Titre de l'histoire érotique : Ma femme avait le feu au cul !!!
Récit érotique écrit par Areski [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Ma femme avait le feu au cul !!!
Assise à côté de moi dans la voiture, Sabine portait une robe noire, un porte-jarretelles, des bas - coutures et ses bottines à talons hauts. Nous commencions à ressentir la fatigue du voyage. La nuit était bien avancée et cela faisait déjà plusieurs heures que nous roulions lorsque nous nous sommes arrêtés sur une aire de repos. Sabine est descendue de voiture pour satisfaire un besoin pressant. Je ne pus m’empêcher de regarder son déhanchement alors qu’elle s’éloigna rapidement, un désir m’envahit soudain. Je vis alors deux hommes la suivre et entrer après elle dans la station. Ils se permirent quelques gestes équivoques qui en disaient long sur leur excitation. Je décidais alors de descendre moi aussi de voiture et d’aller à la station vérifier que la situation ne dégénérait pas. La station était quasi déserte à cette heure-là. J’entrais alors aux toilettes des hommes quand j’entendis alors, venant des toilettes des femmes, une voix masculine s’exclamer :
- « Viens voir Karim, la petite dame a un joli derrière, elle est sacrément bandante cette bourge»
- « Retrousse-lui la robe pour voir ses dessous et profites-en pour la caresser »
- « Tu aimes quand on te caresse ? Viens voir, elle a des dessous de pute »
- « Arrêtez, je suis mariée et mon mari est dans la voiture »
- « On n’a rien contre les femmes mariées, si tu es gentille avec nous, tu pourras aller retrouver rapidement ton petit mari »
Ma femme ne répondit rien.
- « Laisse toi faire, on va te faire du bien ; Karim à toi l’honneur de caresser Madame, pendant ce temps elle va me tailler une pipe avec ses lèvres bien rouges »
J’entendis le bruit d’un ceinturon de ceinture…
- « Allez, fais pas de manière, tu as une bouche de suceuse, alors au travail ma belle »
- « Dis donc Momo, c’est vrai qu’elle est bien foutue cette salope. En plus de porter des bas, elle porte un string, plutôt une ficelle dans le cul, son mari ne doit pas s’ennuyer avec une pouliche comme elle. Elle a une chatte bien poilue comme je les aime. Regarde, quand je la touche là sous sa petite culotte, elle frissonne, elle ferme les yeux et elle écarte même les cuisses, c’est un sacré numéro cette femelle »
J’entendis alors le souffle de Sabine monter de la cabine.
- « Tu ne me croiras pas, mais la dame est toute mouillée, à croire qu’elle n’a pas baisé depuis des mois »
- « Alors qu’est-ce que tu attends pour la baiser, je passerai après toi ? »
- « Non, arrêtez », entendis-je de nouveau, « mon mari va arriver »
- « Et alors, je suis sûr que ton cocu de mari ça le fera bander de savoir que sa p’tite femme est en train de se faire mettre »
Effectivement, je commençais à être très excité par cette situation.
- « Ne fais pas ta bourgeoise, je sais que tu en as envie, ta chatte est trempée, tu as envie d’un mâle, et tu as de la chance tu vas en avoir deux pour le prix d’un! »
J’entendis alors des râles monter de la cabine. Je compris qu’un des deux hommes était en train de la posséder contre la cloison.
- « Elle est foutrement bonne, cette salope, elle n’arrête pas de mouiller, c’est une salope de premier choix, hein, pas vrai que tu es une bonne salope avec tes bottines »
- « oui, je suis une salope »
- « et ton mari il te fait pas jouir comme moi on dirait ? »
- « Non, il dit que je suis coincée »
- « Coincée, ça non. Plutôt une bonne pute. Tu en veux encore, dis-le »
- « Oui, j’en veux encore »
- « Dis Karim, presse-toi, tu n’es pas seul, j’ai envie d’essayer madame »
- « Ca y est j’ai joui, à ton tour Momo, de profiter de Madame, c’est un sacré bon coup »
- « Oh oui, baisez-moi encore, c’est trop bon »
- « Tu entends Karim, elle en veut encore de la bibite, elle aime les gros calibres, avec moi elle va être servie, je veux que tout le monde t’entende dire « j’aime les gros calibres, je suis une pute à gros calibres », dis-le »
- « oui, j’aime les gros calibres, je suis votre pute, finissez ce que vous avez commencé »
- « la p’tite dame aime se faire mettre pendant que son gentil mari l’attend dans la voiture, Karim, mets-lui ton silencieux dans la bouche, car je vais la faire crier, je vais passer par derrière, son cul est un appel au viol et ce n’est pas sa ficelle qui va m’arrêter »
- « Non, pas par là, vous êtes trop gros et personne ne m’a jamais fait ça »
- « T’inquiète, j’ai l’habitude de prendre les pouliches dans ton genre par là, et tu peux me croire, elles ne le regrettent pas ».
Effectivement, elle gémissait de plus en plus fort, je ne la reconnaissais pas, elle si souvent si prude et réservée quand il s’agissait de sexe, elle était totalement décoincée. Elle se livrait comme une chienne, à quatre pattes, un mâle devant, un autre derrière.
- « C’est une sacrée chienne cette salope, elle commence à bouger du cul, tu vas voir Karim, je vais lui élargir le trou du cul à cette bourge, après moi, tout le monde pourra rentrer par là »
J‘entendis Sabine jouir une nouvelle fois sans aucune retenue comme la dernière des catins.
- « Finis ta sucette maintenant, fais ta gourmande avec ta langue, je suis sûr qu’au travail tu es le genre de pétasse à passer sous le bureau pour tailler le crayon de ton directeur, n’est-ce pas »
- « Oui, je l’ai déjà fait et les hommes aiment ça »
- « Ton mari est au courant ? »
- « Non, non, il voudrait que je lui fasse la même chose… »
- « Mais tu préfères le faire à des inconnus, tu es vraiment une salope »
- « Oui, je suis une salope qui va aller retrouver son cocu de mari »
- « N’oublie pas de rajuster ta ficelle car sinon ta robe va être toute tâchée, et n’oublie pas aussi de remercier ton mari »
- « Si tu veux nous laisser ton numéro de téléphone, on viendra te visiter quand tu veux et si ton mari veut regarder, on lui laissera le fauteuil et on prendra sa place dans le lit, il aimera la leçon et il verra que sa femme est une pute qui aime se faire violer par des mecs bien montés … »
- « Viens voir Karim, la petite dame a un joli derrière, elle est sacrément bandante cette bourge»
- « Retrousse-lui la robe pour voir ses dessous et profites-en pour la caresser »
- « Tu aimes quand on te caresse ? Viens voir, elle a des dessous de pute »
- « Arrêtez, je suis mariée et mon mari est dans la voiture »
- « On n’a rien contre les femmes mariées, si tu es gentille avec nous, tu pourras aller retrouver rapidement ton petit mari »
Ma femme ne répondit rien.
- « Laisse toi faire, on va te faire du bien ; Karim à toi l’honneur de caresser Madame, pendant ce temps elle va me tailler une pipe avec ses lèvres bien rouges »
J’entendis le bruit d’un ceinturon de ceinture…
- « Allez, fais pas de manière, tu as une bouche de suceuse, alors au travail ma belle »
- « Dis donc Momo, c’est vrai qu’elle est bien foutue cette salope. En plus de porter des bas, elle porte un string, plutôt une ficelle dans le cul, son mari ne doit pas s’ennuyer avec une pouliche comme elle. Elle a une chatte bien poilue comme je les aime. Regarde, quand je la touche là sous sa petite culotte, elle frissonne, elle ferme les yeux et elle écarte même les cuisses, c’est un sacré numéro cette femelle »
J’entendis alors le souffle de Sabine monter de la cabine.
- « Tu ne me croiras pas, mais la dame est toute mouillée, à croire qu’elle n’a pas baisé depuis des mois »
- « Alors qu’est-ce que tu attends pour la baiser, je passerai après toi ? »
- « Non, arrêtez », entendis-je de nouveau, « mon mari va arriver »
- « Et alors, je suis sûr que ton cocu de mari ça le fera bander de savoir que sa p’tite femme est en train de se faire mettre »
Effectivement, je commençais à être très excité par cette situation.
- « Ne fais pas ta bourgeoise, je sais que tu en as envie, ta chatte est trempée, tu as envie d’un mâle, et tu as de la chance tu vas en avoir deux pour le prix d’un! »
J’entendis alors des râles monter de la cabine. Je compris qu’un des deux hommes était en train de la posséder contre la cloison.
- « Elle est foutrement bonne, cette salope, elle n’arrête pas de mouiller, c’est une salope de premier choix, hein, pas vrai que tu es une bonne salope avec tes bottines »
- « oui, je suis une salope »
- « et ton mari il te fait pas jouir comme moi on dirait ? »
- « Non, il dit que je suis coincée »
- « Coincée, ça non. Plutôt une bonne pute. Tu en veux encore, dis-le »
- « Oui, j’en veux encore »
- « Dis Karim, presse-toi, tu n’es pas seul, j’ai envie d’essayer madame »
- « Ca y est j’ai joui, à ton tour Momo, de profiter de Madame, c’est un sacré bon coup »
- « Oh oui, baisez-moi encore, c’est trop bon »
- « Tu entends Karim, elle en veut encore de la bibite, elle aime les gros calibres, avec moi elle va être servie, je veux que tout le monde t’entende dire « j’aime les gros calibres, je suis une pute à gros calibres », dis-le »
- « oui, j’aime les gros calibres, je suis votre pute, finissez ce que vous avez commencé »
- « la p’tite dame aime se faire mettre pendant que son gentil mari l’attend dans la voiture, Karim, mets-lui ton silencieux dans la bouche, car je vais la faire crier, je vais passer par derrière, son cul est un appel au viol et ce n’est pas sa ficelle qui va m’arrêter »
- « Non, pas par là, vous êtes trop gros et personne ne m’a jamais fait ça »
- « T’inquiète, j’ai l’habitude de prendre les pouliches dans ton genre par là, et tu peux me croire, elles ne le regrettent pas ».
Effectivement, elle gémissait de plus en plus fort, je ne la reconnaissais pas, elle si souvent si prude et réservée quand il s’agissait de sexe, elle était totalement décoincée. Elle se livrait comme une chienne, à quatre pattes, un mâle devant, un autre derrière.
- « C’est une sacrée chienne cette salope, elle commence à bouger du cul, tu vas voir Karim, je vais lui élargir le trou du cul à cette bourge, après moi, tout le monde pourra rentrer par là »
J‘entendis Sabine jouir une nouvelle fois sans aucune retenue comme la dernière des catins.
- « Finis ta sucette maintenant, fais ta gourmande avec ta langue, je suis sûr qu’au travail tu es le genre de pétasse à passer sous le bureau pour tailler le crayon de ton directeur, n’est-ce pas »
- « Oui, je l’ai déjà fait et les hommes aiment ça »
- « Ton mari est au courant ? »
- « Non, non, il voudrait que je lui fasse la même chose… »
- « Mais tu préfères le faire à des inconnus, tu es vraiment une salope »
- « Oui, je suis une salope qui va aller retrouver son cocu de mari »
- « N’oublie pas de rajuster ta ficelle car sinon ta robe va être toute tâchée, et n’oublie pas aussi de remercier ton mari »
- « Si tu veux nous laisser ton numéro de téléphone, on viendra te visiter quand tu veux et si ton mari veut regarder, on lui laissera le fauteuil et on prendra sa place dans le lit, il aimera la leçon et il verra que sa femme est une pute qui aime se faire violer par des mecs bien montés … »
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