Titre de l'histoire érotique : Ma première bite - histoire érotique

Depuis longtemps déjà j'étais tenté par le sexe masculin, je voulais le goutter, l'avoir en bouche pour savoir l'effet que ça fait.
Je me suis donc rendu dans un lieu propice à la chose un sauna gay. Je n'en connaissais pas au départ et un jour, avec des amis nous discutions sur les hammams et autre jakkuzi, quand nous dit l'un d'eux « Il y a un sauna sur Lille mais c'est un sauna pour "les PD" » Dit-il en riant, tout de suite mon attention fut attiré mais sans trop le montrer, je lui dit donc "C'est où que j'y aille pas!!! Pas envi de me faire tripoter"
Et le stratagème à bien pris puisqu'il me donne le nom du lieu de toutes mes envies.
Très vite je file sur le net rechercher les coordonnés. Un samedi après-midi je me suis donc décidé à passer le pas. j'arrive devant l'établissement et le trac me prend soudainement, j'ai presque envie de repartir, mais je me ressaisis et rentre enfin.

Un beau p'tit miner en tee-shirt moulant blanc et au short très moulant lui aussi me reçoit au guichet. Je suis un peu troublé et j'ai du mal à rester moi-même. Je règle mon droit d'entrée et il ouvre le sas qui donne sur un bar légèrement camouflé derrière quelques plantes. Là il me donne une clef de vestiaire et me tend deux serviettes. Voyant que j'étais nouveau il me dit d'une voix suave "les casiers sont au premier" avec un sourire angélique.
Je monte sans trop croiser le regard des garçons présents avec leur serviette autour de la taille.
Arrivé devant mon casier je me déshabille sans oser regarder autour de moi et très vite j'enlève mon boxer pour le remplacer par une serviette. Je redescends sans trop savoir où j'allais, je découvrais petit à petit ce lieu magique. Devant moi s'ouvre un petit couloir qui donne sur la pièce du jakkuzi et du sauna. Le sauna est vide et quatre mecs trempent dans jakkuzi. Je fais le tour mine de rien et je découvre derrière le jakkuzi les douches communes. Là un panneau indique qu'il faut prendre une douche avant d'utiliser les installations. Trois mecs sont sur la douche et je n'ose y aller j'attends donc un moment et dés qu'ils sont sortis je défais ma serviette et file sous une douche. L'ambiance m'excite et je commence à bander Je me retourne dos à l'entrée pour ne pas être surpris dans cet état. Discrètement, pendant que je me savonne je m'astique un peu, au même moment rentre un garçon de taille moyenne bien brun le teint mate et les yeux clair c'est troublant. Je n'ose me retourner vers lui car j'étais honteux de "ma forme" bien visible et je le sens qui s'approche de moi. Je panique mon cœur s'emballe mais il venait juste prendre du savon au distributeur. Sa peau me touche je suis électrisé par le contacte de cette peau douce et chaude. Moi toujours dos à lui je n'ose le regarder et je l'entends me dire "Tu peux me savonner le dos? Je te savonnerais le tien après si tu veux ?" Je suis pétrifié et je balbutie un oui timide. Je récupère quelques noix de savon et commence à lui frotter le dos sans trop descendre. Je veille bien à ne lui laver que le dos et concentré sur ma besogne je débande. Une fois fini il me dit "A moi" je me retourne car je n'ose croiser son regard et je sens qu'il commence plus à me caresser plutôt que de me frictionner. Ces gestes sont de plus en plus amples jusqu'à carrément me caresser les fesses. J'étais pétrifié et excité et là sans équivoque ça se voyait. Il est venu se plaquer à moi et il à commencé à me savonner la queue et il me dit "Il ne faut pas oublier le principal" Je n'osais plus bouger et je sentais sa queue gonfler contre mes fesses. Il me dit "Retournes- toi que je te rince" Le jet dirigé sur ma bite il allait et venait en me décalottant le gland. Puis il me dit "Je peux?" Ne comprenant rien à se qu'il me dit je dit un oui timide avec la voix cassé par le stresse, le trac et l'excitation.
Il s'agenouille devant moi et me gobe le sexe. Je n'en reviens pas , un mec me taille une pipe. Tellement excité par la situation, la nouveauté et sa façon de faire j'ai juste eu le temps de reculer pour ne pas lui éjaculer dans la bouche. Il me sourit tout en continuant à me branler et me dit "C'est du rapide dis-donc". Il se relève me fait un petit bécot et me dit "Viens on va s'isoler". Nous récupérons nos serviettes on se sèche à peine, la serviette autour de la taille je le suis. Nous montons à l'étage qui n'est rien d'autre qu'un couloir et une multitude de portes. Ce ne sont en fait que des petites pièces où il n'y a qu'une banquette en simili-cuir pour une personne et la pièce doit faire tout au plus 2 mètres carré, juste la place pour se tenir à deux dedans. Nous rentrons dans une "Backroom" (j'ai appris le nom après lol) et il referme la porte derrière moi avec le verrou puis se débarrasse de sa serviette. Son sexe en érection lui touche presque le ventre.
Il s'approche de moi défait ma serviette qui tombe à terre et me roule carrément une pelle. Troublé je répond à son baisé et je n'y tiens plus il faut que je touche sa queue. Je la prends en main et je commence à le caresser doucement, il s'assoit sur le bord de la banquette les cuisses bien écarté et me dit "C'est la première fois ?" Je lui réponds que oui intimidé et excité par la situation. Il rigole et me dit " Et bin on va faire ton éducation".

Il écarte complètement les cuisses posant ces pieds sur la banquette et se branle en me regardant me dit: "Tu veux la sucer ?" Mon envi était trop grande pour refuser et je me suis pencher pour prendre cette belle pinne dans ma bouche. Le contacte de sa queue avec mes lèvres est très agréable et je joue avec ma langue autour de son gland. Je le suce, le pompe, le lèche, le branle j'ai trop envi de la voir cracher. Je sens bientôt sa queue se raidir et je me retire pour le branler. J'ai maintenant cette pinne face à moi qui est prête à exploser et je veux voir ça. Dans un râle qui en dit long son premier jet viens s'écraser sur mon cou puis sur mon torse. Je n'ai jamais vu quelqu'un juter autant ça n'en finissait plus. J'avais le torse couvert de sa semence. Il s'écroule sur la banquette et je que continue de le branler lentement jusqu'à ce qu'il attrape ma main et d'un geste ferme il arrête mes va-et-viens.
Il est complètement essoufflé et en sueur, se relève et me dit "Tu es sur que c'est la première fois? ", "Oui la première fois! " "Et bin tu te débrouilles bien pour une première"
Nous avons passé la moitie du rouleau de sopalin pour se nettoyer et ramasser le sperme qui avait coulé sur la banquette.
Nous sortons de cette pièce exigüe pour nous rafraichir sous la douche. Sous la douche nous nous tripotons encore un peu mais sans plus.
Il décide de me faire la visite guidé des lieux. Nous commençons par le sous-sol. Dans les escaliers qui nous y mènent nous croisons d'autre garçons qui profitent de l'exigüité des escaliers pour les laisser trainer leurs mains et froller nos sexes, c'est troublant. Nous arrivons dans couloir sombre juste éclairé par la lueur d'un poste de télévision qui est situé dans une pièce qui sert de pseudo salle de cinéma et qui projète un film gay. Là trois garçons se masturbent sous leur serviettes. Nous longeons cette pièce pour arriver à un labyrinthe plongé dans le noir avec au milieu deux pièces au cloisons percées.
Il me pousse dans l'une d'elle et me dit « Tu va voir quelques chose ». Il me caresse un peu et me plaque contre une des parois et je sens un sexe qui est passé au travers de ces fameux trous. Mon amant du jour me chuchote alors à l'oreille « Tu veux la sucer? ». Mon envie est trop grande et je m'exécute. Je m'agenouille et prends cette bite à pleine bouche je m'applique à le sucer du mieux que je peux mais la cloison me gène dans mes mouvements ce qui fait que je ne lui suce que le gland, j'en profite donc pour lui agacer le frein du bout de ma langue. Je sens bientôt mon compagnon de chambre s'agenouiller aussi et en faire tout autant que moi avec une autre queue. Cette atmosphère m'enivre et je me donne sans compter pour satisfaire mon invité surprise. Le traitement que je lui inflige fini par donner ses fruits et il part dans un râle et de longs jets de semence qui finissent sur le sol carrelé. Je nettoie mes doigts à un essuie-tout et je sens déjà une nouvelle queue qui pointe à l'orifice. Je m'agenouille et là surprise la queue est bien plus longue et le gland énorme, j'ai du mal à le gober. Je fait de mon mieux quand je sens mon ami me rejoindre et je lui cède la place. Je me retire un peu et machinalement je passe la main à travers le trou qu'il occupait auparavant. Une autre bite vient se glisser entre mes doigts et je l'attire vers l'intérieur. Encore une fois une bite longue mais beaucoup moins grosse que l'autre. J'arrive à le sucer cette fois-ci presque jusqu'au bout. Je sens que j'aime ça de plus en plus et je m'exécute comme si j'avais pompé depuis toujours. Notre traitement buccale fini par faire effet et nos deux visiteurs éjaculent quasiment en même temps. Nous avons ainsi satisfait deux garçons chacun avant de sortir du lieu. C'est étrange la noirceur du lieu m'empêche de voir qui était là, ce qui finalement est très bien car ainsi j'ai pu fantasmer sur de beaux apollons sans être déçu à la fin. Nous remontons à l'étage par un autre escalier qui donne sur un petit couloir et qui arrive sur la pièce d'eau et sur le côté un autre escalier que l'on emprunte pour passer le couloir aux multiples portes de tout à l'heure et au bout encore un escalier pour arriver au dernier étage avec un couloir en U qui dessert d'autre petites pièces comme celles du premier mais encore plus petites, il y a juste la place d'un matelas pour une personne. Dans un angle du couloir un autre poste de télévision est perché tout en haut du mur et il retransmet le même film qu'en bas et tout au bout un autre escalier pour redescendre vers le bar. Nous filons à la douche nous débarbouiller et allons nous désaltérer au bar. Nous discutons un bon moment sur nos envies et fantasmes et cette discutions commence à nous émoustiller de nouveaux. Là c'est moi qui prend les devants et je lui demande s'il veut remonter au dernier étage? Ni une ni deux nous revoilà montant ces escaliers où là encore quelques mains tentent une approche que nous refusons. Nous nous enfermons très vite dans une pièce et sans un mot je pompe mon initiateur. Sa vitalité est au rendez-vous et je me délecte de cette colonne de chair qui soubresaute devant moi à chaque coup de langue. D'un coup mon amant se retire et me tourne le dos pour me tendre les fesses qu'il écarte des mains et me présente son œillet palpitant. Je suis tellement excité que je ne réfléchis même plus et je commence un pétale de rose comme j'aime le faire à ma femme. Je sens cette rose éclore de plus en plus à chaque lapé. J'introduis ma langue qui lui fait lâcher un long râle de satisfaction. Cela m'encourage encore plus et mon majeur prend la place de ma langue. De l'autre je prends possession de sa hampe et je règle mes mouvements du doigt et de la main. D'un doigt je passe à deux pour le faire jouir dans une longue série de jets impressionnants. Il s'agenouille m'embrase d'un baisé long et tendre auquel je répond sans résistance bien au contraire. Il m'allonge sur le matelas et vient se placer entre mes cuisses pour me gratifier du même traitement. J'écarte le plus possible les cuisses pour l'inviter à me dévorer tant je suis excité. Il relève mes jambes et commence à son tour la visite de ma rosette. C'est vrai que c'est délicieux, il me branle, me lèche, me suce jusqu'à ce que ma queue libère ma crème un jet a atterrit sur le haut de ses lèvres et quand j'eus fini de me vider il est venu me tendre ses lèvres et je l'ai nettoyé de ma semence dans un long baisé. C'est la première fois que je goutte mon sperme. Nous nous sommes quitté et je ne l'ai plus jamais revu.
Je ne regrette rien au contraire depuis je suis bi à 200%