Titre de l'histoire érotique : La moiteur du climat tropical

- Par l'auteur HDS AmourPlusNet -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : La moiteur du climat tropical Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : La moiteur du climat tropical
Un climat tropical est à la fois chaud et humide, il tempère les zones situées entre l’équateur et le tropique du capricorne c'est-à-dire des pays au goût d’exotisme.
La culotte de Vanessa aussi était chaude et humide, et voilà un moment que j’aimerai goûter à l’exotisme de sa liqueur…
Mois de Mai 2007, sur les bancs de la fac d’Aix-en-Provence, la chaleur commence à donner le tournis. Le cours est barbant et Vanessa assise tout près de moi est plutôt dévêtue.
Vanessa, en quatrième année elle aussi, depuis que je la connais, combien de pensées coquines a-t-elle fait germer dans mon esprit ? Combien de débuts d’érection en fantasmant sur sa poitrine ? C’est une métisse, elle a un sourire timide, un parfum de miel et des seins de rêves.
Elle m’excite trop, j’ai complètement lâché le cours et je la matte lourdement.
« Qu’est ce que t’as ! Suis le cours un peu ! Tu me mets mal à l’aise »
« Je suis sincèrement désolé Vanessa mais tu m’as possédé »
« Tu es trop distrait, puis c’est vrai que la chaleur est insoutenable, » elle me fait un grand sourire… et un regard qui en dit long.
On est suffisamment bien placé pour que personne ne voie sous la table, l’amphi est quasiment vide en cette fin de semestre. Personne aux alentours, et surtout sa copine pot-de-colle a eu la bonne idée de boycotter ce cours, l’occasion est trop belle…
Je caresse sa cuisse par-dessus sa jupe, surprise, elle se laisse faire et mime qu’il ne se passe rien. Je continue ce jeu polisson, je lui malaxe la cuisse avec empressement et déborde de plus en plus vers son intimité. Au bout de cinq minutes de ce petit massage, la température a sacrement augmenté, elle respire plus fort et moi aussi…
J’entreprends une excursion en zone tropicale, mes doigts écartent son string, elle est très chaude et très humide. La caresser ici est un délice, sa toison est entretenue, la sensation de sa moiteur sur mes doigts m’excite de plus en plus. Je bande. Le fait est mal dissimulé puisqu’elle regarde mon entrejambe avec insistance.
Heureusement la pause arrive. On en profite pour plier bagage. On déambule dans les couloirs en se tenant par la taille à la recherche d’une salle vide. En cette période l’objectif est vite atteint.
On peut enfin libérer nos ardeurs. Elle est assise sur un bureau, les jambes écartées, je lui caresse l’entrejambe, elle est toujours très moite, elle me caresse la queue a travers le jean. On s’embrasse profondément. La légère odeur de son sexe dégoulinant mélangée à l’odeur de nos sudations envahissent la pièce, et chargent l’atmosphère d’excitation. Je glisse un doigt, puis deux, les remues rapidement, elle a sorti mon sexe et me branle avec fougue. Après quelques instants de ce traitement sa respiration devient saccadée et profonde, elle ferme les yeux et laisse sa tête partir en arrière. Elle pousse des petits cris. Elle empoigne mes cheveux et me plaque la tête contre ses seins que je bouffe littéralement, elle gémit encore plus. Je n’en peux plus, tenant fermement ma queue je plonge en elle. Sa chaleur m’envahit, elle pousse un cri, je calque le rythme de mes coups de hanches sur sa respiration. Puis, au bout de quelques minutes de ce traitement divin, j’accélère le rythme, les vas et viens sont fougueux. J’empoigne ses cheveux et les tire en arrière. Elle hurle son plaisir. Ses cris, son odeur, sa chaleur et le bruit de ma queue butinant son con me font défaillir. Nos râles intenses se mêlent, et, la queue raidie dans son antre dégoulinante, je jouis en trois spasmes puissants remplissant son con de mon jus.
Enlacés là, sur ce bureau, tremblant encore, transpirant doublement pour vaincre la chaleur, je me retire en un mouvement laissant s’échapper mes sécrétions de son trou béant.
Une dernière fois l’odeur de son intimité m’enivre les sens, et avec elle, je me remémore déjà la douceur de la fièvre tropicale.

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