Un jour comme les autres à la Piscine - histoire érotique

Comme tous les lundis, je suis allé nager un peu après le boulot. C’est une petite piscine municipale, pas très loin de chez moi, ambiance familiale tranquille. J’y vais surtout pour rester en forme, le bassin fait seulement 25 m, et aussi parce qu’on croise assez peu de monde.

Je me change donc au vestiaire, met la clef autour de mon poignet, enfile mon maillot et mon bonnet de bain (le fin du fin pour draguer, 100% garanti !) et je me dirige vers la piscine. Une petite douche, et c’est partie. Le bassin n’est pas trop bondé, je me trouve donc une ligne d’eau et j’entame quelques longueurs de brasse. La foule habituelle des nageurs, je ne prête donc pas vraiment attention.

Le bassin se remplit peut à peut, je croise des gens, et même quelques femme charmante, que je ne manque pas de détailler de haut en bas. Une en particulier retient mon attention, brune, taille moyenne, maillot deux pièce blanc, une poitrine plutôt généreuse et un style de nage assez harmonieux, contrairement au mien. Mine de rien je suis son rythme pour rester derrière elle, mais je me fais remarquer, lors d’un virage je la vois esquisser un sourire.
Nous commençons à nous tourner un peu autour, elle accélère et je la rattrape, je la double et nous faisons l’inverse, le tout ponctué de regard en coin qui en disent de plus en plus long. Ce petit jeu dure environ 15-20 min, durant lesquelles j’ai eu tout le loisir d’admirer ses formes généreuses, ce qui a mis ma concentration et surtout mon self-control à rude épreuve !

Elle se dirige vers l’échelle, sort de la piscine et va vers les vestiaires (mixte heureusement). Je la suis, j’arrive aux douches où elle se savonne tranquillement. Je fais de même en essayant de ne pas trop la regarder mais c’est difficile, et elle manque d’éclater de rire une ou deux fois.

Elle termine sa douche et se dirige vers une des cabines. J’hésite à la suivre, j’en ai envie mais je vais surement me prendre un râteau, elle est joueuse certes mais là ca va peut être loin. J’entre dans la pièce, quasiment personnes, de nombreuse cabine ouverte, elle est à 5 mètres de moi, elle marche doucement, elle se dirige vers l’une des cabines.
Tant pis j’ose, je marche sans bruit et la suis dans la cabine, elle se retourne vaguement surprise et je coupe cours a ses protestations par un baiser. Elle semble surprise mais me le rend rapidement dans un sourire, et au moment où je vais lui demander son nom elle pose un doigt sur mes lèvres. D’accord, ca me convient. On commence à s’embrasser passionnément, mes mains passes le long de ses formes que mes yeux on dévoré et que je peux maintenant découvrir à loisir. Nos respirations sont les seuls bruits que l’on entend, ponctuer de temps en temps par quelqu’un qui se change. Etrangement ca ne me dérange pas au contraire, je suis très excité par la situation.
Mon sexe commence à durcir dans mon maillot, ce qui laisse entrevoir un regard gourmand de ma partenaire. Mais elle se contente de me caresser par-dessus, ce qui est excitant mais aussi assez frustrant. De mon coté je lui caresse les fesses avec de plus en plus d’insistance
Je lui retire doucement son bain de maillot, dévoilant un sexe parfaitement lisse, et frétillant de désir. Je me mets à genou devant elle, elle pose une jambe sur mon épaule et je commence un cuni endiablé. Ca respiration s’emballe a chaque coup de langue, elle pose ses mains sur ma tète, m’agrippe les cheveux en soupirant. On entend du bruit autour, il faut qu’elle reste silencieux mais elle lutte, je sens son excitation crever le plafond.
J’aspire son clito, et je la doigte en même temps, sa chatte est trempée de désir, elle se crispe de plus en plus sur moi jusqu'à un premier orgasme dévastateur, elle manque de me tomber dessus. Je la laisse se remettre tranquillement, puis lui enlève son haut de maillot pour découvrir ses seins magnifique, galbé, doux et qui pointent vers moi.

Elle me regarde doucement, puis mon maillot, avec un regard qui veut dire : Hum, nous ne sommes pas à égalité. Elle me retire doucement le maillot, mon sexe en sort tel un diable, raide, ce qui a l’air de l’amuser. Une fois à terre, elle se met à genou et commence une fellation. Et elle s’y prend bien… elle me suce doucement, tout le long de mon sexe, je sens la chaleur de sa bouche c’est divin. Je pose une main sur sa tête pour imprimer le mouvement, sa bouche coulisse de plus en plus vite, j’ai une vue plongeante sur ses seins qui bougent en rythme tandis que mon sexe rempli sa bouche en entier, je suis bandé au maximum. Elle me suce pendant bien 5 min sans faiblir, gardant un rythme élevé, s’aidant de sa main pour me branler et déviant sur mes bourses de temps en temps. Ma tête se perd en arrière, mon souffle se coupe et s’accélère, alternativement, je suis au paradis.
Puis elle se relève et se plaque contre le mur, le buste en avant, le dos cambré, les fesses offertes. Je me colle à elle et dépose un baiser sur sa nuque, je sens un frémissement parcourir son corps. Puis je présente mon sexe dur à l’entrée du sien et la pénètre doucement. Nous poussons tout deux un soupir de soulagement, avant d’attaquer un va et viens de plus en plus rapide.
La pénétration s’accélère, nos deux respirations sont seuls à trahir notre excitation mais intérieurement nos sang bouillonnent la situation est terriblement excitante. On entend les gens autour on est sur excités par la situation ! Je la pénètre vigoureusement et elle fait son maximum pour rester silencieuse, mais c’est dur…. Elle se cambre autant que possible, elle appuya le va et viens, le moment est magique. Puis soudain je l’ai sentie se contracté et jouir dans un soupir, elle était silencieuse mais tout son corps s’est crispé, ma queue en elle je sentais ses décharges de plaisir.


Elle est restée immobile environ une minute pour récupérer puis s’est tourné vers moi en souriant et s’est mise à genou pour se jeter sur ma queue. Elle a commencé à me pomper très vigoureusement, sa bouche aidée de sa main ont coulissé sur mon sexe à toute allure, je me retenais de gémir autant que possible mais c’était dur elle savait y faire ! Au bout de quelques minutes j’ai finis par jouir dans sa bouche dans un râle, ce qui l’a faite sourire.

Nous nous sommes rhabiller rapidement et on est sorti chacun notre tour de la cabine. Elle est sortie avant moi et a disparu sans laisser de trace. Je ne connais même pas son nom….