Titre de l'histoire érotique : La mère de sébastien
Récit érotique écrit par Misa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : La mère de sébastien
La mère de Sébastien
Ce que je vais vous raconter n’est pas mon histoire … Nous sommes dimanche, il a plu tout l’après-midi et je m’ennuyais.
Un jeune homme m’a tenu compagnie une petite heure sur internet : il avait lu une de mes histoires et m’a raconté la sienne, que je vais vous raconter à mon tour, s’il le veut bien. Quelques détails vont changer un peu, sans doute, il me corrigera … ou pas …
Appelons-le … Frédéric.
Il a 21 ans. Il est toujours fourré avec Sébastien, son meilleur pote. Sport, drague, boîtes de nuit, ils partagent tout. Frédéric va souvent chez Séb : ils s’enferment dans sa chambre, parlent des nanas qu’ils draguent, échangent des revues érotiques, des CD de films pornos, vont sur internet…
De temps en temps la mère de Séb vient jeter un œil : une jolie femme brune, la cinquantaine. Son père je le vois peu, parfois tard le soir. Il n’a pas l’air marrant. Autant sa mère, est souriante au cours de la journée, autant elle change et devient triste quand il est là.
Je crois qu’elle m’aime bien ; toujours un mot gentil, un joli sourire, et ce que j’attends par-dessus tout, c’est quand elle me prend par le bras ou me caresse la joue. Moi aussi je l’aime bien … et même plus que ça ! J’imagine … mais c’est la mère de mon meilleur copain !
Il y a deux semaines environ, je suis passé chercher Séb mais il n’était pas rentré. Elle m’a fait entrer et m’a dit de m’installer dans sa chambre en l’attendant. Je feuilletais un magazine quand elle est revenue en m’offrant un verre de coca. Elle s’est assise sur le lit et a commencé à me poser des questions : sur les revues cochonnes qui traînaient sous le lit de Séb, les films cachés dans son armoire. Elle m’a dit qu’elle en avait regardé un … et qu’elle l’avait trouvé « très osé » … que ça faisait déjà quelques temps qu’elle-même … comment a-t-elle dit ? … « ne se livrait plus à ce genre d’activité » et « qu’elle le regrettait bien ». J’étais assez gêné et je ne savais pas trop que faire. Elle s’est levée, s’est approchée de moi et a passé sa main sur ma joue : « ce que j’aimerais avoir ton âge ! ».
Sans trop réfléchir, je me suis lancé et lui ai dit qu’elle était très belle, et que ce n’était pas une question d’âge. Je sentais bien que j’étais devenu très rouge mais elle a souri et m’a embrassé sur la joue en pressant mon bras : «C’est très gentil Frédéric ! », et Séb est arrivé …
Le week-end dernier, Séb devait prendre l’avion à Roissy, et il m’a demandé si je voulais bien l’accompagner parce que sa mère lui avait dit que ça l’ennuyait de faire seule la route du retour. J’ai bien sûr accepté, trop content de l’occasion.
Nous avons accompagné Sébastien jusqu’à la porte d’embarquement. Quand il a passé la porte menant à l’avion, elle m’a pris par le bras et m’a emmené prendre un café. Elle n’a rien dit pendant un moment et puis tout d’un coup, en me regardant dans les yeux, elle m’a demandé si je le pensais vraiment quand je lui avais dit qu’elle était belle. J’ai bafouillé un peu en l’assurant que je le pensais vraiment et en lui disant à quel point j’étais content de cette occasion de passer un moment seul avec elle. Elle m’a interrogé sur une éventuelle petite amie et a eu l’air satisfaite que je n’en aie pas.
Nous avions terminé nos cafés depuis longtemps ; la conversation s’est arrêtée un long moment et puis tout d’un coup, d’une voix un peu hésitante elle m’a demandé :
- Tu me trouves désirable ?
Et j’ai aussitôt répondu « oh oui ! » en la laissant à peine finir.
Elle m’a regardé, s’est levée et m’a dit :
- Ne bouge pas, je reviens.
Elle est partie vers les toilettes et est revenue très vite. Elle a mis la main dan son sac, et a tendu la main vers moi :
- Tiens, prends !
J’ai tendu la main, pris ce qu’elle me tendait : j’avais sa culotte dans la main ! Je l’ai très vite mise au fond de ma poche. Tout de suite après, nous sommes partis. Elle ne m’a pas pris le bras comme auparavant ; elle a pris ma main dans la sienne, et elle souriait.
J e n’ai pas vu passer le voyage de retour, sur un petit nuage. De temps en temps elle effleurait mon genou, y posait la main ; elle m’a raconté à quel point elle s’ennuyait, qu’elle n’était pas très heureuse avec son mari, qu’elle me trouvait mignon … et sa main sur ma cuisse me le prouvait …
Nous sommes rentrés directement chez elle. Elle m’a encore pris par la main et tiré jusque dans le salon. Sans dire un seul mot, elle s’est écarté de moi, à ôté son manteau, son chemisier, elle m’a tiré jusqu’à un fauteuil et s’est assise au bord du siège, m’a attiré vers elle. Je me suis agenouillé et j’ai enfoui mon visage entre ses seins, les embrassant et les malaxant à deux mains. Elle s’est allongée sur le fauteuil, a relevé sa jupe, m’a pris par les cheveux pour me plaquer le visage entre ces jambes ouvertes.
J’ai léché sa fente, mordu ses lèvres gonflées, bu à pleine bouche son sexe mouillé. J’avais à peine commencé à sucer doucement son clitoris, le nez noyé dans ses poils noirs et épais qu’elle jouissait déjà à brusques coups de reins, cognant contre ma bouche.
A peine remise, le souffle toujours court, elle m’a fait relever, m’a déshabillé, abaissant brutalement mon pantalon et mon boxer, et a avalé brusquement mon sexe tendu à l’extrême, me caressant seulement de sa bouche, mains crispées sur mes hanches. Les longs et profonds va-et-vient de sa bouche m’ont fait jouir, et elle ne s’est pas retirée, gardant au contraire ma verge enfoncée au fond de sa gorge dès la première giclée. J’en étais étourdi, jambes flageolantes, pendant qu’elle léchait les dernières gouttes de mon sperme du bout de la langue.
Elle m’a poussé vers le fauteuil et s’est assise sur un accoudoir, tenant mon sexe dans sa main et continuant à me branler doucement, prenant mes couilles dans son autre main.
Quand elle a senti que mon sexe durcissait à nouveau, elle m’a entraîné vers la grande table sur laquelle elle s’est à demi allongée, poitrine écrasée sur la table. D’une main elle écartait ses fesses et de l’autre elle a guidé mon sexe vers son cul. Je l’ai prise par les hanches et ai appuyé mon gland sur son petit trou serré, attendu qu’il se relâche, et j’ai enfoncé mon sexe profond quand j’ai senti que son cul s’ouvrait. Elle a accompagné mes coups de reins et nous avons joui à nouveau, ensemble, moi fouillant son cul et elle se caressant d’une main.
Frédéric, puisque c’est le nom que je lui donne, s’est arrêté là.
Pourquoi me l’a-t-il racontée à moi ? Il est jeune, et moi … moins jeune … il a dû penser que peut-être … je comprendrais … et oui, je comprends. Je ne sais pas s’il continue à la voir.
J’imagine, mais je n’en sais rien en fait, que peu de femmes lisent, ou avouent lire des histoires de sexe sur le Net. Toutefois, si quelques-unes ont lu ces lignes … profitez, profitez … vous n’imaginez pas à quels point de jeunes hommes pensent à vous, vous admirent et vous désirent, sont prêts à vous donner ce à quoi vous aspirez … mais si, allons, nous sommes entre nous…!
Alors … profitez mesdames …
(NDLR… A en croire la fréquentation d’HDS…. Beaucoup de femmes lisent les histoires de sexe ;o)))
Ce que je vais vous raconter n’est pas mon histoire … Nous sommes dimanche, il a plu tout l’après-midi et je m’ennuyais.
Un jeune homme m’a tenu compagnie une petite heure sur internet : il avait lu une de mes histoires et m’a raconté la sienne, que je vais vous raconter à mon tour, s’il le veut bien. Quelques détails vont changer un peu, sans doute, il me corrigera … ou pas …
Appelons-le … Frédéric.
Il a 21 ans. Il est toujours fourré avec Sébastien, son meilleur pote. Sport, drague, boîtes de nuit, ils partagent tout. Frédéric va souvent chez Séb : ils s’enferment dans sa chambre, parlent des nanas qu’ils draguent, échangent des revues érotiques, des CD de films pornos, vont sur internet…
De temps en temps la mère de Séb vient jeter un œil : une jolie femme brune, la cinquantaine. Son père je le vois peu, parfois tard le soir. Il n’a pas l’air marrant. Autant sa mère, est souriante au cours de la journée, autant elle change et devient triste quand il est là.
Je crois qu’elle m’aime bien ; toujours un mot gentil, un joli sourire, et ce que j’attends par-dessus tout, c’est quand elle me prend par le bras ou me caresse la joue. Moi aussi je l’aime bien … et même plus que ça ! J’imagine … mais c’est la mère de mon meilleur copain !
Il y a deux semaines environ, je suis passé chercher Séb mais il n’était pas rentré. Elle m’a fait entrer et m’a dit de m’installer dans sa chambre en l’attendant. Je feuilletais un magazine quand elle est revenue en m’offrant un verre de coca. Elle s’est assise sur le lit et a commencé à me poser des questions : sur les revues cochonnes qui traînaient sous le lit de Séb, les films cachés dans son armoire. Elle m’a dit qu’elle en avait regardé un … et qu’elle l’avait trouvé « très osé » … que ça faisait déjà quelques temps qu’elle-même … comment a-t-elle dit ? … « ne se livrait plus à ce genre d’activité » et « qu’elle le regrettait bien ». J’étais assez gêné et je ne savais pas trop que faire. Elle s’est levée, s’est approchée de moi et a passé sa main sur ma joue : « ce que j’aimerais avoir ton âge ! ».
Sans trop réfléchir, je me suis lancé et lui ai dit qu’elle était très belle, et que ce n’était pas une question d’âge. Je sentais bien que j’étais devenu très rouge mais elle a souri et m’a embrassé sur la joue en pressant mon bras : «C’est très gentil Frédéric ! », et Séb est arrivé …
Le week-end dernier, Séb devait prendre l’avion à Roissy, et il m’a demandé si je voulais bien l’accompagner parce que sa mère lui avait dit que ça l’ennuyait de faire seule la route du retour. J’ai bien sûr accepté, trop content de l’occasion.
Nous avons accompagné Sébastien jusqu’à la porte d’embarquement. Quand il a passé la porte menant à l’avion, elle m’a pris par le bras et m’a emmené prendre un café. Elle n’a rien dit pendant un moment et puis tout d’un coup, en me regardant dans les yeux, elle m’a demandé si je le pensais vraiment quand je lui avais dit qu’elle était belle. J’ai bafouillé un peu en l’assurant que je le pensais vraiment et en lui disant à quel point j’étais content de cette occasion de passer un moment seul avec elle. Elle m’a interrogé sur une éventuelle petite amie et a eu l’air satisfaite que je n’en aie pas.
Nous avions terminé nos cafés depuis longtemps ; la conversation s’est arrêtée un long moment et puis tout d’un coup, d’une voix un peu hésitante elle m’a demandé :
- Tu me trouves désirable ?
Et j’ai aussitôt répondu « oh oui ! » en la laissant à peine finir.
Elle m’a regardé, s’est levée et m’a dit :
- Ne bouge pas, je reviens.
Elle est partie vers les toilettes et est revenue très vite. Elle a mis la main dan son sac, et a tendu la main vers moi :
- Tiens, prends !
J’ai tendu la main, pris ce qu’elle me tendait : j’avais sa culotte dans la main ! Je l’ai très vite mise au fond de ma poche. Tout de suite après, nous sommes partis. Elle ne m’a pas pris le bras comme auparavant ; elle a pris ma main dans la sienne, et elle souriait.
J e n’ai pas vu passer le voyage de retour, sur un petit nuage. De temps en temps elle effleurait mon genou, y posait la main ; elle m’a raconté à quel point elle s’ennuyait, qu’elle n’était pas très heureuse avec son mari, qu’elle me trouvait mignon … et sa main sur ma cuisse me le prouvait …
Nous sommes rentrés directement chez elle. Elle m’a encore pris par la main et tiré jusque dans le salon. Sans dire un seul mot, elle s’est écarté de moi, à ôté son manteau, son chemisier, elle m’a tiré jusqu’à un fauteuil et s’est assise au bord du siège, m’a attiré vers elle. Je me suis agenouillé et j’ai enfoui mon visage entre ses seins, les embrassant et les malaxant à deux mains. Elle s’est allongée sur le fauteuil, a relevé sa jupe, m’a pris par les cheveux pour me plaquer le visage entre ces jambes ouvertes.
J’ai léché sa fente, mordu ses lèvres gonflées, bu à pleine bouche son sexe mouillé. J’avais à peine commencé à sucer doucement son clitoris, le nez noyé dans ses poils noirs et épais qu’elle jouissait déjà à brusques coups de reins, cognant contre ma bouche.
A peine remise, le souffle toujours court, elle m’a fait relever, m’a déshabillé, abaissant brutalement mon pantalon et mon boxer, et a avalé brusquement mon sexe tendu à l’extrême, me caressant seulement de sa bouche, mains crispées sur mes hanches. Les longs et profonds va-et-vient de sa bouche m’ont fait jouir, et elle ne s’est pas retirée, gardant au contraire ma verge enfoncée au fond de sa gorge dès la première giclée. J’en étais étourdi, jambes flageolantes, pendant qu’elle léchait les dernières gouttes de mon sperme du bout de la langue.
Elle m’a poussé vers le fauteuil et s’est assise sur un accoudoir, tenant mon sexe dans sa main et continuant à me branler doucement, prenant mes couilles dans son autre main.
Quand elle a senti que mon sexe durcissait à nouveau, elle m’a entraîné vers la grande table sur laquelle elle s’est à demi allongée, poitrine écrasée sur la table. D’une main elle écartait ses fesses et de l’autre elle a guidé mon sexe vers son cul. Je l’ai prise par les hanches et ai appuyé mon gland sur son petit trou serré, attendu qu’il se relâche, et j’ai enfoncé mon sexe profond quand j’ai senti que son cul s’ouvrait. Elle a accompagné mes coups de reins et nous avons joui à nouveau, ensemble, moi fouillant son cul et elle se caressant d’une main.
Frédéric, puisque c’est le nom que je lui donne, s’est arrêté là.
Pourquoi me l’a-t-il racontée à moi ? Il est jeune, et moi … moins jeune … il a dû penser que peut-être … je comprendrais … et oui, je comprends. Je ne sais pas s’il continue à la voir.
J’imagine, mais je n’en sais rien en fait, que peu de femmes lisent, ou avouent lire des histoires de sexe sur le Net. Toutefois, si quelques-unes ont lu ces lignes … profitez, profitez … vous n’imaginez pas à quels point de jeunes hommes pensent à vous, vous admirent et vous désirent, sont prêts à vous donner ce à quoi vous aspirez … mais si, allons, nous sommes entre nous…!
Alors … profitez mesdames …
(NDLR… A en croire la fréquentation d’HDS…. Beaucoup de femmes lisent les histoires de sexe ;o)))
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
bien belle histoire!je suis mariée mère d'une fille de 17 ans et souvent elle a un camarade d'école qui passe a la maison,elle dit que c'est l'intellectuel de la classe ,il est petit ,porte des lunettes ,il est pas beau ,mais beaucoup de charme,toujours poli <oui Madame Merci Madame>et j'avais l'impression que je lui faisais de l'effet! un après midi il passe a la maison je fais mon repassage,je lui dit que Sophie est partie avec sa copine faire les soldes,je lui offre un coca il est assis sur le canapé et je continue mon repassage,lorsque je repasse mes culottes qui sont sexy,je le vois rougir ,alors je m'amuse a faire durer le plaisir,je fais tomber un slip juste a ses pieds ,il la ramasse et me la tend et la je vois une grosse bosse dans son pantalon,je lui demande comment il trouve mes petites culottes,gêner il me demande s'il peut la garder et alors je lève ma jupe j'enlève mon slip tient cadeau ,de voire ma chatte il me demande gentiment je peux toucher Madame je prend sa main et la dépose sur mon sexe,caresse moi mon petit,j'ai 45 ans et je n'avais qu'une envie me faire baiser par se môme de l'age de ma fille!Ce fut notre secret.
Cet auteur a raison et est super douee...
Vous n'imaginez mesdames le nombre de beau jeunes males comme moi qui fantasment,désirent sur les vraies femmes....mariées...ou pas...mere de famille...ou pas...bourgeoise...ou pas...vous êtes merveilleuses vous les femmes...disont : Plus âgées!!!! Moi en tous cas cest sur je vous aime et vous me faites bander...kiss et merci pour cette histoire...
Et j'embrasse toutes les femmes
Vous n'imaginez mesdames le nombre de beau jeunes males comme moi qui fantasment,désirent sur les vraies femmes....mariées...ou pas...mere de famille...ou pas...bourgeoise...ou pas...vous êtes merveilleuses vous les femmes...disont : Plus âgées!!!! Moi en tous cas cest sur je vous aime et vous me faites bander...kiss et merci pour cette histoire...
Et j'embrasse toutes les femmes
quelle belle histoire.