Titre de l'histoire érotique : Ma femme obéissante 1
Récit érotique écrit par Pauli text [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2006 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Ma femme obéissante 1
Les rapports entre ma femme et moi sont excellents. Au lit Madame est plutôt soumise et aime que je prenne l’initiative. Nous avons souvent des rapports classiques et de temps en temps on essaye des nouveaux trucs.
Nous réalisons certains de nos phantasmes, qui sont souvent les miens, car Laurence (ma femme) me dit toujours qu’elle n’a pas d’imagination mais qu’elle aime mes idées.
Je phantasme sur plusieurs scénarii et les raconte régulièrement à ma femme, celle-ci en rigole et s’excite en m’écoutant. Nous passons à l’acte parfois et nous nous amusons bien. C’est ainsi que nous avons une collection de jouets sexuels et que j’ai déjà pris ma femme dans plein de lieux différents.
Une fois un joggeur s’est masturbé devant nous pendant que nous faisions l’amour sur une plage supposée être déserte. Je la prenais en levrette alors qu’un homme passait en courant, il nous observait et s’est arrêté à bonne distance, Laurence n’avait rien remarqué et elle gémissait comme une cochonne pendant que je la besognais. Le voyeur s’est approché discrètement et a commencé à se toucher à travers son survêtement. Il était à une dizaine de mètres. C’était un jeune d’une vingtaine d’années.
J’ai dit à ma femme de regarder mais de continuer à gémir comme une salope. Elle s’est raidie et a arrêté de faire des sons. Puis elle m’a dit que l’on ferait mieux de partir car ça la gênait. Je lui ai mit deux grosses claques sur le cul et je l’ai attrapé par ses fesses bien charnues et l’ai pilonné à mort. Sa chatte était chaude et humide, le traitement lui arrachait des petits cris qu’elle essayait de refreiner, mais les vas et viens incessants eurent raison de sa gêne. Elle s’est mise à gémir et à m’encourager et à bouger son cul en le faisant venir à ma rencontre. Sa chatte s’est inondée et son orgasme a été fulgurant.
Après quelques secondes de pause, je lui ai dit d’appeler notre voyeur et lui ordonner de se branler. Ma femme lui a fait signe de s’approcher et, a mon grand étonnement, lui a parlé très sèchement.
« Asseyes toi sur cette pierre et branle toi devant moi »
Puis elle se tourna vers moi et m’ordonna :
« Toi aussi, mets toi à côté de lui »
L’homme était tétanisé et une fois installé sur la pierre, il ne bougiait pas. Laurence lui fit signe de se masturber, et comme il ne répondait pas elle lui tira le short en bas. Son sexe était tendu mais pas très grand et surtout très fin. Ma femme eu un petit rire idiot et se ficha gentiment de lui. Elle me regarda dans les yeux et prit son sexe entre deux doigts et le secoua rapidement. 30 secondes plus tard il gicla sur son t-shirt plusieurs fois , puis elle me prit dans sa bouche et me suça comme jamais.
Elle y allait tranquillement, me suçait, léchait, massait jusqu’à ce que je décharge dans sa bouche.
Le voyeur s’était éclipsé discrètement pendant les ébats finaux et nous sommes rentrés.
Voilà, nous avons d’autres aventures. Certain diront qu’elles sont soft, mais ce sont mes expériences réelles.
Tout commentaire sera le bienvenu pauli.text@hotmail.com
Nous réalisons certains de nos phantasmes, qui sont souvent les miens, car Laurence (ma femme) me dit toujours qu’elle n’a pas d’imagination mais qu’elle aime mes idées.
Je phantasme sur plusieurs scénarii et les raconte régulièrement à ma femme, celle-ci en rigole et s’excite en m’écoutant. Nous passons à l’acte parfois et nous nous amusons bien. C’est ainsi que nous avons une collection de jouets sexuels et que j’ai déjà pris ma femme dans plein de lieux différents.
Une fois un joggeur s’est masturbé devant nous pendant que nous faisions l’amour sur une plage supposée être déserte. Je la prenais en levrette alors qu’un homme passait en courant, il nous observait et s’est arrêté à bonne distance, Laurence n’avait rien remarqué et elle gémissait comme une cochonne pendant que je la besognais. Le voyeur s’est approché discrètement et a commencé à se toucher à travers son survêtement. Il était à une dizaine de mètres. C’était un jeune d’une vingtaine d’années.
J’ai dit à ma femme de regarder mais de continuer à gémir comme une salope. Elle s’est raidie et a arrêté de faire des sons. Puis elle m’a dit que l’on ferait mieux de partir car ça la gênait. Je lui ai mit deux grosses claques sur le cul et je l’ai attrapé par ses fesses bien charnues et l’ai pilonné à mort. Sa chatte était chaude et humide, le traitement lui arrachait des petits cris qu’elle essayait de refreiner, mais les vas et viens incessants eurent raison de sa gêne. Elle s’est mise à gémir et à m’encourager et à bouger son cul en le faisant venir à ma rencontre. Sa chatte s’est inondée et son orgasme a été fulgurant.
Après quelques secondes de pause, je lui ai dit d’appeler notre voyeur et lui ordonner de se branler. Ma femme lui a fait signe de s’approcher et, a mon grand étonnement, lui a parlé très sèchement.
« Asseyes toi sur cette pierre et branle toi devant moi »
Puis elle se tourna vers moi et m’ordonna :
« Toi aussi, mets toi à côté de lui »
L’homme était tétanisé et une fois installé sur la pierre, il ne bougiait pas. Laurence lui fit signe de se masturber, et comme il ne répondait pas elle lui tira le short en bas. Son sexe était tendu mais pas très grand et surtout très fin. Ma femme eu un petit rire idiot et se ficha gentiment de lui. Elle me regarda dans les yeux et prit son sexe entre deux doigts et le secoua rapidement. 30 secondes plus tard il gicla sur son t-shirt plusieurs fois , puis elle me prit dans sa bouche et me suça comme jamais.
Elle y allait tranquillement, me suçait, léchait, massait jusqu’à ce que je décharge dans sa bouche.
Le voyeur s’était éclipsé discrètement pendant les ébats finaux et nous sommes rentrés.
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