Titre de l'histoire érotique : Ma "femme" de ménage
Récit érotique écrit par St Gilles [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Ma "femme" de ménage
Je suis un homme célibataire d’une trentaine d’années, je mesure 1m90 je pèse 100kg, je suis sportif et actif, j’aime avoir une vie sociale mais je ne supporte pas de vivre la nuit. J’habite depuis peu sur une île et j’ai un travail qui me permet de vivre correctement. J’ai une belle voiture, un appart sympa, et un style de vie commun mais agréable.
Depuis quelques temps, je me suis offert le luxe d’avoir une femme de ménage, Nathalie, résidente de l’île, peau cuivrée, petite mais généreusement fournie, des seins suffisamment gros pour remplir la main d’un honnête homme comme moi et un postérieur à réveiller un mort. Elle vient 2 fois par semaines à mon domicile pour les travaux de base : laver par terre, la vaisselle, les carreaux, ….
Récemment, Nathalie m’a raconté que ça ne se passait pas très bien avec son copain et qu’elle devait retourner chez ses parents. Elle m’a donc demandé si je ne pouvais pas la payer plus pour travailler d’avantage, prétextant que j’étais un employeur sympathique et que ce n’avait pas toujours été le cas de mes prédécesseurs.
Lorsque je lui ai demandé quel genre de travail elle voulait exercer en plus, elle m’annonça qu’elle aimerait me faire plaisir et faire en plus du repassage, changer mes draps, venir plus souvent, « un homme comme vous doit être très occupé et ne doit pas avoir le temps de nettoyer chez lui ». Ca tombait bien !
Nathalie commença à venir de plus en plus régulièrement et un jour que je rentrais du boulot, je l’a trouvait devant ma porte en disant qu’il fallait qu’elle me voit. Je lui proposais de rentrer un instant, je lui offris un verre.
A peine rentrés, elle se jeta par terre à genoux et entreprit de s’occuper de mon membre avec toute la délicatesse qu’une fille peut avoir, elle commença par me lécher les testicules avec passion, me masturbant d’une main et se caressant la poitrine de l’autre. Au bout de quelques minutes, elle m’avait pris en bouche et dégustait mon sexe. Je n’en pouvais plus. Je me doutais un petit peu que lors de sa proposition d’heure supplémentaires, elle avait autre chose dans la tête que de faire du ménage mais je ne m’attendais pas à ce que ca se passe maintenant.
Je profitais donc de l’instant présent, me faisant lécher la queue par Nathalie qui ne devait pas en être à sa première fellation vu sa dextérité. Elle alternait bite-couilles rapidement et avec amour. Au bout de quelques minutes, Nous sommes passés de l’entrée de l’appart au salon, plus confortable. Nathalie était à présent à poil et moi en chaussures et chemise. Je décidais de prendre les choses en mains pour qu’elle ne sente pas toute seule. La mettant sur le dos, sur la table du salon, je commençais à jouer de ma langue sur ses parties intimes. Elle redressa les jambes et m’invita à descendre mon jeu de langue jusqu’à son petit trou. C’était formidable, elle mouillait énormément alors que je n’avais pas fait grand-chose. Elle m’arrêta dans mon élan et m’expliqua qu’elle n’aimait pas trop les coups de langues sur la chatte, elle préférait le périnée et l’anus. J’avais du mal à y croire vu l’humidité qui régnait dans son orifice principal. Mais je m’exécutais et lui dévorais le trou de balle. De fil en aiguilles, ayant bien profités du sexe de l’autre oralement, je m’apprêtais à introduire ma bite dans sa grotte juteuse et pleine d’amour lorsqu’elle m’arrêta et m’intima l’ordre de la prendre en levrette pour commencer. Elle m’expliqua après qu’elle ne supportait pas de faire l’amour comme tout le monde en missionnaire, elle préférait le coté bestial, sexuel, tactile. Aussitôt dit, aussitôt fait, je l’embrochais d’un coup par derrière lui déclenchant des saccades vaginales, elle ondulait et se tortillait de plaisir sous mes coups de boutoir. Nous avons changé de positions très souvent lors de ce câlin pour éviter que je ne jouisse tout de suite.
J’annonçais au bout de quelques temps et de positions diverses que j’allais bientôt exploser et que je n’en pouvais plus. Qu’elle ne fut pas ma surprise quand elle me demanda de lui éjaculer dans le fion que j’avais si bien nettoyé et préparé auparavant. Je la sodomisais donc pour finir cet acte sexuel, et j’explosais dans son cul serré quelques secondes après. J’étais en transe.
Je lui proposais de dormir à la maison car il commençait à se faire tard mais elle ne voulut pas. En outre elle m’affirma que nous allions bientôt nous revoir pour une autre séance de ménage. Nous sommes restés en très bon termes depuis ce temps là et j’ai quand même droit à une pipe fabuleuse quand elle vient à la maison.
Depuis quelques temps, je me suis offert le luxe d’avoir une femme de ménage, Nathalie, résidente de l’île, peau cuivrée, petite mais généreusement fournie, des seins suffisamment gros pour remplir la main d’un honnête homme comme moi et un postérieur à réveiller un mort. Elle vient 2 fois par semaines à mon domicile pour les travaux de base : laver par terre, la vaisselle, les carreaux, ….
Récemment, Nathalie m’a raconté que ça ne se passait pas très bien avec son copain et qu’elle devait retourner chez ses parents. Elle m’a donc demandé si je ne pouvais pas la payer plus pour travailler d’avantage, prétextant que j’étais un employeur sympathique et que ce n’avait pas toujours été le cas de mes prédécesseurs.
Lorsque je lui ai demandé quel genre de travail elle voulait exercer en plus, elle m’annonça qu’elle aimerait me faire plaisir et faire en plus du repassage, changer mes draps, venir plus souvent, « un homme comme vous doit être très occupé et ne doit pas avoir le temps de nettoyer chez lui ». Ca tombait bien !
Nathalie commença à venir de plus en plus régulièrement et un jour que je rentrais du boulot, je l’a trouvait devant ma porte en disant qu’il fallait qu’elle me voit. Je lui proposais de rentrer un instant, je lui offris un verre.
A peine rentrés, elle se jeta par terre à genoux et entreprit de s’occuper de mon membre avec toute la délicatesse qu’une fille peut avoir, elle commença par me lécher les testicules avec passion, me masturbant d’une main et se caressant la poitrine de l’autre. Au bout de quelques minutes, elle m’avait pris en bouche et dégustait mon sexe. Je n’en pouvais plus. Je me doutais un petit peu que lors de sa proposition d’heure supplémentaires, elle avait autre chose dans la tête que de faire du ménage mais je ne m’attendais pas à ce que ca se passe maintenant.
Je profitais donc de l’instant présent, me faisant lécher la queue par Nathalie qui ne devait pas en être à sa première fellation vu sa dextérité. Elle alternait bite-couilles rapidement et avec amour. Au bout de quelques minutes, Nous sommes passés de l’entrée de l’appart au salon, plus confortable. Nathalie était à présent à poil et moi en chaussures et chemise. Je décidais de prendre les choses en mains pour qu’elle ne sente pas toute seule. La mettant sur le dos, sur la table du salon, je commençais à jouer de ma langue sur ses parties intimes. Elle redressa les jambes et m’invita à descendre mon jeu de langue jusqu’à son petit trou. C’était formidable, elle mouillait énormément alors que je n’avais pas fait grand-chose. Elle m’arrêta dans mon élan et m’expliqua qu’elle n’aimait pas trop les coups de langues sur la chatte, elle préférait le périnée et l’anus. J’avais du mal à y croire vu l’humidité qui régnait dans son orifice principal. Mais je m’exécutais et lui dévorais le trou de balle. De fil en aiguilles, ayant bien profités du sexe de l’autre oralement, je m’apprêtais à introduire ma bite dans sa grotte juteuse et pleine d’amour lorsqu’elle m’arrêta et m’intima l’ordre de la prendre en levrette pour commencer. Elle m’expliqua après qu’elle ne supportait pas de faire l’amour comme tout le monde en missionnaire, elle préférait le coté bestial, sexuel, tactile. Aussitôt dit, aussitôt fait, je l’embrochais d’un coup par derrière lui déclenchant des saccades vaginales, elle ondulait et se tortillait de plaisir sous mes coups de boutoir. Nous avons changé de positions très souvent lors de ce câlin pour éviter que je ne jouisse tout de suite.
J’annonçais au bout de quelques temps et de positions diverses que j’allais bientôt exploser et que je n’en pouvais plus. Qu’elle ne fut pas ma surprise quand elle me demanda de lui éjaculer dans le fion que j’avais si bien nettoyé et préparé auparavant. Je la sodomisais donc pour finir cet acte sexuel, et j’explosais dans son cul serré quelques secondes après. J’étais en transe.
Je lui proposais de dormir à la maison car il commençait à se faire tard mais elle ne voulut pas. En outre elle m’affirma que nous allions bientôt nous revoir pour une autre séance de ménage. Nous sommes restés en très bon termes depuis ce temps là et j’ai quand même droit à une pipe fabuleuse quand elle vient à la maison.
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