Titre de l'histoire érotique : Le coup de la panne, classique...mais efficace !!! - histoire érotique

Cet été, je suis parti en vacance avec mon petit groupe d’amis, dans un camping dans
le sud. Nous étions nombreux et nous sommes donc partis à plusieurs voitures, dont
les compositions changeaient souvent. J’étais l’un des conducteurs, au volant de mon
puissant bolide (Bon, une vieille Ford diesel toute tapée, mais break donc spacieuse).

Et il se trouve que j’avais la chance de voyager uniquement avec Laure, une magnifique
alsacienne, blonde, 1m70, yeux vert avec qui je m’entendais bien qui ne m’a jamais
vraiment laissé un différent. Mais hélas elle avait un mec. Tient étrange d’ailleurs
qu’il ne soit pas là. Très étrange….

Enfin bref nous avons taillé la route en écoutant de la musique et en rigolant. Assez
rapidement, la discutions à tourné sur le sexe. Bien que célibataire, ma vie sexuelle
est pas mal remplie (si j’ose dire) et je n’étais en reste niveau anecdotes. Pourtant
il m’a fallu une bonne heure pour trouver un truc qu’elle n’ait pas fait : l’amour en
forêt. J’ai bien entendu précisé que j’étais tout à son service.

On a continué à rigoler pendant près d’une heure, jusqu'à ce que je m’aperçoive qu’on
avait été distancé par les autres (qui roulent en twingo et 206, bande de bourgeois).
Je demande à Laure de les appeler, mais plus de batterie. Elle fouille donc ma poche
pour prendre mon portable. Au passage, j’ai beaucoup apprécié ce contact et elle à du
s’en apercevoir vu le sourire qu’elle avait. Mais le miens non plus n’avais plus de
batterie.

Je me suis donc arrêté sur une petite aire d’autoroute près de Bourg-en-Bresse, une
charmante petite aire d’ailleurs puisqu’elle est à l’orée de la forêt, et qu’il y à
même quelques chemins de départ de randonnée. Mais hélas, personne a qui emprunter un
téléphone. Bon tant pis, on finira bien par les rattraper. J’ai quand même sorti la
carte pour vérifier l’itinéraire.

Mais, au moment de démarrer, impossible d’obtenir plus qu’un broutement rauque de la
part de mon bolide. Laure me regardait en souriant :
- Le coup de la panne, touchant de naïveté.
- Alala j’adorerai être aussi délicieusement rétro, mais là c’est bien une
tuile. Le moteur est peut être un peu chaud on va attendre.

Nous n’avons pas pu nous empêcher de rigoler en pensant au moment où nous allions le
raconter aux autres. Toujours personnes à l’horizon. Nous avons continué a discuter un
peu, réessayant de temps en temps de démarrer, sans succès. Petit à petit on se
rapprochait l’un l’autre. Et ce qui devait arriver à finit par arriver, a mon grand
plaisir, je racontais ma dernière sortie dans un bar lorsqu’elle me coupa la parole
d’un baiser passionné.

Nous nous sommes embrassés avec passion, nos mains passant sous nos vêtements pour
d’infinies caresses. Ses lèvres si douce et si sucrée m’on emmenées au paradis.
Rapidement, nous sommes passés sur les sièges arrière, reprenant nos baisers et nos
caresses. Nous n’avions encore rien dit, l’instant était magique. Puis j’ai retiré son
t-shirt, dévoilant un soutif noir, quasiment transparent, tandis qu’elle m’ôtait ma
chemise. J’ai commencé à lui embrasser le cou, lui malaxant les seins et en retirant
son soutif devenu tout à fait inutile. Elle commençait à respirer vraiment fort.

Puis j’ai déboutonné son pantalon, apercevant un string noir, dans lequel j’ai glissé
une main. J’y ai découvert un sexe partiellement épilée, complètement trempé et le
premier contact de mes doigts sur son clitoris vu comme un éclair pour elle.
J’entamais de douces caresses, elle commençait à gémir. J’accélérais, la pénétrant
avec un doigt, la faisant presque crier. Elle fut rapidement saisie d’un puissant
orgasme. Elle s’allongea sur moi, en m’embrassant doucement.
Nous avons commencé à parler un peu :
- Tu sais steph, je sais que je te plais depuis qu’on se connaît.
- J’aurais bien du mal à le cacher.
- Oui, je veux juste te dire que je ne peux pas quitter Kevin, alors si tu
penses qu…

J’ai posé un doigt sur ses lèvres. Je n’attendais rien d’elle, je voulais juste
savourer l’instant, profiter de ma chance tant qu’elle dure, on verra bien pour la
suite. Je crois qu’elle l’a compris, car elle m’a sourit, puis embrasser avec une
telle passion que même maintenant, en écrivant cette histoire, j’ai l’impression de
sentir ses lèvres sur les miennes. J’ai jeté un coup d’œil dehors, toujours personne,
mais j’ai vu la forêt… Nos regards se sont croisés, elle a rigolé.

Nous sommes sortis de la voiture sans prendre la peine de se rhabiller plus que ça,
j’ai pris une couverture dans le coffre, puis nous sommes allé dans la forêt, pas très
loin, mais au pied dans arbres entouré d’arbuste. Discret, et idéal.


Nous nous sommes allongés l’un contre l’autre en nous embrassant, mais nous voulions
plus. Elle m’a rapidement mis nu, tandis qu’elle gardait son string. Elle savait que
j’adore cette tenue…. Elle a commencé une Fellation magistrale, je me suis senti
décoller sur mon petit nuage, sa bouche chaude englobant ma bite presque entièrement.
Quand j’ai rouvert les yeux, le string avait disparu et elle se masturbait
vigoureusement en me suçant. Qu’elle vision de bonheur…

Elle s’est mise à califourchon sur moi, et nous avons entamés un 69. Elle me suçait
encore plus profondément dans cette position, tandis que ma langue experte titillait
son clitoris ruisselant de mouille. Elle était totalement inondée, je pouvais faire
glisser ma langue à toute allure, lui arrachant ainsi des grognements de plaisir.
J’avais ses fesses entre mes mains, je les caressais, les malaxais car je savais
qu’elle adorait ça.

Puis elle a stoppé sa fellation, a mon grand regret, pour venir s’empaler sur mon
sexe, face à moi. Je n’ai pas regretté son choix…. Elle faisait des va et vient
profond en gémissant, tandis que je lui agrippais les fesses pour l’encourager,
c’était si bon. A ce moment là je ne pensais à rien, j’était trop concentré sur le
plaisir que me procurait sa chatte brulante de désir, sur ses seins magnifique allant
et venant de haut en bas au rythme effréné de notre étreinte sauvage, à ses lèvres
qu’elle mordillait pour ne pas crier son plaisir, mais plus que tout, a son regard
brulant du désir de mon corps.

Nous avons changé de position, elle s’est mise à quatre pates tandis que j’entamais la
levrette. Je la tenais par les hanches tout en lui donnant de puissants coups de
reins. Elle s’est mise à crier, à gémir, à m’encourager et ça m’excitait, plus encore
que son corps de rêve, plus encore que le frisson de l’interdit son désir pour moi
était une drogue dont je suis devenu totalement accro a cause de cette seule et unique
expérience.

Elle a joui encore une fois, et j’allais faire de même lorsque qu’elle s’est retourné,
puis a englober ma bite avec gourmandise, me suçant frénétiquement jusqu'à ce que je
lâche dans sa bouche un puissant jet de sperme salvateur, qu’elle s’est empressé
d’avaler avec une surprenant gourmandise. Je me suis effondré sur le coté, tandis
qu’elle s’est lové contre moi, m’embrassant du bout des lèvres.


Nous sommes ensuite retournées à la voiture, qui a bien voulu démarrer cette fois, ma
brave petite. Nous sommes repartis écumer le bitume en rigolant, en plaisantant et en
faisant des sous entendus. Même si l’un de nos amis était là, il n’aurait pas vu la
différence. Pourtant, à partir de cet instant, j’avais le souvenir le plus agréable et
excitant qu’on puisse rêver……