Titre de l'histoire érotique : LE CAUCHEMAR DE CLAIRE – Tranches de vie 02
Récit érotique écrit par CENTAURE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2016 dans la catégorie Pour la première fois
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Titre de l'histoire érotique : LE CAUCHEMAR DE CLAIRE – Tranches de vie 02
LE CAUCHEMAR DE CLAIRE – Tranches de vie 02
Nous sommes un couple qui a dépassé la cinquantaine et approche, tout du moins pour moi, de la soixantaine, alors que Claire, mon épouse est de cinq ans ma cadette. Prénommé Charles, je suis un obsédé sexuel depuis mon enfance, et il m’a fallu un certain temps pour entraîner la femme de ma vie dans des déviances sexuelles et des relations multiples. Nous avons mis en commun ces tranches de vie que nous écrivons à quatre mains, même si le « je » est plus souvent présent que le « nous ».
Pour comprendre le chapitre suivant et même celui d’avant, il est nécessaire de lire d’abord ce qui suit. Au mois de mai, l’année de mes dix-sept ans, je fréquentais déjà B., une autre jeune fille sans pouvoir la sauter. Chaque lundi, je me rendais au bord de la Marne du côté de La Varennes Sainte Hilaire, près de Saint-Maur pour canoter seul ; c’est à cette occasion que j’ai rencontré sur une berge une jeune fille blonde au teint très blanc. Cette adolescente était une très belle plante avec un derrière un peu gros (qui s’est affiné par la suite vers ses vingt ans). Elle portait une robe blanche à fleurs jaunes en coton très légère, laissant voir par son décolleté en carré des gros seins ronds qui ballottaient librement sans soutien. Elle était assise au bord de l’eau, jupe retroussée, ses jambes grandes écartées laissaient apercevoir des cuisses assez fortes et une culotte de coton blanc d’écolière. Très peu farouche, il ne m’a fallu que quelques minutes pour l’embrasser et peloter, aussi bien ses gros nichons que j’ai sortis du haut de sa robe, que sa moule humide que j’ai atteinte en glissant une main dans l’interstice de sa culotte. Après une masturbation énergique, elle a joui en silence, au contraire de mes autres conquêtes, mais si intensément avec des convulsions inquiétantes, qu’elle s’évanouit presque, son corps devenu rigide entre mes bras. Quelques secondes plus tard elle a refait surface et s’allongeant sur moi, elle m’a embrassé goulûment. C’était une sportive : tenniswoman accomplie, elle faisait aussi partie d’une équipe de volley-bal. Même si j’étais loin d’être une mauviette, elle m’a renversé avec une grande facilité et elle a pris le dessus sans que je puisse lui résister.
Elle m’a dit s’appeler Cris. Le soir même de notre rencontre, vers 23 heures, elle est sortie par la fenêtre de sa chambre en entresol et m’a rejoint dans un bâtiment en construction face à la villa de sa famille. Nous avons fait l’amour debout, contre un monticule de sacs de ciment, n’ayant aucun endroit convenable pour nous allonger. Malgré tout ce que j’avais déjà fait avec des filles, c’était mon premier coït et je me suis montré malhabile, ému plus que de raison par cette première fois. Ma partenaire n’était pas plus habile que moi et j’ai compris plus tard que c’était aussi sa première fois, même si je la croyais plus expérimentée. Nous nous sommes rattrapés le lendemain et les jours suivants.
Presque chaque jour durant presque deux ans, nous avons trouvé le moyen de nous revoir, dans ma chambre d’étudiant, dans les bois, en canot sur la Marne, dans la forêt de Sénart ou même celle de Fontainebleau où nous y allions avec nos vélos. Chez elle, lorsque je faisais le mur de sa propriété et grimpais dans sa chambre, nous risquions à chaque instant de nous faire surprendre. Je ne pense pas avoir fait l’amour avec une fille avec autant de liberté qu’avec elle. Aucun tabou et une folie furieuse dans nos rapports qui pouvaient durer des heures et des heures. Nous étions à cette époque, très jeunes, mais je ne sais si, avec l’âge, j’aurais pu la satisfaire très longtemps. Elle a toujours été insatiable et même maintenant j’en garde un souvenir incommensurable. Elle a été certainement le meilleur « coup » que j’ai connu de toute ma vie, se prêtant à tous mes caprices pour les photos que j’ai faites d’elle. Malheureusement je lui ai rendu les tirages et les pellicules lorsque nous nous sommes séparés.
Sa famille, faisait partie des notables, leur nom s’affichant sur une rue de notre ville depuis deux siècles. Cris n’était pas vierge, violée par un honorable membre de sa famille bourgeoise alors qu’elle avait tout juste quatorze ans ; pourtant, cette unique fois n’a pas compté, elle a considéré que nous nous sommes dépucelés ensemble. De plus, conçue hors mariage, elle avait été « adoptée » par une vieille fille célibataire, la sœur aînée de sa vraie mère, alors que cette dernière, mariée avec un prof universitaire se faisait appeler « tante » par sa fille qui ignorait tout. Jusqu’au jour où, fouillant dans les papiers de la famille, elle a découvert la vérité. (Cette confidence, elle me l’a faite, à mon retour du service militaire, alors qu’elle venait de découvrir la vérité, à mon retour de mon service militaire). C’est certainement la raison pour laquelle, c elle couchait si facilement : par provocation envers une famille qui lui avait caché, depuis sa naissance la « vérité ».
Plus tard je m’aperçus qu’elle était vraiment très amoureuse de moi, alors que j’ai cru longtemps que c’était uniquement physique. Des circonstances malheureuses, à cause de sa famille et de la mienne, firent que nous nous quittames, alors que je voulais vivre avec elle à mon retour de l'armée.
C’est elle qui a troublé Claire, ma fiancée lors du bal de l’Hôtel de Ville, avec pour conséquence le don de la virginité de ma promise. Elle avait confié à Claire lors de notre rencontre fortuite qu’elle était venue à ce bal pour me reprendre, alors qu’elle m’avait abandonné dix mois plus tôt. Elle considérait que Claire était une petite oie blanche et qu’elle n’avait qu’à claquer des doigts pour reprendre l’homme avec qui elle avait eu de fougueux rapports charnels. Cause d’une jalousie excessive de Claire.
Après mon mariage, je l’ai retrouvé quatre ans après par hasard, quelques jours avant de prendre l’avion pour un pays lointain. Nous avons passé toute une journée près de la gare Saint-Lazare, dans un hôtel du 9e arrondissement à Paris, à faire l’amour comme des fous. Elle espérait à ce moment, que j’allais lui revenir, mais je ne pus me résoudre à abandonner ma femme avec deux enfants et bientôt trois. Très traumatisé par cette journée et par mes sentiments contradictoires, j’ai fait l’erreur de tout dire à Claire le soir même. J’aurai mieux fait de me taire car cela a eu de graves conséquences dans les mois qui suivirent ; d’ailleurs, l’inquiétude de Claire quant au danger que représentait Cris ne s’est jamais atténuée avec le temps. Nous nous sommes revus brièvement à mon retour de l’étranger quatre ans après. Elle était devenue magnifique et n’était pas encore mariée, alors qu’elle venait d’avoir vingt-cinq ans, mais elle était certainement très courtisée. Et puis la vie a continué…
Mais elle a encombré mes songes durant une éternité !
Nous sommes un couple qui a dépassé la cinquantaine et approche, tout du moins pour moi, de la soixantaine, alors que Claire, mon épouse est de cinq ans ma cadette. Prénommé Charles, je suis un obsédé sexuel depuis mon enfance, et il m’a fallu un certain temps pour entraîner la femme de ma vie dans des déviances sexuelles et des relations multiples. Nous avons mis en commun ces tranches de vie que nous écrivons à quatre mains, même si le « je » est plus souvent présent que le « nous ».
Pour comprendre le chapitre suivant et même celui d’avant, il est nécessaire de lire d’abord ce qui suit. Au mois de mai, l’année de mes dix-sept ans, je fréquentais déjà B., une autre jeune fille sans pouvoir la sauter. Chaque lundi, je me rendais au bord de la Marne du côté de La Varennes Sainte Hilaire, près de Saint-Maur pour canoter seul ; c’est à cette occasion que j’ai rencontré sur une berge une jeune fille blonde au teint très blanc. Cette adolescente était une très belle plante avec un derrière un peu gros (qui s’est affiné par la suite vers ses vingt ans). Elle portait une robe blanche à fleurs jaunes en coton très légère, laissant voir par son décolleté en carré des gros seins ronds qui ballottaient librement sans soutien. Elle était assise au bord de l’eau, jupe retroussée, ses jambes grandes écartées laissaient apercevoir des cuisses assez fortes et une culotte de coton blanc d’écolière. Très peu farouche, il ne m’a fallu que quelques minutes pour l’embrasser et peloter, aussi bien ses gros nichons que j’ai sortis du haut de sa robe, que sa moule humide que j’ai atteinte en glissant une main dans l’interstice de sa culotte. Après une masturbation énergique, elle a joui en silence, au contraire de mes autres conquêtes, mais si intensément avec des convulsions inquiétantes, qu’elle s’évanouit presque, son corps devenu rigide entre mes bras. Quelques secondes plus tard elle a refait surface et s’allongeant sur moi, elle m’a embrassé goulûment. C’était une sportive : tenniswoman accomplie, elle faisait aussi partie d’une équipe de volley-bal. Même si j’étais loin d’être une mauviette, elle m’a renversé avec une grande facilité et elle a pris le dessus sans que je puisse lui résister.
Elle m’a dit s’appeler Cris. Le soir même de notre rencontre, vers 23 heures, elle est sortie par la fenêtre de sa chambre en entresol et m’a rejoint dans un bâtiment en construction face à la villa de sa famille. Nous avons fait l’amour debout, contre un monticule de sacs de ciment, n’ayant aucun endroit convenable pour nous allonger. Malgré tout ce que j’avais déjà fait avec des filles, c’était mon premier coït et je me suis montré malhabile, ému plus que de raison par cette première fois. Ma partenaire n’était pas plus habile que moi et j’ai compris plus tard que c’était aussi sa première fois, même si je la croyais plus expérimentée. Nous nous sommes rattrapés le lendemain et les jours suivants.
Presque chaque jour durant presque deux ans, nous avons trouvé le moyen de nous revoir, dans ma chambre d’étudiant, dans les bois, en canot sur la Marne, dans la forêt de Sénart ou même celle de Fontainebleau où nous y allions avec nos vélos. Chez elle, lorsque je faisais le mur de sa propriété et grimpais dans sa chambre, nous risquions à chaque instant de nous faire surprendre. Je ne pense pas avoir fait l’amour avec une fille avec autant de liberté qu’avec elle. Aucun tabou et une folie furieuse dans nos rapports qui pouvaient durer des heures et des heures. Nous étions à cette époque, très jeunes, mais je ne sais si, avec l’âge, j’aurais pu la satisfaire très longtemps. Elle a toujours été insatiable et même maintenant j’en garde un souvenir incommensurable. Elle a été certainement le meilleur « coup » que j’ai connu de toute ma vie, se prêtant à tous mes caprices pour les photos que j’ai faites d’elle. Malheureusement je lui ai rendu les tirages et les pellicules lorsque nous nous sommes séparés.
Sa famille, faisait partie des notables, leur nom s’affichant sur une rue de notre ville depuis deux siècles. Cris n’était pas vierge, violée par un honorable membre de sa famille bourgeoise alors qu’elle avait tout juste quatorze ans ; pourtant, cette unique fois n’a pas compté, elle a considéré que nous nous sommes dépucelés ensemble. De plus, conçue hors mariage, elle avait été « adoptée » par une vieille fille célibataire, la sœur aînée de sa vraie mère, alors que cette dernière, mariée avec un prof universitaire se faisait appeler « tante » par sa fille qui ignorait tout. Jusqu’au jour où, fouillant dans les papiers de la famille, elle a découvert la vérité. (Cette confidence, elle me l’a faite, à mon retour du service militaire, alors qu’elle venait de découvrir la vérité, à mon retour de mon service militaire). C’est certainement la raison pour laquelle, c elle couchait si facilement : par provocation envers une famille qui lui avait caché, depuis sa naissance la « vérité ».
Plus tard je m’aperçus qu’elle était vraiment très amoureuse de moi, alors que j’ai cru longtemps que c’était uniquement physique. Des circonstances malheureuses, à cause de sa famille et de la mienne, firent que nous nous quittames, alors que je voulais vivre avec elle à mon retour de l'armée.
C’est elle qui a troublé Claire, ma fiancée lors du bal de l’Hôtel de Ville, avec pour conséquence le don de la virginité de ma promise. Elle avait confié à Claire lors de notre rencontre fortuite qu’elle était venue à ce bal pour me reprendre, alors qu’elle m’avait abandonné dix mois plus tôt. Elle considérait que Claire était une petite oie blanche et qu’elle n’avait qu’à claquer des doigts pour reprendre l’homme avec qui elle avait eu de fougueux rapports charnels. Cause d’une jalousie excessive de Claire.
Après mon mariage, je l’ai retrouvé quatre ans après par hasard, quelques jours avant de prendre l’avion pour un pays lointain. Nous avons passé toute une journée près de la gare Saint-Lazare, dans un hôtel du 9e arrondissement à Paris, à faire l’amour comme des fous. Elle espérait à ce moment, que j’allais lui revenir, mais je ne pus me résoudre à abandonner ma femme avec deux enfants et bientôt trois. Très traumatisé par cette journée et par mes sentiments contradictoires, j’ai fait l’erreur de tout dire à Claire le soir même. J’aurai mieux fait de me taire car cela a eu de graves conséquences dans les mois qui suivirent ; d’ailleurs, l’inquiétude de Claire quant au danger que représentait Cris ne s’est jamais atténuée avec le temps. Nous nous sommes revus brièvement à mon retour de l’étranger quatre ans après. Elle était devenue magnifique et n’était pas encore mariée, alors qu’elle venait d’avoir vingt-cinq ans, mais elle était certainement très courtisée. Et puis la vie a continué…
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