Titre de l'histoire érotique : Mon voyeurisme puni
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Mon voyeurisme puni
Il est 18h00, il est fait beau. J'ai 18 ans. Comme d'habitude, avec des copains nous avons passé l'après midi à la piscine et la plupart se reposent sur l'herbe des jardins de la piscine.
Il faut dire que celle-ci est située au bord d'une forêt.
Je quitte toujours le premier le piscine car mon habitude est, après ma douche et mettre habillé, de me glisser en douce par le vestiaire des filles pour pouvoir mater surtout dans les vestiaire collectif qui a un grand besoin de travaux je peux bien me rincer l'œil.
Je suis bien installé depuis 15 minutes sans faire de bruit et je ne me rends pas compte que derrière moi des filles remarquent mon manège.
En quelques minutes je suis saisie par quatre jolies filles par les pieds et par les bras et transporté au milieu du vestiaire des filles où la plupart sont complètement nues.
- He ! Les copines, regardez ce que l'on vous apporte, il était en train de vous mater.
Une fille nue s'approche de moi, les filles qui me tiennent les bras m'obligent à me mettre à genoux, la fille nue écarte son anus et je dois y entrer la langue. Toutes les filles tournent autour de moi une me dit :
- Dis donc ce n’est pas la première fois que tu viens nous mater. On va te donner une bonne leçon. D'abord on va te foutre à poil.
Les filles s'approchent vers moi et me tiennent les pieds, une s'assied carrément sur mon ventre pour m'éviter de bouger. Je me débats comme je peux mais déjà je sens mes baskets s'en aller et je ne peux absolument rien faire. Une fille m'enlève ma veste en jean, puis mon tee shirt et fini même par le déchirer. Je suis maintenant torse nu et me débat comme une bête sauvage. C'est le tour des chaussettes, je me retrouve pieds nus.
Une bien jolie fille prend un plaisir à ouvrir le rivet de mon jean et défait doucement la bargette. Putain le beau slip à fleurs, on va le mettre à l'air. Les filles se mettent à cinq pour m'enlever mon jean et maintenant je me retrouve en slip.
Les autres filles crient :
- A POIL, A POIL, on veut le voir à poil.
Elles s'exécutent de suite et m'arrachent le slip. Gêné, je sens ma verge qui durcit.
- Putain, les filles il bande ! Belle queue.
Je ne sais plus ou me mettre et les filles rigolent de plus en plus fort et me trainent dans le vestiaire.
- Maintenant tu vas rester à poil bien sagement le temps que l'on sorte toute notre portable pour te prendre en photos.
Effrayé à l’idée de devoir rester devant plus de vingt filles entièrement à poil je m’inquiète. Toutes on bien sur un portable et elles se placent à coté de moi pour inaugurer cette soirée.
Je supplie les filles de me rendre au moins mon slip et mon tee shirt. Les autres rigolent et me harcèlent en me montrant mes vêtements comme un trophée et disent : « viens les chercher ». Je cours après mes vêtements qui changent de main en main plus vite que je ne peux suivre. Les filles se passent mon slip comme une balle de volley en rigolant et en criant :
- Alors ta queue va prendre froid, t’as de belles fesses, putain, le beau cul.
Résigné et plein de honte, je me calme. Mon cœur se met à battre et je me trouve à nouveau en érection à l’idée d’être tout nu devant toute ses filles nues aussi, il y a maintenant presque 30 filles dans ce vestiaire. Quelle honte et comment m’en sortir !
Les filles qui se passent mon slip de main en main en rigolant. Mes vêtements sont exhibés en trophée de guerre et je remarque qu'une a même revêtu mon jeans. Une fille est assise fièrement sur mon blouson en jean. Ma verge qui bande de plus en plus et je la recouvre avec mes mains comme je peux.
Les filles continuent de rire et trouvent cette situation extrême marrante. La plus jeune dit :
- C’est la première fois que je vois quelqu’un à poil c’est trop marrant.
- Bon répond une des filles, tout d’abord tu retires tes mains, tu nous fais voir ta verge ok.
Je m’exécute en tremblant.
- Bien maintenant tu nous laisses toucher ta queue.
Je fais un signe de la tête en disant un oui forcé. Les unes après les autres me caressent la verge et la plus jeune prend un malin plaisir et me chatouiller également les testicules en me fixant avec ses yeux brillants.
- Bon maintenant pour finir, nous te demandons de te masturber devant nous.
Je commence à me caresser mon pénis et à me frotter fortement ma verge, le cœur battant et rouge de figure. La jeune me caresse les fesses en rigolant.
Soudain, j’aperçois un flash d’un appareil photo.
- Te voilà encore pris en photo me crie une fille.
Au même moment j’éjacule ce qui provoque l’étonnement de la plus jeune qui est stupéfaite.
- Eh oui, tu as fait l’éducation sexuelle de la jeune, encore quelques photos en gros plan et on te libère.
Ma situation a encore empiré. Je bande à nouveau, quatre jeunes filles m’empoignent violemment et me tiennent en attendant que toutes les photos soient prises pour que je ne cache pas ma bite toute raide.
Une des filles demande alors :
- Qu’est ce qu’on va lui faire ?
- Une bite au cirage répondent les autres filles en hurlant.
Une jeune fille ouvre alors son sac de piscine et en sort une boite de cirage en me disant :
- Je savais bien que l'on te coincerait un jour.
Toutes les filles qui sont en cercle autour de moi se rapprochent et fixent du regard ma queue toujours en érection que j’essaie à nouveau de cacher avec les mains.
- Enlève les mains et mets les sur la tête, on veut voir ta belle queue.
Les filles posent à côté de moi et les autres continuent à me prendre en photo avec leur appareil numérique. D’autres commencent à m’humilier en me caressant les fesses et en tirant ma verge.
On m’attache sur un banc en me bloquant les bras et les pieds avec une corde. Deux filles sont chargées de me faire une bite au cirage et profitent pour me décorer le torse avec du cirage. Tout le monde rigole et m’humilie.
Une des filles me détache. Il est presque l’heure de la fermeture de la piscine. Une autre fille me dit :
- Bon ! On va te relâcher, on s’est toutes bien amusées, j'espère que cela te servira de leçon. On n’est pas vache, tu ne seras pas obligé de rentrer entièrement à poil chez toi. On va te rendre tes baskets, d’accord.
Je la supplie de me rendre mes frusques.
- Tu es habitué maintenant et tu es tout mignon à poil, tu n’as plus besoin de fringues.
Une autre fille ajoute :
- Traîne pas trop en route, tu pourrais attraper froid, il faut que bien que tout le monde voient ta bite, elle est trop belle.
Les filles sortent toute du vestiaire en emportant mon sac et mes affaire. Je me retrouve tout seul, entièrement à poil, couvert de cirage avec pour seul vêtement accessible, mes baskets. Je chausse mes baskets et n’ai pas d’autre choix que de sortir à mon tour du vestiaire, dans cette tenue.
Je m’engage dans les couloirs de la piscine où il y a presque plus personne. Sur le chemin de la sortie, je commence seulement à me rendre compte de ce qui m’arrive vraiment. Je suis entièrement à poil, uniquement vêtu de baskets, aucune possibilité de me cacher et ne peut pas rester dans cette piscine.
Il est 19h30 ! Que faire ? Je suis désespéré et couvert de honte N’arrivant pas à trouver une solution, je me dirige toujours doucement vers la sortie, et je retrouve mon sac de piscine, et toutes mes affaire, les filles ne sont pas trop vaches, elles m'ont restitué toutes mes affaires.
Il faut dire que celle-ci est située au bord d'une forêt.
Je quitte toujours le premier le piscine car mon habitude est, après ma douche et mettre habillé, de me glisser en douce par le vestiaire des filles pour pouvoir mater surtout dans les vestiaire collectif qui a un grand besoin de travaux je peux bien me rincer l'œil.
Je suis bien installé depuis 15 minutes sans faire de bruit et je ne me rends pas compte que derrière moi des filles remarquent mon manège.
En quelques minutes je suis saisie par quatre jolies filles par les pieds et par les bras et transporté au milieu du vestiaire des filles où la plupart sont complètement nues.
- He ! Les copines, regardez ce que l'on vous apporte, il était en train de vous mater.
Une fille nue s'approche de moi, les filles qui me tiennent les bras m'obligent à me mettre à genoux, la fille nue écarte son anus et je dois y entrer la langue. Toutes les filles tournent autour de moi une me dit :
- Dis donc ce n’est pas la première fois que tu viens nous mater. On va te donner une bonne leçon. D'abord on va te foutre à poil.
Les filles s'approchent vers moi et me tiennent les pieds, une s'assied carrément sur mon ventre pour m'éviter de bouger. Je me débats comme je peux mais déjà je sens mes baskets s'en aller et je ne peux absolument rien faire. Une fille m'enlève ma veste en jean, puis mon tee shirt et fini même par le déchirer. Je suis maintenant torse nu et me débat comme une bête sauvage. C'est le tour des chaussettes, je me retrouve pieds nus.
Une bien jolie fille prend un plaisir à ouvrir le rivet de mon jean et défait doucement la bargette. Putain le beau slip à fleurs, on va le mettre à l'air. Les filles se mettent à cinq pour m'enlever mon jean et maintenant je me retrouve en slip.
Les autres filles crient :
- A POIL, A POIL, on veut le voir à poil.
Elles s'exécutent de suite et m'arrachent le slip. Gêné, je sens ma verge qui durcit.
- Putain, les filles il bande ! Belle queue.
Je ne sais plus ou me mettre et les filles rigolent de plus en plus fort et me trainent dans le vestiaire.
- Maintenant tu vas rester à poil bien sagement le temps que l'on sorte toute notre portable pour te prendre en photos.
Effrayé à l’idée de devoir rester devant plus de vingt filles entièrement à poil je m’inquiète. Toutes on bien sur un portable et elles se placent à coté de moi pour inaugurer cette soirée.
Je supplie les filles de me rendre au moins mon slip et mon tee shirt. Les autres rigolent et me harcèlent en me montrant mes vêtements comme un trophée et disent : « viens les chercher ». Je cours après mes vêtements qui changent de main en main plus vite que je ne peux suivre. Les filles se passent mon slip comme une balle de volley en rigolant et en criant :
- Alors ta queue va prendre froid, t’as de belles fesses, putain, le beau cul.
Résigné et plein de honte, je me calme. Mon cœur se met à battre et je me trouve à nouveau en érection à l’idée d’être tout nu devant toute ses filles nues aussi, il y a maintenant presque 30 filles dans ce vestiaire. Quelle honte et comment m’en sortir !
Les filles qui se passent mon slip de main en main en rigolant. Mes vêtements sont exhibés en trophée de guerre et je remarque qu'une a même revêtu mon jeans. Une fille est assise fièrement sur mon blouson en jean. Ma verge qui bande de plus en plus et je la recouvre avec mes mains comme je peux.
Les filles continuent de rire et trouvent cette situation extrême marrante. La plus jeune dit :
- C’est la première fois que je vois quelqu’un à poil c’est trop marrant.
- Bon répond une des filles, tout d’abord tu retires tes mains, tu nous fais voir ta verge ok.
Je m’exécute en tremblant.
- Bien maintenant tu nous laisses toucher ta queue.
Je fais un signe de la tête en disant un oui forcé. Les unes après les autres me caressent la verge et la plus jeune prend un malin plaisir et me chatouiller également les testicules en me fixant avec ses yeux brillants.
- Bon maintenant pour finir, nous te demandons de te masturber devant nous.
Je commence à me caresser mon pénis et à me frotter fortement ma verge, le cœur battant et rouge de figure. La jeune me caresse les fesses en rigolant.
Soudain, j’aperçois un flash d’un appareil photo.
- Te voilà encore pris en photo me crie une fille.
Au même moment j’éjacule ce qui provoque l’étonnement de la plus jeune qui est stupéfaite.
- Eh oui, tu as fait l’éducation sexuelle de la jeune, encore quelques photos en gros plan et on te libère.
Ma situation a encore empiré. Je bande à nouveau, quatre jeunes filles m’empoignent violemment et me tiennent en attendant que toutes les photos soient prises pour que je ne cache pas ma bite toute raide.
Une des filles demande alors :
- Qu’est ce qu’on va lui faire ?
- Une bite au cirage répondent les autres filles en hurlant.
Une jeune fille ouvre alors son sac de piscine et en sort une boite de cirage en me disant :
- Je savais bien que l'on te coincerait un jour.
Toutes les filles qui sont en cercle autour de moi se rapprochent et fixent du regard ma queue toujours en érection que j’essaie à nouveau de cacher avec les mains.
- Enlève les mains et mets les sur la tête, on veut voir ta belle queue.
Les filles posent à côté de moi et les autres continuent à me prendre en photo avec leur appareil numérique. D’autres commencent à m’humilier en me caressant les fesses et en tirant ma verge.
On m’attache sur un banc en me bloquant les bras et les pieds avec une corde. Deux filles sont chargées de me faire une bite au cirage et profitent pour me décorer le torse avec du cirage. Tout le monde rigole et m’humilie.
Une des filles me détache. Il est presque l’heure de la fermeture de la piscine. Une autre fille me dit :
- Bon ! On va te relâcher, on s’est toutes bien amusées, j'espère que cela te servira de leçon. On n’est pas vache, tu ne seras pas obligé de rentrer entièrement à poil chez toi. On va te rendre tes baskets, d’accord.
Je la supplie de me rendre mes frusques.
- Tu es habitué maintenant et tu es tout mignon à poil, tu n’as plus besoin de fringues.
Une autre fille ajoute :
- Traîne pas trop en route, tu pourrais attraper froid, il faut que bien que tout le monde voient ta bite, elle est trop belle.
Les filles sortent toute du vestiaire en emportant mon sac et mes affaire. Je me retrouve tout seul, entièrement à poil, couvert de cirage avec pour seul vêtement accessible, mes baskets. Je chausse mes baskets et n’ai pas d’autre choix que de sortir à mon tour du vestiaire, dans cette tenue.
Je m’engage dans les couloirs de la piscine où il y a presque plus personne. Sur le chemin de la sortie, je commence seulement à me rendre compte de ce qui m’arrive vraiment. Je suis entièrement à poil, uniquement vêtu de baskets, aucune possibilité de me cacher et ne peut pas rester dans cette piscine.
Il est 19h30 ! Que faire ? Je suis désespéré et couvert de honte N’arrivant pas à trouver une solution, je me dirige toujours doucement vers la sortie, et je retrouve mon sac de piscine, et toutes mes affaire, les filles ne sont pas trop vaches, elles m'ont restitué toutes mes affaires.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
trop cool!!!! je serais mort de honte mais jaddorerais que ca marrive!!!
Des parties copié collé et mis au féminin d'une histoire déjà existante ... Pas très original
Aller à la piscine avec du cirage et des cordes, c'est prémédité ou un pur conte lié à
un fantasme non vécu???Bizzare.
un fantasme non vécu???Bizzare.
Super l histoire
Géniale histoire ! hyperexcitante !