Titre de l'histoire érotique : La petite maison dans la prairie. Ou je passe la tondeuse !
Récit érotique écrit par Norbert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2007 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : La petite maison dans la prairie. Ou je passe la tondeuse !
Avec Jeanne nous avions une semaine de vacances et nous avions pris la route partant à l'aventure sans point de chute précis, l'envie était de nous dépayser, loin du métro boulot dodo.
Nous descendons donc vers la Bourgogne que nous ne connaissons pas et empruntons les petites routes pour jouir du paysage et de la tranquillité des routes de campagne.
Ayant parcouru une bonne distance, et la nuit approchant nous nous mettons en quête d'un abri pour la nuit et si l'on peut nous nourrir aussi ce sera parfait.
Sur notre chemin nous voyons une pancarte indiquant à 2km un gîte rural vantant son confort et l'originalité de ses agapes. Nous décidons donc d'aller voir ce qu'il en est.
Arrivés à l'adresse, nous ne pouvons nier que le décors tant de la maison que du paysage sont enchanteurs, nous garons la voiture et alors que nous allions sonner à la porte, celle-ci s'ouvre livrant passage à une femme d'une quarantaine d'années dont je dois dire la beauté me coupe le souffle. Pas une beauté fade, banale, mais une beauté sauvage, les yeux en amande, une longue chevelure brune qui tombe sur ses épaules révélées par une courte robe à fleurs. Je devine que sous cette robe ses seins en poire magnifiques n'ont nul besoin d'un soutien. Lorsqu'elle nous salut en s'approchant de nous je vois sa poitrine onduler sous le fin tissus.
Nous lui demandons si il serait possible de passer la nuit et de dîner, elle nous répond que cela est tout à fait possible, car étant en fin de saison nous sommes ses seuls clients. Elle nous demande de la suivre et nous voyons également que le coté pile n'a rien à envier au coté face, elle a un superbe cul dont nulle trace de culotte ne vient rompre l'harmonie.
Nous entrons dans une grande salle où se dresse une grande table de ferme avec des bancs, un mobilier rustique assorti achève de donner une ambiance très chaleureuse à la pièce. Une grande cheminée au fond n'attend plus qu'une allumette pour enflammer un tas de bûches savamment disposées.
Elle nous déclare que la chambre et le repas compris s'élèvent à 100 euros petit dej compris, mais que étant ses seuls clients elle nous fera un petit cadeau. Je la vois qui reluque Jeanne qui comme à son habitude n'est pas plus couverte qu'elle, ce qui n'a pas l'air du tout de la choquer.
Elle nous conduit vers notre chambre et nous dit que le repas sera prêt dans une heure, ce qui nous laisse le temps de prendre une douche et de nous reposer un peu avant de souper. La chambre qui n'est pas très grande est malgré tout meublée avec goût et le lit semble à point pour y pratiquer notre sport favori avec Jeanne.
Une petite pièce est consacrée au cabinet de toilette, dans lequel il y a un lavabo, une douche et un WC.
Jeanne se met aussitôt à poil, ce qui est vite fait vu ce qu'elle porte ou ne porte pas, elle va tout d'abord aux toilettes ou j'entends le bruit cascadant du jet doré qui s'échappe de ses lèvres sexuelles. Je m'approche et vois qu'elle ne s'est pas rasé la chatte comme je l'aime, il faut dire que je rentre de stage et que nous avons été séparés une semaine, je n'ai donc pu comme elle l'aime jouer les figaros ou le jardinier sur ce mont de vénus et cette vallée profonde, accueillante et humide.
A mon coup d'oeil elle a compris, mais me dit qu'elle va elle-même réparer cet outrage à nos habitudes, que 'd'attendre un peu pour nous n'en sera que meilleur après le souper. J'abonde dans son sens et retourne dans la chambre ou je défais la valise, recherchant une tenue pour Jeanne, une tenue qui dois cacher mais aussi montrer, sans vulgarité mais excitante.
Je sorts une mini-jupe en cuir marron, un petit haut blanc juste transparent mais pas trop, et un string qui ne se verra pas sous la jupe, et qui laissera voir la naissance de ses fesses quand elle se baissera.
Une demi-heure plus tard, elle sort de la pièce aussi nue que Eve et je peux admirer sa plastique parfaite avec à la fourche de ses cuisses un mont de vénus de dépourvu du moindre poil. Je lui montre ce que je lui ai préparé, et vais prendre ma douche à mon tour.
N'ayant pas les mêmes impératifs que Jeanne je reviens un quart d'heure après. Jeanne m'a préparé un pantalon en toile beige léger et une chemise marron glacé, celle que je préfère.
Ayant 1/4 d'heure à tuer avant de descendre, nous donnons chacun nos premières impressions sur les lieux et surtout sur notre hôtesse, qui fait l'unanimité sur son physique, Jeanne ajoutant même "ce doit être une sacrée chienne" et ceci avec une lueur dans l'oeil que je lui connais bien.
Nous descendons vers la salle ou la table est mise pour cinq personnes, Un homme plutôt baraqué est devant la cheminée et attise le feu. Il nous découvre lorsqu'il se retourne et nous découvrons un homme que l'on pourrait prendre pour un bûcheron vu son physique, carré d'épaules, grand, le visage buriné des hommes qui vivent au grand air, il a environ 40 ans.
Il s'approche et nous serrant la main il se présente, Hubert, maître des lieux, son épouse elle se nomme Marie Thérèse, mais c'est MT pour les amis. Il nous invite à nous mettre à table lorsque rentre un jeune homme de 20 ans environ, très beau lui aussi, Hub nous le présente comme celui qui l'aide aux travaux de la ferme, car le gîte n'est en fait que pour "mettre du beurre dans les épinards".
Hub nous propose un apéritif, nous disant qu'il a une spécialité maison qui ne pourra que nous satisfaire. Ce disant je vois bien que le corps de Jeanne et sa tenue ne sont pas sans le laisser insensible de même que Fred l'ouvrier.
Il revient avec cinq verres copieusement remplis d'un liquide avec des reflets bleutés, une paille dans chaque et une rondelle d'orange à cheval.
MT sort alors de la cuisine, disant que le repas est en route et que nous pouvons prendre l'apéro, elle apporte des petits feuilletés en amuse gueule. Elle nous demande 10mn, pour aller se rafraîchir et se changer pendant que nous dégustons le breuvage de Hub. Je dois dire que c'est très rafraîchissant, on sent un goût de curaçao, de rhum, de jus d'orange, cela doit drôlement torpiller.
Jeanne qui a soif, siffle son verre en moins de deux et Hub lui en propose un second, ce qu'elle accepte. Il l'invite à le suivre pour lui montrer comment il confectionne son coktail. Jeanne toujours curieuse se précipite, mais j'ai dans l'idée que le coktail n'est pas seulement le but de la manoeuvre….
Nous descendons donc vers la Bourgogne que nous ne connaissons pas et empruntons les petites routes pour jouir du paysage et de la tranquillité des routes de campagne.
Ayant parcouru une bonne distance, et la nuit approchant nous nous mettons en quête d'un abri pour la nuit et si l'on peut nous nourrir aussi ce sera parfait.
Sur notre chemin nous voyons une pancarte indiquant à 2km un gîte rural vantant son confort et l'originalité de ses agapes. Nous décidons donc d'aller voir ce qu'il en est.
Arrivés à l'adresse, nous ne pouvons nier que le décors tant de la maison que du paysage sont enchanteurs, nous garons la voiture et alors que nous allions sonner à la porte, celle-ci s'ouvre livrant passage à une femme d'une quarantaine d'années dont je dois dire la beauté me coupe le souffle. Pas une beauté fade, banale, mais une beauté sauvage, les yeux en amande, une longue chevelure brune qui tombe sur ses épaules révélées par une courte robe à fleurs. Je devine que sous cette robe ses seins en poire magnifiques n'ont nul besoin d'un soutien. Lorsqu'elle nous salut en s'approchant de nous je vois sa poitrine onduler sous le fin tissus.
Nous lui demandons si il serait possible de passer la nuit et de dîner, elle nous répond que cela est tout à fait possible, car étant en fin de saison nous sommes ses seuls clients. Elle nous demande de la suivre et nous voyons également que le coté pile n'a rien à envier au coté face, elle a un superbe cul dont nulle trace de culotte ne vient rompre l'harmonie.
Nous entrons dans une grande salle où se dresse une grande table de ferme avec des bancs, un mobilier rustique assorti achève de donner une ambiance très chaleureuse à la pièce. Une grande cheminée au fond n'attend plus qu'une allumette pour enflammer un tas de bûches savamment disposées.
Elle nous déclare que la chambre et le repas compris s'élèvent à 100 euros petit dej compris, mais que étant ses seuls clients elle nous fera un petit cadeau. Je la vois qui reluque Jeanne qui comme à son habitude n'est pas plus couverte qu'elle, ce qui n'a pas l'air du tout de la choquer.
Elle nous conduit vers notre chambre et nous dit que le repas sera prêt dans une heure, ce qui nous laisse le temps de prendre une douche et de nous reposer un peu avant de souper. La chambre qui n'est pas très grande est malgré tout meublée avec goût et le lit semble à point pour y pratiquer notre sport favori avec Jeanne.
Une petite pièce est consacrée au cabinet de toilette, dans lequel il y a un lavabo, une douche et un WC.
Jeanne se met aussitôt à poil, ce qui est vite fait vu ce qu'elle porte ou ne porte pas, elle va tout d'abord aux toilettes ou j'entends le bruit cascadant du jet doré qui s'échappe de ses lèvres sexuelles. Je m'approche et vois qu'elle ne s'est pas rasé la chatte comme je l'aime, il faut dire que je rentre de stage et que nous avons été séparés une semaine, je n'ai donc pu comme elle l'aime jouer les figaros ou le jardinier sur ce mont de vénus et cette vallée profonde, accueillante et humide.
A mon coup d'oeil elle a compris, mais me dit qu'elle va elle-même réparer cet outrage à nos habitudes, que 'd'attendre un peu pour nous n'en sera que meilleur après le souper. J'abonde dans son sens et retourne dans la chambre ou je défais la valise, recherchant une tenue pour Jeanne, une tenue qui dois cacher mais aussi montrer, sans vulgarité mais excitante.
Je sorts une mini-jupe en cuir marron, un petit haut blanc juste transparent mais pas trop, et un string qui ne se verra pas sous la jupe, et qui laissera voir la naissance de ses fesses quand elle se baissera.
Une demi-heure plus tard, elle sort de la pièce aussi nue que Eve et je peux admirer sa plastique parfaite avec à la fourche de ses cuisses un mont de vénus de dépourvu du moindre poil. Je lui montre ce que je lui ai préparé, et vais prendre ma douche à mon tour.
N'ayant pas les mêmes impératifs que Jeanne je reviens un quart d'heure après. Jeanne m'a préparé un pantalon en toile beige léger et une chemise marron glacé, celle que je préfère.
Ayant 1/4 d'heure à tuer avant de descendre, nous donnons chacun nos premières impressions sur les lieux et surtout sur notre hôtesse, qui fait l'unanimité sur son physique, Jeanne ajoutant même "ce doit être une sacrée chienne" et ceci avec une lueur dans l'oeil que je lui connais bien.
Nous descendons vers la salle ou la table est mise pour cinq personnes, Un homme plutôt baraqué est devant la cheminée et attise le feu. Il nous découvre lorsqu'il se retourne et nous découvrons un homme que l'on pourrait prendre pour un bûcheron vu son physique, carré d'épaules, grand, le visage buriné des hommes qui vivent au grand air, il a environ 40 ans.
Il s'approche et nous serrant la main il se présente, Hubert, maître des lieux, son épouse elle se nomme Marie Thérèse, mais c'est MT pour les amis. Il nous invite à nous mettre à table lorsque rentre un jeune homme de 20 ans environ, très beau lui aussi, Hub nous le présente comme celui qui l'aide aux travaux de la ferme, car le gîte n'est en fait que pour "mettre du beurre dans les épinards".
Hub nous propose un apéritif, nous disant qu'il a une spécialité maison qui ne pourra que nous satisfaire. Ce disant je vois bien que le corps de Jeanne et sa tenue ne sont pas sans le laisser insensible de même que Fred l'ouvrier.
Il revient avec cinq verres copieusement remplis d'un liquide avec des reflets bleutés, une paille dans chaque et une rondelle d'orange à cheval.
MT sort alors de la cuisine, disant que le repas est en route et que nous pouvons prendre l'apéro, elle apporte des petits feuilletés en amuse gueule. Elle nous demande 10mn, pour aller se rafraîchir et se changer pendant que nous dégustons le breuvage de Hub. Je dois dire que c'est très rafraîchissant, on sent un goût de curaçao, de rhum, de jus d'orange, cela doit drôlement torpiller.
Jeanne qui a soif, siffle son verre en moins de deux et Hub lui en propose un second, ce qu'elle accepte. Il l'invite à le suivre pour lui montrer comment il confectionne son coktail. Jeanne toujours curieuse se précipite, mais j'ai dans l'idée que le coktail n'est pas seulement le but de la manoeuvre….
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