maximale dans sa main droite, entrain de regarder la scène en souriant de toutes ses dents. Il sentit ma présence et tourna la tête vers moi. De l’index de sa main gauche, il me fit signe de me taire et de m’approcher de lui pour mater la scène. Le geste qu’il fit était un ordre ! Pas une prière ! Cela arrêta net le mouvement que j’allais faire pour séparer les deux amants. Vaincu, je me plaçais à côté de lui et me mis – à mon corps défendant – à regarder la scène.
J’étais aussi honteux que devait l’être un mari qui venait de découvrir qu’il était cocu. Je baissais la tête, n’osant pas trop regarder la scène qui se déroulait devant moi. Kamila continuait de chevaucher l’immense bâton de Nadir. Elle criait son plaisir – pas encore très fort, pour le moment - et gémissait à chaque mouvement de son bassin. C’était elle qui menait la danse et faisait monter et descendre ses hanches au rythme qu’elle choisissait, en fonction du degré de plaisir qu’elle ressentait. Et en fonction de l’état dans lequel était son amant. Quand elle voulait le titiller très fort et l’amener au bord de l’orgasme, elle donnait à ses mouvements de bassin montants et descendants, un rythme endiablé. Quand elle sentait qu’il allait éclater, elle ralentissait jusqu’à arrêter totalement le mouvement.
Elle menait la danse et était heureuse de le faire. Elle était maintenant complètement entrée en elle. Elle était à l’écoute de ses sensations. Elle s’était mise à parler. Elle avait oublié que l’homme qui était sous elle ne comprenait pas l’arabe. Mais qu’importe, c’était à elle-même qu’elle s’adressait !
- Ach’hal zebek kbir ! En-haslou mlih ! Yewdjaâni ! En’habou ! Bachir chouf zebou ach’hal touil ou smin ! Zebou a3mar-li gaâ saouti ! (Comme ton zob est immense ! Je le sens bien ! Il me fait mal ! Je l’aime ! Bachir regarde son zob comme il est long et gros ! Son zob remplit toute ma chatte !)
Nadir lui, se contentait de gémir et de souffler comme un phoque. Je le voyais qui attrapait sa maîtresse par les hanches et qui accompagnait ses mouvements montants et descendant ; sans faire d’autres efforts. C’était Kamila qui faisait tout. Et elle adorait ça ! Et soudain, elle arrêta ses mouvements en restant en position haute, les hanches relevées au maximum. Le formidable engin de Nadir était complètement ressorti de la chatte et attendait en frétillant son retour. Elle tourna la tête vers son mari et me vit à son côté ; elle eut un merveilleux sourire de contentement.
- Rafik, arouah et-nikni melour ! Ezreb, arouah ! Bghit enhas zeboubkoum fi zoudj ! Nadir melgoudem ! ou enta melour ! Akhradj zebek ou aroual etnik Kamila ! (Rafik, vient me niquer par derrière ! Fait vite, viens ! J’ai envie de sentir vos zobs à tous les deux ! Nadir par devant ! Et toi par derrière ! Sors ton zob et viens niquer Kamila !)
En l’entendant parler comme cela, toute ma fureur et toute ma jalousie s’étaient envolées. Je sentais l’excitation s’emparer de mon bas ventre et mon sexe se mettre à frétiller. Je regardais le beau cul de la femme offert à nos regards et à ma concupiscence qui avait repris tous ses droits. Je voulais maintenant prendre possession de ce magnifique cul que je voyais palpiter en attendant d’être pénétré. Je jetais un regard rapide vers Bachir, qui continuait imperturbablement de sourire, et ouvrit la braguette de mon pantalon pour sortir le manche qui s’impatientait. Je me mis debout derrière Kamila – elle avait le cul à la bonne hauteur – et sans précaution aucune je la pénétrais violemment. Elle poussa un petit cri de douleur et attendis que j’effectue deux allers-retours dans son rectum avant de demander à son autre amant de pilonner sa vulve.
- Nique-ni ! Baise-moi ! Monte et descends dans ma chatte !
Nadir comprit immédiatement que maintenant c’était à lui de faire les efforts qu’il fallait pour la faire jouir. Et il y alla en force en poussant des « han » de bucheron. Kamila resta comme cela, immobile, le cul en l’air, pendant que nous ses amants, pilonnions violemment ses deux trous. Moi, particulièrement qui voulait lui faire mal pour la punir de me tromper ! J’y allais avec fureur et sans précaution. Je voulais qu’elle ait vraiment mal ! Mais au lieu de cela, la merveilleuse femme s’était remise à crier tout son bonheur d’être prise doublement.
- Aâcel ! Mlih ! Yemma ! Yemma, choufi bentek ! Choufi bentek woulat qahba ! Inikou‘ha zoudj erdjels ! Bachir querab etchouf martek li ma tebtache etferagh ! Arouah ya tehane ! Tehane ! Arouah werrili grounek ! Groun li dert‘houmlek ! (Du miel ! C’est bon ! Maman ! Maman regarde ta fille ! Regarde ta fille, elle est devenue pute ! Elle se fait tirer par deux hommes ! Bachir approche-toi pour voir ta femme qui ne va pas tarder à décharger ! Approche espèce de cocu ! Viens me montrer tes cornes ! Les cornes que je t’ai faites !)
Et puis elle s’arrêta de parler. Je sentis tous ses muscles se figer et sa respiration s’arrêter. Elle hurla qu’elle allait jouir et eut un énorme orgasme qui me sembla avoir duré une éternité. Elle déchargea des litres de cyprine qui allèrent s’étaler sur le bas ventre et les couilles de Nadir, qui continuait imperturbablement à pilonner la vulve de Kamila. Je sentis à travers les parois rectale et vaginale que lui-même accélérait le rythme de ses va-et-vient, me poussant à faire de même. Il poussa subitement un long râle et cria que ça venait.
- Ça vient ! Ça vient ! Je vais jouir ! Je jouiiiiiiis !
Et il lâcha, en soufflant comme un phoque, plusieurs jets de sperme à l’intérieur du vagin de la belle. Il continua encore un temps à pilonner la vulve de Kamila, attendant que je jouisse moi aussi. Quelques secondes plus tard, ce fut mon tour de décharger une quantité impressionnante de sperme dans le cul de la femme. Il ressortit totalement à l’extérieur et alla s’étaler par terre à côté du lit. Kamila, épuisée, s’effondra sur Nadir qui l’enlaça tendrement, en lui susurrant à l’oreille des mots que je ne pus entendre, mais qui semblaient être une espèce de déclaration d’amour. Moi je restais encore quelques secondes dans le cul de Kamila, puis je sortis en regardant Bachir qui lui aussi venait d’éjaculer par terre après une branlette frénétique.
Je ne crois pas que pendant tout le temps que Nadir était là - il resta avec nous pendant toute la durée de sa mission et ne nous quitta qu’à contrecœur parce que sa Direction réclamait à cors et à cris son retour - j’eus avec lui un comportement d’ami. Je crois que j’avais toujours été jaloux de lui. Jaloux qu’il donnait autant de plaisir à Kamila; jaloux qu’il ait un engin aussi monumental et puissant; et jaloux qu’il soit un superbe coup pour notre femme, qui était entrain de tourner nymphomane. Mais je dois avouer que pendant toute cette période, j’avais eu ma part de plaisir et de bonheur. Surtout que Kamila continuait à me dire qu’elle m’aimait vraiment et que j’étais devenu indispensable à sa vie de femme.
Mais nous avait-elle affirmé à tous les trois – Nadir était encore avec nous – que maintenant qu’elle avait goûté à l’amour avec plusieurs hommes, elle en était devenue accro.
- Même quand Nadir sera parti, il me faudra trouver quelqu’un d’aussi bien monté que lui et d’aussi performant, pour le remplacer. Je veux avoir toujours un troisième homme avec moi ! Et si je ne le trouve pas, ce sera à vous deux de me le trouver.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle écriture. plaisir de lire
magnifique ecrit une histoire sur najia ma femme