Titre de l'histoire érotique : Le doigt dans l'engrenage. 1. Christophe.
Récit érotique écrit par Romain69130 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Le doigt dans l'engrenage. 1. Christophe.
Tout a commencé par hasard. Le bon moment, le bon lieu, le bon état d'esprit, les bonnes rencontres.
Tout a commencé simplement. Certainement que Marie et moi on était arrivé à un stade où on avait envie de changement. Il faut dire qu'à la cinquantaine on avait fait le tour de pas mal de choses. Les enfants étaient élevés et même plus très souvent à la maison. Notre sexualité bâtait un peu de l'aile. Lassitude ou autre chose ! Pourtant Marie est une belle femme et n'a jamais été farouche au lit. Mais là aussi, malgré les jouets sexuels, les tenues érotiques, les tentatives de scénarios coquins et même une pratique partagée de la sodomie, l'envie se diluait.
Je sais que cela n'a rien d'original et que c'est le lot de beaucoup de couples. Ne parlons pas des jeunes qui se séparent pour un oui ou un non. J'avais trompé Marie. Je sais qu'elle avait eu une ou deux aventures. Mais une chose est certaine, je suis toujours amoureux de ma femme. Et je pense qu'elle aussi.
Depuis longtemps je lis "Histoires Erotiques". Je ne suis donc pas ignorant de ce qu'un couple peut envisager pour se renouveler. Mais si, j'y pensais, je n'ai jamais osé en parler à ma femme. Jusqu’à ce weekend de juin.
Le mariage d'un vague parent. On était venu car cela se passait à seulement 20 km de chez nous. Sinon on n'y serait certainement pas allé. Comme quoi, le destin!
Il avait fait très beau. La nuit qui tombait était douce. Cela se passait dans une résidence avec un grand parc, de ces lieux qu'on loue pour ce genre de cérémonie. Le buffet était copieux, les vins très bons, ce qui est le minimum en pleine Bourgogne. Chacun se servait et choisissait une table en fonction des rencontres ou des connaissances.
J'avais retrouvé un copain d'enfance et depuis un long moment nous bavardions. Cela ne dérangeait pas ma femme car comme elle adore danser elle pouvait en profiter. Je ne sais pas combien de temps nous avons été séparés. Avec le copain et d'autres connaissances nous nous étions éloignés de la piste de danse pour pouvoir parler sans élever le ton.
A un moment, je lève la tête et j'aperçois Marie qui me fait signe de la main. Je me rapproche d'elle. Elle est souriante. On dirait une ado qui est heureuse d'une plaisanterie.
— Ça va ? Qu'est ce qui t'amuse ?
— Tu ne devineras jamais.
— Non. Je suis désolé je bavardais et je t'ai laissé seule. Mais comme tu aimes danser!
— Justement.
— Quoi, Justement ?
— Figure toi que je me suis faite draguer.
— Chérie, ce n'est pas un scoop. Ce n'est pas la première fois qu'un homme te trouve à son gout.
Et j'ajoute, espiègle.
— Il faut dire que tu es très mignonne dans cette robe. Elle te met en valeur. Certaines formes en particulier…
— Merci mon Chéri. Mais je voulais dire plus que draguer. Il m'a fait des propositions et plusieurs fois j'ai dû lui dire de retenir ses mains.
— Devant tout le monde.
— Non, heureusement on était un peu dans l'obscurité.
— Il n'y a pas mort d'homme. C'est plutôt un compliment.
— Mais tu te rends compte, il a l'âge de nos enfants. Me draguer moi.
Mais je connais cette expression. Elle proteste mais en réalité elle est fière.
— Il a vu que tu étais mariée ?
— Non, tu sais bien que mon alliance est en réparation depuis une éternité. D'ailleurs il faut que je…
Elle regarde sa main mais je vois bien que ce manque l'amuse.
— Ça t'a plu ?
— Mais quoi ?
— Qu'un jeune homme te fasse des propositions.
— Pas que des propositions, des caresses aussi.
— D'autant plus !
— Chris, allons !
— Chérie. Il est beau garçon ?
— Oui, surtout bien musclé et aussi ….
— Quoi ?
— Tu ne vas pas me disputer ?
— Allons, Chérie.
— Pendant un moment il…..il était ….Enfin tu vois bien…..Il…. Il bandait. Voilà c'est dit.
— Comment tu le sais. Tu l'as caressé ?
— Christophe ! Non, voyons il était tout contre moi. Son ventre contre mon ventre. C'est là qu'il m'a dit qu'il avait envie de moi. Que j'étais belle. Que je lui plaisais. Qu'il voudrait bien m'emmener un peu à l'écart.
— Oh. Et toi qu'est-ce que tu as répondu.
— Rien. J'étais tellement surprise que j'ai ris bêtement, comme une gamine.
— Finalement ça t'a plus qu'un jeune homme te propose de coucher. C'est flatteur, non ?
— Je sais Chéri, ce n'est pas bien, mais je dois reconnaitre que cela m'a fait plaisir.
Et c'est là que sans réfléchir j'ai répondu.
— Alors, Chérie il ne faut pas laisser ce garçon dans cet état.
Oui, c'est bien moi qui ai dit ça ! Avec le recul je connais les raisons de cette phrase si transgressive. J'avais pas mal bu et même le très bon Bourgogne peu monter à la tête. Mais aussi juste avant cette conversation j'avais, avec les copains retrouvés, parlé de notre jeunesse, des filles connues, des échecs, surtout de celles qu'on appelait à l'époque des salopes parce qu'elles couchaient facilement. Mais à l'époque même les salopes n'étaient pas très expérimentées. On rêvait de femmes mures qui auraient pu nous apprendre les subtilités et le savoir-faire amoureux.
Et devant moi, j'avais ma femme. Ma femme troublée et fière de ce jeune homme. Si moi à l'époque j'avais tenu dans mes bras un tel "petit lot" comme on disait, j'aurais été plus qu'audacieux. Mais les jeunes de maintenant sont autrement plus au fait du sexe que nous l'étions.
Cette simple phrase fait l'effet d'un choc chez Marie.
— Tu te rends compte de ce que tu dis. Dis-moi que j'interprète mal ta pensée !
— Pas du tout. Tu plais à ce garçon. Je pense qu'il te plait aussi. Alors pourquoi pas ?
— Christophe tu me demande de céder à ses avances, c'est bien cela.
— Uniquement si tu en as envie.
— Mais là n'est pas la question. Tu me demandes….
— Je t'autorise….
— ….de te tromper avec un homme.
— Oui.
Un silence. Elle pense que je teste sa fidélité. Je reprends :
— Ca ne sera pas la première fois. Tu vois je sais ton aventure. Et je ne t'en veux pas. D'ailleurs cela m'est arrivé à moi aussi. Alors pourquoi ne pas voir le bon côté des choses. Il fait beau. La nuit est douce. Des bras t'attendent.
— Tu savais ?
— Oui. Mais cela n'a aucune importance. Je t'aime. C'est cela l'important. Et je ne veux que ton bonheur, mieux ton plaisir. Alors si garçon te trouble au point de le désirer toi aussi, je t'en prie accepte.
— Chris….
Je la prends dans mes bras. "Je t'aime mon amour", dis-je dans un chuchotement. "Moi aussi, je t'aime", elle répond.
Je la libère.
— Je reste avec mes copains, tu sais ou me retrouver.
Et sans vraiment lui laisser le temps de réagir, je pars vers la table ou les autres discutent.
En arrivant, je me retourne, elle n'est plus là.
J'ai fait le fanfaron devant elle, mieux le mari généreux prêt à tout pour le bonheur de son épouse, mais j'ai bien du mal à suivre la conversation à ma table. Je gamberge.
A-t-elle rejoins ce garçon. A-t-elle cédé à ses avances. Et si oui, ou sont-ils allés avec tout ce monde et la résidence n'a pas de chambres. Et s'ils sont ensembles que font-ils ? Est-il à la hauteur ? Elle sera peut-être déçue. Merde et les capotes. Marie n'en a certainement pas. L'homme surement. A son âge moi j'avais toujours des préservatifs sur moi.
Que le temps passe lentement. Que font-ils ? Une heure déjà! Et si c'était un malade ? S'il avait kidnappé Marie ou pire un sadique assassin ?
Ouf, je la vois. Elle me fait signe. En m'approchant j'ai déjà une partie des réponses. Elle est moins bien coiffée et sa robe moins bien ajustée. Mais aussi dès que je peux voir son visage, ses joues sont rouges, ses yeux brillent et elle fuit mon regard.
— C'était bien ?
Je demande sans même passer par la question préliminaire " tu l'as fait" qui me parait superflue.
Le "oui" est si faible que je dois tendre l'oreille.
— Je commençais à m'inquiéter. Vous avez été ou ?
— Dans notre voiture.
— La nôtre ?
— Oui la sienne est trop petite alors que la nôtre est…la banquette…
Elle ne continue pas, consciente que de me donner les détails peut être déplacé.
— C'n'est pas loin alors pourquoi plus d'une heure ?
Marie lève son visage. Son regard croise le mien et je crois que c'est plus, ce que j'y vois, que le "on l'a fait deux fois", qui me fait prendre conscience de mon propre trouble.
J'ai devant moi ma femme, femme adultère, qui montre à la fois de la gêne mais aussi toutes les apparences de la satisfaction. Deux visages, mais en tout cas pas celui du remord. Peut-être que face à moi, elle se demande comment elle a pu faire cela, comme moi je me demande comment j'ai pu lui proposer.
Elle est belle, de cette beauté que peut avoir une femme alors qu'elle vient d'avoir du plaisir.
Du plaisir.
Dans ma voiture. Comme dans notre jeunesse ou la banquette arrière a été maintes fois le lieu, faute de mieux, de nos ébats.
— Viens. Dis-je en la prenant par la main.
En l'entrainant je ne pense à rien d'autre, mais je me dirige vers le parking. Une seule idée me guide, aller voir.
Pourquoi aller là-bas ?
Pourquoi vais-je vers le parking ou beaucoup de places se sont libérées car il se fait très tard ? Parking sombre en effet, propice à la discrétion. En plus, pensai je, les vitres arrières sont fortement teintées, ce qui n'était pas le cas dans ma jeunesse.
Mon quatre-quatre est là. C'est donc ici que ma femme s'est donnée. Marie que je tiens par la main, peut être inquiète de ma réaction. Presque au pied de la portière arrière, deux objets. Deux choses flasques. La preuve irréfutable qu'elle m'a dit la vérité. Deux préservatifs dont on peut voir qu'ils ont servis.
J'ouvre la portière. Au sol, deux emballages déchirés. Une pensée qui surgit, incongrue, déplacée : "est ce Marie qui a déroulé le plastique sur le sexe durci de son amant" ? Mais aussi sur la banquette un peu plus loin, son soutient gorge, tache blanche qui tranche sur le cuir sombre.
Je me retourne. Elle est juste derrière moi. Peut-être que sur mon visage on peut lire de la colère ou de la stupeur.
— Tu m'en veux ? Mais Chéri c'est toi même qui m'a demandé de …..
— Non, non. Ce sont juste des souvenirs. Je me souviens juste les fois où nous avons fait l'amour ainsi.
— C'est vrai.
Ce sourire chasse la crainte. Son sourire s'accentue.
— Je me souviens parfaitement que nous commencions toujours de la même façon.
Elle a raison.
— C'est vrai.
Elle n'est presque pas étonnée de me voir défaire ma fermeture éclair et extraire ma verge. Une verge en grande forme. Marie la voit. Mon invitation est évidente. Jeune j'adorais qu'elle me suce un peu avant. Certainement vouloir montrer sa virilité.
Elle la voit et la caresse d'un doigt. Je frémis de ce simple attouchement. Elle s'agenouille. Je suis debout, la portière de la voiture encore ouverte. On pourrait nous voir, mais il fait sombre. Et pendant que ma femme commence sa fellation je regarde passer un peu plus loin des convives qui partent. S'ils savaient !
Ma femme me suce et me pompe comme elle sait si bien le faire. A-t-elle montré ce talent à celui que je peux appeler son amant, même s'il n'est que d'un soir ? Cette pensée me trouble. Pire elle m'émoustille. Mon cerveau construit l'image. Comme nous dehors ? Ou portes fermées ?
— Viens ! Dis-je à la pècheresse qui si je l'avais laissé faire, m'aurait pompé jusqu’à la moelle. Dans notre jeunesse elle était peu expérimentée, mais petit à petit, devant mes envies elle a appris tout l'art de sucer mais aussi de savoir recueillir ma liqueur.
Merde, j'espère qu'elle n'a pas bu le jus de son amant. Non, elle sait combien cela est potentiellement dangereux avec un inconnu. Et d'ailleurs elle a parlé de deux fois et j'ai vu deux capotes.
Elle se lève. D'un geste je la dirige. Elle s'appuie sur la banquette, les pieds encore à terre. Une levrette à la fois confortable et affichée. Je relève cette jupe qui descend jusqu'au-dessus des genoux. Ses fesses apparaissent, deux lobes bien fermes que seules d'étroites bandes blanches soulignent. Le reste est bronzé, couleur caramel que le soleil sur notre terrasse honore souvent. Pas de culotte. Je cherche le string, cette mince ficelle qui parfois s'aventure dans la profondeur de la raie et du reste. Mais non, rien. Elle n'a pas de culotte. Je m'étonne.
— Tu n'as pas mis de culotte ?
Elle hésite. Mais répond tout de même.
— Il l'a gardée en souvenir.
Je ne suis pas choqué, au contraire. C'est le geste, prise de guerre, souvenir d'un bon coup, que tout homme, surtout encore jeune, aime garder d'une rencontre, voire collectionner.
Ainsi Marie m'est revenue quasiment nue de son aventure. Un soutien-gorge qui s'ennuie sur une banquette qui doit garder le souvenir de liqueurs intimes, et un string qu'un homme doit caresser au fond de sa poche, signe d'une bonne fortune.
Il me reste une robe froissée. Une robe que je pousse vers le haut afin de découvrir ce corps nu, tout en rondeur, magnifique et sublimé par une jouissance que j'imagine déjà.
C'est ma femme. En levrette, la tête sur le cuir de la banquette qui en a vu de toutes les couleurs, la croupe offerte, les jambes déjà écartée pour accueillir le mâle. Un mâle, un mari cocu. Cocu mais avec son accord. Cocu mais excité de cette transgression partagée.
Ma bitte connait ce chemin mais normalement c'est un chemin qui…..Mais on est pas "normalement" ! Ce chemin, il y a peu, a vu passer une autre queue que la mienne.
Je gamberge. Je vais lui demander comment ils ont baisé. En levrette. A la normale. A la cavalière et quoi encore. L'A-t-il enfilée seulement en classique ou bien A-t-il eu l'audace, en si peu de temps, de tester son petit trou.
Je me sens "bizarre".
Cocu sur commande, mais mécontent que ma femme m'ait pris au pied de la lettre.
Mari généreux mais soudain inquiet que sa femme puisse avoir découvert des sensations qu'il ne lui a pas donné et qu'un inconnu en une heure lui a procuré.
Je ne sais pas pour vous, mais je n'ai pas la prétention d'être un amant parfait. Un amant si extraordinaire et si confiant dans ses capacités qu'il ne craint pas la concurrence. Je suis intimement persuadé que beaucoup de ceux qui rêve de voir leur femme, voire d'offrir leur femme à un autre, ne franchissent jamais le pas pour cette raison. Ils disent qu'ils n'osent pas. Qu'ils ont peur de choquer leur compagne en lui proposant un plan cul. Mais au fond d'eux même ils craignent la concurrence et la comparaison. Je peux le dire car je fais partie de cette catégorie.
— Ahhh.
Cette simple exclamation me fait oublier mes doutes. Ma queue s'est glissée sans retenue, d'une poussée unique, d'une pénétration magistrale. C'est ainsi qu'on doit traiter une femelle qui est encore chaude de son amant.
Les hanches enveloppées me servent de poignées d'amour. Déjà je la laboure sans délicatesse. J'en ai envie. Je ne le savais pas, mais j'ai dû accumuler cette envie depuis un moment, certainement ou j'ai dit sans réfléchir, dans un langage policé, une version de ce que je pense maintenant
" Va, cochonne. Va coucher avec ce garçon. Salope, ton regard te trahis. Ta respiration est déjà celle de la femelle en chaleur. Tes joues roses transpirent la luxure tellement tu as envie de cette bitte que tu as senti contre ton pubis et qui est à la hauteur du désir de cet homme".
— Oui. Oui.
Exprime la pute que je laboure. Mieux qu'une pute que l'on baise au bord de la route et qui n'est pas si expressive et qu'on sait, simuler chaque mouvement.
— Tiens ma cochonne. Prends ça. Ca encore. Voilà.
— Oui ! Chéri c'est bon. Continue. Prends-moi. C'est bon, c'est bon.
Non seulement la salope se tortille sous mes assauts, mais je sens une main aller caresser son clitoris alors qu'une autre masse un sein pour certainement en tordre le téton.
Je me sens d'une vigueur exemplaire, animé d'une envie singulière. Je ne cesse de penser que cette grotte a connu récemment l'ardeur d'une queue plus jeune. Mais la mienne et surtout le mental associé sait se retenir. Et pourtant! Que j'ai envie d'ouvrir les vannes pour me libérer dans cette grotte accueillante.
Mais j'attends. Oui, j'attends que Marie vienne. C'est plus long que d'habitude mais je sais pourquoi. Elle a déjà eu son compte de jouissance et celle que je veux, la mienne, doit se préparer plus longuement.
— Oui….Oui….Encore…..Chris, encore…..Je viens…Je viens.
Que mon prénom est doux à mon oreille. Je sens sa jouissance. Cette respiration digne d'un 100 mètres. De la main qui caresse le clito et qui bat la chamade. J'imagine ce sein martyrisé, le téton tordu signe que cela monte.
Et tout le reste. Tout ce que l'on peut décrire. Enfin qu'un homme ne serait décrire. Pourtant moi aussi on m'a possédé. Oui Marie, de nombreuse fois s'est transformée en mâle avec notre double gode ceinture et m'a défoncé le cul. Mais j'imagine que la sensation est différente. Nous ne sommes pas "construis" pareil.
Les ohhh… qui montent en fréquence et en puissance sont les cris de jouissance que j'adore. Pendant de longues secondes la nuit résonne de ce bonheur exprimé. Si quelqu'un ne passe pas loin il n'aura aucun doute sur l'origine.
Mais le crescendo fait place à des soupirs. La belle redescend sur terre. Elle ne peut ignorer qu'une queue la travaille toujours. Une queue fière de son labeur et qui ne va pas tarder.
Marie me connait mieux que moi. Combien de baise depuis notre adolescence ? Il faudra que je compte un jour.
— Attends. Attends. Dit la femme levrette.
Elle bouge. Elle se dégage de mon pieu. Je me sens bien seul mais c'est une bouche qui remplace la grotte. Une bouche qui me suce alors qu'une main me branle et que l'autre me presse les couilles.
— Viens mon Chéri. Viens dans ma bouche.
Qui résisterait ?
Pas moi.
Je me déverse en elle. Marie sait faire penser que ma semence est une crème onctueuse, délicate que toute femme devrait pouvoir déguster.
Je referme la porte et nous reprenons nos esprits. Ma femme se love contre moi. Ses fesses sont sur le cuir et déjà je repense aux taches que les amants ont dû laisser.
— Merci, mon Amour. Merci. Me dit mon épouse en m'embrassant amoureusement.
Je ne détaille pas. Je prends ce merci pour l'amant accordé, mais aussi cette jouissance, pour notre tendresse, pour notre amour.
— Je ne veux que ton bonheur.
Mais cette phrase me parait bien fade au vue de ce que nous avons vécu ces dernières heures. J'ajoute :
— Ton bonheur. Ton plaisir…..Avec moi ou un autre….C'est mon plaisir de te savoir épanouie…..
Un ange passe. Chacun intègre ce qui vient de se passer. Et puis son téléphone vibre.
Elle le sort de son sac. Regarde les SMS, la vibration étant caractéristique, et referme bien vite le message.
— Qui c'est ?
Je demande.
Elle hésite.
— Personne. Une erreur.
— Comment une erreur ? A deux heures du matin sur ton numéro privé ! Un problème avec les enfants ?
— Non, non pas les enfants…..C'est sans importance…
— Marie !
— Bon d'accord c'est Franck qui me relance.
— Franck ? Ah d'accord ton jeune amant.
— C'est ta faute. C'est bien toi qui m'a poussée dans ses bras.
— Je reconnais. Et que dit-il ?
— Regarde-toi même.
Elle me tend son tél. Je lis.
--------"""Une heure et tu me manques déjà. J'ai encore l'odeur de ta peau et de ta petite chatte sur moi. J'ai encore envie de toi. Pas toi ? J'ai passé un excellent moment et il me semble que toi aussi. Pourquoi ne pas nous revoir. Ce soir, demain…Un mot et j'accours. Franck"""-----
— Je suis désolée. Il a insisté pour avoir mon 06 mais je ne pensais pas qu'il ….
— Ne le sois pas. Voilà un jeune qui sait écrire et en plus des choses flatteuses.
— Christophe, je t'en prie.
Je relis le message. Un instant je vais demander à Marie de l'effacer. Mais pour la deuxième fois de cette soirée je sors des sentiers battus. Je tape une réponse au SMS.
— Chris que fais-tu ?
— Attends je te montre.
Quelques secondes et après avoir terminé la réponse je rends le tél à ma femme. Elle peut lire :
-------""Moi aussi. J'ai le souvenir de ton corps. Oui, je veux te revoir. Si tu es libre, demain, 23 heures chez moi ,69 rue de la vallée fleurie, Gendis. Gare ta voiture pour finir à pieds. Je suis mariée et les voisins pourraient te voir""""----
— Mais tu es malade! Pourquoi le faire venir. Quel jeu joues-tu ? Tu ne vas pas t'en prendre à lui. C'est à cause de toi qu'il peut m'envoyer des SMS comme celui-là.
— Ma faute c'est vrai, mais manifestement il garde un bon souvenir de votre rencontre.
— Tu….Tu es un goujat.
— Allez, appuie sur la touche envoi.
— Jamais. Tu as trop bu. Ou alors avec tes copains vous avez "fumé"!
— Allez, appuie, juste pour voir.
— Jamais. Voir quoi ?
Un silence et puis elle me regarde.
— Voir ! Mais c'est cela qui te travailles. Non seulement tu me pousses dans les bras d'un homme mais en plus tu veux regarder.
Elle m'a démasqué. Pire, elle a compris avant moi ce que sous entendais cette invitation et ce "pour voir" qui pour moi voulait juste dire "pour jouer, pour se distraire".
Elle a raison. Voici donc ce à quoi je pense depuis un moment. Si je l'ai amenée ici, sur le lieu même ou elle a couché avec cet homme, c'est pour m'imprégner de l'ambiance, pour servir de trame à ces visions fugitives de ce couple qui avait baisé ici sur ma banquette.
Que répondre ? Faire l'idiot et dire que Marie à mal interprété mes mots ? Reconnaitre qu'au fond de moi c'est ce que je fantasme ? Il me reste la dérision.
— Je n'y avais pas pensé, mais ce n'est peut-être pas une mauvaise idée. Qu'est-ce que tu en penses.
— Jamais. Christophe tu ne peux pas me demander ça.
— Allez, juste pour jouer, envoi ce texto.
— Non.
— Alors c'est moi qui vais le faire.
— Fais ce que tu veux, mais c'est toi qui te débrouilleras lorsque Franck va sonner à notre porte.
— On verra bien.
Et j'appuie sur "envoi". Il suffit de deux ou trois secondes et la réponse arrive ----""J'y serai. Je vais rêver de toi""-----
Le retour à la maison est silencieux. Pourtant je sens le regard de Marie sur moi.
Elle se réveille et découvre café et croissants frais.
— Tu n'espères pas me faire changer d'avis, tout de même.
Mais je n'ai pas dit mon dernier mot. Je propose d'aller faire les courses et qu'elle reste se prélasser. Le centre commercial vient de s'agrandir et une magnifique boutique de lingerie vient d'ouvrir. Nous y étions entrés avec Marie et au fond du magasin, tout prêt des cabines d'essayage, dans une armoire vitrée j'avais vu toute une série de bijoux. J'avais eu le temps de les examiner pendant que Marie essayait un ensemble. La vendeuse, belle femme de ma génération m'avait expliqué l'usage de certains. Et je m'étais dit que cela ferait une idée de cadeau pour ma femme.
Le bouquet de fleur est magnifique. Des roses rouges servent d'écrin à des roses bleus. La vendeuse avait ajouté un guide des significations : roses rouges, passion, mais les bleues plus inattendues pouvaient signifier "atteinte de l'inaccessible par un vœu".
Après le merci, Marie lit le guide.
— "Atteindre l'inaccessible par un vœu." Tu as de la suite dans les idées. Mais ton vœu a peu de chance de se réaliser si c'est celui auquel je pense. D'ailleurs je ne te comprends pas.
Elle n'a pas dit "aucune chance" mais "peu de chance".
J'ai un peu d'espoir.
Je parle. Je lui parle. Je lui raconte que ma demande est vieille comme le monde. Que c'est un Roi qui a donné son nom à ce que je veux faire. Que des milliers de couples le pratique. Que les clubs sont remplis de couples éperdument amoureux qui se regardent, s'échangent et plus encore.
— Je ne te suffis plus, pour envisager ça ?
— Mais au contraire. Je pense à moi bien sûr, mais aussi à toi.
— Tu penses surtout à toi. De toute façon c'est non.
— Comme tu veux. Je ne t'importunerai plus avec cette idée. Mais à une condition.
— Que vas-tu encore inventer ?
— Juste que tu répondes à une question. Une seule mais à laquelle tu dois t'engager à répondre sans tricher, sans mentir, sans faux fuyant.
— S'il ne faut que cela pour que tu me laisse en paix. D'accord, je répondrai franchement.
— Cette nuit, alors que tu étais avec ce Franck et que vous faisiez l'amour, n'as-tu jamais pensé à moi ? Moi qui t'avais poussé dans ses bras. N'as-tu pas été excitée de cette situation ? Que je t'attendais. Que je savais ce que vous faisiez.
Marie est troublée, c'est évident. D'ailleurs elle cherche à s'en sortir par une pirouette.
— Tu avais dit, Une question.
— Tu ne joues pas franc jeu. Tu as très bien compris celle qui est importante. Je te demande juste si cette situation particulière ne t'avais pas excitée ? Une excitation différente, exacerbée. Comme celle que moi j'ai ressentie en t'attendant, imaginant mille choses plus coquines les unes que les autres, mais aussi après vers la voiture.
Elle me regarde longuement. Je viens tout de même de lui avouer que son aventure m'avait troublée.
— Si je te réponds que oui, tu vas me considérer comme une femme perverse avec des idées malsaines.
— Mais non, mon Amour, comme une femme dont la sensibilité est toujours aussi forte. Au contraire je crois que je t'en aimerais encore plus de vaincre ta peur de l'interdit.
Un long silence.
— Tout de même tu me demandes beaucoup. Mais que va dire Franck ?
— Il n'a pas besoin de savoir. Je peux rester cacher.
— Oui, mais moi je saurais. Non, Chris, je ne peux pas.
— Tu te souviens, au début, que tu refusais de te caresser devant moi. Avec la main ou un sextoys. Tu disais avoir honte. Et maintenant tu me provoques de cette façon.
— C'est vrai.
— Je ne veux pas de bousculer. C'est ta décision.
— Merci mon Chéri je n'en attendais pas moins de toi.
Elle regarde les fleurs. Elle remarque seulement le petit paquet caché au centre de la corolle de fleurs bleues.
— Qu'est-ce que c'est ?
— Un cadeau. Dis-je. Ouvre.
Le papier de soie révèle les deux bijoux. Les pierres scintillent.
Elle les manipule.
— Des boucles d'oreille. Elles sont magnifiques. Mais comment on les met, je ne vois pas de d'anneau.
— Je vais te montrer.
Chaque bijou est relié à un anneau souple qui peut se refermer comme un nœud coulant sur le cou d'un condamné. Je place l'anneau autour d'un petit doigt et fait coulisser le nœud.
Elle commence à comprendre.
— Tu veux dire que ce sont des bijoux pour les tétons.
— Oui, c'est ce que m'a expliqué la vendeuse. Mais rassure toi elle n'a pas été jusqu’à me faire une démonstration en situation réelle.
— Cela ne m'aurait pas surpris de toi. Coquin.
Il lui faut peu de temps pour défaire son chemisier sage, et sans dégrafer son soutien-gorge extirpe ses seins du bonnet. C'est une image que j'ai toujours adoré. Un soutien demi-balconnet ou une nuisette très ajustée font que les seins se tiennent plus droits, que les tétons deviennent des pointes. J'ai souvent regardé sur le net ces femmes dont on enserre les seins par des cordes ou liens très étroits au point qu'ils deviennent des obus écarlates et manifestement hypersensibles. Moi, je me limite à les presser entre les mains et en faire pointer un peu plus les tétons déjà bien développés de Marie. Tétons qu'elle se caresse alors de la paume ou tord entre ses doigts.
Fixer les bijoux est déjà une caresse. Les voir pendre, suspendus par les tiges de chair est un spectacle fantastique. Mais lorsque ma coquine de femme se balance un peu les pendules improvisées sont des soleils scintillants.
— Merci. Dit-elle.
Elle ne peut voir dans mon regard qu'une envie folle de faire l'amour. Je l'aide à se déshabiller. Elle me regarde pendant que je fais de même. Je bande déjà. Elle sourit. Je m'allonge sur le canapé. Sa bouche joue avec mon gland.
— Viens, viens. J'ai trop envie.
Elle monte sur moi, guide ma queue et s'empale dessus.
C'est bon. Elle ondule comme toujours. Les yeux fermés, comme dans un rêve. Et si elle pensait….
— Tu l'as chevauché ?
Il n'est pas nécessaire de préciser. Elle garde les yeux fermés. Pour rester dans son trip ou peut-être, éviter de croiser mon regard. Pourtant une "oui" à peine plus fort qu'une respiration sort de ses lèvres.
— C'était bien ?
— Oui.
— Tu y penses maintenant.
— Oui.
D'avant en arrière. De gauche à droite. Sa grotte me masse la bitte.
— Regarde-moi.
Elle ouvre les yeux.
— Coquine.
— Pervers.
Qu'il est doux cet échange accompagné de sourires.
Elle monte et descend. Les pendentifs brillent. Bien vite ils perdent toute raison et se balancent n'importe comment essayant de suivre la cavalière. Le galop est puissant. Marie est en forme. Elle se baise sur mon pieu avec peut être un autre dans un coin de sa mémoire et qui contribue à son plaisir.
En tout cas moi c'est le mien.
Pourvu qu'elle ne dise pas non.
Pourvu qu'elle reçoive ce Franck avec tous les honneurs alors qu'il aura la lourde responsabilité de satisfaire mon fantasme, mais aussi ,que je devine déjà un peu partagé, par ma femme.
La furie l'habite. Sa jouissance la libère. Mon foutre participe. C'est une Marie épuisée, en sueur qui tombe sur moi. Je sens les bijoux qui me blessent, mais je ne bouge pas. Au contraire je l'enveloppe de mes bras. C'est une femme satisfaite que je chéri. Je lui susurre à l'oreille : je t'aime, je t'aime. N'oublie jamais cela.
Elle se redresse, me fixe, cherchant la perfidie. Mais non, je suis sincère et sans arrière-pensée. Enfin ! Je crois!
Après une longue balade en forêt nous mangeons très léger. Depuis ce matin je n'ai plus abordé le sujet. Vers 21 h, Marie va prendre un bain. Youppie ! Je profite de son moment de détente pour sélectionner ce que je veux qu'elle porte. Lorsqu'elle revient nue, coiffée parfaitement, maquillée elle découvre ce que j'ai préparé sur le lit.
— Un porte jarretelle ? En cette saison ?
Je sais que c'est un peu ridicule. D'abord on ne porte pas de bas en cette période, mais en plus c'est un peu "rétrograde". La mode est plutôt aux collants. Je reconnais qu'il y en a de très beaux. Mais les bas et porte-jarretelle sont chargés d'émotions contradictoires. D'abord l'image de ma jeunesse et de ma mère qui chaque soir s'habillait élégamment, serveuse dans une boite de nuit. C'était notre moment. Sans aucune indécence elle s'habillait devant moi. Il me suffit de fermer les yeux et je la revoie. Tirer sur le haut des bas afin de les accrocher sans plis aux élastiques et cette pince étrange en caoutchouc. Le chemisier, le tailleur deux pièces. Elle était la féminité et l'élégance. Plus tard elle a trouvé un autre travail et j'ai beaucoup regretté ces moments. De toute façon je devenais trop grand pour avoir encore le droit de voir ma mère nue.
Même les films de cul sont différents si l'actrice porte ce genre de tenue. Les scènes les plus "hard" paraissent plus élégantes avec une queue qui se glisse dans une intimité entourée de soie et de dentelle, avec des jambes gainées et magnifiées.
— J'aimerais bien que tu portes cela. Cela va très bien avec ta robe fuchsia. En plus hier tes sous-vêtements étaient blancs.
— Tu penses à tout. Il va me trouver "vieux jeux" avec cela.
— Pas du tout. Il va apprécier et moi, encore plus.
Soudain pensive, Marie dit :
— Et si on faisait une bêtise ? Peut-être que de me voir avec lui va te déranger et tu m'en voudras.
— Jamais, bien au contraire. Fais-toi belle.
Tout est prêt. Marie est angoissée. Je lui offre un verre de mojitos bien dosé pour qu'elle relâche la pression. D'ailleurs moi aussi. J'ai choisi avec soin mon futur lieu d'observation. J'ai promis de ne pas bouger, de ne pas faire de bruit et de ne jamais apparaitre. Je serai sur la mezzanine, tapi dans une ombre épaisse. J'ai sidéré Marie lorsqu'elle m'a vue m'habiller tout en noir, enlevant même montre et bague pour éviter les reflets. J'en fais certainement trop car le Franck devrait avoir d'autres centres d'intérêts que de regarder le ciel.
Une bouteille est au frais dans le seau à champagne. Deux coupes attendent.
On sonne. Il est en avance de 15 mn. Bon signe.
Le début est un peu guindé. Chacun cherche ses marques. Il a apporté de fleurs et une bonne bouteille. Le premier contact est juste deux bises. Marie le remercie et lui demande de servir le champagne. Ils trinquent.
— Tu es très belle. Encore plus désirable qu'hier.
— Merci.
— Je t'ai apporté un cadeau.
Il sort un tout petit paquet de sa poche. Papier de soie qui fleure le bon chic.
Marie remercie et ouvre le précieux emballage.
— Il te plait ? Pour la taille c'est la même que celui que j'ai gardé.
Ce que Marie découvre est un string. String tout en dentelle blanche.
L'homme continue.
— J'ai gardé le tien avec moi toute la nuit.
Et il sort de sa poche la culotte dérobée hier.
D'un seul coup l'ambiance change. Cette lingerie les ramène quelques heures plus tôt ou ils baisaient sur la banquette arrière.
Il s'approche d'elle. Il l'enlace. Elle semble sans vie, sans résistance mais aussi sans initiative. C'est un fruit à cueillir. Je sais qu'elle ne "voit" que moi.
Il faut un long baiser pour que son visage s'anime. Les mains de Franck qui partent en exploration semblent sans effet sur elle. Mais elle ne cherche pas à partir. Un début ! Juste deux mains qui prennent la tête de l'homme pour que le baiser soit meilleur. Plus profond ! Plus intime !
Mais Franck, et je le comprends, veut avancer. A sa place, la journée m'aurait semblé bien longue. Je serais impatient de retrouver celle qui s'est laissé séduire si vite, cette femme mure qui l'a chevauché sur la banquette arrière de sa voiture et tout le reste….
Il trouve la fermeture éclair de la robe. Il lui suffit de faire glisser les deux bretelles le long des épaules, puis des bras que ma femme lui rend accessible.
Il l'a découvre. Oh, pas en pleine lumière car j'ai veillé à ce que l'éclairage soit à la fois intime mais suffisant tout de même pour le mari cocu et voyeur que je suis.
— Oh, tu es magnifique. Le noir te va si bien. Et ces bas, qu'elle bonne idée.
— C'est mon mari qui…
Marie se rend compte de sa faute.
— C'est vrai, j'ai vu que tu es mariée.
— Oui, mais il est en déplacement. Je voulais dire que mon mari apprécie beaucoup cette tenue. J'ai pensé que…
— Je partage son gout…..Comme je vais partager sa femme.
— Franck, voyons…
Mais l'homme, sans quitter Marie des yeux, commence à défaire les boutons de sa chemise.
Est-ce une impression mais Marie ne vient-elle pas de jeter un regard discret dans ma direction, alors qu'elle vient aider son amant ? Il est torse nu. C'est vrai qu'il est bien bâti.
Il laisse maintenant ma femme se charger du pantalon, puis du shorty. Je remarque qu'il n'a pas mis de chaussettes dans ses mocassins. Vraiment ce gars me plait. Je suis persuadé qu'il a comme moi, mais dans un autre registre, planifié sa tenue. Rien de plus risible qu'un homme nu avec des chaussettes.
Elle le prend en main. Déjà elle se développe. De là ou je suis, je la devine élégante, élancée, bien lisse, les couilles parfaitement symétriques. Elle ne peut que faire envie. "Même moi je n'y serais pas insensible", pensai-je aussitôt stupéfait d'une telle idée.
— Suce-moi. Demande Franck.
Marie n'est pas encore pleinement dans le jeu. Elle doit sentir mon regard comme une pression. En temps normal elle aurait déjà été à genoux pour pomper.
Je ne vois bientôt plus qu'une chevelure. Juste par moment alors qu'elle libère le mandrin pour le lécher sur les côtés jusqu'aux couilles, la bitte réapparait. Mais très vite elle le reprend en bouche.
Les cheveux me la cache mais je vois bien les mains du mec qui enserrent la tête pour la guider. J'entends aussi les soupirs de l'homme que l'on pompe.
— Putain tu suces comme une reine.
Quelques longues secondes et puis.
— Arrête. Attends. Sinon je vais jouir dans ta bouche.
Surtout pas ! Je pense.
Franck fais un pas de côté, se penche vers son pantalon pour en extraire une boite de capote.
— J'ai pris une boite de dix. On ne sait jamais.
Le prétentieux. A moins qu'il pense rester coucher. Merde je n'avais pas pensé à ça.
— Mon mari rentre très tôt demain matin.
Marie a toujours eu de la répartie.
— Ah, dommage.
Tiens met la.
— Avec la bouche.
Précise l'amant, alors que ma femme déchire l'emballage.
On dirait qu'elle a toujours fait ça. Je n'ai pas le souvenir avec moi. Mais peut être avec l'amant qu'elle a eu. Au moins celui que je connais ! Peut-être que finalement elle n'a pas été aussi fidèle que je pensais. Mais qu'importe maintenant.
Je ne vois pas les détails mais lorsque ma femme relève la tête, manifestement le plastique est déroulé tout au long de la tige.
— Viens.
Elle se relève. L'homme regarde autour de lui. Pourvu qu'il ne demande pas d'aller dans la chambre. Il a le choix. Deux canapés qui se font face, deux fauteuils. Mais c'est vers la grande table qu'il la guide.
Marie est contre la table. Franck la soulève à peine et elle se retrouve assise sur le bois verni.
— Tu es magnifique.
Marie va dégrafer son soutien-gorge.
— Non. Reste comme cela. Plus tard. Laisse-moi profiter.
Il recule d'un pas.
— Oui, vraiment. En plus cela te donne un air…coquin….provoquant….sensuel…plus encore. Tu ressembles à….
Il hésite.
— Une Escort. Une pute
C'est Marie qui a complété la phrase de façon si crue.
— Je n'osais pas. Dit l'homme.
— C'est ce qui plait à mon mari.
La phrase s'adresse manifestement à moi. Mais je n'ai jamais parlé de cela. Pourtant elle n'a pas tort. Mais une pute de haut niveau.
— Ton mari à bon gout. Je le comprends.
— Viens, j'ai envie.
Dit la femme qui s'allonge sur notre table de salle à manger. J'ai l'impression qu'elle me cherche dans l'obscurité. Je suis presqu'au-dessus d'eux.
Franck obéit aussitôt. L'invite est forte. Il se dirige vers l'intimité. Il se saisit de la petite culotte. Je la sais composée de deux triangles, juste reliés par deux rubans élastiques. Il tire dessus. La croupe se détache de la table pour aider. Les deux jambes se rejoignent pour que le fin tissu puisse descendre vers les cuisses, puis les mollets, puis les pieds. Marie porte des hauts talons. Le passage est plus délicat mais l'homme lui laisse les chaussures.
Décidemment ce garçon est surprenant par sa maturité dans le sexe et tout ce qui en fait le véritable sel. Je comprends que Marie en ai gardé un bon souvenir. Il ne la considère pas comme une femme infidèle qui veut se faire mettre et ne demande qu'une bitte pour la faire jouir.
La culotte tombe, par hasard, juste à côté du pantalon et je sais qu'il repartira avec.
Mais, si la culotte quitte les chevilles ce sont deux mains qui la remplacent. Deux mains qui progressent sur la soie des bas. Deux mains qui montent lentement. Franck sait se faire attendre. Deux mains qui passent de la soie à la peau frémissante. Deux mains qui jouent un instant avec les rubans du porte jarretelle. Deux mains qui encerclent le lieu secret qu'un visage découvre.
Là encore la tête me cache le principal. Décidemment être voyeur dissimulé n'est pas le mieux. Si j'avais pu rester avec eux j'aurais pu profiter de tout.
Mais j'ai presque mieux. Le visage de Marie. D'abord un peu crispée. Et puis bien vite plus détendue. Enfin comme libérée.
Le visage d'abord et ensuite les gémissements. Franck s'active.
— Oui. Oui. Là.
Il a trouvé le clitoris. Le bouton s'est développé et est sorti de sa cachette. Combien de fois ai-je "vu" entre mes lèvres ou par ma langue se développer ce petit bout de chair.
Elle aussi guide son amant pour son plaisir. Deux petites mains aux ongles carmin contrôlent la tête de celui qui est devenu le pourvoyeur de plaisir.
— Ahhhhhh.
Je n'en reviens pas. Il a fallu très peu de temps pour qu'elle jouisse. La coquine, sous ses airs de "Je le fais, mais c'est juste parce que tu me le demandes", n'est pas si innocente.
Ou bien elle m'a joué la comédie ! Mais je ne le crois pas.
Ou bien, tout comme moi, sa libido travaillait en secret, pour se réveiller lorsque le moment est arrivé. Relégué au plus profond et d'autant plus puissant que le couvercle de l'éducation et de la bienséance était lourd.
— Viens. Viens. Prends-moi.
Oui c'est ma Marie. Sa jouissance n'a fait qu'allumer un autre feu.
Franck se redresse. Il se saisit des deux jambes de la femme. Les dresses au ciel dans un V qui a tout de la victoire. Sa queue est en majesté. Je la vois. Elle se positionne. Elle trouve son chemin.
— Ahhhh.
Voyeur on est plus sensible aux paroles que lorsqu'on participe. Il l'a possédée sans effort. Déjà le ventre de l'homme est contre celui de la femelle. Aussitôt il s'active. Il la bourre bien. Tout naturellement les jambes se sont posées sur ses épaules. Il se penche un peu sur ma femme. Ses reins reflètent la puissance des vas et viens. Tout à coup l'ambiance devient très sexe, presque bestial. Le Mâle qui possède la femelle.
— Ton mari sait que tu le trompe ?
— C'est lui qui…..
Manifestement Marie, emportée par le plaisir n'a pas réfléchi à sa réponse.
— Lui qui ?
— Oui, il le sait.
Elle ouvre les yeux. Elle regarde dans ma direction. Je me penche un peu au-dessus de la balustrade. Elle doit me voir maintenant.
— Il sait ? Tu lui racontes ?
— Oui.
— Tout ?
— Oui, tout. Il veut tout savoir.
Le regard est puissant. Pourvu que l'homme ne le remarque pas. Mais il est penché et regarde sa queue entrer et sortir de la grotte de la "presque" pute qui se donne à lui.
— Aller. Baise-moi. Fais-moi jouir.
Son regard n'est que provocation. Il est facile d'y lire " tu l'as voulu, tu vas le voir".
— Oui. Oui.
Elle ferme les yeux. Elle sait que je suis avec elle.
— Encore. Encore.
Franck se démène. On entend très bien le claquement des contacts de peau contre peau, contacts amplifiés par les clapotis de la possession.
— Oui. Oui. Continue. Continue. Et si tu veux après je t'offrirai mon petit trou….
— Oh oui.
— Tu pourras m'enculer. Va. Va.
Que dire de plus. Marie m'a offerte le plus beau des spectacles.
Je sais ce que beaucoup d'entre vous vont penser de ce que je vous relate :
Ce n'est pas le premier et ce n'est pas le dernier qui se découvre ce type d'envie. Les boites regorgent de couples qui s'échangent. Les annonces du net débordent d'offres de services pour mari Candauliste. Combien de sites spécialisés servent justement à ces maris pour offrir, déjà en photos, les charmes de leur épouse afin d'attirer le bon coup qui fera jouir Madame et bander Monsieur.
Je le reconnais bien volontiers.
Comme je reconnais que nous en serions restés là, si nous n'avions rencontré Pascal.
Ah, Pascal. Ange ou Démon ?
Tout a commencé simplement. Certainement que Marie et moi on était arrivé à un stade où on avait envie de changement. Il faut dire qu'à la cinquantaine on avait fait le tour de pas mal de choses. Les enfants étaient élevés et même plus très souvent à la maison. Notre sexualité bâtait un peu de l'aile. Lassitude ou autre chose ! Pourtant Marie est une belle femme et n'a jamais été farouche au lit. Mais là aussi, malgré les jouets sexuels, les tenues érotiques, les tentatives de scénarios coquins et même une pratique partagée de la sodomie, l'envie se diluait.
Je sais que cela n'a rien d'original et que c'est le lot de beaucoup de couples. Ne parlons pas des jeunes qui se séparent pour un oui ou un non. J'avais trompé Marie. Je sais qu'elle avait eu une ou deux aventures. Mais une chose est certaine, je suis toujours amoureux de ma femme. Et je pense qu'elle aussi.
Depuis longtemps je lis "Histoires Erotiques". Je ne suis donc pas ignorant de ce qu'un couple peut envisager pour se renouveler. Mais si, j'y pensais, je n'ai jamais osé en parler à ma femme. Jusqu’à ce weekend de juin.
Le mariage d'un vague parent. On était venu car cela se passait à seulement 20 km de chez nous. Sinon on n'y serait certainement pas allé. Comme quoi, le destin!
Il avait fait très beau. La nuit qui tombait était douce. Cela se passait dans une résidence avec un grand parc, de ces lieux qu'on loue pour ce genre de cérémonie. Le buffet était copieux, les vins très bons, ce qui est le minimum en pleine Bourgogne. Chacun se servait et choisissait une table en fonction des rencontres ou des connaissances.
J'avais retrouvé un copain d'enfance et depuis un long moment nous bavardions. Cela ne dérangeait pas ma femme car comme elle adore danser elle pouvait en profiter. Je ne sais pas combien de temps nous avons été séparés. Avec le copain et d'autres connaissances nous nous étions éloignés de la piste de danse pour pouvoir parler sans élever le ton.
A un moment, je lève la tête et j'aperçois Marie qui me fait signe de la main. Je me rapproche d'elle. Elle est souriante. On dirait une ado qui est heureuse d'une plaisanterie.
— Ça va ? Qu'est ce qui t'amuse ?
— Tu ne devineras jamais.
— Non. Je suis désolé je bavardais et je t'ai laissé seule. Mais comme tu aimes danser!
— Justement.
— Quoi, Justement ?
— Figure toi que je me suis faite draguer.
— Chérie, ce n'est pas un scoop. Ce n'est pas la première fois qu'un homme te trouve à son gout.
Et j'ajoute, espiègle.
— Il faut dire que tu es très mignonne dans cette robe. Elle te met en valeur. Certaines formes en particulier…
— Merci mon Chéri. Mais je voulais dire plus que draguer. Il m'a fait des propositions et plusieurs fois j'ai dû lui dire de retenir ses mains.
— Devant tout le monde.
— Non, heureusement on était un peu dans l'obscurité.
— Il n'y a pas mort d'homme. C'est plutôt un compliment.
— Mais tu te rends compte, il a l'âge de nos enfants. Me draguer moi.
Mais je connais cette expression. Elle proteste mais en réalité elle est fière.
— Il a vu que tu étais mariée ?
— Non, tu sais bien que mon alliance est en réparation depuis une éternité. D'ailleurs il faut que je…
Elle regarde sa main mais je vois bien que ce manque l'amuse.
— Ça t'a plu ?
— Mais quoi ?
— Qu'un jeune homme te fasse des propositions.
— Pas que des propositions, des caresses aussi.
— D'autant plus !
— Chris, allons !
— Chérie. Il est beau garçon ?
— Oui, surtout bien musclé et aussi ….
— Quoi ?
— Tu ne vas pas me disputer ?
— Allons, Chérie.
— Pendant un moment il…..il était ….Enfin tu vois bien…..Il…. Il bandait. Voilà c'est dit.
— Comment tu le sais. Tu l'as caressé ?
— Christophe ! Non, voyons il était tout contre moi. Son ventre contre mon ventre. C'est là qu'il m'a dit qu'il avait envie de moi. Que j'étais belle. Que je lui plaisais. Qu'il voudrait bien m'emmener un peu à l'écart.
— Oh. Et toi qu'est-ce que tu as répondu.
— Rien. J'étais tellement surprise que j'ai ris bêtement, comme une gamine.
— Finalement ça t'a plus qu'un jeune homme te propose de coucher. C'est flatteur, non ?
— Je sais Chéri, ce n'est pas bien, mais je dois reconnaitre que cela m'a fait plaisir.
Et c'est là que sans réfléchir j'ai répondu.
— Alors, Chérie il ne faut pas laisser ce garçon dans cet état.
Oui, c'est bien moi qui ai dit ça ! Avec le recul je connais les raisons de cette phrase si transgressive. J'avais pas mal bu et même le très bon Bourgogne peu monter à la tête. Mais aussi juste avant cette conversation j'avais, avec les copains retrouvés, parlé de notre jeunesse, des filles connues, des échecs, surtout de celles qu'on appelait à l'époque des salopes parce qu'elles couchaient facilement. Mais à l'époque même les salopes n'étaient pas très expérimentées. On rêvait de femmes mures qui auraient pu nous apprendre les subtilités et le savoir-faire amoureux.
Et devant moi, j'avais ma femme. Ma femme troublée et fière de ce jeune homme. Si moi à l'époque j'avais tenu dans mes bras un tel "petit lot" comme on disait, j'aurais été plus qu'audacieux. Mais les jeunes de maintenant sont autrement plus au fait du sexe que nous l'étions.
Cette simple phrase fait l'effet d'un choc chez Marie.
— Tu te rends compte de ce que tu dis. Dis-moi que j'interprète mal ta pensée !
— Pas du tout. Tu plais à ce garçon. Je pense qu'il te plait aussi. Alors pourquoi pas ?
— Christophe tu me demande de céder à ses avances, c'est bien cela.
— Uniquement si tu en as envie.
— Mais là n'est pas la question. Tu me demandes….
— Je t'autorise….
— ….de te tromper avec un homme.
— Oui.
Un silence. Elle pense que je teste sa fidélité. Je reprends :
— Ca ne sera pas la première fois. Tu vois je sais ton aventure. Et je ne t'en veux pas. D'ailleurs cela m'est arrivé à moi aussi. Alors pourquoi ne pas voir le bon côté des choses. Il fait beau. La nuit est douce. Des bras t'attendent.
— Tu savais ?
— Oui. Mais cela n'a aucune importance. Je t'aime. C'est cela l'important. Et je ne veux que ton bonheur, mieux ton plaisir. Alors si garçon te trouble au point de le désirer toi aussi, je t'en prie accepte.
— Chris….
Je la prends dans mes bras. "Je t'aime mon amour", dis-je dans un chuchotement. "Moi aussi, je t'aime", elle répond.
Je la libère.
— Je reste avec mes copains, tu sais ou me retrouver.
Et sans vraiment lui laisser le temps de réagir, je pars vers la table ou les autres discutent.
En arrivant, je me retourne, elle n'est plus là.
J'ai fait le fanfaron devant elle, mieux le mari généreux prêt à tout pour le bonheur de son épouse, mais j'ai bien du mal à suivre la conversation à ma table. Je gamberge.
A-t-elle rejoins ce garçon. A-t-elle cédé à ses avances. Et si oui, ou sont-ils allés avec tout ce monde et la résidence n'a pas de chambres. Et s'ils sont ensembles que font-ils ? Est-il à la hauteur ? Elle sera peut-être déçue. Merde et les capotes. Marie n'en a certainement pas. L'homme surement. A son âge moi j'avais toujours des préservatifs sur moi.
Que le temps passe lentement. Que font-ils ? Une heure déjà! Et si c'était un malade ? S'il avait kidnappé Marie ou pire un sadique assassin ?
Ouf, je la vois. Elle me fait signe. En m'approchant j'ai déjà une partie des réponses. Elle est moins bien coiffée et sa robe moins bien ajustée. Mais aussi dès que je peux voir son visage, ses joues sont rouges, ses yeux brillent et elle fuit mon regard.
— C'était bien ?
Je demande sans même passer par la question préliminaire " tu l'as fait" qui me parait superflue.
Le "oui" est si faible que je dois tendre l'oreille.
— Je commençais à m'inquiéter. Vous avez été ou ?
— Dans notre voiture.
— La nôtre ?
— Oui la sienne est trop petite alors que la nôtre est…la banquette…
Elle ne continue pas, consciente que de me donner les détails peut être déplacé.
— C'n'est pas loin alors pourquoi plus d'une heure ?
Marie lève son visage. Son regard croise le mien et je crois que c'est plus, ce que j'y vois, que le "on l'a fait deux fois", qui me fait prendre conscience de mon propre trouble.
J'ai devant moi ma femme, femme adultère, qui montre à la fois de la gêne mais aussi toutes les apparences de la satisfaction. Deux visages, mais en tout cas pas celui du remord. Peut-être que face à moi, elle se demande comment elle a pu faire cela, comme moi je me demande comment j'ai pu lui proposer.
Elle est belle, de cette beauté que peut avoir une femme alors qu'elle vient d'avoir du plaisir.
Du plaisir.
Dans ma voiture. Comme dans notre jeunesse ou la banquette arrière a été maintes fois le lieu, faute de mieux, de nos ébats.
— Viens. Dis-je en la prenant par la main.
En l'entrainant je ne pense à rien d'autre, mais je me dirige vers le parking. Une seule idée me guide, aller voir.
Pourquoi aller là-bas ?
Pourquoi vais-je vers le parking ou beaucoup de places se sont libérées car il se fait très tard ? Parking sombre en effet, propice à la discrétion. En plus, pensai je, les vitres arrières sont fortement teintées, ce qui n'était pas le cas dans ma jeunesse.
Mon quatre-quatre est là. C'est donc ici que ma femme s'est donnée. Marie que je tiens par la main, peut être inquiète de ma réaction. Presque au pied de la portière arrière, deux objets. Deux choses flasques. La preuve irréfutable qu'elle m'a dit la vérité. Deux préservatifs dont on peut voir qu'ils ont servis.
J'ouvre la portière. Au sol, deux emballages déchirés. Une pensée qui surgit, incongrue, déplacée : "est ce Marie qui a déroulé le plastique sur le sexe durci de son amant" ? Mais aussi sur la banquette un peu plus loin, son soutient gorge, tache blanche qui tranche sur le cuir sombre.
Je me retourne. Elle est juste derrière moi. Peut-être que sur mon visage on peut lire de la colère ou de la stupeur.
— Tu m'en veux ? Mais Chéri c'est toi même qui m'a demandé de …..
— Non, non. Ce sont juste des souvenirs. Je me souviens juste les fois où nous avons fait l'amour ainsi.
— C'est vrai.
Ce sourire chasse la crainte. Son sourire s'accentue.
— Je me souviens parfaitement que nous commencions toujours de la même façon.
Elle a raison.
— C'est vrai.
Elle n'est presque pas étonnée de me voir défaire ma fermeture éclair et extraire ma verge. Une verge en grande forme. Marie la voit. Mon invitation est évidente. Jeune j'adorais qu'elle me suce un peu avant. Certainement vouloir montrer sa virilité.
Elle la voit et la caresse d'un doigt. Je frémis de ce simple attouchement. Elle s'agenouille. Je suis debout, la portière de la voiture encore ouverte. On pourrait nous voir, mais il fait sombre. Et pendant que ma femme commence sa fellation je regarde passer un peu plus loin des convives qui partent. S'ils savaient !
Ma femme me suce et me pompe comme elle sait si bien le faire. A-t-elle montré ce talent à celui que je peux appeler son amant, même s'il n'est que d'un soir ? Cette pensée me trouble. Pire elle m'émoustille. Mon cerveau construit l'image. Comme nous dehors ? Ou portes fermées ?
— Viens ! Dis-je à la pècheresse qui si je l'avais laissé faire, m'aurait pompé jusqu’à la moelle. Dans notre jeunesse elle était peu expérimentée, mais petit à petit, devant mes envies elle a appris tout l'art de sucer mais aussi de savoir recueillir ma liqueur.
Merde, j'espère qu'elle n'a pas bu le jus de son amant. Non, elle sait combien cela est potentiellement dangereux avec un inconnu. Et d'ailleurs elle a parlé de deux fois et j'ai vu deux capotes.
Elle se lève. D'un geste je la dirige. Elle s'appuie sur la banquette, les pieds encore à terre. Une levrette à la fois confortable et affichée. Je relève cette jupe qui descend jusqu'au-dessus des genoux. Ses fesses apparaissent, deux lobes bien fermes que seules d'étroites bandes blanches soulignent. Le reste est bronzé, couleur caramel que le soleil sur notre terrasse honore souvent. Pas de culotte. Je cherche le string, cette mince ficelle qui parfois s'aventure dans la profondeur de la raie et du reste. Mais non, rien. Elle n'a pas de culotte. Je m'étonne.
— Tu n'as pas mis de culotte ?
Elle hésite. Mais répond tout de même.
— Il l'a gardée en souvenir.
Je ne suis pas choqué, au contraire. C'est le geste, prise de guerre, souvenir d'un bon coup, que tout homme, surtout encore jeune, aime garder d'une rencontre, voire collectionner.
Ainsi Marie m'est revenue quasiment nue de son aventure. Un soutien-gorge qui s'ennuie sur une banquette qui doit garder le souvenir de liqueurs intimes, et un string qu'un homme doit caresser au fond de sa poche, signe d'une bonne fortune.
Il me reste une robe froissée. Une robe que je pousse vers le haut afin de découvrir ce corps nu, tout en rondeur, magnifique et sublimé par une jouissance que j'imagine déjà.
C'est ma femme. En levrette, la tête sur le cuir de la banquette qui en a vu de toutes les couleurs, la croupe offerte, les jambes déjà écartée pour accueillir le mâle. Un mâle, un mari cocu. Cocu mais avec son accord. Cocu mais excité de cette transgression partagée.
Ma bitte connait ce chemin mais normalement c'est un chemin qui…..Mais on est pas "normalement" ! Ce chemin, il y a peu, a vu passer une autre queue que la mienne.
Je gamberge. Je vais lui demander comment ils ont baisé. En levrette. A la normale. A la cavalière et quoi encore. L'A-t-il enfilée seulement en classique ou bien A-t-il eu l'audace, en si peu de temps, de tester son petit trou.
Je me sens "bizarre".
Cocu sur commande, mais mécontent que ma femme m'ait pris au pied de la lettre.
Mari généreux mais soudain inquiet que sa femme puisse avoir découvert des sensations qu'il ne lui a pas donné et qu'un inconnu en une heure lui a procuré.
Je ne sais pas pour vous, mais je n'ai pas la prétention d'être un amant parfait. Un amant si extraordinaire et si confiant dans ses capacités qu'il ne craint pas la concurrence. Je suis intimement persuadé que beaucoup de ceux qui rêve de voir leur femme, voire d'offrir leur femme à un autre, ne franchissent jamais le pas pour cette raison. Ils disent qu'ils n'osent pas. Qu'ils ont peur de choquer leur compagne en lui proposant un plan cul. Mais au fond d'eux même ils craignent la concurrence et la comparaison. Je peux le dire car je fais partie de cette catégorie.
— Ahhh.
Cette simple exclamation me fait oublier mes doutes. Ma queue s'est glissée sans retenue, d'une poussée unique, d'une pénétration magistrale. C'est ainsi qu'on doit traiter une femelle qui est encore chaude de son amant.
Les hanches enveloppées me servent de poignées d'amour. Déjà je la laboure sans délicatesse. J'en ai envie. Je ne le savais pas, mais j'ai dû accumuler cette envie depuis un moment, certainement ou j'ai dit sans réfléchir, dans un langage policé, une version de ce que je pense maintenant
" Va, cochonne. Va coucher avec ce garçon. Salope, ton regard te trahis. Ta respiration est déjà celle de la femelle en chaleur. Tes joues roses transpirent la luxure tellement tu as envie de cette bitte que tu as senti contre ton pubis et qui est à la hauteur du désir de cet homme".
— Oui. Oui.
Exprime la pute que je laboure. Mieux qu'une pute que l'on baise au bord de la route et qui n'est pas si expressive et qu'on sait, simuler chaque mouvement.
— Tiens ma cochonne. Prends ça. Ca encore. Voilà.
— Oui ! Chéri c'est bon. Continue. Prends-moi. C'est bon, c'est bon.
Non seulement la salope se tortille sous mes assauts, mais je sens une main aller caresser son clitoris alors qu'une autre masse un sein pour certainement en tordre le téton.
Je me sens d'une vigueur exemplaire, animé d'une envie singulière. Je ne cesse de penser que cette grotte a connu récemment l'ardeur d'une queue plus jeune. Mais la mienne et surtout le mental associé sait se retenir. Et pourtant! Que j'ai envie d'ouvrir les vannes pour me libérer dans cette grotte accueillante.
Mais j'attends. Oui, j'attends que Marie vienne. C'est plus long que d'habitude mais je sais pourquoi. Elle a déjà eu son compte de jouissance et celle que je veux, la mienne, doit se préparer plus longuement.
— Oui….Oui….Encore…..Chris, encore…..Je viens…Je viens.
Que mon prénom est doux à mon oreille. Je sens sa jouissance. Cette respiration digne d'un 100 mètres. De la main qui caresse le clito et qui bat la chamade. J'imagine ce sein martyrisé, le téton tordu signe que cela monte.
Et tout le reste. Tout ce que l'on peut décrire. Enfin qu'un homme ne serait décrire. Pourtant moi aussi on m'a possédé. Oui Marie, de nombreuse fois s'est transformée en mâle avec notre double gode ceinture et m'a défoncé le cul. Mais j'imagine que la sensation est différente. Nous ne sommes pas "construis" pareil.
Les ohhh… qui montent en fréquence et en puissance sont les cris de jouissance que j'adore. Pendant de longues secondes la nuit résonne de ce bonheur exprimé. Si quelqu'un ne passe pas loin il n'aura aucun doute sur l'origine.
Mais le crescendo fait place à des soupirs. La belle redescend sur terre. Elle ne peut ignorer qu'une queue la travaille toujours. Une queue fière de son labeur et qui ne va pas tarder.
Marie me connait mieux que moi. Combien de baise depuis notre adolescence ? Il faudra que je compte un jour.
— Attends. Attends. Dit la femme levrette.
Elle bouge. Elle se dégage de mon pieu. Je me sens bien seul mais c'est une bouche qui remplace la grotte. Une bouche qui me suce alors qu'une main me branle et que l'autre me presse les couilles.
— Viens mon Chéri. Viens dans ma bouche.
Qui résisterait ?
Pas moi.
Je me déverse en elle. Marie sait faire penser que ma semence est une crème onctueuse, délicate que toute femme devrait pouvoir déguster.
Je referme la porte et nous reprenons nos esprits. Ma femme se love contre moi. Ses fesses sont sur le cuir et déjà je repense aux taches que les amants ont dû laisser.
— Merci, mon Amour. Merci. Me dit mon épouse en m'embrassant amoureusement.
Je ne détaille pas. Je prends ce merci pour l'amant accordé, mais aussi cette jouissance, pour notre tendresse, pour notre amour.
— Je ne veux que ton bonheur.
Mais cette phrase me parait bien fade au vue de ce que nous avons vécu ces dernières heures. J'ajoute :
— Ton bonheur. Ton plaisir…..Avec moi ou un autre….C'est mon plaisir de te savoir épanouie…..
Un ange passe. Chacun intègre ce qui vient de se passer. Et puis son téléphone vibre.
Elle le sort de son sac. Regarde les SMS, la vibration étant caractéristique, et referme bien vite le message.
— Qui c'est ?
Je demande.
Elle hésite.
— Personne. Une erreur.
— Comment une erreur ? A deux heures du matin sur ton numéro privé ! Un problème avec les enfants ?
— Non, non pas les enfants…..C'est sans importance…
— Marie !
— Bon d'accord c'est Franck qui me relance.
— Franck ? Ah d'accord ton jeune amant.
— C'est ta faute. C'est bien toi qui m'a poussée dans ses bras.
— Je reconnais. Et que dit-il ?
— Regarde-toi même.
Elle me tend son tél. Je lis.
--------"""Une heure et tu me manques déjà. J'ai encore l'odeur de ta peau et de ta petite chatte sur moi. J'ai encore envie de toi. Pas toi ? J'ai passé un excellent moment et il me semble que toi aussi. Pourquoi ne pas nous revoir. Ce soir, demain…Un mot et j'accours. Franck"""-----
— Je suis désolée. Il a insisté pour avoir mon 06 mais je ne pensais pas qu'il ….
— Ne le sois pas. Voilà un jeune qui sait écrire et en plus des choses flatteuses.
— Christophe, je t'en prie.
Je relis le message. Un instant je vais demander à Marie de l'effacer. Mais pour la deuxième fois de cette soirée je sors des sentiers battus. Je tape une réponse au SMS.
— Chris que fais-tu ?
— Attends je te montre.
Quelques secondes et après avoir terminé la réponse je rends le tél à ma femme. Elle peut lire :
-------""Moi aussi. J'ai le souvenir de ton corps. Oui, je veux te revoir. Si tu es libre, demain, 23 heures chez moi ,69 rue de la vallée fleurie, Gendis. Gare ta voiture pour finir à pieds. Je suis mariée et les voisins pourraient te voir""""----
— Mais tu es malade! Pourquoi le faire venir. Quel jeu joues-tu ? Tu ne vas pas t'en prendre à lui. C'est à cause de toi qu'il peut m'envoyer des SMS comme celui-là.
— Ma faute c'est vrai, mais manifestement il garde un bon souvenir de votre rencontre.
— Tu….Tu es un goujat.
— Allez, appuie sur la touche envoi.
— Jamais. Tu as trop bu. Ou alors avec tes copains vous avez "fumé"!
— Allez, appuie, juste pour voir.
— Jamais. Voir quoi ?
Un silence et puis elle me regarde.
— Voir ! Mais c'est cela qui te travailles. Non seulement tu me pousses dans les bras d'un homme mais en plus tu veux regarder.
Elle m'a démasqué. Pire, elle a compris avant moi ce que sous entendais cette invitation et ce "pour voir" qui pour moi voulait juste dire "pour jouer, pour se distraire".
Elle a raison. Voici donc ce à quoi je pense depuis un moment. Si je l'ai amenée ici, sur le lieu même ou elle a couché avec cet homme, c'est pour m'imprégner de l'ambiance, pour servir de trame à ces visions fugitives de ce couple qui avait baisé ici sur ma banquette.
Que répondre ? Faire l'idiot et dire que Marie à mal interprété mes mots ? Reconnaitre qu'au fond de moi c'est ce que je fantasme ? Il me reste la dérision.
— Je n'y avais pas pensé, mais ce n'est peut-être pas une mauvaise idée. Qu'est-ce que tu en penses.
— Jamais. Christophe tu ne peux pas me demander ça.
— Allez, juste pour jouer, envoi ce texto.
— Non.
— Alors c'est moi qui vais le faire.
— Fais ce que tu veux, mais c'est toi qui te débrouilleras lorsque Franck va sonner à notre porte.
— On verra bien.
Et j'appuie sur "envoi". Il suffit de deux ou trois secondes et la réponse arrive ----""J'y serai. Je vais rêver de toi""-----
Le retour à la maison est silencieux. Pourtant je sens le regard de Marie sur moi.
Elle se réveille et découvre café et croissants frais.
— Tu n'espères pas me faire changer d'avis, tout de même.
Mais je n'ai pas dit mon dernier mot. Je propose d'aller faire les courses et qu'elle reste se prélasser. Le centre commercial vient de s'agrandir et une magnifique boutique de lingerie vient d'ouvrir. Nous y étions entrés avec Marie et au fond du magasin, tout prêt des cabines d'essayage, dans une armoire vitrée j'avais vu toute une série de bijoux. J'avais eu le temps de les examiner pendant que Marie essayait un ensemble. La vendeuse, belle femme de ma génération m'avait expliqué l'usage de certains. Et je m'étais dit que cela ferait une idée de cadeau pour ma femme.
Le bouquet de fleur est magnifique. Des roses rouges servent d'écrin à des roses bleus. La vendeuse avait ajouté un guide des significations : roses rouges, passion, mais les bleues plus inattendues pouvaient signifier "atteinte de l'inaccessible par un vœu".
Après le merci, Marie lit le guide.
— "Atteindre l'inaccessible par un vœu." Tu as de la suite dans les idées. Mais ton vœu a peu de chance de se réaliser si c'est celui auquel je pense. D'ailleurs je ne te comprends pas.
Elle n'a pas dit "aucune chance" mais "peu de chance".
J'ai un peu d'espoir.
Je parle. Je lui parle. Je lui raconte que ma demande est vieille comme le monde. Que c'est un Roi qui a donné son nom à ce que je veux faire. Que des milliers de couples le pratique. Que les clubs sont remplis de couples éperdument amoureux qui se regardent, s'échangent et plus encore.
— Je ne te suffis plus, pour envisager ça ?
— Mais au contraire. Je pense à moi bien sûr, mais aussi à toi.
— Tu penses surtout à toi. De toute façon c'est non.
— Comme tu veux. Je ne t'importunerai plus avec cette idée. Mais à une condition.
— Que vas-tu encore inventer ?
— Juste que tu répondes à une question. Une seule mais à laquelle tu dois t'engager à répondre sans tricher, sans mentir, sans faux fuyant.
— S'il ne faut que cela pour que tu me laisse en paix. D'accord, je répondrai franchement.
— Cette nuit, alors que tu étais avec ce Franck et que vous faisiez l'amour, n'as-tu jamais pensé à moi ? Moi qui t'avais poussé dans ses bras. N'as-tu pas été excitée de cette situation ? Que je t'attendais. Que je savais ce que vous faisiez.
Marie est troublée, c'est évident. D'ailleurs elle cherche à s'en sortir par une pirouette.
— Tu avais dit, Une question.
— Tu ne joues pas franc jeu. Tu as très bien compris celle qui est importante. Je te demande juste si cette situation particulière ne t'avais pas excitée ? Une excitation différente, exacerbée. Comme celle que moi j'ai ressentie en t'attendant, imaginant mille choses plus coquines les unes que les autres, mais aussi après vers la voiture.
Elle me regarde longuement. Je viens tout de même de lui avouer que son aventure m'avait troublée.
— Si je te réponds que oui, tu vas me considérer comme une femme perverse avec des idées malsaines.
— Mais non, mon Amour, comme une femme dont la sensibilité est toujours aussi forte. Au contraire je crois que je t'en aimerais encore plus de vaincre ta peur de l'interdit.
Un long silence.
— Tout de même tu me demandes beaucoup. Mais que va dire Franck ?
— Il n'a pas besoin de savoir. Je peux rester cacher.
— Oui, mais moi je saurais. Non, Chris, je ne peux pas.
— Tu te souviens, au début, que tu refusais de te caresser devant moi. Avec la main ou un sextoys. Tu disais avoir honte. Et maintenant tu me provoques de cette façon.
— C'est vrai.
— Je ne veux pas de bousculer. C'est ta décision.
— Merci mon Chéri je n'en attendais pas moins de toi.
Elle regarde les fleurs. Elle remarque seulement le petit paquet caché au centre de la corolle de fleurs bleues.
— Qu'est-ce que c'est ?
— Un cadeau. Dis-je. Ouvre.
Le papier de soie révèle les deux bijoux. Les pierres scintillent.
Elle les manipule.
— Des boucles d'oreille. Elles sont magnifiques. Mais comment on les met, je ne vois pas de d'anneau.
— Je vais te montrer.
Chaque bijou est relié à un anneau souple qui peut se refermer comme un nœud coulant sur le cou d'un condamné. Je place l'anneau autour d'un petit doigt et fait coulisser le nœud.
Elle commence à comprendre.
— Tu veux dire que ce sont des bijoux pour les tétons.
— Oui, c'est ce que m'a expliqué la vendeuse. Mais rassure toi elle n'a pas été jusqu’à me faire une démonstration en situation réelle.
— Cela ne m'aurait pas surpris de toi. Coquin.
Il lui faut peu de temps pour défaire son chemisier sage, et sans dégrafer son soutien-gorge extirpe ses seins du bonnet. C'est une image que j'ai toujours adoré. Un soutien demi-balconnet ou une nuisette très ajustée font que les seins se tiennent plus droits, que les tétons deviennent des pointes. J'ai souvent regardé sur le net ces femmes dont on enserre les seins par des cordes ou liens très étroits au point qu'ils deviennent des obus écarlates et manifestement hypersensibles. Moi, je me limite à les presser entre les mains et en faire pointer un peu plus les tétons déjà bien développés de Marie. Tétons qu'elle se caresse alors de la paume ou tord entre ses doigts.
Fixer les bijoux est déjà une caresse. Les voir pendre, suspendus par les tiges de chair est un spectacle fantastique. Mais lorsque ma coquine de femme se balance un peu les pendules improvisées sont des soleils scintillants.
— Merci. Dit-elle.
Elle ne peut voir dans mon regard qu'une envie folle de faire l'amour. Je l'aide à se déshabiller. Elle me regarde pendant que je fais de même. Je bande déjà. Elle sourit. Je m'allonge sur le canapé. Sa bouche joue avec mon gland.
— Viens, viens. J'ai trop envie.
Elle monte sur moi, guide ma queue et s'empale dessus.
C'est bon. Elle ondule comme toujours. Les yeux fermés, comme dans un rêve. Et si elle pensait….
— Tu l'as chevauché ?
Il n'est pas nécessaire de préciser. Elle garde les yeux fermés. Pour rester dans son trip ou peut-être, éviter de croiser mon regard. Pourtant une "oui" à peine plus fort qu'une respiration sort de ses lèvres.
— C'était bien ?
— Oui.
— Tu y penses maintenant.
— Oui.
D'avant en arrière. De gauche à droite. Sa grotte me masse la bitte.
— Regarde-moi.
Elle ouvre les yeux.
— Coquine.
— Pervers.
Qu'il est doux cet échange accompagné de sourires.
Elle monte et descend. Les pendentifs brillent. Bien vite ils perdent toute raison et se balancent n'importe comment essayant de suivre la cavalière. Le galop est puissant. Marie est en forme. Elle se baise sur mon pieu avec peut être un autre dans un coin de sa mémoire et qui contribue à son plaisir.
En tout cas moi c'est le mien.
Pourvu qu'elle ne dise pas non.
Pourvu qu'elle reçoive ce Franck avec tous les honneurs alors qu'il aura la lourde responsabilité de satisfaire mon fantasme, mais aussi ,que je devine déjà un peu partagé, par ma femme.
La furie l'habite. Sa jouissance la libère. Mon foutre participe. C'est une Marie épuisée, en sueur qui tombe sur moi. Je sens les bijoux qui me blessent, mais je ne bouge pas. Au contraire je l'enveloppe de mes bras. C'est une femme satisfaite que je chéri. Je lui susurre à l'oreille : je t'aime, je t'aime. N'oublie jamais cela.
Elle se redresse, me fixe, cherchant la perfidie. Mais non, je suis sincère et sans arrière-pensée. Enfin ! Je crois!
Après une longue balade en forêt nous mangeons très léger. Depuis ce matin je n'ai plus abordé le sujet. Vers 21 h, Marie va prendre un bain. Youppie ! Je profite de son moment de détente pour sélectionner ce que je veux qu'elle porte. Lorsqu'elle revient nue, coiffée parfaitement, maquillée elle découvre ce que j'ai préparé sur le lit.
— Un porte jarretelle ? En cette saison ?
Je sais que c'est un peu ridicule. D'abord on ne porte pas de bas en cette période, mais en plus c'est un peu "rétrograde". La mode est plutôt aux collants. Je reconnais qu'il y en a de très beaux. Mais les bas et porte-jarretelle sont chargés d'émotions contradictoires. D'abord l'image de ma jeunesse et de ma mère qui chaque soir s'habillait élégamment, serveuse dans une boite de nuit. C'était notre moment. Sans aucune indécence elle s'habillait devant moi. Il me suffit de fermer les yeux et je la revoie. Tirer sur le haut des bas afin de les accrocher sans plis aux élastiques et cette pince étrange en caoutchouc. Le chemisier, le tailleur deux pièces. Elle était la féminité et l'élégance. Plus tard elle a trouvé un autre travail et j'ai beaucoup regretté ces moments. De toute façon je devenais trop grand pour avoir encore le droit de voir ma mère nue.
Même les films de cul sont différents si l'actrice porte ce genre de tenue. Les scènes les plus "hard" paraissent plus élégantes avec une queue qui se glisse dans une intimité entourée de soie et de dentelle, avec des jambes gainées et magnifiées.
— J'aimerais bien que tu portes cela. Cela va très bien avec ta robe fuchsia. En plus hier tes sous-vêtements étaient blancs.
— Tu penses à tout. Il va me trouver "vieux jeux" avec cela.
— Pas du tout. Il va apprécier et moi, encore plus.
Soudain pensive, Marie dit :
— Et si on faisait une bêtise ? Peut-être que de me voir avec lui va te déranger et tu m'en voudras.
— Jamais, bien au contraire. Fais-toi belle.
Tout est prêt. Marie est angoissée. Je lui offre un verre de mojitos bien dosé pour qu'elle relâche la pression. D'ailleurs moi aussi. J'ai choisi avec soin mon futur lieu d'observation. J'ai promis de ne pas bouger, de ne pas faire de bruit et de ne jamais apparaitre. Je serai sur la mezzanine, tapi dans une ombre épaisse. J'ai sidéré Marie lorsqu'elle m'a vue m'habiller tout en noir, enlevant même montre et bague pour éviter les reflets. J'en fais certainement trop car le Franck devrait avoir d'autres centres d'intérêts que de regarder le ciel.
Une bouteille est au frais dans le seau à champagne. Deux coupes attendent.
On sonne. Il est en avance de 15 mn. Bon signe.
Le début est un peu guindé. Chacun cherche ses marques. Il a apporté de fleurs et une bonne bouteille. Le premier contact est juste deux bises. Marie le remercie et lui demande de servir le champagne. Ils trinquent.
— Tu es très belle. Encore plus désirable qu'hier.
— Merci.
— Je t'ai apporté un cadeau.
Il sort un tout petit paquet de sa poche. Papier de soie qui fleure le bon chic.
Marie remercie et ouvre le précieux emballage.
— Il te plait ? Pour la taille c'est la même que celui que j'ai gardé.
Ce que Marie découvre est un string. String tout en dentelle blanche.
L'homme continue.
— J'ai gardé le tien avec moi toute la nuit.
Et il sort de sa poche la culotte dérobée hier.
D'un seul coup l'ambiance change. Cette lingerie les ramène quelques heures plus tôt ou ils baisaient sur la banquette arrière.
Il s'approche d'elle. Il l'enlace. Elle semble sans vie, sans résistance mais aussi sans initiative. C'est un fruit à cueillir. Je sais qu'elle ne "voit" que moi.
Il faut un long baiser pour que son visage s'anime. Les mains de Franck qui partent en exploration semblent sans effet sur elle. Mais elle ne cherche pas à partir. Un début ! Juste deux mains qui prennent la tête de l'homme pour que le baiser soit meilleur. Plus profond ! Plus intime !
Mais Franck, et je le comprends, veut avancer. A sa place, la journée m'aurait semblé bien longue. Je serais impatient de retrouver celle qui s'est laissé séduire si vite, cette femme mure qui l'a chevauché sur la banquette arrière de sa voiture et tout le reste….
Il trouve la fermeture éclair de la robe. Il lui suffit de faire glisser les deux bretelles le long des épaules, puis des bras que ma femme lui rend accessible.
Il l'a découvre. Oh, pas en pleine lumière car j'ai veillé à ce que l'éclairage soit à la fois intime mais suffisant tout de même pour le mari cocu et voyeur que je suis.
— Oh, tu es magnifique. Le noir te va si bien. Et ces bas, qu'elle bonne idée.
— C'est mon mari qui…
Marie se rend compte de sa faute.
— C'est vrai, j'ai vu que tu es mariée.
— Oui, mais il est en déplacement. Je voulais dire que mon mari apprécie beaucoup cette tenue. J'ai pensé que…
— Je partage son gout…..Comme je vais partager sa femme.
— Franck, voyons…
Mais l'homme, sans quitter Marie des yeux, commence à défaire les boutons de sa chemise.
Est-ce une impression mais Marie ne vient-elle pas de jeter un regard discret dans ma direction, alors qu'elle vient aider son amant ? Il est torse nu. C'est vrai qu'il est bien bâti.
Il laisse maintenant ma femme se charger du pantalon, puis du shorty. Je remarque qu'il n'a pas mis de chaussettes dans ses mocassins. Vraiment ce gars me plait. Je suis persuadé qu'il a comme moi, mais dans un autre registre, planifié sa tenue. Rien de plus risible qu'un homme nu avec des chaussettes.
Elle le prend en main. Déjà elle se développe. De là ou je suis, je la devine élégante, élancée, bien lisse, les couilles parfaitement symétriques. Elle ne peut que faire envie. "Même moi je n'y serais pas insensible", pensai-je aussitôt stupéfait d'une telle idée.
— Suce-moi. Demande Franck.
Marie n'est pas encore pleinement dans le jeu. Elle doit sentir mon regard comme une pression. En temps normal elle aurait déjà été à genoux pour pomper.
Je ne vois bientôt plus qu'une chevelure. Juste par moment alors qu'elle libère le mandrin pour le lécher sur les côtés jusqu'aux couilles, la bitte réapparait. Mais très vite elle le reprend en bouche.
Les cheveux me la cache mais je vois bien les mains du mec qui enserrent la tête pour la guider. J'entends aussi les soupirs de l'homme que l'on pompe.
— Putain tu suces comme une reine.
Quelques longues secondes et puis.
— Arrête. Attends. Sinon je vais jouir dans ta bouche.
Surtout pas ! Je pense.
Franck fais un pas de côté, se penche vers son pantalon pour en extraire une boite de capote.
— J'ai pris une boite de dix. On ne sait jamais.
Le prétentieux. A moins qu'il pense rester coucher. Merde je n'avais pas pensé à ça.
— Mon mari rentre très tôt demain matin.
Marie a toujours eu de la répartie.
— Ah, dommage.
Tiens met la.
— Avec la bouche.
Précise l'amant, alors que ma femme déchire l'emballage.
On dirait qu'elle a toujours fait ça. Je n'ai pas le souvenir avec moi. Mais peut être avec l'amant qu'elle a eu. Au moins celui que je connais ! Peut-être que finalement elle n'a pas été aussi fidèle que je pensais. Mais qu'importe maintenant.
Je ne vois pas les détails mais lorsque ma femme relève la tête, manifestement le plastique est déroulé tout au long de la tige.
— Viens.
Elle se relève. L'homme regarde autour de lui. Pourvu qu'il ne demande pas d'aller dans la chambre. Il a le choix. Deux canapés qui se font face, deux fauteuils. Mais c'est vers la grande table qu'il la guide.
Marie est contre la table. Franck la soulève à peine et elle se retrouve assise sur le bois verni.
— Tu es magnifique.
Marie va dégrafer son soutien-gorge.
— Non. Reste comme cela. Plus tard. Laisse-moi profiter.
Il recule d'un pas.
— Oui, vraiment. En plus cela te donne un air…coquin….provoquant….sensuel…plus encore. Tu ressembles à….
Il hésite.
— Une Escort. Une pute
C'est Marie qui a complété la phrase de façon si crue.
— Je n'osais pas. Dit l'homme.
— C'est ce qui plait à mon mari.
La phrase s'adresse manifestement à moi. Mais je n'ai jamais parlé de cela. Pourtant elle n'a pas tort. Mais une pute de haut niveau.
— Ton mari à bon gout. Je le comprends.
— Viens, j'ai envie.
Dit la femme qui s'allonge sur notre table de salle à manger. J'ai l'impression qu'elle me cherche dans l'obscurité. Je suis presqu'au-dessus d'eux.
Franck obéit aussitôt. L'invite est forte. Il se dirige vers l'intimité. Il se saisit de la petite culotte. Je la sais composée de deux triangles, juste reliés par deux rubans élastiques. Il tire dessus. La croupe se détache de la table pour aider. Les deux jambes se rejoignent pour que le fin tissu puisse descendre vers les cuisses, puis les mollets, puis les pieds. Marie porte des hauts talons. Le passage est plus délicat mais l'homme lui laisse les chaussures.
Décidemment ce garçon est surprenant par sa maturité dans le sexe et tout ce qui en fait le véritable sel. Je comprends que Marie en ai gardé un bon souvenir. Il ne la considère pas comme une femme infidèle qui veut se faire mettre et ne demande qu'une bitte pour la faire jouir.
La culotte tombe, par hasard, juste à côté du pantalon et je sais qu'il repartira avec.
Mais, si la culotte quitte les chevilles ce sont deux mains qui la remplacent. Deux mains qui progressent sur la soie des bas. Deux mains qui montent lentement. Franck sait se faire attendre. Deux mains qui passent de la soie à la peau frémissante. Deux mains qui jouent un instant avec les rubans du porte jarretelle. Deux mains qui encerclent le lieu secret qu'un visage découvre.
Là encore la tête me cache le principal. Décidemment être voyeur dissimulé n'est pas le mieux. Si j'avais pu rester avec eux j'aurais pu profiter de tout.
Mais j'ai presque mieux. Le visage de Marie. D'abord un peu crispée. Et puis bien vite plus détendue. Enfin comme libérée.
Le visage d'abord et ensuite les gémissements. Franck s'active.
— Oui. Oui. Là.
Il a trouvé le clitoris. Le bouton s'est développé et est sorti de sa cachette. Combien de fois ai-je "vu" entre mes lèvres ou par ma langue se développer ce petit bout de chair.
Elle aussi guide son amant pour son plaisir. Deux petites mains aux ongles carmin contrôlent la tête de celui qui est devenu le pourvoyeur de plaisir.
— Ahhhhhh.
Je n'en reviens pas. Il a fallu très peu de temps pour qu'elle jouisse. La coquine, sous ses airs de "Je le fais, mais c'est juste parce que tu me le demandes", n'est pas si innocente.
Ou bien elle m'a joué la comédie ! Mais je ne le crois pas.
Ou bien, tout comme moi, sa libido travaillait en secret, pour se réveiller lorsque le moment est arrivé. Relégué au plus profond et d'autant plus puissant que le couvercle de l'éducation et de la bienséance était lourd.
— Viens. Viens. Prends-moi.
Oui c'est ma Marie. Sa jouissance n'a fait qu'allumer un autre feu.
Franck se redresse. Il se saisit des deux jambes de la femme. Les dresses au ciel dans un V qui a tout de la victoire. Sa queue est en majesté. Je la vois. Elle se positionne. Elle trouve son chemin.
— Ahhhh.
Voyeur on est plus sensible aux paroles que lorsqu'on participe. Il l'a possédée sans effort. Déjà le ventre de l'homme est contre celui de la femelle. Aussitôt il s'active. Il la bourre bien. Tout naturellement les jambes se sont posées sur ses épaules. Il se penche un peu sur ma femme. Ses reins reflètent la puissance des vas et viens. Tout à coup l'ambiance devient très sexe, presque bestial. Le Mâle qui possède la femelle.
— Ton mari sait que tu le trompe ?
— C'est lui qui…..
Manifestement Marie, emportée par le plaisir n'a pas réfléchi à sa réponse.
— Lui qui ?
— Oui, il le sait.
Elle ouvre les yeux. Elle regarde dans ma direction. Je me penche un peu au-dessus de la balustrade. Elle doit me voir maintenant.
— Il sait ? Tu lui racontes ?
— Oui.
— Tout ?
— Oui, tout. Il veut tout savoir.
Le regard est puissant. Pourvu que l'homme ne le remarque pas. Mais il est penché et regarde sa queue entrer et sortir de la grotte de la "presque" pute qui se donne à lui.
— Aller. Baise-moi. Fais-moi jouir.
Son regard n'est que provocation. Il est facile d'y lire " tu l'as voulu, tu vas le voir".
— Oui. Oui.
Elle ferme les yeux. Elle sait que je suis avec elle.
— Encore. Encore.
Franck se démène. On entend très bien le claquement des contacts de peau contre peau, contacts amplifiés par les clapotis de la possession.
— Oui. Oui. Continue. Continue. Et si tu veux après je t'offrirai mon petit trou….
— Oh oui.
— Tu pourras m'enculer. Va. Va.
Que dire de plus. Marie m'a offerte le plus beau des spectacles.
Je sais ce que beaucoup d'entre vous vont penser de ce que je vous relate :
Ce n'est pas le premier et ce n'est pas le dernier qui se découvre ce type d'envie. Les boites regorgent de couples qui s'échangent. Les annonces du net débordent d'offres de services pour mari Candauliste. Combien de sites spécialisés servent justement à ces maris pour offrir, déjà en photos, les charmes de leur épouse afin d'attirer le bon coup qui fera jouir Madame et bander Monsieur.
Je le reconnais bien volontiers.
Comme je reconnais que nous en serions restés là, si nous n'avions rencontré Pascal.
Ah, Pascal. Ange ou Démon ?
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
On sent le vécu. Je ne sais pas si l'histoire est réelle ou fictive ou encore romancée; en fait, ça n'a aucune importance. Le récit est cohérent et décrit très bien la situation qui se développe. Quelques mots "en l'air" amènent d'autres mots etc, etc... jusqu'au passage aux actes et la libération soudaine et rapide de tout ce que nous souhaitions sans oser le dire. J'en parle en connaissance de cause.
J'ai bien aimé aussi le passage où notre héros explique très clairement le pas que beaucoup d'hommes n'osent pas par peur de la comparaison.
Bravo et continuez à nous exciter avec vos récits.
J'ai bien aimé aussi le passage où notre héros explique très clairement le pas que beaucoup d'hommes n'osent pas par peur de la comparaison.
Bravo et continuez à nous exciter avec vos récits.
Tout à fait d'accord avec les avis précédents. Hâte de lire la suite que laisse présager la surprise finale avec le "fameux" Pascal.
Bravo.
Bravo.
Bonsoir ou bonjour Romain, comme les trois avis des lecteurs précédents (qui sont dithyrambiques presque à l'excès) votre récit qui montre beaucoup d'amour et d'érotisme, (n'est-ce pas là le but du candaulisme ?) m'a énormément excité ! Merci
Didier
Didier
J'ai adoré ce récit, il est plein de vie, de passion. C'est bien écrit et il se laisse faire aisément
Histoire bien menée. Le style est agréable, quant à l'orthographe, rien à redire.
On se laisserait prendre au jeu et on est bien dans ce récit bien construit.
L'histoire tient le lecteur en haleine jusqu'à la fin ce qui est rare de nos jours.
Félicitations.
On se laisserait prendre au jeu et on est bien dans ce récit bien construit.
L'histoire tient le lecteur en haleine jusqu'à la fin ce qui est rare de nos jours.
Félicitations.
J'ai adoré, tu m'as fait jouir sur mon torse!!
J'aimerais être à ta place et voir ma femme se faire sauter par une jeune queue puissante!!!
A bientôt j'espère
J'aimerais être à ta place et voir ma femme se faire sauter par une jeune queue puissante!!!
A bientôt j'espère
Très bonne histoire. Récit bien mené, style impeccable et orthographe au top - ce n'est pas si courant. Enfin tout cela ce n'est que mon humble avis. Pour résumer : j'ai bien fantasmé et bandé lors de la lecture.
Continue Romain !
Continue Romain !
Voilà un récit digne d'un roman fusionnel entre un homme et sa conjointe qui relate les faits éveillant la sensualité du couple quand la complicité s'installe entre Deux amoureux avec un grand "A".
Je vis des choses similaires avec mon Amoure Lucy
Félicitations
Bernard
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Félicitations
Bernard