Titre de l'histoire érotique : Les craintes et les joies d’être souvent absent. (épisode 1)

- Par l'auteur HDS Elle pervertie -
Auteur homme.
  • • 2 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Elle pervertie ont reçu un total de 10 342 visites.
Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Les craintes et les joies d’être souvent absent. (épisode 1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 5 004 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : Les craintes et les joies d’être souvent absent. (épisode 1)
Je vais essayer d’être précis et chronologique dans la narration des faits et avant tout de planter le décor ou du moins de vous présenter le contexte, ce qui pourra paraître peut-être un peu long.

J’ai une trentaine d’année, ingénieur dans l’aéronautique, un corps d’ancien sportif, marié depuis six ans et très pris par ma carrière, qui me fait m’éloigner du domicile conjugal pour des périodes plus ou moins longue, en fonction de chantiers au travers du globe.
Ma tendre et douce femme Ingrid, jeune prof de math de 27a, portant de petites lunettes, aux yeux gris vert avec des cheveux mi long châtain clair, au nez en trompette, à la bouche fine et bien dessinée, à la peau claire qui prends bien le bronzage, aux hanches fines qui délimite bien son postérieur légèrement galbé de son buste orné d’une poitrine généreuse et ferme, qui a pratiquée la natation avec assiduité jusqu’à son entrée dans la vie active, et du haut de ses 1m67 continue toujours de s’occuper de son corps et avec ‘tout’ le temps de libre dont elle dispose prend soin de notre chez nous et essaye tant bien que mal de supporter mes éloignements, mais comme elle dit, l’Amour fais le reste, le temps passe mais l’avenir sera plus serein… et je dois ajouter que la compensation financière aide tout autant.

Donc, me direz-vous tout va pour le mieux, et bien OUI, sauf qu’a y regarder de plus prêt et en observant mon entourage professionnel, je me remémore ce que me disait mon ‘parrain’ dans le métier lorsque j’ai commencé, que l’argent ne fais pas le bonheur et que l’éloignement est le cancer des couples, à en voir le nombres de séparations et de divorces dû pour une grande part aux aventures extraconjugales, à en voir nos collègues et lui-même qui avait déjà un divorce et une séparation à son actif. Nous étions mariés depuis peu, Ingrid, n’avais pas encore fini son cursus et du haut de ses 21 ans elle vantait l’exemple de couple de ses parents, qui s’étaient connu au lycée, toujours fidèle et qui l’avaient éduqué comme sa sœur aînée dans le carcan d’une morale catholique pratiquante , j’étais donc hors d’atteinte de tout cela et n’y prêtait guère attention….
Et puis avec le temps, l’idée sournoise faisant son travail de sape, avec le constat des couples de collègues de travail aussi bien de la sous-traitance que des compagnies étrangère, j’en suis arrivé à me dire qu’il y avait peu de probabilité que notre couple soit l’exception qui confirme la règle, bien que je soit resté fidèle jusqu’à ce jour….. ma fidélité excluant quelques fleurts poussés avec des personnes de la gente féminine locale.
Il y a 3 ans, j’en suis arrivé à la conclusion, que si Ingrid devait aller chercher matière à se changer les idées et prendre du plaisir avec un autre que moi, en un mot si je devais être cocufié autant être au courant et donc prendre les devants afin de tester sa fidélité et le cas échéant être fixé et au courant de ses escapades.
Malgré mes tout mes efforts et mes entreprises, Ingrid avait peu évoluée depuis notre mariage, échangeant quelques fois ses sous-vêtements obligatoirement blanc par certain de couleur, claire, passant du coton/dentelle au tout dentelle, avec quelques tanga et 2 strings en coton, portant des collants et en de très rare occasion des bas auto fixant et côté sexuel je la qualifiais de passive, n’entreprenant que très peu, ne choisissant aucune position, me faisant des fellations du bout des lèvres, ne voulant rien entendre pour la sodomie, qui est contre nature disait-elle et ajoutais que seule les putes, les ‘chaudes du cul’ et les ‘bouffeuses de clito’ se rasaient intégralement le minou, à mon grand désarroi d’ailleurs.



C’était une période relativement creuse dans mes déplacements, qui n’excédait pas 4 jours à cette période là, j’était très souvent à la maison, en région toulousaine, en nous avions comme projet déjà bien avancé de faire réaliser des travaux d’aménagement dans la maison que nous venions d’acheter, grâce en partie à l’aide de mes beaux-parents.

Donc entre mon emploi du temps professionnel, l’étude et la réflexion sur les modifications à apporter à notre futur nid douillet et le temps aussi à m’occuper de ma petit femme, n’ayant rien décelé d’une probable infidélité, je m’étais en œuvre mon plan le premier vendredi du mois de Février 2002 en déposant une annonce explicite sur un site de rencontre sur internet, annonce dont j’avais mûrement réfléchi la tournure et le cadre de recherche, cadre qui ressortait des réponses ou des silences de mon épouse lors de jeux et de questions indiscrètes posées insidieusement dans le cadre de nos ébats amoureux voir de bribe de conversations avec ses amies que j’avais glané ici et là depuis de nombreuses années et qui revenaient à la surface maintenant, et le fait de voir si quelqu’un d’autre pourrai l’amener à lui céder se qu’elle me refusait.
Etant dans le doute, à la fois sur l’hypothèse d’une infidélité –probable ou passée- d’Ingrid et de ma démarche à lui trouver un Amant digne de se nom, j’attendais tout de même le lundi en fin de matinée pour relever mes courriels depuis mon lieu de travail. Quelle fut ma surprise de voir toutes ses réponses en un week-end… une trentaine, qui malheureusement ne correspondaient que de très loin voir pas du tout à l’attente que je souhaitais , et cet état de fait se reproduisait tout les jours ou presque…. Les postulants n’étant pas dans les ‘critères’ recherchés, trop éloignés, ne cherchant que pour une fois, voir trop impatient ou pas assez cérébral. En fin de compte sur une période de 2 mois, j’avais sélectionné 8 prétendants, qui après de bref échange de courriels ou de conversations téléphonique s’étaient réduit à 3, du fait de simple fantasmeur ou d’une fin de non recevoir de ma part. Sur les 3 sélectionnés P – J et S), j’allais écrire nominés, celui qui aurait pu tenir le rôle, au mieux pensais-je, c’est désisté du fait d’avoir trouvé chaussure à son pied….. à en croire les dieux de l’infidélité ou de la fidélité mon plan devait tomber à l’eau…. mais je tenais à finaliser ces prises de contact avec les 2 restants, ne serraisse que par respect pour la démarche réalisée. Nous avons donc continué nos échanges par courriels et téléphone et puis la situation bien posée, la finalité définie, j’ai provoqué un rdv avec chacun d’entre eux dans un endroit neutre afin de mieux faire connaissance et afin de parler entre 4 yeux et entre hommes.
Il est vrai que suite au désistement de P, ma ‘solution de rechange’ était J(acques), du fait de son charisme, de son expérience au vu de son âge, de ses attentes dans ce type de relation (particulière dans la démarche) et son métier…… d’Architecte….. qui permettait de s’affranchir facilement de la question Approche et Présentation. Il faut tenir compte qu’un mari qui cherche un Amant d’un style directif voir dominant pour sa jeune épouse sans que celle-ci ne soit au courant de la démarche et que Monsieur ne souhaite ni participer, ni être présent lors des rencontres est plutôt rare à en croire les différents témoignages des postulants et de Jacques en particulier. En tout cas, c’est Jacques qui retint toute mon attention et la ‘présentation’ de ma tendre et douce Ingrid dura encore une dizaine de jours de rencontres, courriels, conversations, pendant lesquels en plus de photos, d’anecdotes, de souvenirs, de l’énumération de sa vie et de la confession de nos pratiques sexuelle j’essayais de tracer le profil de ma jeune femme mariée, rentrant à peine dans la vie active, pleine d’illusions sur son métier et sa vie, douce et timide et d’une nature plutôt réservée, d’une éducation catholique - mais plus trop pratiquante depuis qu’elle me fréquentais, au grand dam de ma belle-mère - et qui en parallèle avec la remise de son emploi du temps professionnel afin qu’il puisse la suivre ce qui fut fait avec 2 filatures et 3 visites de la maison pendant ses heures de cours afin d’être tranquille, pour respirer et ressentir l’émotion et son mode de vie et pouvoir chiner, regarder et toucher sa garde robe pour se faire une idée de la Belle , la dernière visite se déroulant un Mardi matin, Ingrid étant parti pour ces cours relativement tôt, et moi laissant les clés à Jacques sur le pas de la porte en partant à 9h, ayant décalé ma prise de service pour cette occasion.

Durant tout ce temps, les projets de la maison avaient bien avancé aussi et nous en étions à trouver un Architecte qui puisse à la fois concrétiser sur le papier nos rêves, les chiffrer et mettre en œuvre la réalisation des travaux et leurs suivi…. Tout un programme en somme. Je m’arrangeais pour que le choix de notre Architecte se porte sur Jacques et que le choix final soit du ressort d’Ingrid, ce qui se confirma. J’étais aux Anges et voyant la tournure que prenait les choses, et m’imaginais lors de nos ébats, comment elle se serait comporté lors des ses aventure ‘imaginaires ou pas’ et ce qui pourrait se passer avec Jacques, cet homme mûr de 48 ans, divorcé depuis de nombreuses année, ancien judoka de 1m92 à la musculature bien développée avec ses 100kg, aux cheveux poivre et sel et respectablement velu, aux yeux tirant sur le bleu clair, matcho d’un caractère intransigeant et directif et par rapport à moi qui était tout de même content de dame nature qui m’avais outillé de 16cm, lui avait comme il disait un « manche de pioche » entre les jambes, de plus de 21cm pour une largeur de presque 3 doigts, ce qui lui permettait de mettre au pli beaucoup de dames étant endurant.

Le premier rdv à son bureau, le Mardi à 17h (jour de la dernière visite de la maison), se déroula normalement par les présentations officielles et l’exposé de notre projet, la conversation était chaleureuse constructive, d’un point de vue purement professionnel malgré mon ressentiment pour la tenue d’Ingrid, qui n’avait pas voulu se mettre en robe ou jupe du fait du temps pluvieux et qui avait enfilé un pantalon noir avec un haut rose avec un pull léger et qui ne s’était pas maquillé disant que pour ce genre de rdv elle n’avait pas à se mettre plus en valeur que ça. Le rdv se prolongea assez tard et je proposais que nous dînions tous les 3 ensembles mais elle refusa sous je ne sait plus quel prétexte , rdv fut pris pour visiter la maison le surlendemain (jeudi) en fin AM toujours. Le projet avança rapidement, les travaux commencèrent, je me débrouillais le plus possible pour arriver en retard ou ne pas être là lors des visites de Jacques à la maison tout en donnant le change et idem pour l’envoyer passer à son bureau régler des factures ou discuter de l’avancement des travaux, je l’avais facile disant que c’était elle qui aller passer le plus de temps dans la maison et du coup il fallait qu’elle s’y implique le plus possible et donne son avis, du fait de son emploi du temps c’était elle la plus libre et en fin que c’était ces parents, sa mère, qui avaient insisté pour participer aux dépenses.

Jacques commença à se rapprocher d’Ingrid, à mieux la cerner psychologiquement, à pouvoir l’admirer de plus prêt, à affiner son plan de bataille, à commencer à faire des allusions, tâter le terrain, commençant à lui faire la cour tout en me tenant informé de la finalité de ces rdv soit par un petit courriel, soit par tel voir de visu afin de commenter les réactions, discuter des projets pour elle dans le cas où…. Elle lui céderait.

Ce petit jeu dura plus de 5 mois, Jacques n’étant pas trop entreprenant volontairement, moi m’arrangeant pour faire le maximum de missions et m’éloigner de la maison (12 jours pour la plus longue), mes beaux-parents s’étant déplacé 2 fois quelques jours pour constater l’avancement des travaux, belle-maman trouvant même que Jacques s’avait y faire et était très professionnel, passant à la maison contrôler et vérifier, pas forcément que les travaux, (mais aussi la corbeille à linge, l’étendoir, notre chambre afin de mieux s’imprégner des modes vestimentaire et des évolutions de mon épouse), visite à l’improviste la plupart du temps, Ingrid quant à elle n’étant pas réceptive aux avances ou allusions de Jacques, ne m’en parlant pas d’ailleurs, refusant systématiquement toute invitation en soirée hormis quelques ‘repas d’affaire’ pris à midi, repas dont elle m’informait me demandant la permission et mon avis.
Seul constat, lorsqu’elle devait voir Jacques en passant à son bureau, pour un repas ou pour ses contrôles elle était systématiquement en jupe ou robe et bien pomponnée, et nous avons constatait qu’elle s’arrangeait toujours pour que se soit après ses journées de cours se changeant et se préparant pour ces sorties, mais vraiment rien de plus.
Jacques commençait à perdre un peu patience pensant à juste titre perdre son temps et moi de me dire que je m’étais fais des idées et que Mon Ingrid était une Perle Rare et quelle pouvait garder toute ma confiance. Jacques se donnait jusqu’à la fin du chantier pour voir si elle lui céderai en me confirmant dans ma conclusion que je m’étais trompé sur Ma Femme, ou du moins que le temps n’avait pas encore joué contre notre couple.

Les travaux touchaient à leur fin, plus que les finitions, nous étions fin Septembre, la rentrée des classes et toute sa logistique (chamboulement des emploi du temps) étant passé et je dû remplacer au pied levé un collègue –célibataire- qui s’était cassé un genoux en descendant d’un trottoir : Mission en Australie pour 5 Mois avec une coupure de 15 jours sur la période ou 3 Mois et demi consécutifs. J’avais seulement la soirée pour y réfléchir et après une longue et houleuse discussion avec ma moitié, nous avons convenu qu’il serait plus facile que je m’absente pour le plus court laps de temps et que dans l’avenir j’évite d’être ‘volontaire’ pour ce genre de mission longue, trop longue.
Je partais donc le surlendemain, le cœur lourd mais la tête légère, ayant eu une dernière conversation avec Jacques, tout en étant sûr de la fidélité de Mon Epouse.
Pendant la durée du voyage, je n’avais pas accès à mes courriels et je n’avais pu seulement téléphoner à la maison et parler …….. Qu’au répondeur.
Arrivé à bon port, étant bien accueilli et pris en charge par une équipe du service technique de la compagnie aérienne en charge des travaux, je m’installait à mon hôtel et commençait à m’acclimater, le travail étant prenant et contraignant n’ayant rien préparé à l’avance et pour cause….. Je pestais intérieurement et avait totalement ou presque oublié mon projet et mes doutes, comme quoi le travail…..
J’appelais ma Petite Femme presque tout les jours pour la consoler et lui dire tout mon Amour, à travers le répondeur aussi quelques fois, et cette routine dura deux semaines. Pendant tout ce temps je n’eu que très peu de nouvelles de Jacques, 4 courriels en tout et pour tout, le dernier le mardi m’informant que les travaux de peintures intérieures et extérieures étaient repoussé et qu’il avait proposé à Ingrid une soirée pour marquer la fin de toutes ses tracasseries liées aux travaux et la fin prochaine de sa mission, elle n’avait pas répondu par la négative…ni par l’affirmative. J’appelais le soir même avec le décalage horaire Toulouse, elle me parla de tout, même le fait que les voisins avaient changés de voiture mais pas de cette proposition de soirée, je mis cela sur le compte de la fatigue. Le lendemain soir, toujours avec le décalage horaire, je pris en compte un message de Jacques qui me confirmait qu’Ingrid avez accepté pour le lendemain soir, c'est-à-dire le jeudi. Il me confirmait notre dernière conversation en me confirmant sa décision d’en rester là qu’il avait perdu assez de temps et n’arriverait à rien. Validant des modifications avec l’équipe de nuit, vers 4 heures j’appelais Ma Tendre Petite Femme, qui fut étonné de mon appel à cette heure me disant qu’elle était rentré en retard rien de grave, juste un accident sur la rocade et qu’elle allait se coucher, je lui fit répéter et elle me confirma qu’elle restait à la maison et allait se coucher dès que j’aurais raccroché ou presque et elle me souhaita une bonne fin de journée de travail et moi l’inverse une Bonne Nuit….. J’étais d’un coup pris d’un doute, je relus le dernier courriels de Jacques et refis deux fois le calcul du décalage horaire pour être certain de la date et du jour, c’était bien jeudi soir en France.
Je fis un courriel directement à Jacques lui demandant de bien vouloir me confirmer si la soirée était toujours d’actualité…. Je n’eu pas de réponse dans l’immédiat…. Partis au boulot…. Ayant du mal à me concentrer et étant irritable, appelant 4 fois à la maison, ce qui ne passa pas inaperçu chez mes collègues Australiens…. Qui mirent cela sur le compte de l’orage de la nuit, la fin du décalage horaire et le fait que j’étais sous pression du fait d’un retard de 2 jours sur le planning au bout de 2 semaines….

Je fus sorti de ma torpeur vers 15h passée, par un appel sur mon téléphone professionnel, en numéro caché…. Je décrochais et du attendre un petit instant et plusieurs ALLO ! ALLO ! de ma part………….

- Ne t’inquiète plus, je sort de chez toi, je suis sur le trottoir……….

et puis un long silence encore, qui me parut une éternité et je ne disais rien, et :

- TU EST COCU DEPUIS 3 HEURES , JE VIENS DE LA BAISER PENDANT TOUT CE TEMPS, ET J’AI LES COUILLES TOTALEMENT VIDE , Ingrid est allongée sur le dos en travers du lit dans la chambre d’amis du rdc, elle est exténuée et n’a presque pas bougée quand je l’ai couverte d’un drap et lui ai dit que je partais, en l’embrassant sur la poitrine.

J’essayais d’engager un peu plus la conversation et en savoir un peu plus, afin de tout savoir…. Et le doute qui s’installa et comme une chape de plomb sur mon esprit le monde autour de moi s’écroulait.

Jacques s’excusa, me rappela qu’il était 6 heures du matin à Toulouse, qu’il était dans la rue, qu’il allez rentrer chez lui et qu’après une bonne douche et un sommeil réparateur, à tête reposée il allez me faire un compte rendu TRES TRES détaillé de la soirée et de la nuit, toute la nuit et il raccrochait.

ET mon esprit fut assaillit d’une multitude de questions :
- ELLE lui avait cédé mais pourquoi maintenant,
- Que lui avait ELLE cédé,
- Avait ELLE était totalement passive,
- Comment c’était déroulé la soirée et où,
- Comment avait-il fait pour la posséder CHEZ NOUS dès la première fois,
- La chambre d’amis du rdc que nous venions juste de terminer avait été ‘baptisée’ mais es-ce que seulement cette pièce de la maison avait été le témoin de leurs ébats ?
- Et pour les capotes, ELLE qui est anti-préservatifs du fait de vœux de fidélité…. ?
Et une multitude d’autres……..

Je ne fus plus bon à rien le reste de la journée, restant devant mon ordinateur et interrogeant mes courriels et l’icône Envoyer/Recevoir n’a jamais eu la visite de la souris aussi souvent…. Mes collègues Australiens me proposèrent et furent assez lourd dans leurs démarches pour vouloir absolument me sortir ce soir là et passer la soirée dans un PUB réputé, mais rien n’y fit, je prétextais vouloir m’avancer dans le travail et que j’attendais des documents ‘professionnel’ de Toulouse….. et j’avais des érections à répétitions en essayant de m’imaginer ces 3 heures….

Ce n’est qu’en début de soirée, que OUTLOOK m’indiqua que j’avais un nouveau message….. VOUS AVEZ UN MESSAGE !.

Je me précipitais et …… c’était un message bref de quelques lignes de Ma Femme. Elle s’excusait de la façon dont elle m’avait parlé la veille au soir, qu’elle n’était pas bien, qu’elle avait passé une très mauvaise nuit….très agité (Mais OUI c’est ça….. à te faire baiser par une grosse bite….. dans une multitude de position ça à du être un vrai calvaire) et qu’elle pensait rester au lit toute la journée, étant nauséeuse et aillant mal à la tête (Mais OUI, c’est ça….. c’est plutôt ta petite chatte qui à eue la visite d’un ‘manche de pioche’ et c’est fait pistonner pendant 3 heures et ton corps frêle à dut supporter les 100 kg de Jacques tu doit être meurtri de partout Ma Chérie…) et qu’elle allait débrancher les téléphone pour ne pas être dérangée…..(Des remords ? besoin de réfléchir et de faire le point ? ou doit-IL repasser ?). Et un laïus sur son Amour pour moi et sa Fidélité (OUI, le chat n’est pas là et la petite OIE BLANCHE se fait gaver…).

Je ne répondais pas à ce courriel, du moins pas encore…. J’avais besoin de me ressaisir. Et si j’avais ouvert la boîte de Pandore ? êtes-ce sa première infidélité ? Allez t’elle continuer à me cocufier ? Pendant combien de temps et avec qui ? Allez t’elle vouloir rester avec Jacques ? cela vaudrait mieux si je voulais continuer à gérer la situation , ou du moins le croire, et si je voulais être informé de ses faits et gestes.

Il me fallait celui de Jacques…. Qui arriva bien plus tard… j’avais eu le temps de rentrer à mon hôtel me doucher, me changer, prendre une petite collation qui avait du mal à passer et qui me resta sur l’estomac jusqu’au soir et revenir sur le site de maintenance sur l’aéroport.

VOUS AVEZ UN MESSAGE ! apparut une fois que mon mot de passe fut saisi, et j’ouvrai ma boîte aux lettres……………… ce que j’attendais avec impatience. Je commençais à peine à le lire que je fus dérangé et qu’il me fallut me rendre sur avion et plus de 2 heures après j’étais de retour dans mon bureau.
VOUS AVEZ UN MESSAGE ! était de nouveau affiché…. Un second courriel de Jacques !
Je lisait donc celui-ci en premier, dans la précipitation, où il me demandait si je ne regrettais pas les évènements, quel effet cela me faisait, quel était mon état d’esprit et qu’il avait fait envoyer un très jolie bouquet de fleur chez moi, pour remercier Ma Femme avec un petit mot doux et qu’il avait essayé de la joindre au tél mais en vain, donc il partait la voir, pour juger de la situation et des dégâts…. Mais de quand datait ce message….. plus de 90 minutes…. donc IL était passé voir ma Tendre il y a environ 1 heure…. !!! Etait-ELLE à la maison ? Lui avait-ELLE ouvert ? Y était-IL encore et que faisaient –ils ?
Je me plongeais dans le compte rendu de la soirée et de LA NUIT, que voici :

« Comme tu le souhaitais, et comme tu te doutais que cela t’arriverai un jour, je te confirme que TU AS BIEN ETE COCUFIE CETTE NUIT, séance de jambe en l’air dont Ingrid se souviendra pour toujours et dont je garde et garderai un très bon souvenir moi aussi.

Je suis passé la chercher chez vous, comme convenu ou plutôt imposé par moi, à 19h15 et je suis arrivé peu de temps après que tu ai appelé, d’après ce que j’ai compris, puisqu’elle a évoqué ton coup de fil. Je l’ai interrogée sur le fait de savoir si tu étais au courant pour cette soirée, elle me répondit vaguement que OUI. Elle était coquette dans sa petite robe bleu nuit à bretelles, qui lui descend juste au dessus des genoux, avec un châle blanc cassé sur le haut des épaules, étant passé chez le coiffeur peut de temps avant je pense et maquillé avec soin, avec ses yeux de biches, le tout avec ses petits escarpins noirs au talons de moins de 4cm, ah…. et aussi des collant gris fumé.

J’avais réservé une table sur le bord de Garonne, à……où j’ai certaines habitudes, (extérieur de Toulouse) et nous y sommes arrivé légèrement avant 20h. A toi de t’arranger avec le décalage horaire. Elle a très peu parlé pendant le trajet, juste quelques OUI, NON, JE NE SAIS PAIS, moi n’ayant pas répondu à sa question de savoir ou je l’emmenais…. Restant stricte dans la voiture, son sac à main posé sur ses genoux et ses mains croisée dessus, elle jouait avec son alliance par moment.
Elle paraissait soucieuse, énervée car ne tenant pas en place dans son fauteuil lorsque nous prenions l’apéritif, choses qui se sont un peu calmé lors du repas, bon enfant ou nous avons parlé de tout et de rien, de ELLE …un peu de moi, et ou j’ai essayé quelques jeux de pieds, aux quels elle n’a pas répondu, ne sait pas dérobée non plus, et n’y a pas fait allusion….
Nous sommes repartis de là, vers 23h25 après lui avoir proposé d’aller dans un club, en tout bien tout honneur, pour prendre le dernier verre et danser un peu, puisque (je le savais déjà) elle aime bien danser mais pas toi et qu’en de rares occasions (4 fois m’a-t-elle dit sur les 2 dernières années) elle avait été en boîte avec une copine (prof comme elle, mais plus âgée).
Nous sommes donc revenu sur Toulouse, son sac à main posé cette fois ci sur le tapis de sol à gauche contre le montant et elle genoux serré les bras croisés , j’ai dus tourner un petit moment avant de trouver une place où me garer et après une petite marche ou je lui remis son châle sur les épaules et lui passait la main dans le dos nous sommes arrivés au …., il était plus de minuit.
On nous a placé à une table - j’avais prévenu la Patronne – avant de sonner chez toi…
Nous avons continué notre discussion sur elle, sur Toulouse qui la change de sa région Centre, sur la danse tout en buvant du champagne et puis nous avons dansé ou du moins j’ai insisté pour que nous allions sur la piste ou déjà une quinzaine de couple dansaient le rock.
Suivant la série Rock (3 morceaux), la lumière se tamisa et une série de slow fut lancée (4 morceaux toutes les heures, c’est une règle dans cet établissement) et alors qu’Ingrid repartais s’asseoir j’ai essayé de la retenir par la main mais elle se dérobât et couru presque jusqu’à son fauteuil d’où elle me regarda arriver avec un regard taquin et un petite sourire enjôleur, je savais à ce moment précis que j’étais proche du but, qu’il ne manquais qu’un petit quelque chose pour faire pencher la balance d’un côté …ou de l’autre , mais comme je te l’avais annoncé il fallait que se soit ce soir sinon rien.
Nous reprîmes notre conversation, elle se trémoussait sur sa chaise, et à la fin des slow elle s’excusa et sa leva, se dirigea vers le bar demanda quelque chose et puis revins vers notre table en se dirigeant vers les toilettes, je l’ai apostrophé en l’attrapant aux passage par le poignet en lui disant à l’oreille :
- Madame F., il serait judicieux si vous souhaitez continuer à danser le Rock, à aller dans cet endroit, d’en profiter pour ôter votre collant, vous serez sûrement plus à l’aise et aurez moins chaud.
Elle eu un petit recul, moi lui lâchant le poignet elle se pencha sur moi, me gratifiant d’une vue sublime sur l’échancrure de sa robe et son SG blanc bien rempli, et me répondit de la même manière :
- Comment savez-vous que c’est un collant….. ? Ce pourrait très bien être…..
Et moi de l’arrêter et de répondre que je le savais….
Elle repris son chemin au travers des tables, ne se retournant pas, mais je savais que si elle revenais jambes nu, tu serais cocu avant le levé du soleil sur Toulouse.
Je fixais donc le couloir légèrement éclairé où Ingrid avait disparu et là-dessus la Patronne vint me voir, ne l’ayant salué que de loin lors de notre arrivée. Nous parlâmes de la soirée et d’ancienne rencontre faite en ce lieu et elle me traita de gougea ne lui ayant pas présenté ‘Ma jeune conquête’ et je lui répondis que rien n’était fais encore, mais j’allais être fixé à son retour des toilettes…. Avec un petit sourire qu’elle me rendit par un clin d’œil avec une légère tape sur l’épaule en repartant….. Ingrid était juste là, déjà à la hauteur de la table voisine et avec la pénombre je ne voyais rien. Nous avons continuais à discuter, nos mains se frôlant et se touchant, et j’essayé avec désespoir de voir si….. Elle s’en aperçu et avec le même regard que lors de sa fuite elle me dit :
- vous essayez de savoir SI…….
Je répondais avec les yeux et elle de rajouter :
- et bien vous serez fixé à la prochaine série de Rock, s’il y en a……
et une nouvelle série de ………. Slow arriva…………… je l’ai prise par la main fermement tout en me levant et l’entraînait directement et prestement sur la piste. Là avec doigté je m’approchais d’elle, une main sur son épaule, l’autre au bas du dos et en commençant un slow langoureux je lui dit :
- Ce n’est pas une série de Rock, mais je suis fixé. Et puis cette tenue vous va à ravir pour des Slows et la chaleur que dégagent nos corps.
Elle n’a pas répondu et a baissé les yeux. Le premier slows se déroula ainsi, au second ayant un début d’érection, je l’ai collé plus prêt de moi avec ma main descendu sur le haut de son postérieur et elle pouvait sentir ma queue relativement haut sur son ventre. Elle a essayé de résister un instant, sans rien dire, ni lever la tête, moi devenant plus insistant en empoignant son petit cul à deux mains. Il va falloir qu’ELLE apprenne que l’on ne joue pas avec moi, que c’est moi qui dicte les règles du jeu et que je n’autorise aucun écart.
Là-dessus elle s’est blottie tout contre moi et ma queue bien bandée, je suis devenu moins ferme sur ses fesses et lui flattait la croupe de ma main gauche….. C’est à partir de ce moment que tu peux considérer être devenu cocu, je n’ai pas pris la peine de regarder l’heure, la série de slow à continué un moment plus long que d’habitude….. Ingrid collé à moi, les yeux clos voir mi-clos se massant le ventre sur ma bite….
Une nouvelle série de Rock à commencé, nous surprenant, restant figé sur la piste et en lui soulevant le menton je lui ai demandé si elle voulais que je la ramène (première fois ou je l’ai tutoyée) et elle n’a pas répondu par des mots mais en clignant des yeux. Nous sommes repassé par notre table, afin qu’elle récupère son sac à main, nous nous sommes dirigé vers la sortie elle collé à moi son bras gauche autour de ma taille moi ma main droite sur sa fesse droite et pendant qu’elle récupérait son châle et que le portier le lui remettait sur les épaules, la Patronne c’est approché de nous, et tout en me glissant quelque chose dans le poche gauche de ma veste et me faisant un clin d’œil, elle nous souhaita une Bonne Nuit pas trop mouvementée.
Nous avons regagné ma voiture, Ingrid de nouveau collé à moi son bras gauche entourant ma taille et tenant son sac, sa main droite me caressant le torse moi de même de ma main droite sur ces fesses essayant de deviner laquelle de ses petite culottes j’allais faire tomber un peu plus tard. Passant devant un recoin sombre, là où la rue… se rétrécit, je l’ai plaquée contre le mur, dans l’ombre, lui tenant les main écartée du corps avec les miennes et j’ai cherché sa langue pour un baiser plein de fougue. J’ai du insister avec ma langue pour forcer le passage, tout en lui écartant les jambes avec mon genoux gauche pour commencer un massage de sa motte avec celui-ci au travers de mon pantalon, du peu de tissu de sa robe et de sa culotte. Elle me donnait maintenant sa bouche, avec de petit râle, et je jouais avec sa langue et ses lèvres à les aspirer et mordiller. Je lui lâchais les mains, pour libérer les miennes et les occuper ailleurs…. sur sa nuque, ses cheveux, ses hanches…. Et alors que j’empoignais sa poitrine avec mes deux mains, lui laissant reprendre son souffle, mon genoux toujours actif entre ses cuisses et qui avez déjà bien remonté sa robe, elle se ravisa me disant NON, NON pas ICI, pas ICI et tirant sur sa robe pour se réajuster et se donner une apparence convenable…je reprenais prestement sa bouche, la clouant contre le mur d’un coup de rein et passant mes deux genoux entre ses jambes, elle pouvait ainsi bien sentir mon érection et il ne fallut qu’un bref instant pour que ses deux mains soient sur mes fesses, laissant tomber son sac, et suivent les mouvements de mon bassin, pendant environ une petite dizaines de minutes. Une voiture c’est engagée dans la rue, nous éclairant un bref instant, Ingrid c’est vite dégagée de mon emprise se baissant pour ramasser son sac, et en se relevant essayant de remettre en ordre sa robe qui était troussé jusqu’à la lisière de sa motte, et moi en profitant pour lui dénuder complètement les fesses en tirant sur sa culotte en sens inverse et d’une tape ferme sur son petit cul la fit avancer ainsi jusqu’à ma voiture, il ne restait qu’à peine 5 ou 6 mètres. Dommage que je n’ai pas eu un appareil photo à ce moment là, tu aurais du voir sa tête et son regard interrogateur, perdu, qu’elle faisait en avançant ainsi légèrement courbée en avant, tenant son sac à 2 mains devant elle, sa jupe même pas à mi-cuisses sur le devant, sur les reins à l’arrière et sa culotte rabaissé sous ses fesses, ça promettais bien pour la suite de la Nuit et je ne suis pas trompé.
J’ouvrais la voiture et montait de mon côté en premier, lui laissant à peine le temps de se remettre en ordre – se couvrir les fesses en remontant sa culotte et elle était assise, son sac à terre un pied de chaque côté , j’en ai profité pour me pencher sur elle, déposant ma main sur son genoux droit et progressant très vite tout en essayant de l’embrasser de nouveau. Elle eu un réflexe et serrais les genoux, emprisonnant ma main A mon regard, qu’elle compris réprobateur et la pression de ma main pour desserrer l’étau de ses cuisses, elle s’ouvrit d’elle-même et me gratifia d’un baiser baveux à pleine bouche, alors que ma main gauche était déjà en contact avec le tissus de sa petite culotte et constatait les dégâts des eaux….au travers du tissus. J’ai joué avec l’élastique de l’aine pendant un petit moment passant un doigt le ressortant, ainsi de suite, elle poussait de petit râle étouffés par nos bouches et nos langues mêlés tout en projetant son bassin en avant dans une invite à passer la frontière. J’arrêtais tout et en redémarrant la voiture de la main droite, lui disait :
- Si tu voulais te faire doigter la chatte, il fallait enlever se rempart !
Chose qu’elle commença à exécuter en soulevant ses fesses du cuir du siège et en agrippant sa culotte par les côtés, tout en regardant vers l’extérieur voir s’il n’y avait personne probablement. Je l’ai arrêté quand elle venait juste de passer les genoux lui disant :
- Allez ça suffit, tu laisse ta culotte comme ça, en gardant tes genoux bien écarté pour ne pas la laisser tomber et tu remets ta robe en place, tu ne va pas montrer ta chatte à toute la ville….
Et tout en disant cela et la regardant droit dans les yeux je lui ai planté mon majeur dans sa grotte, qui était plus qu’humide et chaude lui tirant un OHHHH de surprise et de plaisir, et de rajouter en le ressortant après 3 ou 4 va et vient :
- Comme ça tu éviteras de faire l’escargot sur mes sièges aussi.
Passant mon doigt sous mon nez pour humer son odeur je commentais:
- Ces effluves ouvrent l’appétit et côté goût ?
en l’approchant de sa bouche , elle à compris de suite et la sucé à pleine bouche avec délectation, enroulant sa langue.
Mon doigt bien nettoyé, j’ai démarré et pris la route de chez Toi, de chez Vous. Ingrid regardait à l’extérieur, ne sachant vraiment pas quoi faire de ses mains, un coup croisés sur son bas ventre, l’autre coup retenant sa culotte dans les virages, se tenant à la poignée, elle essayé tout de même en me regardant du coin de l’œil de faire passer sa culotte au dessus de ses genoux et ainsi essayer de la cacher sous sa robe. Arrivé au premier feux des allées…. Une voiture était arrêté à côté de nous, j’ai retiré sa culotte à sa position initiale sous ses genoux, lui disant de juste la maintenir en place avec ses genoux puisqu’elle écartait bien les cuisses il à quelques instant, elle devrait sans difficultés arriver à la maintenir ainsi, et lui demandait de tenir la poignée avec sa main gauche et de passer son bras droit derrière mon siège, pour ne plus y toucher sinon j’allumais le plafonnier. Nous sommes vite arrivé devant la maison, je me suis garé dans la rue à la limite du terrain avec le voisin aux volet jaune, le portail étant fermé. Il était 2h38.
Me tournant vers ta Fidèle Epouse et passant ma main sous sa robe, m’arrêtant au contact de ses poils, ELLE ayant encore un léger réflexe mais se reprenant pour ne pas laisser glisser son bout de tissu, je lui demandais :
- Alors Madame Ingrid F., que veux –tu faire ?
Un silence, pas de réponse et elle n’a pas bougée.
- je t’ais ramené……… nous en restons là ou tu veux vraiment cocufier ton mari ?
Pas de réponse en tournant sa tête vers moi. Je lui ai replanté mon majeur bien profond, lui arrachant de nouveau un OHHHH tout en se mordant les lèvres.
- Je ne sais pas, je ne suis pas prête….. me dit-elle.
Et j’en ai profité pour une dernière pique assassine, je n’allais pas abandonner à ce moment là, il fallait bien que je me paye de toutes ses attentes. Je lui plantais un deuxième doigt et commençait un massage du clito avec mon pouce.
- Ta petite chatte crie famine, elle en a plus que la bave aux lèvres….. et mes deux doigts ne vont certainement pas la rassasier.
Les yeux fermés, haletante, descendu sur le siège, projetant en avant son bas ventre à la rencontre de mes doigts, la robe remontée sous le nombril, sa culotte tendu toujours aux niveau de ses genoux largement écarté à 10h10, un bruit de mouille indiquant le ravage de mes doigts dans sa chatte et alors que j’accélérais le rythme :
- OUI, OUI, je te veux, je veux que tu me fasses JOUIR.
- Tu es sûre ? dit le moi encore ? et ton Mari, tu penses à ton Mari ?
- OUI, JE SUIS SURE. JE VEUX QUE TU ME BAISSES….. JE VEUX JOUIR, JE VEUX JOUIR…
- Et ton Mari ?
- IL AVAIT QU’A ETRE LA, C’EST DE SA FAUTE SI JE LE FAIS COCU CE SOIR.

- fin 1er épisode -

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
bien cette histoire, a quand le site



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : Les craintes et les joies d’être souvent absent. (épisode 1)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Elle pervertie

Titre de l'histoire érotique : Les craintes et les joies d’être souvent absent. (épisode 2) - Récit érotique publié le 12-03-2006
Titre de l'histoire érotique : Les craintes et les joies d’être souvent absent. (épisode 1) - Récit érotique publié le 20-02-2006