Titre de l'histoire érotique : Lucie, salope à domicile - Ep. 1 - histoire érotique

Il était trois heures de l'après-midi, aux alentours du mois de juin. Je marchais dans la rue dans une tenue pour le moins légère, climat oblige. Je sentais plus d'un regard se poser sur moi, il faut dire qu'une femme de 25 ans en mini-jupe, avec un chemisier assez ouvert pour laisser une jolie vue sur un 95C doit s'attendre à ce genre de regards. Mais je ne devais pas flâner, mon maître m'avait donné un ordre. Une rue et un numéro. Je traversais la rue aussi vite que je le pouvais. J'y étais.
J'entre, monte jusqu'au troisième sur les ordres d'Arnaud, car tel était son nom. Je me présentai devant la porte et toquait 4 fois, comme il m'avait ordonné de faire.

Il ouvrit la porte après que j'ai retiré un autre bouton de mon chemisier, par initiative. Il me regarda de haut en bas en insistant à certains endroits. J'étais vêtue comme il le voulait, maquillée et perchée sur des talons hauts. Lui était décontracté, en bermuda et en T-shirt, ses cheveux bruns ébouriffés, comme d'habitude.
Après cette courte période d'observation, il me regarda droit dans les yeux et me dit :
"-Bonjour petite salope. J'ai faillit attendre, et tu sais très bien que j'ai horreur de ça. Et tu as oublié quelque chose je crois. Depuis quand une chienne se tient debout ?
-Je m'excuse maître, répondis-je. Je...
-Et baisse les yeux devant ton maître, coupa-t-il."

Je compris à ce moment que mes paroles n'auraient aucun effet. J'ai à ce moment jeté un œil au couloir pour m'assurer que nous étions seul, et j'ai exécuté son ordre en me mettant à quatre pattes, tête baissée. Il m'a alors attrapé par les cheveux et m'a tiré vers l'intérieur. Il m'ordonna alors d'aller dans le salon pendant qu'il fermait la porte. J'allais donc vers la pièce centrale en me déhanchant, sachant qu'il me regardait.
"-Tu veux vraiment te faire sauter sale pute, c'est ça ? Commence par te déshabiller, que je vois si tu as respecté mes ordres."
Il m'avait en effet interdit de porter quelque sous-vêtement que ce soit, ce que j'avais bien évidemment fait. J'enlevais rapidement ma jupe, puis déboutonnais mon chemisier. D'un coup, il tira dessus et arracha les boutons, me remit à quatre patte et m'ordonna de le sucer. Surprise, je mis quelques secondes à réagir, mais je me plaçais face à sa braguette. Une fois que j'eu retiré son bermuda aussi rapidement que possible, je prenais rapidement son sexe en bouche. Il était déjà bien dur, ce qui me surprit. Mais peu importe, j'avais un ordre à exécuter, et je faisais au mieux. Après avoir fait quelques aller-retours, je suçais son gland, uniquement pendant quelques secondes. Et j'enfilais son sexe complet jusqu'au fond de ma gorge. Je reprenais ma respirations et recommença.
Il retira son engin de ma bouche et me dit : "Difficile de ne pas voir que tu aimes les bites et que tu en as l'habitude espèce de salope ! Maintenant sers-toi de tes seins, ils sont si beaux qu'il serait dommage de ne pas s'en servir, n'est-ce pas ?"
Je me dirigeai vers le sofa, puis m'y installai sur le dos. Il me présenta son sexe que je m'empressai de prendre entre mes seins qui étaient complètement fous de désir. Il commençait les va et vient. Je passais ma langue dès que sa bite était à portée, ce qui ne semblait pas lui déplaire.
Il s'arrêta et m'ordonna de lui offrir mon cul. Enfin, ma chatte trempée allait recevoir contentement. Je me mis en position de soumise, tête contre le sol et le cul en l'air. Il ne tarda pas à me pénétrer. Sans préavis, il y allait violemment. De temps à autres, il passait sa main sur mon clitoris, accentuant mes cris de plaisir. Il se retira juste avant l'orgasme et m'attrapa par les cheveux pour me présenter son sexe. Il allait jouir, et je devais finir le travail. Je faisais donc ce qu'il attendait avant même qu'il eût le temps de parler. Après seulement quelques aller-retours de ma bouche, il pointa son sexe sur moi et me dit : "Maintenant ferme les yeux, ouvre la bouche et attends.".
J'attendais donc en bonne soumise son jus. Il mit quelques secondes à venir, comme si il faisait durer le plaisir. Je fus impressionnée de la quantité. J'en avais partout, aussi bien sur mon visage que dans ma bouche mais aussi sur mes seins... J'avalais le foutre que j'avais en bouche et me jetais sur son sexe pour le nettoyer au mieux. Ensuite, je récupérai le sperme sur mon visage pour l'avaler en le regardant. Je fis de même pour les seins, négligeant par mégarde le peu de jus qui avait dégouliné sur le carrelage. Il me mit une claque violente et plaqua ma tête devant ce que j'avais oublié. Sans un mot, je reléchai le sol et avalait une nouvelle fois.
Je croyais qu'il aurait décidé d'arrêter là, mais il me montra le sofa. Je m'y allongeais sur le dos, et il se remit à me pénétrer violemment. Je hurlais de plaisir en sentant ses doigts sur mon clito se faire de plus en plus insistants. J'allais jouir lorsqu'il se retira.
"Tu jouiras plus tard, beugla-t-il, ce qui me frustra évidemment... On vient de toquer, va accueillir notre invité comme il se doit. "
Mon cœur se mit à battre la chamade. Qu'est-ce qu'il me réservait ?

La suite dans le prochain épisode...