Titre de l'histoire érotique : Moment de détente
Récit érotique écrit par Amical7 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Moment de détente
C'est au parking, en appuyant sur la fermeture des portières, la sacoche de mon pc à la main, que je pris la décision de m'accorder une pause détente. Après tout, cette journée avait été longue et, ce soir-là, personne ne m'attendait.
En poussant la porte du Terminus, je remarquai le barbu assis au bar : début trentaine, solidement bâti, il était vêtu d'un jean et d'une chemise à manches courtes et je ne me souvenais pas l'avoir déjà vu ici. Puis je surpris son regard dans les miroirs : ce garçon matait ! Je m'approchais alors du bar et remarquai qu'assis sur son tabouret, sa cambrure lui dessinait une belle croupe ferme et rebondie. Jacques, le patron, me fit de loin un signe de bienvenue.
- « Bonjour ! » le barbu venait de tourner la tête vers moi pour me saluer avec un large sourire. Je pensais « joli garçon » et lui rendit son bonjour puis, avec mon sourire commercial, j'ajoutais en désignant son verre « la bière me semble nécessaire après cette journée ! » et je fis signe à Jacques. Mais déjà il approchait en apportant mon demi : « pff ! » tu es sur ton trente et un … tout seul ce soir ? »
« je sors de réunion et oui, j'ai ma soirée, mon mari est en déplacement » mais Jacques était déjà reparti à l'autre extrémité du comptoir.
Mon voisin empoigna son verre et sans me regarder ajouta « moi aussi », il but une gorgée et se tourna vers moi tout sourire « moi aussi, je suis en déplacement ! » De la mousse restait collée à sa moustache et quand il passa la pointe de sa langue sur les poils clairs, j'eus un fourmillement précurseur dans ma braguette. Décidément, ce garçon avait bien des charmes.
Je me tournais à demi vers lui, mis le pied sur le marche pied de son tabouret et levai mon verre vers lui : « alors bienvenue » Il prit son verre de la main gauche et, en tournant le buste vers moi pour trinquer, laissa tomber son bras droit contre ma jambe et sa main me caressa fermement : « Florian, enchanté ! me dit-il en choquant son verre au mien.
Ma quarantaine bien portée ne me laisse pas souvent sans ressource mais là, j'étais pris de vitesse par plus entreprenant que moi : voilà un garçon qui va droit au but, pensai-je. Aussi, passant à mon tour ma main sur son avant-bras à rebrousse poils, et le regard droit dans ses yeux je lui proposai une découverte des spécialités locales en privé.
Jacques vint encaisser en haussant le sourcil « déjà fini ? » mais son air faussement angélique et son clin d’œil accompagnaient son « bonne soirée » de lourds sous entendus.
A peine la porte de l'appartement refermée, voilà Florian qui s’agrippe à ma ceinture pour la déboucler mais je le repousse fermement dos au mur : « ici mon garçon, tu es chez moi et tu attends que je t'invite pour te servir... » mon mètre quatre-vingt-dix me donnant l'avantage sur lui, je fis glisser ma main droite jusqu'à sa gorge, mi contrainte, mi caresse, et me collais à lui. De la main gauche, j'écartais la sienne qui était encore accrochée à ma ceinture et la relevais au mur, au-dessus de sa tête. Puis, sans le quitter des yeux, lui rappelant qu'il avait encore de la mousse dans la moustache, j'entrepris de le nettoyer à petits coups de langue rapides, refusant d'abord à ses lèvres de l'attraper puis en la lui « donnant, reprenant » avant de nous abandonner à un baiser d'affamés. Sa bouche était douce et sucrée et sa langue tantôt agile et souple,tantôt lourde et sensuelle.
Dans le même temps, je faisais glisser lentement ma main le long de son bras relevé et, comme lui aussi baissait son bras, je le remis en place avec un sifflet réprobateur. Il se rendit à cette demande avec la bonne volonté de celui qui attend des caresses. Ma main poursuivait son exploration : après la peau douce de l'intérieur du bras, je parcourais son torse au travers de la chemise puis, arrivant aux boutons que je fis sauter, je découvris, comme je l'espérais, un poitrail couvert d'une broussaille dorée. Un bouton supplémentaire libéra son téton rose percé d'un anneau que je saisis, devinant aussitôt à son soupir que ce jouet allait lui donner bien du plaisir.
Ma main droite n'avait pas quitté son menton et mes doigts avaient participé aux baisers et quand je décollai mes lèvres, je laissais mes doigts jouer avec sa langue. Il se mit à les sucer avec des regards faussement suppliants. Dans le même temps que je jouais de son anneau, il amorça un mouvement avec sa main libérée et comme timidement, l'avança vers ma braguette et, s’enhardissant, entreprit de libérer mon paquet qui était désormais à l'étroit. Aussitôt ma queue fit un bond et mon slip arborait une tache luisante qu'il caressa avant de la porter à sa bouche pour la lécher. Je lui intimais un « Suce-moi ! » et sitôt que je le libérais, il plongea le visage sur mon slip. Ses doigts firent rapidement sortir mon gland par la fente horizontale si pratique et il téta le gland qui suintait avant de le saisir de ses lèvres et de l'aspirer en bouche. Petit à petit à chaque aspiration, il avalait ma queue plus profondément puis la ressortait avec une succion féroce comme pour en exprimer tous les sucs. Et je sentis bientôt mon gland durci cogner sa luette tandis que sa langue se collait à ma hampe et sa barbe se caressait les couilles .
Je lui retirais alors rudement ma queue de la bouche et comme il ouvrait de grands yeux étonnés, je souris en me dégrafant plus commodément. Sitôt mon pantalon baissé, il s'appuya d'une main sur chacune de mes cuisses poilues et entrepris d'avaler mon pieu qui avait tout son développement, avec une science de la pipe qui me couvrait de frissons, puis, tombant à genoux, il remonta ses deux mains sous la chemise vers mes tétons en jouant avec ma toison sans cesser d'aspirer goulûment mon manche.
Puis soudain, à son tour il interrompit et s'assit à genoux sur ses fesses à contempler mon érection avec un sourire satisfait avant de saisir mon slip à deux mains pour libérer tout le service ce qui fit claquer ma bite tendue sur mon ventre. Il plongea son visage dans mes poils en me lardant de petits coups de langue. Les poils de sa barbe claire se mêlaient à mes rudes poils bruns. Il se mit ensuite en tête de me lécher malgré cette raide pilosité, s'essayant à gober des couilles bourrues entre deux parcours humides le long de ma queue et de rapides aspirations de mon gland. Mes doigts, jouant avec son anneau et son téton, lui arrachaient régulièrement des soupirs qui suspendaient le travail de pompe auquel il s'appliquait alors que mon autre main parcourait sa croupe qui tendait son jean, tantôt caressant, tantôt pétrissant. « Une belle paire de fesses musclées ! » dis-je en les claquant fermement. Ainsi penché sur lui, une main jouant de son téton et l'autre lui pelotant le cul, j'avais enfourné mon dard profondément et je le sentais aspiré et massé par sa langue et sa bouche entière. Je résolus de lâcher un peu prise. Il régurgita ma queue en ne gardant que le gland entre ses lèvres à qui il appliqua un traitement fait d'aspiration et de caresse avec sa langue tout en cherchant mon regard. Comme je souriais en forme d'encouragement, il ouvrit la bouche, prit mon membre en main et le suçota.
Brutalement, il se releva, recula et se retourna jambes écartées ; j'entendis alors cliqueter sa ceinture et son jean tomba sur ses chevilles laissant apparaître son caleçon. Il plaça une main sur chacune de ses hanches et le baissa d'un coup aux chevilles, gardant cette posture qui ne me laissait rien ignorer de son superbe cul couvert de duvet blond. Ce fut mon tour de me mettre à genoux derrière lui. Je soufflais doucement sur ce duvet blond et le caressais légèrement. Puis avisant sa paire de boules lisses et roses je les pris dans ma main et commençais à en jouer doucement tout en lui embrassant les fesses. Comme il attrapait chacun de ses globes d'une main pour m'en ouvrir la perspective, je commençais à lécher cette raie déjà un peu moite en accentuant la pression sur ses valseuses. Ma langue, tour à tour léchait, piquait, vrillait, s'écrasait sur son anneau que je sentais palpiter et je pus le constater de visu : la porte était ouverte.
De mon index mouillé de salive, je fis la première visite sans obstacle. Le lubrifiant me permis d'y associer le majeur et d'imprimer quelques mouvements qui le firent soupirer. Avec le pouce bien vaseliné, je découvris ses endroits sensibles que je caressais avant d'y rajouter les doigts explorateurs tout en serrant ses boules dans ma main. Ainsi écarté, son joli fion était presque blanc et je vérifiais qu'il était prêt à accueillir... Mais, fidèle à ma bonne éducation, je m'enquis d'abord auprès de lui : « qu'est ce qui te ferait plaisir maintenant Florian ? »
Dans un soupir, il me répondis : » baise-moi ! » et je dus encore le rappeler à la politesse tout en massant sa glande.
Il repris « s'il te plaît ! Baise-moi ! Fourre-moi ta belle queue tout au fond ! Éclate mon cul de salope ! Et tandis qu'il poursuivait ses prières de plus en plus pressantes, je présentais la pointe de mon gland capoté au seuil de sa rondelle que je voyais cligner comme une chatte en chaleur. Le saisissant par les hanches, je me cambrais pour qu'il l'avale doucement et progressivement. Ce qu'il fit en apnée : je coulissais en lui presqu'à fond puis le laissais reprendre son souffle et se mettre au diamètre en lui caressant le cul à deux mains. « C'est un bon début Florian, échauffe-toi et montre-moi ce que tu sais faire avec une belle queue en toi ! » Il coulissa alors pour se dégager et, gardant juste mon gland en lui, prit une profonde inspiration avant de reculer d'un coup son cul qui s'empala plus profondément sur ma bite tendue comme un arc. « C'est mieux ça mon garçon ! » je rectifiais légèrement sa position et,, d'une petite claque sur ses fesses lui demandais de recommencer le mouvement. Cette fois, il était parfaitement dans l'axe de ma queue et à chaque fois venait taper son coccyx contre mon pubis. Je le rejoignis dans le mouvement et ce fut de grandes glissades profondes et amples qui nous faisaient grogner comme des porcs . Il haletait et ses soupirs montaient dans l'aigu quand je me retirais : il se retourna, arracha ma capote et me ventousa la bite pour recueillir le jus gras que je lâchais en saccades puis lui même s'effondra parcouru de soubresauts en se couvrant de son propre foutre. Je le pris dans mes bras et le berçais le temps qu'il revienne à lui. Puis nous partîmes sous la douche.
C'est en coupant le puissant jet d'eau chaude que j'entendis sonner à la porte. Je m'approchais, quelqu'un grattait à la porte : « ouvre-moi, c'est Jacques ! »
(à suivre)
En poussant la porte du Terminus, je remarquai le barbu assis au bar : début trentaine, solidement bâti, il était vêtu d'un jean et d'une chemise à manches courtes et je ne me souvenais pas l'avoir déjà vu ici. Puis je surpris son regard dans les miroirs : ce garçon matait ! Je m'approchais alors du bar et remarquai qu'assis sur son tabouret, sa cambrure lui dessinait une belle croupe ferme et rebondie. Jacques, le patron, me fit de loin un signe de bienvenue.
- « Bonjour ! » le barbu venait de tourner la tête vers moi pour me saluer avec un large sourire. Je pensais « joli garçon » et lui rendit son bonjour puis, avec mon sourire commercial, j'ajoutais en désignant son verre « la bière me semble nécessaire après cette journée ! » et je fis signe à Jacques. Mais déjà il approchait en apportant mon demi : « pff ! » tu es sur ton trente et un … tout seul ce soir ? »
« je sors de réunion et oui, j'ai ma soirée, mon mari est en déplacement » mais Jacques était déjà reparti à l'autre extrémité du comptoir.
Mon voisin empoigna son verre et sans me regarder ajouta « moi aussi », il but une gorgée et se tourna vers moi tout sourire « moi aussi, je suis en déplacement ! » De la mousse restait collée à sa moustache et quand il passa la pointe de sa langue sur les poils clairs, j'eus un fourmillement précurseur dans ma braguette. Décidément, ce garçon avait bien des charmes.
Je me tournais à demi vers lui, mis le pied sur le marche pied de son tabouret et levai mon verre vers lui : « alors bienvenue » Il prit son verre de la main gauche et, en tournant le buste vers moi pour trinquer, laissa tomber son bras droit contre ma jambe et sa main me caressa fermement : « Florian, enchanté ! me dit-il en choquant son verre au mien.
Ma quarantaine bien portée ne me laisse pas souvent sans ressource mais là, j'étais pris de vitesse par plus entreprenant que moi : voilà un garçon qui va droit au but, pensai-je. Aussi, passant à mon tour ma main sur son avant-bras à rebrousse poils, et le regard droit dans ses yeux je lui proposai une découverte des spécialités locales en privé.
Jacques vint encaisser en haussant le sourcil « déjà fini ? » mais son air faussement angélique et son clin d’œil accompagnaient son « bonne soirée » de lourds sous entendus.
A peine la porte de l'appartement refermée, voilà Florian qui s’agrippe à ma ceinture pour la déboucler mais je le repousse fermement dos au mur : « ici mon garçon, tu es chez moi et tu attends que je t'invite pour te servir... » mon mètre quatre-vingt-dix me donnant l'avantage sur lui, je fis glisser ma main droite jusqu'à sa gorge, mi contrainte, mi caresse, et me collais à lui. De la main gauche, j'écartais la sienne qui était encore accrochée à ma ceinture et la relevais au mur, au-dessus de sa tête. Puis, sans le quitter des yeux, lui rappelant qu'il avait encore de la mousse dans la moustache, j'entrepris de le nettoyer à petits coups de langue rapides, refusant d'abord à ses lèvres de l'attraper puis en la lui « donnant, reprenant » avant de nous abandonner à un baiser d'affamés. Sa bouche était douce et sucrée et sa langue tantôt agile et souple,tantôt lourde et sensuelle.
Dans le même temps, je faisais glisser lentement ma main le long de son bras relevé et, comme lui aussi baissait son bras, je le remis en place avec un sifflet réprobateur. Il se rendit à cette demande avec la bonne volonté de celui qui attend des caresses. Ma main poursuivait son exploration : après la peau douce de l'intérieur du bras, je parcourais son torse au travers de la chemise puis, arrivant aux boutons que je fis sauter, je découvris, comme je l'espérais, un poitrail couvert d'une broussaille dorée. Un bouton supplémentaire libéra son téton rose percé d'un anneau que je saisis, devinant aussitôt à son soupir que ce jouet allait lui donner bien du plaisir.
Ma main droite n'avait pas quitté son menton et mes doigts avaient participé aux baisers et quand je décollai mes lèvres, je laissais mes doigts jouer avec sa langue. Il se mit à les sucer avec des regards faussement suppliants. Dans le même temps que je jouais de son anneau, il amorça un mouvement avec sa main libérée et comme timidement, l'avança vers ma braguette et, s’enhardissant, entreprit de libérer mon paquet qui était désormais à l'étroit. Aussitôt ma queue fit un bond et mon slip arborait une tache luisante qu'il caressa avant de la porter à sa bouche pour la lécher. Je lui intimais un « Suce-moi ! » et sitôt que je le libérais, il plongea le visage sur mon slip. Ses doigts firent rapidement sortir mon gland par la fente horizontale si pratique et il téta le gland qui suintait avant de le saisir de ses lèvres et de l'aspirer en bouche. Petit à petit à chaque aspiration, il avalait ma queue plus profondément puis la ressortait avec une succion féroce comme pour en exprimer tous les sucs. Et je sentis bientôt mon gland durci cogner sa luette tandis que sa langue se collait à ma hampe et sa barbe se caressait les couilles .
Je lui retirais alors rudement ma queue de la bouche et comme il ouvrait de grands yeux étonnés, je souris en me dégrafant plus commodément. Sitôt mon pantalon baissé, il s'appuya d'une main sur chacune de mes cuisses poilues et entrepris d'avaler mon pieu qui avait tout son développement, avec une science de la pipe qui me couvrait de frissons, puis, tombant à genoux, il remonta ses deux mains sous la chemise vers mes tétons en jouant avec ma toison sans cesser d'aspirer goulûment mon manche.
Puis soudain, à son tour il interrompit et s'assit à genoux sur ses fesses à contempler mon érection avec un sourire satisfait avant de saisir mon slip à deux mains pour libérer tout le service ce qui fit claquer ma bite tendue sur mon ventre. Il plongea son visage dans mes poils en me lardant de petits coups de langue. Les poils de sa barbe claire se mêlaient à mes rudes poils bruns. Il se mit ensuite en tête de me lécher malgré cette raide pilosité, s'essayant à gober des couilles bourrues entre deux parcours humides le long de ma queue et de rapides aspirations de mon gland. Mes doigts, jouant avec son anneau et son téton, lui arrachaient régulièrement des soupirs qui suspendaient le travail de pompe auquel il s'appliquait alors que mon autre main parcourait sa croupe qui tendait son jean, tantôt caressant, tantôt pétrissant. « Une belle paire de fesses musclées ! » dis-je en les claquant fermement. Ainsi penché sur lui, une main jouant de son téton et l'autre lui pelotant le cul, j'avais enfourné mon dard profondément et je le sentais aspiré et massé par sa langue et sa bouche entière. Je résolus de lâcher un peu prise. Il régurgita ma queue en ne gardant que le gland entre ses lèvres à qui il appliqua un traitement fait d'aspiration et de caresse avec sa langue tout en cherchant mon regard. Comme je souriais en forme d'encouragement, il ouvrit la bouche, prit mon membre en main et le suçota.
Brutalement, il se releva, recula et se retourna jambes écartées ; j'entendis alors cliqueter sa ceinture et son jean tomba sur ses chevilles laissant apparaître son caleçon. Il plaça une main sur chacune de ses hanches et le baissa d'un coup aux chevilles, gardant cette posture qui ne me laissait rien ignorer de son superbe cul couvert de duvet blond. Ce fut mon tour de me mettre à genoux derrière lui. Je soufflais doucement sur ce duvet blond et le caressais légèrement. Puis avisant sa paire de boules lisses et roses je les pris dans ma main et commençais à en jouer doucement tout en lui embrassant les fesses. Comme il attrapait chacun de ses globes d'une main pour m'en ouvrir la perspective, je commençais à lécher cette raie déjà un peu moite en accentuant la pression sur ses valseuses. Ma langue, tour à tour léchait, piquait, vrillait, s'écrasait sur son anneau que je sentais palpiter et je pus le constater de visu : la porte était ouverte.
De mon index mouillé de salive, je fis la première visite sans obstacle. Le lubrifiant me permis d'y associer le majeur et d'imprimer quelques mouvements qui le firent soupirer. Avec le pouce bien vaseliné, je découvris ses endroits sensibles que je caressais avant d'y rajouter les doigts explorateurs tout en serrant ses boules dans ma main. Ainsi écarté, son joli fion était presque blanc et je vérifiais qu'il était prêt à accueillir... Mais, fidèle à ma bonne éducation, je m'enquis d'abord auprès de lui : « qu'est ce qui te ferait plaisir maintenant Florian ? »
Dans un soupir, il me répondis : » baise-moi ! » et je dus encore le rappeler à la politesse tout en massant sa glande.
Il repris « s'il te plaît ! Baise-moi ! Fourre-moi ta belle queue tout au fond ! Éclate mon cul de salope ! Et tandis qu'il poursuivait ses prières de plus en plus pressantes, je présentais la pointe de mon gland capoté au seuil de sa rondelle que je voyais cligner comme une chatte en chaleur. Le saisissant par les hanches, je me cambrais pour qu'il l'avale doucement et progressivement. Ce qu'il fit en apnée : je coulissais en lui presqu'à fond puis le laissais reprendre son souffle et se mettre au diamètre en lui caressant le cul à deux mains. « C'est un bon début Florian, échauffe-toi et montre-moi ce que tu sais faire avec une belle queue en toi ! » Il coulissa alors pour se dégager et, gardant juste mon gland en lui, prit une profonde inspiration avant de reculer d'un coup son cul qui s'empala plus profondément sur ma bite tendue comme un arc. « C'est mieux ça mon garçon ! » je rectifiais légèrement sa position et,, d'une petite claque sur ses fesses lui demandais de recommencer le mouvement. Cette fois, il était parfaitement dans l'axe de ma queue et à chaque fois venait taper son coccyx contre mon pubis. Je le rejoignis dans le mouvement et ce fut de grandes glissades profondes et amples qui nous faisaient grogner comme des porcs . Il haletait et ses soupirs montaient dans l'aigu quand je me retirais : il se retourna, arracha ma capote et me ventousa la bite pour recueillir le jus gras que je lâchais en saccades puis lui même s'effondra parcouru de soubresauts en se couvrant de son propre foutre. Je le pris dans mes bras et le berçais le temps qu'il revienne à lui. Puis nous partîmes sous la douche.
C'est en coupant le puissant jet d'eau chaude que j'entendis sonner à la porte. Je m'approchais, quelqu'un grattait à la porte : « ouvre-moi, c'est Jacques ! »
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