Titre de l'histoire érotique : La honte de ma honte, le candaulisme
Récit érotique écrit par Avarnus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : La honte de ma honte, le candaulisme
Mon épouse collée à moi, nue, son sexe se frotte à mon pantalon. Ses seins contre ma chemise jouent, m’isolent de ses battements de cœur. Elle est en tenue d’infériorité comme un préambule à la honte.
Elle m'embrasse à pleine bouche, sa langue est dure comme l'est ma verge, ma bouche est trempée comme l'est son sexe.
Elle s'écarte de moi, déboutonne ma chemise rapidement, ouvre ma ceinture puis mon pantalon... Je ferme les yeux tant je suis excité. Je bande... Elle sort mon sexe et je sens sa bouche l'engloutir...
Elle salive, mouille mon gourdin, le fait entrer et sortir de sa bouche, pose sa main dessus et me masturbe...en me regardant...
Le plaisir monte...
De sa main gauche, elle serre mes testicules, les empêche de remonter, les tient bien fermement...
Elle suce, ressort mon sexe, vient lécher le méat de sa langue dure.
Je décide de la relever avant de jouir dans sa bouche...
Je la prends contre moi et frotte mon sexe mouillé, dégoulinant de salive, contre son ventre. Je la retourne. Ses mains se plaquent avec violence contre le mur...avec la même intensité, je viens me plaquer contre son postérieur blanc.
C'est à ce moment-là qu'il s'est approché...sans y être invité...comme sortant de l'ombre...comme un fantasme, comme une peur, comme une honte, comme une envie folle...mon ami le candauliste.
Mon amour ne l'a pas remarqué car elle a fermé les yeux. Elle pose ses mains et commence à bouger ses fesses contre mon sexe. Celui-ci, trempé, va et vient dans le sillage de ses fesses...
Il s'approche et me souris. Il est élégant, bien habillé, dans son costume noir. Il me plait, il est beau. Je lui souris aussi.
Je retourne ma femme pour l'embrasser à pleine bouche et la positionner de dos à notre bel inconnu. Celui-ci a compris le message et s'approche doucement. Ma chérie ne se doute de rien, je continue à l'embrasser. Elle a pris, à deux mains, ma queue dure qu'elle secoue de bas en haut...
Les mains du candauliste se posent sur ses hanches... Elle ouvre les yeux de surprise, effectue un mouvement vers l'avant comme pour se libérer... Je pose ma main sur sa nuque, continue de l'embrasser, appuie mon torse contre ses seins, mon bassin contre son bas ventre comme pour mieux la bloquer... Il fait de même de son côté contre le derrière de ma bien aimé...
La surprise est totale. Comme dans un étau, elle ne peut plus bouger. Elle n'ose se retourner et me regarde droit dans les yeux. Quelque chose se trame... Elle commence à comprendre... Se sentir, ainsi, prise entre deux hommes, la surprise passée, cela la bouleverse... Partagée entre l'envie et la révulsion...
Sa respiration s'accélère, ses yeux se ferment... Elle a choisi. Elle me suit dans cette danse sans trop savoir où elle va mais elle a confiance. Dans sa tête se joue mille scénarios, tous plus excitants les uns que les autres... Même si elle craint mon jugement, ma réaction.
Notre bel inconnu se dégage doucement maintenant que sa proie lui est acquise. Il déboutonne son pantalon et sors sa queue, elle aussi, dure, l'enfile revient contre mon épouse.
Je comprends rapidement et tout va très vite... J'embrasse ma chérie dans le coup et descend mes mains le long de son corps, en passant sur ses seins, ses cotes, ses hanches, ses fesses... parcours son sillon de mes doigts, arrive sur son sexe pour y glisser un doigt... Elle mouille comme une folle. Un deuxième doigt rapidement... Je ressors et avec mes deux mains écarte son sexe... L'invitation est lancée et notre invité ne se fait pas prier pour l'accepter immédiatement...
Elle ne sait pas ce qui se trame derrière elle mais le comprends rapidement lorsqu'il approche sa queue et la pose sur ce sexe ouvert... Elle a un petit sursaut comme pour dire "Non", comme pour dire "Oui"... Personne ne sait et personne ne veut savoir... Les mains de notre bel inconnu se placent sur ses hanches et il appuie fortement...
Le plaisir est fulgurent. Ma femme se plaque contre moi, pousse un cri, inspire profondément, très rapidement. Je sens son cœur qui cogne dans sa poitrine. Il s'enfonce encore plus loin...
Elle me regarde, les yeux perdus, à demi fermés, le souffle coupé...
Il ressort, rentre à nouveau avec un grand coup de rein. Ma chérie bouffe sa queue à pleine chatte... et ma langue à pleine bouche... Elle salive, bave de tant de plaisir... J'imagine son sexe en faire de même... Cela m'excite... Elle n'en peut plus...
Il commence son va et vient, très fort, très long... Le corps de ma chérie danse au rythme de ses coups de butoir...
Je suis excité. Je prends le visage de ma chérie entre mes mains pour la regarder. Elle lâche mon sexe, ne peut rien faire tant le plaisir l'envahit.
Son regard est perdu, sa respiration soutenue. Sa poitrine se soulève, ses seins dansent... Son corps se plie doucement comme pour mieux sentir cette nouvelle queue l'envahir...
Il accélère... Elle gémit de plus en plus...
Je me recule doucement... Mes mains glissent le long de ses épaules, de ses bras pour saisir ses mains... Elle tente de garder ma queue mais je me recule. Je saisis ses mains...le plaisir est trop fort pour elle.
Elle se plie en deux, pose ses mains sur ses genoux... Au fur et à mesure qu'il avance sa queue dure dans le sexe humide de ma chérie, celle-ci tend son corps longiligne, allonge sa nuque, relève le menton, ouvre la bouche comme pour s'échapper de cette prise...sans y parvenir. Il ressort, elle baisse la tête comme pour reprendre ses esprits. Il remet sa queue, elle se retend à nouveau et le va et vient continue...
Son corps bouge au rythme des coups de queue de cet homme en train de baiser la femme que j'aime.
Je me recule encore et les regarde faire. Ma main droite descend sur ma queue pour l'astiquer et ma main gauche enserre mes couilles... Ma chérie ouvre les yeux, ferme à demi ses paupières comme pour me supplier de rester près d'elle... Je n'en fais rien et continue à les regarder...et à me masturber encore plus violemment.
Elle va jouir. Je le sens, je le sais, tout est là. Sa respiration rapide, le rose sur ses joues, la sueur sur son corps, ses seins gonflés... Notre inconnu accélère encore et lui aussi va partir. Il agrippe encore plus fort ma chérie, la pourfend encore et encore...
Il crie, il se libère dans la chatte trempée et gonflée de la femme que j'aime... Elle l'accompagne à pleine gorge, un cri rauque qui part du fond d'elle, très lointain... Sa salive tombe de sa bouche, sa respiration se suspend... Mon sperme s'écoule de mon sexe par vagues successives... Je jouis comme j'ai rarement joui...
Je regarde ma chérie, le corps plié en deux... Elle relève la tête, plisse ses yeux, me regarde... Une expression de bonheur inonde son visage... Elle essaie de me sourire sans y parvenir tant elle est rompue de fatigue, inondée de plaisir...
Notre bel et bon inconnu se retire doucement, embrasse le dos de ma chérie, ses fesses et me regarde, me fait un signe de tête et disparait dans l'ombre, comme il est venu, aussi mystérieusement.
Je m'approche de mon bel amour, la relève doucement, prend son visage entre mes mains, caresse de mes pouces ses pommettes, approche mes lèvres de ses lèvres, lui dépose un baiser de tendresse, d'amour et de bonheur fou.
Elle ouvre les yeux, me souris, est heureuse...
Je le suis aussi de la savoir si épanouie...
Je la prends dans mes bras, entre dans notre chambre d'hôtel, l'allonge sur notre lit, recouvre son corps de nos draps et son visage, de mes baisers...
J’ai honte, nous avons honte.
Elle s'endort...
Elle m'embrasse à pleine bouche, sa langue est dure comme l'est ma verge, ma bouche est trempée comme l'est son sexe.
Elle s'écarte de moi, déboutonne ma chemise rapidement, ouvre ma ceinture puis mon pantalon... Je ferme les yeux tant je suis excité. Je bande... Elle sort mon sexe et je sens sa bouche l'engloutir...
Elle salive, mouille mon gourdin, le fait entrer et sortir de sa bouche, pose sa main dessus et me masturbe...en me regardant...
Le plaisir monte...
De sa main gauche, elle serre mes testicules, les empêche de remonter, les tient bien fermement...
Elle suce, ressort mon sexe, vient lécher le méat de sa langue dure.
Je décide de la relever avant de jouir dans sa bouche...
Je la prends contre moi et frotte mon sexe mouillé, dégoulinant de salive, contre son ventre. Je la retourne. Ses mains se plaquent avec violence contre le mur...avec la même intensité, je viens me plaquer contre son postérieur blanc.
C'est à ce moment-là qu'il s'est approché...sans y être invité...comme sortant de l'ombre...comme un fantasme, comme une peur, comme une honte, comme une envie folle...mon ami le candauliste.
Mon amour ne l'a pas remarqué car elle a fermé les yeux. Elle pose ses mains et commence à bouger ses fesses contre mon sexe. Celui-ci, trempé, va et vient dans le sillage de ses fesses...
Il s'approche et me souris. Il est élégant, bien habillé, dans son costume noir. Il me plait, il est beau. Je lui souris aussi.
Je retourne ma femme pour l'embrasser à pleine bouche et la positionner de dos à notre bel inconnu. Celui-ci a compris le message et s'approche doucement. Ma chérie ne se doute de rien, je continue à l'embrasser. Elle a pris, à deux mains, ma queue dure qu'elle secoue de bas en haut...
Les mains du candauliste se posent sur ses hanches... Elle ouvre les yeux de surprise, effectue un mouvement vers l'avant comme pour se libérer... Je pose ma main sur sa nuque, continue de l'embrasser, appuie mon torse contre ses seins, mon bassin contre son bas ventre comme pour mieux la bloquer... Il fait de même de son côté contre le derrière de ma bien aimé...
La surprise est totale. Comme dans un étau, elle ne peut plus bouger. Elle n'ose se retourner et me regarde droit dans les yeux. Quelque chose se trame... Elle commence à comprendre... Se sentir, ainsi, prise entre deux hommes, la surprise passée, cela la bouleverse... Partagée entre l'envie et la révulsion...
Sa respiration s'accélère, ses yeux se ferment... Elle a choisi. Elle me suit dans cette danse sans trop savoir où elle va mais elle a confiance. Dans sa tête se joue mille scénarios, tous plus excitants les uns que les autres... Même si elle craint mon jugement, ma réaction.
Notre bel inconnu se dégage doucement maintenant que sa proie lui est acquise. Il déboutonne son pantalon et sors sa queue, elle aussi, dure, l'enfile revient contre mon épouse.
Je comprends rapidement et tout va très vite... J'embrasse ma chérie dans le coup et descend mes mains le long de son corps, en passant sur ses seins, ses cotes, ses hanches, ses fesses... parcours son sillon de mes doigts, arrive sur son sexe pour y glisser un doigt... Elle mouille comme une folle. Un deuxième doigt rapidement... Je ressors et avec mes deux mains écarte son sexe... L'invitation est lancée et notre invité ne se fait pas prier pour l'accepter immédiatement...
Elle ne sait pas ce qui se trame derrière elle mais le comprends rapidement lorsqu'il approche sa queue et la pose sur ce sexe ouvert... Elle a un petit sursaut comme pour dire "Non", comme pour dire "Oui"... Personne ne sait et personne ne veut savoir... Les mains de notre bel inconnu se placent sur ses hanches et il appuie fortement...
Le plaisir est fulgurent. Ma femme se plaque contre moi, pousse un cri, inspire profondément, très rapidement. Je sens son cœur qui cogne dans sa poitrine. Il s'enfonce encore plus loin...
Elle me regarde, les yeux perdus, à demi fermés, le souffle coupé...
Il ressort, rentre à nouveau avec un grand coup de rein. Ma chérie bouffe sa queue à pleine chatte... et ma langue à pleine bouche... Elle salive, bave de tant de plaisir... J'imagine son sexe en faire de même... Cela m'excite... Elle n'en peut plus...
Il commence son va et vient, très fort, très long... Le corps de ma chérie danse au rythme de ses coups de butoir...
Je suis excité. Je prends le visage de ma chérie entre mes mains pour la regarder. Elle lâche mon sexe, ne peut rien faire tant le plaisir l'envahit.
Son regard est perdu, sa respiration soutenue. Sa poitrine se soulève, ses seins dansent... Son corps se plie doucement comme pour mieux sentir cette nouvelle queue l'envahir...
Il accélère... Elle gémit de plus en plus...
Je me recule doucement... Mes mains glissent le long de ses épaules, de ses bras pour saisir ses mains... Elle tente de garder ma queue mais je me recule. Je saisis ses mains...le plaisir est trop fort pour elle.
Elle se plie en deux, pose ses mains sur ses genoux... Au fur et à mesure qu'il avance sa queue dure dans le sexe humide de ma chérie, celle-ci tend son corps longiligne, allonge sa nuque, relève le menton, ouvre la bouche comme pour s'échapper de cette prise...sans y parvenir. Il ressort, elle baisse la tête comme pour reprendre ses esprits. Il remet sa queue, elle se retend à nouveau et le va et vient continue...
Son corps bouge au rythme des coups de queue de cet homme en train de baiser la femme que j'aime.
Je me recule encore et les regarde faire. Ma main droite descend sur ma queue pour l'astiquer et ma main gauche enserre mes couilles... Ma chérie ouvre les yeux, ferme à demi ses paupières comme pour me supplier de rester près d'elle... Je n'en fais rien et continue à les regarder...et à me masturber encore plus violemment.
Elle va jouir. Je le sens, je le sais, tout est là. Sa respiration rapide, le rose sur ses joues, la sueur sur son corps, ses seins gonflés... Notre inconnu accélère encore et lui aussi va partir. Il agrippe encore plus fort ma chérie, la pourfend encore et encore...
Il crie, il se libère dans la chatte trempée et gonflée de la femme que j'aime... Elle l'accompagne à pleine gorge, un cri rauque qui part du fond d'elle, très lointain... Sa salive tombe de sa bouche, sa respiration se suspend... Mon sperme s'écoule de mon sexe par vagues successives... Je jouis comme j'ai rarement joui...
Je regarde ma chérie, le corps plié en deux... Elle relève la tête, plisse ses yeux, me regarde... Une expression de bonheur inonde son visage... Elle essaie de me sourire sans y parvenir tant elle est rompue de fatigue, inondée de plaisir...
Notre bel et bon inconnu se retire doucement, embrasse le dos de ma chérie, ses fesses et me regarde, me fait un signe de tête et disparait dans l'ombre, comme il est venu, aussi mystérieusement.
Je m'approche de mon bel amour, la relève doucement, prend son visage entre mes mains, caresse de mes pouces ses pommettes, approche mes lèvres de ses lèvres, lui dépose un baiser de tendresse, d'amour et de bonheur fou.
Elle ouvre les yeux, me souris, est heureuse...
Je le suis aussi de la savoir si épanouie...
Je la prends dans mes bras, entre dans notre chambre d'hôtel, l'allonge sur notre lit, recouvre son corps de nos draps et son visage, de mes baisers...
J’ai honte, nous avons honte.
Elle s'endort...
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire bandante. Très excite. Presque même histoire dans notre salon tt les 2 nus moi allongé sur le dos et ma femme en levrette me taille une pipe. Ma femme surpris par notre chien qui vient renifle sa chatte. Elle voulait le repousser mais le chien est attirait par l odeur de cyprine qui mouille sa chatte. J'ai dis à ma femme de le laisser ce n'est qu un animal qui veut jouer avec toi. Ma femme très excitee en voulant jouer l innocente. Le chien commence a lui lecher la chatte. Ma gémissait comme une folle. Le chien saute sur son dos elle a essayé de le pousser mais le chien c'est agripper en entourant ces pattes autour de son ventre la bite du chien vite trouvé la chatte. La bite bien profonde en elle. Ma femme a poussé un grand soupire. Le chien accélère la cadence du va et vient. Ma gemit. Moi je me suis retiré pour voir bien cette magnifique scène. Le chien a arrêté son va et vient. Et c'est collé en elle. Le chien voulait se retourner mais il n a pas pu je voulais l aidé mais malheureusement sa bite est sorti. Il voulait rentrer sa bite mais à chaque fois sa glisse au niveau de son cul. Il a tenter plusieurs fois c'est si comme il voulait l encule. Ma femme ne m'a jamais laissé l enculer. Moi très excite. J'ai pris le zob du chien en le guidant dans son cul le chien a poussé sa bite à peine rentré sa bite trouve la direction il a tiré fort. Ma femme a criait mais vite arrêté elle gemit le chien accélère son va et vient. Et c'est collé en elle. C'est accroché comme de la colle. Il voulait retourner mais je l'ai empêcher. A chaque fois. Il est rester en cette position pendant presque 15 minutes. Sa bite c est sortie tte molle son sperme coule du cul de ma femme. Le chien lui leche le cul et sa sa chatte. Ma femme fatigué. Elle s est allongé à mes côté. Le chien satisfait allongé près de nous. Je vois la honte sur le visage de ma femme. Je l ai serré dans mes bras mes lèvres contre ces lèvres pour lui montrer que je suis heureux. Je lui dit maintenant tu es satisfaite en lui souriant. Elle m'a dit arrête de dire ça j'ai honte et c était vite passé sans me contrôler et tt cela est de ta faute. Je lui dit écoute je t'aime plus qu avant. Tu es ma kahba pute et je suis ton tahane cocu. J étais très excite de voir le chien te faire jouire et en plus t a jamais me laisser t enculer et le chien t a depussele ton cul et tu as jouit de ton cul et pourtant son zob bite est très grosse elle a sourit en me disant faite de moi tt ce que tu veut. Je sait que tu m aime et en plus mon cul est à toi. Tjrs en erection. Son cul tjr dilaté. La bite à trouvé le chemin facilement. Le chien nous regarde et je lui dit tu a prit ta part. Mnt c'est a moi. J'ai jouit dans son cul. J étais très heureux. Suite de l'histoire. Vos commentaires
Cette histoire a juste été modifiée, en vérité, ce n'est pas une histoire d'un couple kabyle, mais bien une histoire d'un couple français "Elodie et Henri, ces prénoms sont bien visibles dans le récit. Pour faire croire que c'est un couple kabyle, l'auteur ou le plagia, à juste ajouté des expressions en kabyle pour faire croire aux lecteurs que c'est bien l'histoire d'un couple kabyle. La honte!
Oups, une petite faute à la fin...
Je L'embrasse à pleine bouche, ma langue est dure comme l'est sa verge, sa bouche est
trempée comme l'est mon sexe.................
Je L'embrasse à pleine bouche, ma langue est dure comme l'est sa verge, sa bouche est
trempée comme l'est mon sexe.................
Cette honte, de notre honte
_______________________________
L'homme de l'ombre, portait une chemise blanche.
Il marchait seul, sur un pont de Paris... un soir d'été.
Mon mari l'avait abordé, après avoir lu l'envie fugace dans mon regard.
Il me dit : « Avec lui, est-ce possible ? »… J’acquiesçais malgré moi.
Je restais au loin, honteuse de mon envie, honteuse de me savoir infidèle à l'homme
dont je portais l'alliance...
Je les regardais parler, faire leurs affaires, leurs négociations.
De temps à autres ils me jetaient des regards, me jauger.
Puis, ils vinrent vers moi.
Mon mari me présenta l'homme comme un vieil ami de la famille, ceci afin de
m'amadouer, de me laisser faire.
Un scénario à peine broder, un prétexte.
Comme il était tard, mon mari lui proposa de venir prendre un dernier verre à la
maison, et cela donnera l’occasion de voir notre foyer, construit sur les bases des
vœux éternels, à cet ami.
Un ami est toujours prêt à rendre service.
Nous nous dirigeâmes vers notre maison, la brise chaude de l’air s’engouffrait sous ma
jupe.
Mon cœur battait fort, car la maison, était le lieu où trônait le lit conjugal auréolé
de toute cette symbolique pétrie par des années de morale.
Mon mari avait bien conscience de cela, et il acceptait la situation… avec une
complaisance non feinte.
Nous bavardâmes autour d'un verre, il admira notre intérieur fit mine de s'y
intéresser, du moins.
Le vieil ami, à la chemise blanche prétexta ne plus avoir de moyen de locomotion car
le temps avait filé vers une heure tardive, une heure exquise, une heure de la
permissivité.
Une heure où la mélodie, se cale sur un mode sika, du moins tels qu’il raisonne dans
mon cœur de femme amazigh…
Nous lui proposâmes de rester, dans notre maison, là où nos futurs enfants seront
conçus, cette maison visitée par tous les membres de nos familles mises en commun au
travers de notre union, cette maison où je prépare chaque jour, la nourriture de femme
dévouée à mon mari, la maison où nos voisins de quartiers nous saluent lorsque nous
les croisons.
Oui, nous avons ouvert une maison berbère, au vice et à la dépravation, au milieu de
cette nuit estivale.
L'ami accepta volontiers, en regardant droit dans les yeux mon mari, en lui serrant la
main.
Ils venaient de conclure un pacte sous mes yeux.
J’en frémis encore…
Mon regard plein d'envies interdites, sur ce pont, a conduit mon mari à l'impensable.
Il avait fait entrer, et offert l'hospitalité au loup étranger, celui-là même par
lequel il sera déshonorer dans les délices de la jouissance.
Je faisais mine de donner une paire de drap à notre invité "des jeux de l’amour et du
hasard".
Puis, je regagnais les pénates impénétrables de notre chambre.
Un désir électrique, me poussa à aimer encore plus fort mon mari.
Comme si je sollicitais un pardon, d'une faute non encore commise.
Je désirai mon mari, et cet inconnu...
Dans la chambre... Je me suis collée à lui, nue, en frottant mon sexe à son pantalon.
Mes seins contre sa chemise jouaient, ce tissu m’isolait de ses battements de cœur que
je désire. Je suis en tenue d’infériorité comme un préambule à la honte....
Je m'embrasse à pleine bouche, ma langue est dure comme l'est sa verge, sa bouche est
trempée comme l'est mon sexe.................
_______________________________
L'homme de l'ombre, portait une chemise blanche.
Il marchait seul, sur un pont de Paris... un soir d'été.
Mon mari l'avait abordé, après avoir lu l'envie fugace dans mon regard.
Il me dit : « Avec lui, est-ce possible ? »… J’acquiesçais malgré moi.
Je restais au loin, honteuse de mon envie, honteuse de me savoir infidèle à l'homme
dont je portais l'alliance...
Je les regardais parler, faire leurs affaires, leurs négociations.
De temps à autres ils me jetaient des regards, me jauger.
Puis, ils vinrent vers moi.
Mon mari me présenta l'homme comme un vieil ami de la famille, ceci afin de
m'amadouer, de me laisser faire.
Un scénario à peine broder, un prétexte.
Comme il était tard, mon mari lui proposa de venir prendre un dernier verre à la
maison, et cela donnera l’occasion de voir notre foyer, construit sur les bases des
vœux éternels, à cet ami.
Un ami est toujours prêt à rendre service.
Nous nous dirigeâmes vers notre maison, la brise chaude de l’air s’engouffrait sous ma
jupe.
Mon cœur battait fort, car la maison, était le lieu où trônait le lit conjugal auréolé
de toute cette symbolique pétrie par des années de morale.
Mon mari avait bien conscience de cela, et il acceptait la situation… avec une
complaisance non feinte.
Nous bavardâmes autour d'un verre, il admira notre intérieur fit mine de s'y
intéresser, du moins.
Le vieil ami, à la chemise blanche prétexta ne plus avoir de moyen de locomotion car
le temps avait filé vers une heure tardive, une heure exquise, une heure de la
permissivité.
Une heure où la mélodie, se cale sur un mode sika, du moins tels qu’il raisonne dans
mon cœur de femme amazigh…
Nous lui proposâmes de rester, dans notre maison, là où nos futurs enfants seront
conçus, cette maison visitée par tous les membres de nos familles mises en commun au
travers de notre union, cette maison où je prépare chaque jour, la nourriture de femme
dévouée à mon mari, la maison où nos voisins de quartiers nous saluent lorsque nous
les croisons.
Oui, nous avons ouvert une maison berbère, au vice et à la dépravation, au milieu de
cette nuit estivale.
L'ami accepta volontiers, en regardant droit dans les yeux mon mari, en lui serrant la
main.
Ils venaient de conclure un pacte sous mes yeux.
J’en frémis encore…
Mon regard plein d'envies interdites, sur ce pont, a conduit mon mari à l'impensable.
Il avait fait entrer, et offert l'hospitalité au loup étranger, celui-là même par
lequel il sera déshonorer dans les délices de la jouissance.
Je faisais mine de donner une paire de drap à notre invité "des jeux de l’amour et du
hasard".
Puis, je regagnais les pénates impénétrables de notre chambre.
Un désir électrique, me poussa à aimer encore plus fort mon mari.
Comme si je sollicitais un pardon, d'une faute non encore commise.
Je désirai mon mari, et cet inconnu...
Dans la chambre... Je me suis collée à lui, nue, en frottant mon sexe à son pantalon.
Mes seins contre sa chemise jouaient, ce tissu m’isolait de ses battements de cœur que
je désire. Je suis en tenue d’infériorité comme un préambule à la honte....
Je m'embrasse à pleine bouche, ma langue est dure comme l'est sa verge, sa bouche est
trempée comme l'est mon sexe.................
Quelle belle histoire et combien bandante ! Et je n'ai pas honte de ma honte... Francis
imaginait TA femme, alors que j'imaginais la MIENNE ! Merci pour ce récit si bien conté
sans faute de français ni d'orthographe !
imaginait TA femme, alors que j'imaginais la MIENNE ! Merci pour ce récit si bien conté
sans faute de français ni d'orthographe !
Très belle histoire et très excitante. J'imagine ta femme et je suis très excité. Si vous avez d'autres histoires, je suis preneur. Bye a vous d'eux, Francis
