Titre de l'histoire érotique : Le maitre de nos nuits
Récit érotique écrit par Tom [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2009 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Le maitre de nos nuits
Mon épouse et moi, aimons le sexe. On est tous les deux bi et nous préférons pratiquer nos jeux sexuels à la maison ou à l’hôtel.
Voici donc l’histoire qui nous est arrivée, il y à quelques semaines.
Mon épouse se fit draguée par un grand mec qui au fil de la discussion, finit par dire qu’il était assez bien membré et qu’il aimait la sodomie. De son côté, mon épouse lui avoua notre penchant pour l’anal.
Bref, rendez vous est pris pour le samedi, dans un hôtel.
Mon épouse me parla de sa rencontre et de son rendez vous.
Le jour dit, nous nous rasâmes de prés et un lavement à chacun fut prodigué. Ceci afin d’être propre. Une tenue sexy de mise.
Nous allâmes à l’hôtel. Notre invité arriva, on commença les présentations. En discutant, une idée lui vint : Est si nous fessions un concours pour savoir lequel allait profiter de moi ?
L’idée nous plu. Pour gagner ce concours, chacun de nous devait lui prouver nos capacités anales. Nous montâmes dans la chambre. Mon épouse alla chercher les godes, Plug mais aussi légumes, que nous avions apportés…sans oublier bien sur, du lubrifiant. Chacun se dévêtis ne gardant que son string.
Nous commençâmes par nous embrasser et nous caresser. Mon épouse se glissa entre mes jambes et avala mon chibre, pendant que je lui doigtais la chatte de 2 doigts. On finit par se mettre tête bèche en levrette. Chacun enfila un doigt dans le cul de l’autre, puis 2, et enfin 3.
La température montait. Chacun avait envie d’autre chose. Un Plug, puis un gode suivirent le même chemin. Mon épouse me tendit 3 carottes qu’on mit dans un préservatif. Pour moi, elle prit un concombre. Quelle salope ! On dirait qu’elle veut que je gagne.
Pendant ce temps, notre nouveau copain william s’était dévêtu. Sa bite se tenait droite entre ses mains. Elle était raide !
- Vous commencez à sérieusement m’échauffer ! Lequel de vous va prendre ma queue dans son cul ?
Nous fessions aller nos godes improvisés dans nos culs. Pendant ce temps, il fessait le tour de chacun de nous pour admirer nos orifices tantôt rempli, tantôt ouvert et vide de tout objet.
Ça l’excitait comme un fou !!! Quand à moi, j’aimais sentir les allers et venues du concombre dans mon cul, le laissant ouvert à chaque sortie et n’attendant pas mieux que celui-ci s’engouffre à nouveau dans mon orifice pour le remplir. Mon épouse n’était pas mieux avec ses 3 carottes que je fessais coulissé dans son anus. Elle semblait vraiment adorée. Elle cambrait son cul pour mieux les sentir, et je pouvais voir sa petite chatte nue entrouverte de plaisir. Cela dura un bon moment.
William décida de changer de jeu :
- mettez vos culs l’un à cote de l’autre et retiré les légumes de nos culs afin que je puisse les voir ouvert. Il en profita pour introduire ces propres doigts dans chacun de nous. C’était trop bon. Puis, il décida que chacun de nous devait enculer l’autre. Un tirage au sort me fit commencer le premier.
Je présentais ma bite à l’orifice palpitant de ma tendre. Elle n’attendait que ça.
Ma bite fut avalée en une seule poussée. C’est vrai qu’elle à tellement visitée son cul que ça ne peut que rentrer tout seul. William pendant ce temps, en profita pour me mettre 2 doigts dans le cul.
A chaque fois, que ma bite sortait du cul de ma femme, ses doigts rentraient plus loin dans mon anus. A cette allure là, je finis par rester figé au fond de son cul pour éjaculer. C’est à ce moment là, qu’elle jouit. En retirant mon sexe, un peu de sperme s’écoula de son trou dilaté par ma bite.je m’empressa de venir l’aspiré, rendant son anus tout propre…
Se fut à mon tour de subir le même sort. Ma femme s’harnacha de notre plus gros gode ceinture, mis un peu de gel dessus et dans mon anus, et présenta celui-ci à mon orifice, qui n’attendait que ça. Je la sentis rentré progressivement. A son passage mon anus s’ouvrait de plus en plus, n’offrant aucune résistance. Mieux, il semblait vouloir avaler ce gode qui le pénétrait.
Une fois calé bien au fond, elle se mit à bouger de plus en plus vite. Parfois, elle sortait complètement pour voir son travail de dilatation. Ma queue était raide à faire mal. C’était trop bon. William fit subir le même sort à mon épouse, avec 2 doigts dans son cul. Mon épouse ne savait plus ou donner de la tête : dans mon cul, dans le sien…
Après dix bonnes minutes de cette pénétration, elle jouit encore une fois et me fit éjaculer sur le sol, son gode figé dans le cul. Quelle divine salope.
William, lui n’avait toujours pas éjaculé mais je suis sur qu’il en avait envie….
Nous étions déjà bien fatigués.
-Je ne sais pas lequel des 2 à gagné, chacun de vous m’à excité. Je pense qu’il fait que je vous encule tout les 2 et celui qui finira par me faire jouir dans son cul, pourra être dans mon lit, pour toute la nuit. Dit William.
-Mais avant sucez-moi !
Mon épouse et moi-même se mirent à genou, prés de sa grosse queue. Chacun de nous, léchait une partie. Parfois, elle l’avalait, la ressortait, et me la tendait, pour que je fasse de même. Ainsi, on mélangeait nos salives sur une même bite.
William soupirait d’aise.
Enfin, il décida de nous prendre. On lui présenta nos culs l’un à cote de l’autre. Il avait une bite longue et bien large. Il commença par mon épouse. Pendant qu’il était en train de la pénétrer, elle me regardait. Je pouvais voir la grimace qu’elle faisait tandis que la bite s’enfonçait dans son derrière. Elle entrouvrait la bouche, et par moment, je lisais son plaisir dans ces yeux.
Ça y est, mon amour. Il est au fond de mon cul. Il me rempli bien. Je me sens ouverte du cul.
J’étais en train de penser que ça allait bientôt être mon tour. J’en mouillais…du cul, par avance. Je les voyais bouger tout les 2. Elle semblait heureuse. Puis soudain, il se retira, laissant un grand vide.
Je sentis enfin, sa grosse bite se présenter à mon cul. Il poussa d’un coup. Me laissant pousser un petit cri, bientôt remplacé par des râles de plaisir. Il me baisait bien ce salaud. Je me mis à bouger du cul. Je n’avais pas oublié le concours. Je voulais qu’il éjacule dans mon anus.
Il semblait ne pas vouloir. Il semblait même indécis ; passant son temps à changer de trou. À chaque fois, ils nous comblaient de plaisir et la fois suivante, on sentait un grand vide. On sentait l’air qui caressait notre orifice ouvert.
Qui allait gagner ? Après plusieurs transitions et alors qu’il était dans mon cul, je sentis les soubresauts de sa bite. Il était en train d’éjaculer. Mais tout en éjaculant, il sortit de mon anus pour se loger dans celui de ma femme, et finit de jouir dans ses reins. Elle me regarda avec plaisir. Le salaud !!!
Ayant fini de jouir dans le cul de ma femme et tout en se retirant de celui-ci, il la déclara vainqueur.
C’est ainsi, que le cul rempli de sperme, j’allais me coucher dans le lit d’à côté.
Mon épouse me montra triomphante, en l’écartant de ces 2 mains, son anus ouvert duquel s’échappait un peu de foutre.
Ils se mirent au lit, se caressant, se léchant le cul, la bite, la foune…
Plusieurs fois, dans la nuit, je les entendis jouir. Tantôt dans le cul, la chatte ou la bouche…
Puis, tout le monde finit par s’endormir. Le lendemain, au réveil, flottait une odeur de sexe, dans la chambre. Ma femme était ouverte de sperme séché. Elle en avait entre les seins, sur sa chatte toute lisse, sur son visage, sur son cul… bref, partout.
William me vit la regarder d’envie
- allez, viens !
C’est ainsi que je me suis retrouvé empaler par le cul. Lui, allongé. Moi, au dessus. Mon épouse en profita pour mettre son gode ceinture. Alors que j’avais toujours la bite de William qui coulissait dans mon cul. Elle présenta son gode ceinture à l’entrée de mon anus. Elle força. C’était difficile à rentrer. Mais elle finit par être dans mes reins. Ils se mirent à bouger dans mon cul. Je n’ai pas pu tenir bien longtemps.
Je finis par éjaculer à gros bouillons sur le ventre de William.
Celui-ci ne resta pas en reste et éjacula dans mon cul.
En sortant de mon cul, ils me pressentirent leurs bites maculées de sperme blanchâtre, à sucer.
Ce que je fis a vec un grand plaisir non dissimulé. Même si mon anus était endolori de ce double anal. Je léchai même le mien sur le ventre de William.
Je peux vous dire qu’on s’est revu plusieurs fois depuis. Et à chaque fois, çà à été la fête à nos culs mais aussi à celui de williams. On à même refait des doubles anales.
Deviner à qui ???
Voici donc l’histoire qui nous est arrivée, il y à quelques semaines.
Mon épouse se fit draguée par un grand mec qui au fil de la discussion, finit par dire qu’il était assez bien membré et qu’il aimait la sodomie. De son côté, mon épouse lui avoua notre penchant pour l’anal.
Bref, rendez vous est pris pour le samedi, dans un hôtel.
Mon épouse me parla de sa rencontre et de son rendez vous.
Le jour dit, nous nous rasâmes de prés et un lavement à chacun fut prodigué. Ceci afin d’être propre. Une tenue sexy de mise.
Nous allâmes à l’hôtel. Notre invité arriva, on commença les présentations. En discutant, une idée lui vint : Est si nous fessions un concours pour savoir lequel allait profiter de moi ?
L’idée nous plu. Pour gagner ce concours, chacun de nous devait lui prouver nos capacités anales. Nous montâmes dans la chambre. Mon épouse alla chercher les godes, Plug mais aussi légumes, que nous avions apportés…sans oublier bien sur, du lubrifiant. Chacun se dévêtis ne gardant que son string.
Nous commençâmes par nous embrasser et nous caresser. Mon épouse se glissa entre mes jambes et avala mon chibre, pendant que je lui doigtais la chatte de 2 doigts. On finit par se mettre tête bèche en levrette. Chacun enfila un doigt dans le cul de l’autre, puis 2, et enfin 3.
La température montait. Chacun avait envie d’autre chose. Un Plug, puis un gode suivirent le même chemin. Mon épouse me tendit 3 carottes qu’on mit dans un préservatif. Pour moi, elle prit un concombre. Quelle salope ! On dirait qu’elle veut que je gagne.
Pendant ce temps, notre nouveau copain william s’était dévêtu. Sa bite se tenait droite entre ses mains. Elle était raide !
- Vous commencez à sérieusement m’échauffer ! Lequel de vous va prendre ma queue dans son cul ?
Nous fessions aller nos godes improvisés dans nos culs. Pendant ce temps, il fessait le tour de chacun de nous pour admirer nos orifices tantôt rempli, tantôt ouvert et vide de tout objet.
Ça l’excitait comme un fou !!! Quand à moi, j’aimais sentir les allers et venues du concombre dans mon cul, le laissant ouvert à chaque sortie et n’attendant pas mieux que celui-ci s’engouffre à nouveau dans mon orifice pour le remplir. Mon épouse n’était pas mieux avec ses 3 carottes que je fessais coulissé dans son anus. Elle semblait vraiment adorée. Elle cambrait son cul pour mieux les sentir, et je pouvais voir sa petite chatte nue entrouverte de plaisir. Cela dura un bon moment.
William décida de changer de jeu :
- mettez vos culs l’un à cote de l’autre et retiré les légumes de nos culs afin que je puisse les voir ouvert. Il en profita pour introduire ces propres doigts dans chacun de nous. C’était trop bon. Puis, il décida que chacun de nous devait enculer l’autre. Un tirage au sort me fit commencer le premier.
Je présentais ma bite à l’orifice palpitant de ma tendre. Elle n’attendait que ça.
Ma bite fut avalée en une seule poussée. C’est vrai qu’elle à tellement visitée son cul que ça ne peut que rentrer tout seul. William pendant ce temps, en profita pour me mettre 2 doigts dans le cul.
A chaque fois, que ma bite sortait du cul de ma femme, ses doigts rentraient plus loin dans mon anus. A cette allure là, je finis par rester figé au fond de son cul pour éjaculer. C’est à ce moment là, qu’elle jouit. En retirant mon sexe, un peu de sperme s’écoula de son trou dilaté par ma bite.je m’empressa de venir l’aspiré, rendant son anus tout propre…
Se fut à mon tour de subir le même sort. Ma femme s’harnacha de notre plus gros gode ceinture, mis un peu de gel dessus et dans mon anus, et présenta celui-ci à mon orifice, qui n’attendait que ça. Je la sentis rentré progressivement. A son passage mon anus s’ouvrait de plus en plus, n’offrant aucune résistance. Mieux, il semblait vouloir avaler ce gode qui le pénétrait.
Une fois calé bien au fond, elle se mit à bouger de plus en plus vite. Parfois, elle sortait complètement pour voir son travail de dilatation. Ma queue était raide à faire mal. C’était trop bon. William fit subir le même sort à mon épouse, avec 2 doigts dans son cul. Mon épouse ne savait plus ou donner de la tête : dans mon cul, dans le sien…
Après dix bonnes minutes de cette pénétration, elle jouit encore une fois et me fit éjaculer sur le sol, son gode figé dans le cul. Quelle divine salope.
William, lui n’avait toujours pas éjaculé mais je suis sur qu’il en avait envie….
Nous étions déjà bien fatigués.
-Je ne sais pas lequel des 2 à gagné, chacun de vous m’à excité. Je pense qu’il fait que je vous encule tout les 2 et celui qui finira par me faire jouir dans son cul, pourra être dans mon lit, pour toute la nuit. Dit William.
-Mais avant sucez-moi !
Mon épouse et moi-même se mirent à genou, prés de sa grosse queue. Chacun de nous, léchait une partie. Parfois, elle l’avalait, la ressortait, et me la tendait, pour que je fasse de même. Ainsi, on mélangeait nos salives sur une même bite.
William soupirait d’aise.
Enfin, il décida de nous prendre. On lui présenta nos culs l’un à cote de l’autre. Il avait une bite longue et bien large. Il commença par mon épouse. Pendant qu’il était en train de la pénétrer, elle me regardait. Je pouvais voir la grimace qu’elle faisait tandis que la bite s’enfonçait dans son derrière. Elle entrouvrait la bouche, et par moment, je lisais son plaisir dans ces yeux.
Ça y est, mon amour. Il est au fond de mon cul. Il me rempli bien. Je me sens ouverte du cul.
J’étais en train de penser que ça allait bientôt être mon tour. J’en mouillais…du cul, par avance. Je les voyais bouger tout les 2. Elle semblait heureuse. Puis soudain, il se retira, laissant un grand vide.
Je sentis enfin, sa grosse bite se présenter à mon cul. Il poussa d’un coup. Me laissant pousser un petit cri, bientôt remplacé par des râles de plaisir. Il me baisait bien ce salaud. Je me mis à bouger du cul. Je n’avais pas oublié le concours. Je voulais qu’il éjacule dans mon anus.
Il semblait ne pas vouloir. Il semblait même indécis ; passant son temps à changer de trou. À chaque fois, ils nous comblaient de plaisir et la fois suivante, on sentait un grand vide. On sentait l’air qui caressait notre orifice ouvert.
Qui allait gagner ? Après plusieurs transitions et alors qu’il était dans mon cul, je sentis les soubresauts de sa bite. Il était en train d’éjaculer. Mais tout en éjaculant, il sortit de mon anus pour se loger dans celui de ma femme, et finit de jouir dans ses reins. Elle me regarda avec plaisir. Le salaud !!!
Ayant fini de jouir dans le cul de ma femme et tout en se retirant de celui-ci, il la déclara vainqueur.
C’est ainsi, que le cul rempli de sperme, j’allais me coucher dans le lit d’à côté.
Mon épouse me montra triomphante, en l’écartant de ces 2 mains, son anus ouvert duquel s’échappait un peu de foutre.
Ils se mirent au lit, se caressant, se léchant le cul, la bite, la foune…
Plusieurs fois, dans la nuit, je les entendis jouir. Tantôt dans le cul, la chatte ou la bouche…
Puis, tout le monde finit par s’endormir. Le lendemain, au réveil, flottait une odeur de sexe, dans la chambre. Ma femme était ouverte de sperme séché. Elle en avait entre les seins, sur sa chatte toute lisse, sur son visage, sur son cul… bref, partout.
William me vit la regarder d’envie
- allez, viens !
C’est ainsi que je me suis retrouvé empaler par le cul. Lui, allongé. Moi, au dessus. Mon épouse en profita pour mettre son gode ceinture. Alors que j’avais toujours la bite de William qui coulissait dans mon cul. Elle présenta son gode ceinture à l’entrée de mon anus. Elle força. C’était difficile à rentrer. Mais elle finit par être dans mes reins. Ils se mirent à bouger dans mon cul. Je n’ai pas pu tenir bien longtemps.
Je finis par éjaculer à gros bouillons sur le ventre de William.
Celui-ci ne resta pas en reste et éjacula dans mon cul.
En sortant de mon cul, ils me pressentirent leurs bites maculées de sperme blanchâtre, à sucer.
Ce que je fis a vec un grand plaisir non dissimulé. Même si mon anus était endolori de ce double anal. Je léchai même le mien sur le ventre de William.
Je peux vous dire qu’on s’est revu plusieurs fois depuis. Et à chaque fois, çà à été la fête à nos culs mais aussi à celui de williams. On à même refait des doubles anales.
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