Titre de l'histoire érotique : ma première fois avec Louis - histoire érotique

Bonjour à tou(te)s ;


Je m’appelle Nathalia, Nathalie pour faire simple et dans la langue de BAUDELAIRE (oui j’ai du mal avec MOLIERE ce soir, l’érotisme allant mieux au premier). Je suis une jeune étudiante de 22 ans à sciences po Paris et ressens un grand intérêt pour le service de l’Etat. Physiquement on me dis jolie, comme toute slave qui se respecte je suis une grande blonde de 1m82 aux yeux bleu et un jolie petit 85 B pas bien gros mais que je sais mettre en valeur. Mes fesses sont sculptées par le sport que je pratique et ont fait craquer les filles dans mes jeunes années. Car en effet j’étais plutôt attirée par les filles avant de tomber dans les bras de Louis, aventure qui sera comté dans ce récit.

Louis (qui m’a toujours fait croire qu’il portait ce prénom en l’honneur de Louis Dieudonné autrement appelé Louis XIV) quant à lui est un étudiant de 21 ans en droit à Bordeaux. Beau brun ténébreux de 1m78 (et oui je sors avec un nain…) dispose d’un jolie regard émeraude perçant qui m’a toujours glacé et un corps de phoebus dû à la pratique intensive du rugby. Nous nous connaissons depuis nos années lycées (comme il a un an d’avance ça nous a permis d’être dans la même classe). Je dois avouer que au début je n’osais pas l’approcher son charisme et son côté séducteur m’intimidaient déjà ; mais, petit à petit, j’appris à le connaitre et nous sommes vite devenus meilleurs amis et inséparables (nous passons environ trois heures par jours au téléphone).

L’histoire que je vais raconter s’est passé en Avril 2010, en effet suite à une rupture avec sa poupée barbie que je détestais (ennemie neutralisée), Louis se sentait mal et je l’invitais donc à venir passer une semaine à Paris avec moi (quel cadeau) et s’est ainsi que le 18 Avril avec quelques heures de retard (merci les grèves SNCF) j’allais le chercher gare de Montparnasse. Dès son arrivée j’étais sous le charme, son costume en lin Zegna lui allait à merveille (normal je lui aie offert) et sa chemise et cravate étaient mariées avec goût. Une fois dans ses bras, je sentis qu’il portait le parfum que je lui avais offert (Terre d’Hermès) et qui lui allait parfaitement avec son côté féru de littérature.

La première partie de son séjour se passa sans encombres entre câlins, shopping et diverses sortie culturelles et ce ne fût que le Jeudi 22 que l’objectif de mon invitation fût atteint : Réussir à le faire craquer.

La préparation de la soirée fût assez folklorique car Monsieur étant coquet il lui fallait plus de temps que moi-même (record absolu) pour se préparer ce qui provoqua les hilarités de maman et de moi-même (dix minutes montre en main pour choisir sa cravate…). J’étais moi-même habillée d’une petite robe dos nu noire (assez décolletée je dois l’admettre) d’un porte-jarretelle d’un jolie petit shorty en dentelle (pas besoin de soutien gorge avec ma petite poitrine) et d’une paire d’escarpins à semelles rouges (les filles reconnaitront la signature d’un grand bottier) ; en effet, l’avantage d’être sa meilleure amie et confidente réside dans le fait que je savais exactement quoi porter pour le faire succomber…

C’est ainsi que aux alentours de 23 heures nous nous retrouvâmes au Corcoran’s Irish Pub situé Rue du Faubourg saint Antoine à coté de la place de la Bastille. Bien que le chesterfield fût immense, je me suis pelotonnée à lui et j’ai pu m’occuper à bisouiller son petit cou… Je ne sais si c’est l’alcool qui me désinhibais ou le swing du groupe de musique mais j’avais une folle envie de danser et s’est collée à lui les mains sur ses épaules et les siennes sur mes hanches (enfin mes fesses) que je me suis mise à me dandiner et c’est à ce moment la, que je tenta l’approche du premier baiser, baiser qu’il refusa prétextant mon homosexualité et que j’avais ce geste parce que j’étais ivre (quelle conne de lui avoir dis que j’avais couché avec quelques filles…). Je dois avouer que sa réaction me refroidit quelque peut même si je la trouvais fort attendrissante (enfin un mec qui ne saute pas sur tout ce qui bouge). Il avait donné le ton, il ne se laisse pas apprivoiser comme ça et je dois avouer que la séductrice qui est en moi en jubilais d’avantage ; et donc, j’ai passé le reste de la soirée à faire des moues de la bouche, à jouer de mon regard fiévreux de mes croisement/décroisement de jambes et je dois bien l’avouer de mon déhanché.

S’est en partant de ce bar les mains sur ses hanches que je tentais la seconde approche. Une fois un furtif « je t’aime » susurré au creux de son oreille et ne lui laissant pas le temps de réagir je me suis mise à l’embrasser. Sa bouche mit un temps qui me parût interminable à s’ouvrir, mais je pouvais enfin la pénétrer de ma langue. Je dois avouer que ce baiser fût doux, sensuel, chaud et je commençais déjà à sentir des papillons dans mon bas ventre. Après ce baiser qui à mon sens était bien court, nous sautâmes dans un taxi qui était sensé nous ramener chez moi. La présence de la conductrice de taxi ne le dérangeait guerre (de mon coté j’en faisais abstraction) et s’est avec une voix fiévreuse entre deux suçages d’oreilles (le bouton magique pour me faire chavirer) que je lui demandais de passer ses mains sous ma robe. Je le sentais me caresser à travers mes bas jouer avec les agrafes de mon porte-jarretelles et c’est une fois après avoir payé le taxi et avoir fait un petit détour par la cave pour prendre une bouteille de champagne que surexcitée je refermais la porte de ma chambre derrière moi.

Je pris mon courage à deux mains et regroupant toutes mes forces je pouvais le faire chavirer sur mon lit ; l’attacher aux barreaux et commencer un petit lap dance au son de give me more que crachait ma chaine Hifi (première fois de ma vie que j’étais contente d’écouter du Britney…). Une fois en porte-jarretelle et shorty (je lui laissé le soin de les retirer), je me mis à attaquer sa cravate et en deux temps trois mouvement il se retrouva en boxer devant moi. Son corps totalement épilé me faisait craquer et c’est avec un grand plaisir que je mordillais ses abdominaux. Je le détachai enfin (oui, j’avais envie qu’il s’occupe un peu de moi) et c’est avec les dents que je me mis à lui retirer son boxer et que j’admirais enfin son sexe. Ce n’est pas la première fois que je le voyais, mais j’avoue qu’il me faisait un grand effet, le charme de l’érection peut-être.

Cela étant je n’eue aucun mal à la gober et à commencer ainsi ma première fellation. Je tentais de m’appliquer de mon mieux n’hésitant pas à prendre une bonne moitié de sa verge en bouche ou a chatouillé son gland, mais ce qu’il préfère c’est que je le masturbe avec une mèche de mes cheveux ce que je découvris au feulement de ces râles et je compris que je n’étais pas si mauvaise lorsqu’il prit ma tête dans ses mains non pas pour me forcer mais plutôt pour me caresser les cheveux. D’après lui je suis la meilleure pour les fellations, oui c’est hypocrite, mais j’aime bien qu’on flatte mon égo et c’est avec regret que à sa demande je quittai ma fellation pour m’allonger sur le lit afin qu’il s’occupe de moi…

Je fermais les yeux et me pâmais sous ses caresses, sa façon de me téter me rend folle de joie il arrive à mélanger subtilement douceur et douleur en me mordillant les tétons (rien qu’en y pensant j’arrive à m’exciter). Après avoir léchouillé mon ventre, je sentis ses doigts passer sous mon shorty et en le faisant glisser le long de mes jambes il pouvait petit à petit découvrir ma toison taillée en ticket de métro. Il ne lui restait plus qu’à retirer mes bas et je me retrouvais nue face à lui. Je me mis à écarter doucement les cuisses afin de lui indiquer ce que j’avais envie qu’il me fasse.

C’est alors que je sentis ses mains se poser sur mes seins et son souffle chaud agacer mon petit clitoris qui n’était pas si petit que ça depuis quelques minutes… Sa langue passait de mon vagin a mon clitoris l’aspirant et le mordillant c’était vraiment génial, je ne pouvais m’empêchais de couler dans sa bouche. Mais j’avoue que je poussai un petit cri étouffé lorsque partant à la découverte de mon vagin avec deux de ses doigts, il fit la connaissance de mon point G. Ses doigts s’occupaient de lui, sa langue de mon clito et je ne pouvais résister bien longtemps et s’est en lacérant son cou et son dos que je me mis à jouir et à lâcher quelques ml de mon jus de plaisir dans sa bouche, c’est depuis ce jour que je sais que je suis fontaine. L’orgasme fût ravageur, j’étais affalée sur le lit en sueur à moitié comateuse les cuisses écartées et le bassin s’agitant anormalement. Je mis bien plusieurs secondes à faire surface et je me rendis alors compte qu’il m’embrassait amoureusement. Baiser qui dura plusieurs minutes mais qui me parurent trop courte, je venais de remarquer qu’il n’avait pas jouit et qu’il fallait donc remédier à ça. Je m’assis donc sur sa bouche et me mets à le sucer (vive le 69, année érotique comme le chantait GAINSBOURG) que je me mettais à alterner entre succion et masturbation toujours avec une mèche de cheveux. Il eut alors l’idée géniale de poser ses mains sur mes fesses et de venir me titiller l’anus du bout de la langue, (comment sait-il que j’aime l’anulingus ? Ah, oui, j’ai due lui en parler…). J’avoue que ce traitement me fit accélérer ma succion et je sentais bien qu’il était sur le point d’éjaculer. Il prit doucement ma tête dans ses mains pour pas me souiller (charmante attention que beaucoup d’hommes pourraient imiter) mais c’est au bout d’une lutte acharnée que je le sentais gicler dans ma bouche et que moi aussi je me mis à jouir quelques secondes après. S’est exténuée que je m’avachis sur lui terrassée par les deux orgasmes.

Nous décidâmes alors d’aller prendre une douche bien méritée et une fois propre nous nous mîmes à déguster une petite flûte de champagne, qui était la bienvenue. Il était déjà tard et à mon grand regret il décida qu’il était l’heure de dormir et s’est heureuse la tête sur son torse que je tentai de trouver le sommeil. Ne m’étant pas endormi au bout de ce qui me paraissait être des heures (en faite pas plus de 20 minutes), je me mis en tête de le réveiller. Je me fis alors douce et féline et s’est en lui léchant les oreilles et en lui susurrant un petit : « tu dors ? », que je compris que j’étais arrivée à mes fins. Je m’enhardis un peu alors et lui susurra un tendre : « j’ai envie de perdre ma virginité, là maintenant » et je me suis collée à lui en frottant mes seins à sa bouche. Il se remit rapidement à avoir une érection (c’est beau la jeunesse) et je pus alors le chevaucher tranquillement (sachant qu’il était sain et moi aussi pas besoin de s’emmerder avec des capotes).

Je sentis une petite résistance, et s’est en m’affalant sur lui et en poussa un feulement de tigresse que je perdis mon hymen et devenue ainsi femme. Je me déhanchais lentement et sensuellement pendant que ses mains s’occupaient de mes seins ou de mon clito, décidément les levrettes et autres positions n’attendront jamais l’extase d’une bonne andromaque et s’est après plusieurs minutes et en suçant son cou que je me mis à exploser dans un cri rauque, j’appris le lendemain que j’avais réveillé mes parents (la honte) et qu’il me suivie et éjacula dans mon vagin. J’eu à peine le temps de m’effondrer sur lui et de l’embrasser que je me suis endormie d’une traite lovée contre lui. Je ne me réveillai que le Vendredi vers midi avec l’odeur du café et des fameux macarons à la rose apportés au lit (l’homme parfait je vous dis…). Depuis nous vivons une grande histoire d’amour très passionnelle, nous parlons de nous installer et j’en suis follement amoureuse. Il ne manque plus qu’un petit bébé pour me combler, mais bon il faut attendre encore quelques années. N’hésitez pas à me laisser des commentaires, j’ai essayé de retranscrire cette histoire au plus prêt des souvenirs. Sur ce je vous laisse en effet je suis en vacances chez lui et ça fais vingt minutes qu’il me lèche le cou, j’ai de plus en plus de mal à me concentrer. Erotiquement vôtre ;


NATHALIA DE KOWALSKY


PS : Les filles si jamais vous craquez sur un mec (meilleur ami ou autre) il faut en profiter, la vie et bien trop courte pour ne pas en profiter et la laisser filer entre nos doigts ; quant à vous messieurs, sachez que chez la femme l’orgasme est une multitude de chose, que la confiance apporte beaucoup et que bien souvent la taille ne change en rien nos sensations, c’est un fantasme purement masculin.