Titre de l'histoire érotique : Najia, ou l’apprentissage de l’adultère (4ème Partie)
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-12-2011 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Najia, ou l’apprentissage de l’adultère (4ème Partie)
Mon histoire avec Mouloud, Mohand et Raîssa dura longtemps. Nous nous voyions souvent –chaque vendredi avec le couple Algéro-ukrainien, et deux à trois fois par semaine avec Mouloud, qui me rejoignait à la maison, en début d’après-midi et en repartait avant l’arrivée de Rachid, mon mari – et nous faisions l’amour avec un plaisir et un enthousiasme, toujours renouvelés. Les trois avaient été pour moi des partenaires déterminants dans mon évolution en matière de sexe libre et d’érotisme débridé – y compris Raîssa qui m’avait initiée à la bisexualité et aux plaisirs saphiques. Avec elle, j’avais découvert, et adoré, le corps d’une femme et les magnifiques plaisirs qu’il pouvait offrir à une autre femme impatiente d’explorer les moindres recoins de la sexualité. Elle avait été pour moi, une bénédiction : non seulement c’était une superbe plante, mais, en plus, elle avait une vraie science de son corps, dont elle se servait comme une véritable experte pour donner du plaisir à ses partenaires, masculins et/ou féminins. Et les deux avaient été nombreux, depuis les cinq années que le couple qu’elle formait avec Mohand, s’était installé en Algérie.
Pendant toute cette période, il me semblait avoir fait le tour de tout ce que l’érotisme pouvait m’offrir. Et je pensais même être devenue une sorte de d’experte dans l’art de donner et de prendre du plaisir; d’exciter au-delà du supportable, de me faire désirer, de faire languir mes partenaires, de faire monter leur plaisir et de les faire pâmer. Les maîtres que j’avais eus avaient été vraiment à la hauteur. Tous les trois - auxquels, il faut bien entendu ajouter Rachid, mon mari, qui non seulement m’avait mis sur les rails de l’adultère, mais m’avait aussi encouragée au-delà de l’imaginable - m’avaient appris à n’accorder d’importance qu’à mes seules envies et fantasmes. Et, aussi et surtout, à ne pas me laisser emprisonnée par l’ordre moral et religieux ambiant et à n’obéir qu’à un seul Dieu : Eros !
Discrètement, bien entendu ! Car la société dans laquelle nous vivions ne tolérait aucun écart, par rapport au rigorisme moral et religieux dans lequel elle baignait. La sanction, si la chose venait à être découverte, tomberait tel un couperet : au mieux, ce serait une mise définitive au ban de la société, avec l’énorme mépris et la mort sociale qui vont avec ; au pire, ce serait une sanction pénale de plusieurs années de prison, accompagnée, elle aussi, d’une mort sociale définitive. Et dans notre cas, ce serait encore pire, puisque l’adultère dont je m’étais rendue coupable s’était commis avec l’assentiment et la bénédiction de mon mari Rachid. Il serait donc lui aussi puni sévèrement pour comportement contraire à la morale. Et je ne parle pas des conséquences du scandale sur nos enfants (mêmes si ceux-ci vivaient au Canada, un pays aux mœurs moins rigoureuses qu’en Algérie). C’était ce qui nous poussait Rachid et moi – mais aussi Mohand et Raîssa, de même que Mouloud malgré, le fait que, lui, était célibataire - à être discrets et à ne rien montrer de ce que nous faisions et vivions en matière de relations sexuelles.
Rachid n’avait encore jamais participé directement à mes ébats avec mes amants. Il n’y avait même jamais assisté. Il n’avait encore jamais fait montre d’une envie exacerbée d’être présent auprès de moi, au moment où je me faisais tirer par mes amants. Parfois, en écoutant le récit que je lui faisais de tout ce que j’avais vécu avec mes partenaires et de ce que j’en avais ressenti comme félicité, plaisir et même douleur, il me disait qu’il aurait adoré voir ça. Mais, jusqu’à maintenant cela n’avait jamais été plus loin. A aucun moment par exemple, il n’avait émis le vœu de participer à mes ébats avec un ou plusieurs de mes amants. Je ne savais d’ailleurs pas, si dans ses fantasmes de candauliste, figurait le fait de participer aux ébats de son épouse avec ses partenaires de lit.
Et en y réfléchissant, je pensais que non. Ce qu’il semblait apprécier plus que tout, c’était que je lui racontasse en détail ce que moi et mon, ou mes, partenaires avions vécu dans l’après midi, ou parfois la nuit précédente. Il adorait que je lui décrive toutes les sensations que j’avais ressenties avant, pendant et après que je me faisais tirer, ainsi que les jouissances et les orgasmes que j’avais eus. Je voyais ses yeux qui brillaient de lubricité et sa lèvre supérieure qui tremblait d’émotion. D’ailleurs ce dernier détail ne me trompait jamais : chaque fois qu’il avait une forte émotion, cela se traduisait par un tic qui faisait trembler le coin droit de sa lèvre supérieure. Et plus l’émotion était forte, et plus le tremblement s’étendait sur toute la lèvre et durait longtemps.
Mais ce qu’il adorait par-dessus tout, et qu’il attendait avec une impatience d’enfant sur le point de découvrir son cadeau, c’était de contempler les traces de souillures que je gardais sur moi. Il les reniflait, les léchait fiévreusement et les avalait avec une gourmandise non feinte. Ce qui me surprenait toujours, c’était surtout la manière dont il reniflait tout mon corps, y compris mes parties les plus intimes, qui étaient le plus remplies de foutre: on aurait dit un bouc en rut, qui reniflait, en béguetant, le cul d’une chèvre en chaleur, qu’il s’apprêtait à monter.
Et à chaque fois, il me faisait l’amour, avec la fougue et la puissance d’un taureau, en jouissant bruyamment et en éjaculant abondamment en moi et sur moi. Il était réellement heureux ! Et à chaque fois, cela m’étonnait qu’il bandât aussi fort. Avant que nous entrions dans cette histoire de cocufiage, je n’avais encore jamais vu son manche avec une pareille érection : il semblait même avoir pris du volume et de la rigidité. Pour utiliser une formule scabreuse, je dirais qu’en ces moments là, il bandait comme un âne en rut. Et moi, qui avait auparavant, pris plus que mon compte de plaisir avec mon ou mes amants, je me remettais à avoir envie d’être tirée par ce nouvel amant. Et à chaque fois, je jouissais très fort.
Mon mari m’était réellement reconnaissant de réveiller en lui le désir intense de me faire l’amour comme une brute et de se découvrir des talents de « tireur », qu’il pensait n’avoir jamais eus. Il était même fier de lui. Le fait qu’il fallait que je le cocufie pour qu’il en arrive là, n’enlevait rien à cette fierté et n’entrait pas en ligne de compte. Cela lui permettait de vivre son fantasme le plus secret et le plus inavouable et avait pour conséquence immédiate d’accroître l’intensité de son excitation et de la porter à son paroxysme. Et ça, ni les lectures érotiques dont il faisait une consommation immodérée, ni les films et les vidéos pornographiques que très souvent il regardait (seul ou en ma compagnie) n’arrivaient à le mettre dans un tel état. Et il adorait cette sensation de puissance sexuelle qu’il ressentait quand il bandait très fort. Il se sentait capable de m’emmener très haut dans le septième ciel. Et il le faisait ! Surtout depuis qu’il eût découvert que j’adorais être enculée ! Il me le disait crument en kabyle, en arabe et même en français.
- Am thegragh dheg khozidh-im allama chergher-amth! En-nikek men ga3-rek hetta en-kessar’hou-lek! (Je vais te le mettre dans le cul, jusqu’à te le déchirer! Je vais te niquer par le cul jusqu’à te le détruire !)
Et le plus souvent, il m’enculait en force ! Et malgré que la voie fût maintenant très ouverte, il lui arrivait encore de me faire mal ! Et il y prenait un plaisir fou ! Et il me le criait ! Il se comparait à mes amants et se sentait à leur hauteur ! Et dans ces moments-là, je le trouvais à la hauteur ! Au fur et à mesure que le temps passait et que mon aventure adultère durait, je découvrais un mari de plus en plus épanoui sexuellement et qui prenait de plus en plus d’assurance en ses capacités de mâle. Lui et moi, n’avions trouvé que du bonheur dans cette histoire d’adultère assumée, qui, si elle venait à être découverte, scandaliserait la société toute entière et la ferait frémir de dégoût. Alors que nous, nous en étions très fiers !
…/…
Les choses continuèrent ainsi pendant près d’une année, avant que ne débarque chez nous un couple vraiment improbable : Horia, la sœur de Rachid, une belle plante kabyle d’une quarantaine d’années, installée depuis des lustres en France (à Toulouse, dans les Pyrénées) et qui était devenue française par le mariage. Elle avait rapidement divorcé et s’était mise en couple avec Frédéric - que tout le monde appelait Fredy - un français pure souche, qui avait le même âge qu’elle et qui était beau comme un dieu. Il était très amoureux d’elle et ne le cachait pas. Elle par contre, semblait ne pas avoir de sentiments très profonds vis-à-vis de lui. En la connaissant un peu mieux, je compris que ce n’était que parce qu’il était un superbe coup au lit, qu’elle était avec lui. Et j’appris aussi, qu’elle refusait catégoriquement de vivre avec lui et d’emménager chez lui. Chacun gardait sa liberté tout en se voyant régulièrement, tour à tour, chez l’un ou chez l’autre. Elle disait qu’elle voulait garder sa liberté de penser et d’agir à sa guise et, qu’elle ne voulait pas revivre l’expérience trop contraignante d’une vie à deux. Expérience, qui n’avait pas duré plus de deux années, et dont elle avait gardé un fort mauvais souvenir.
Elle avait un caractère bien trempé et un tempérament de feu. C’était elle qui avait décidé de venir passer – au printemps – une quinzaine de jours de vacances pour se retremper dans ses souvenirs d’enfance et de jeunesse. Elle n’était pas revenue au pays depuis une quinzaine d’années et la nostalgie avait finie par la rattraper. C’était une femme sportive, joviale et volontaire. Toujours prête à vivre une belle aventure, si elle venait à se présenter à elle. Et ce qui ne gâchait rien, c’était une vraie belle femme : blonde, mince, avec de petits yeux très clairs (d’un bleu indéfinissable) et pétillant de malice. Un nez de Kabyle, un peu trop long, et une immense bouche entourée de belles lèvres ourlées, s’ouvrant sur les plus belles quenottes qu’il m’était arrivé d’admirer. Des quenottes de carnassière, prêtes à croquer tout ce qui passait devant elles. D’évidence, c’était une femme qui aimait les plaisirs de la vie. Et parmi eux – je l’appris assez rapidement – les plaisirs érotiques.
Quand le couple débarqua - c’était un jeudi en début après-midi – j’étais seule à la maison avec Mouloud. Nous n’en étions encore qu’aux prémices de nos jeux érotiques et n’étions pas passés aux choses sérieuses. Quand la sonnette de la porte d’entrée vibra, Mouloud était entrain de me caresser la chatte et de chauffer à blanc. Nous étions prêts à passer à l’étape suivante : une pénétration à la hussarde et en position de levrette, que lui et moi adorions particulièrement. La sonnette nous fit sursauter. Ni lui, ni moi ne nous attendions à recevoir qui que ce soit, ce jour-là. Cela ne pouvait pas être Rachid, qui par convention tacite avec nous, ne revenait à la maison qu’en fin d’après-midi, quand mon amant était déjà parti. Il était certainement au courant de l’arrivée de sa sœur, mais pour je ne sais quelle raison, il avait omis de m’en parler. J’étais donc très étonnée de la voir débarquer ainsi, sans crier gare.
Je connaissais l’existence de cette belle-sœur (l’unique sœur de mon mari), dont il me racontait souvent les frasques et le comportement d’amazone dans son pays d’adoption, mais je ne l’avais encore jamais vue. Quand je me suis mariée avec Rachid, elle était déjà en France et y poursuivait des études, en vivant chez une tante maternelle. Je l’avais vue dans des photos, qu’elle envoyait souvent à son frère (des photos, parfois à la limite de la décence) et je la reconnus immédiatement en ouvrant la porte. Même si elle avait les traits fatigués - un voyage harassant, avec plus de trois heures de retard ! - je la trouvais très belle. Et que dire de l’homme qui était derrière elle, et qui trainait deux grandes valises à roulettes : Apollon ! Blond, yeux bleus, très grand, mince, épaules larges, taille fine, hanches étroites, jambes longues : un vrai acteur américain ! (Comme aimait dire feue ma mère, quand elle parlait d’un homme d’une grande beauté).
Ma description peut paraître exagérée ou même artificielle. Mais en le voyant, j’eus vraiment la sensation de me trouver en face d’un top model masculin ; un de ceux qui font les pubs pour les marques de parfums pour hommes ou pour de grandes marques d’après-rasage. La même beauté et la même élégance. Parce qu’en plus, il était élégant : de cette élégance très raffinée, à force de paraître négligée. Une barbe de trois jours, savamment entretenue ; de longs cheveux blonds qui tombaient négligemment sur ses épaules ; un léger costume en alpaga de couleur marron très clair, ouvert sur une chemise en soie, dont les trois boutons supérieurs étaient dégrafés et mettaient en évidence un haut de poitrine bien bronzé et musclé et des pectoraux de grand sportif. Une vraie image d’Epinal ! Mais une image vraie, qui avait immédiatement eu comme conséquence de faire battre mon cœur plus vite.
- Bonjour Najia ! Fit Horia. C’est bien Najia ? Rachid m’a dit au téléphone que je te trouverai à la maison. Voici Fredy, mon mec.
Elle avait une voix légèrement rauque et harmonieuse. Une de ces voix radiophonique, qui donnait des frissons aux mâles qui l’écoutaient. Je me disais que j’aurais bien aimé avoir une telle voix. Elle accroitrait énormément mon sex-appeal et me permettrait de séduire n’importe quel homme, rien qu’en lui parlant au téléphone ! J’étais étonnée qu’elle qualifiât l’apollon qui était avec elle par une formule aussi grivoise : mon mec ! Mais je sus très vite, qu’elle était comme cela : elle ne censurait jamais ses pensées et disait toujours les choses telles qu’elles lui venaient.
- Oui, c’est bien moi ! Et toi c’est Horia ! Rachid ne m’avait pas averti de ta visite ! Il a dû oublier !
- Non il l’a fait exprès ! Il voulait te faire une surprise ! Il m’a dit que je ne te trouverai pas seule. Que tu seras en compagnie d’un bel homme !
- Salaud ! Il aurait aussi pu le claironner plus fort ! Faire intervenir la télévision ! Et hurler sur tous les toits : allez chez moi et vous trouverez ma femme en compagnie de son amant !
- Il ne faut pas lui en vouloir ! Il m’a dit quelques mots à propos de vos expériences érotiques et j’ai trouvé cela très bien. Peut-être que je pourrais même en profiter ! Et en faire profiter mon Fredy ! N’est-ce pas Fredy qu’une aventure avec cette belle plante t’enchanterait ? Je te connais mon salaud ! Je sais que ton esprit pervers est déjà entrain d’échafauder des plans pour te retrouver seul avec elle. Et lui conter fleurette !
Voilà comment était Horia ! Toute en franchise et en décontraction. Il ne lui fallut pas plus d’une minute pour prendre possession de l’espace et de son contenu. Elle était déjà en pays conquis. Je l’avais trouvée immédiatement sympathique. Rien à voir avec les belle-sœur traditionnelles qui se regardaient en chien de faïence et passaient leur temps à se surveiller et médire les unes des autres. Horia faisait partie de ces personnes qui entrent immédiatement dans les cœurs, comme on dit dans nos contrées. De ces personnes qu’on accueille à bras ouverts, sans même les connaître.
J’avais presque rougi à la remarque qu’elle avait fait à son homme à mon propos. Je venais de me rendre compte que le mec de Horia me regardait avec des yeux qui brillaient de désir (je reconnaissais maintenant très bien ce genre de regards, qu’avant je rencontrais souvent chez les hommes que je croisais ou avec lesquels je discutais, sans savoir vraiment ce qu’ils signifiaient. Mais avec l’expérience acquise auprès de mes hommes, je savais maintenant lire le désir et la lubricité dans les yeux des mâles). Et puis je me suis rappelé que je n’étais vêtue que d’une robe d’intérieur en coton fin, qui avait la particularité d’être transparent quand il était traversé par la lumière. En fait, il s’agissait d’une convention non écrite entre Mouloud et moi : il m’interdisait d’être habillée quand il venait me retrouver. Il voulait avoir immédiatement accès à mon intimité. Il refusait de s’escrimer avec les boutons de mes chemisiers, les agrafes de mes soutien-gorge, l’élastique de mes petites culottes, ou quoi que ce soit d’autre, qui fasse obstacle à sa hâte de prendre possession de moi. Depuis, je ne mettais que ce genre de djebba (robe d’intérieur) et rien, absolument rien, en dessous. Mouloud, toujours pressé, se contentait d’en relever les pans pour tout de suite être au contact avec mon anatomie.
Fredy avait donc devant les yeux (la lumière crue du couloir était derrière moi) l’image d’une femme totalement nue, sous la robe. Cela expliquait et la réaction de Horia qui me traitait de belle plante et le regard lubrique de son mec. J’étais un peu gênée, mais pas trop ! J’étais ùême très fière de faire bander le beau blond. Et en plus devant sa compagne !
Je les fis entrer et leur présentai Mouloud qui était resté, dans le salon (heureusement, qu’il était encore habillé !). Il ne semblait pas très à son aise, mais à la vue de Horia, je le vis immédiatement se redresser et bomber le torse. Son sourire de chasseur vint s’installer sur ses lèvres ; ses narines se mirent à palpiter comme si elles sentaient l’odeur aphrodisiaque de l’aventure. D’évidence, elle lui plaisait et dans sa tête devaient se télescoper plein d’idées coquines. J’avais envie d’y mettre le holà - par une remarque méchante - tant cela me parut indécent. Je me retins pourtant, en pensant que j’avais exactement eu la même réaction en me trouvant nez-à-nez avec Fredy.
- Il est à croquer, ton petit ami ! Tu me le prêtes ? Ou je te l’échange avec mon mec !
- ..
J’étais estomaquée ! Déjà ! Aussi vite ! Elle aurait pu au moins attendre quelque temps ! Une vraie croqueuse d’hommes ! Je ne savais pas si j’étais scandalisée, ou alors seulement étonnée que les choses aillent aussi vite. Fredy me plaisait énormément et une aventure immédiate avec lui était la bienvenue, surtout que nous n’avions pas eu encore le temps, Mouloud et moi, de faire l’amour. J’étais encore affamée. Et puis, je pus apercevoir sur le devant du pantalon de costume du mec une énorme bosse, qu’il essayait maladroitement de cacher par les pans de sa veste. Wouah ! Il était vraiment entrain de bander, le cochon ! Et il semblait superbement bien membré !
…/…
Je m’étais mise à trembler comme une feuille. Je sentis brusquement ma chatte frémir et se mettre à couler ! Mon bas-ventre commençait à me faire mal. Je ne pouvais pas me voir, mais j’étais sûre que mes yeux brillaient de désir et qu’ils hurlaient à l’homme qui était là devant moi, de venir vite me tirer. Je voulais le prendre par la main et le trainer vers le grand fauteuil du salon – sur lequel d’ailleurs j’étais vautrée quelques minutes auparavant en compagnie de Mouloud qui avait commencé à m’entreprendre – et me mettre immédiatement en position de recevoir le monstre que je devinais entrain de palpiter d’impatience sous le tissu du pantalon. Je me retins pourtant d’aller vers cet extrême et me contentait d’indiquer le chemin du salon au couple.
- J’ai besoin de prendre une douche. La journée a été fatigante. Tu m’accompagnes ?
Elle s’adressait à Mouloud. Sacrée Horia ! Rien, absolument rien n’est capable de l’arrêter ! Elle avait flashé sur lui et il le lui fallait immédiatement ! Elle ne jeta même pas un regard vers moi, pour savoir si j’étais d’accord qu’elle me chourave ainsi mon amant. Elle savait très bien que je n’attendais que ça pour me retrouver seule en compagnie de son amant à elle. Mouloud jeta un regard timide vers moi, pour savoir si j’étais d’accord. Lui aussi avait le devant du pantalon qui faisait une énorme bosse. Lui aussi avait envie de se retrouver seul en compagnie de ma belle-sœur ! Je lui fis oui de la tête et sans plus attendre, je pris la main de Fredy qui avait parqué les valises à roulette dans un coin du couloir. Il me suivit, en restant légèrement derrière moi, pour mater mon cul pendant que je me déplaçais, presque en courant, pour rejoindre le salon.
Je n’accordais plus aucune attention à Horia et Mouloud qui étaient partis, main dans la main, vers la salle de bain. Mon attention était toute tournée vers le beau blond qui se tenait debout devant moi, pendant que je le délestais de sa veste. Il resta ainsi avec sa chemise entrouverte et son pantalon, dont le devant était déformé par une très forte érection. Je tendis la main pour attraper le mât de tente à travers le tissu. Il était vraiment immense ! Et en plus il frémissait très fort ! D’impatience, me dis-je !
- Warri‘hou-li (Montre-le moi !)
Involontairement, j’avais utilisé l’arabe pour lui demander de me montrer sa trique. Je savais qu’il ne comprenait pas les mots que j’utilisais pour faire ma demande, mais je m’en fichais absolument. D’ailleurs, je n’attendis pas qu’il fasse quoi que ce soit. Ce fut moi qui m’occupai de défaire la boucle de sa ceinture, de déboutonner son pantalon, d’ouvrir le zip de sa braguette et de descendre sur ses cuisses, en une seule fois, le pantalon et le boxer. J’avais maintenant sous les yeux une vraie merveille. Un zob d’une immense beauté : long, gros, lisse, brillant, sans trace de poils, en dehors d’une touffe soigneusement entretenue sur le pubis. Le gland était très large et pointu, et semblait être retenu à la hampe par une grosse veine qui palpitait sous mes yeux hagards. Quand aux bourses, elles étaient contractées à l’extrême et semblaient avoir la dureté d’une pierre ; et sur elle aussi, il n’y avait pas la moindre trace de poils. Et le tout donnait une forte impression de force et de puissance. Et de…résistance ! Je me disais qu’un tel engin serait capable de me faire monter au ciel, plusieurs fois d’affilée ! Il fallait que j’en fasse l’expérience immédiatement ! Je voulais lui ordonner de me renverser sur le fauteuil et de me tirer tout de suite en puissance ! A la hussarde !
Mais je n’eus pas l’occasion de dire quoi que ce soit. Ce fut lui, qui pour la première fois depuis qu’il était entré dans la maison, parla et qui, d’une voix forte qui n’admettait pas de réplique, m’ordonna :
- Bouffe-le salope !
Je n’avais même pas été vexée par le qualificatif ordurier qu’il avait employé pour la première phrase qu’il avait prononcée en s’adressant à moi. Je voulais tellement goûter au manche que j’avais sous les yeux et que je tenais maintenant dans la main droite, que j’étais prête à tout entendre : salope, pute, chienne ou pire encore ! J’étais prête à être une gorge profonde ; à l’avaler entièrement, même s’il allait m’étouffer ou me faire vomir. Même s’il allait me faire très mal en me raclant la gorge et que cela m’empêcherait de parler pendant des jours.
J’obéis donc à l’ordre qu’il venait de me donner et me mis à genoux devant lui. J’avais maintenant le visage au même niveau que son pubis. Une magnifique odeur de mâle - très fortement aphrodisiaque (des phéromones, disait mon mari, à qui je posais un jour la question sur le parfum particulier que dégageaient les zobs de mes hommes, même après avoir pris une douche) - se dégageait de l’entrejambe de mon partenaire et accroissait encore d’un cran le désir déjà immense de me faire tirer comme une chienne. Je me mis donc à embrasser et à lécher le manche, en commençant par le gland pour finir par les couilles et retour. Je vis qu’il aimait surtout que je lui titille le gland avec la langue ; car à chaque fois, je l’entendais qui gémissait très fort et siffler entre ses dents un long « ouiiii ! » de plaisir. De temps en temps j’entamais un mouvement de masturbation, qui accentuaient ses gémissements, et qui me permettaient à moi de ressentir la douce chaleur que dégageait l’énorme sexe qui était dans ma main.
Il ne voulut pas que les choses s’éternisent. Il m’attrapa violemment par les cheveux, me fit relever le visage et m’ordonna une deuxième fois de lui faire une fellation.
- Je t’ai ordonné de le bouffer salope ! Qu’est-ce que tu attends ! Je veux te baiser par la bouche ! Je veux te défoncer la gorge ! Je veux t’inonder la bouche et le visage avec mon foutre !
- Nik-ni mel foum, ya khriss ! (Nique-moi par la bouche espèce de salaud !)
Encore une fois, je m’adressais à lui involontairement en arabe, tout en sachant qu’il ne comprenait pas les mots qui sortaient de ma bouche, mais qu’il en saisissait parfaitement le sens. Dans les moments d’ébats amoureux, cela m’excitait plus de parler dans ma langue ! C’était, pour moi, beaucoup plus érotique ! J’ouvris grandement la bouche et y fis entrer le gland du mec. Il avait du mal à pénétrer, tant il était large. Je voulais y aller en douceur, pour habituer ma bouche, puis ma gorge à la présence du monstre. Mais lui, ne l’entendait pas de cette oreille : il attrapa ma tête entre ses grandes mains et poussa fortement sur ses hanches. Le manche pénétra au plus profond de ma gorge, en raclant les parois et en me faisant un mal de chien. Immédiatement me vint l’envie de vomir. J’essayai de le faire sortir en poussant fortement sur ses cuisses.
Il me tirait violemment par les cheveux pour pouvoir maintenir son manche à l’intérieur de ma gorge. Je n’arrivais pas à respirer. Je me sentais étouffer. Je le repoussais violemment pour lui faire comprendre que je n’en pouvais plus et qu’il devait faire plus attention. Il ressortit son manche pour reprendre de l’élan et repartir de plus belle. La seule parade que je trouvai sur le champ, c’était d’attraper fortement la base de son sexe et de faire de ma main un frein pour qu’il ne puisse pas aller trop loin. Il protesta un peu en grommelant je ne sais quoi (probablement une insulte) puis accepta de raccourcir ainsi l’amplitude des va-et-vient de son manche dans ma bouche et ma gorge.
Mais même comme cela, la partie du manche qui pénétrait dans ma bouche était encore trop longue ; à chaque fois qu’elle pénétrait dans ma gorge, l’envie de vomir se faisait pressante. Je me retins pourtant de le faire. Quand je n’arrivais pas à résister, je le repoussai avec force pour qu’il sorte complètement de ma bouche et crachais toute la salive que j’avais produite en grande quantité sur le gland et la hampe qui attendaient impatiemment de repartir à l’assaut de ma gorge profonde. Cela me donnait un instant de répit pour reprendre ma respiration et éloigner l’envie de vomir. Mais quand il reprenait ses allers-retours, tout recommençait. Surtout que maintenant, il partait de plus loin. Donc avec encore plus de violence.
Je ne sus pas combien de temps dura la torture. J’entendais Fredy qui gémissait à chaque coup de boutoir. Il accompagnait chaque gémissement d’un « ouiiii ! » de plaisir retentissant. Moi j’avais toute la gorge en feu. Elle me faisait un mal de chien. J’avais les yeux qui pleuraient et les narines qui coulaient comme une fontaine. Mais je me faisais un point d’honneur à le laisser poursuivre son œuvre de destruction jusqu’à l’apothéose finale. Celle-ci arriva brusquement. Je sentis mon homme se figer soudainement, puis pousser un énorme rugissement de plaisir, avant d’éjaculer en plusieurs jets tout le foutre brulant qu’il avait emmagasiné. Le premier jet arriva directement dans ma gorge et faillit m’étouffer. J’arrivais tout de même à l’avaler, avant que le deuxième – rapidement suivi du troisième – n’arrive dans ma bouche.
- Bois salope ! Avale ! Bois du bon foutre, bien épais et bien chaud ! Dis-moi que c’est bon ! Que c’est salé juste ce qu’il faut ! Dis !!!
Bien entendu, je ne pouvais absolument rien dire. Ma bouche était pleine de son immense zob qui continuait à aller et venir en elle et de tout le sperme qu’il éjaculait comme une fontaine. Si j’avais pu parler, je lui aurais avoué que j’adorais le goût de son foutre. Qu’il avait un léger goût salé et une odeur divine. Que j’en redemandais !
Quand il arrêta ses va-et-vient dans ma bouche, son manche était encore debout et vigoureux. Il n’avait pas débandé ! Je le regardais avec une admiration non feinte !
- Mazalou mwegaf ! Zeb ahdid ! Dekhel’houli fi sawti ! (Il bande encore ! C’est un zob en acier ! Enfonce-le dans ma chatte !)
- Qu’est-ce que tu dis ? Tu le veux dans ta chatte ? En levrette ? Mets-toi à quatre pattes sur le fauteuil, je vais te défoncer comme une salope ! Salope ! Tu es une salope ! Tu aimes les gros zobs comme le mien ! Dis-moi que tu aimes te faire défoncer !
Tout en m’apostrophant ainsi, il me fit mettre à quatre pattes en travers du fauteuil, se mit derrière moi, releva les pans de ma djebba, frotta vigoureusement mes grandes lèvres avec deux doigts pour en tester l’humidité et me pénétra d’un seul coup. Un coup brutal, qui me fit pousser un petit cri de douleur. Le salaud savait utiliser son monstre pour montrer qu’il était le maître ! Q’il me possédait totalement. Que j’étais sa chose ! Il limait en force la paroi de mon vagin, qu’il transforma très vite en un brasier incandescent. Un brasier douloureux, mais tellement jouissif ! Tellement délicieux ! Il allait et venait en moi avec une fougue de taureau, en occupant complètement mon tunnel, qui me semblait avoir été créé sur mesure pour lui ! A chaque aller-retour du manche, le plaisir qu’il me donnait augmentait d’intensité. Je me sentais défaillir ; toute prête à m’évanouir ! Je voyais le salon tournoyer autour de moi, avec une forte sensation de vertige.
Et puis tout s’arrêta de tournoyer et je me vis entrain de sortir de mon corps et de m’élever jusqu’au plafond. J’étais en même temps au dessous - entrain de me faire tirer à la hussarde et en levrette par un superbe amant, muni d’un superbe outil - et au dessus entrain de contempler le spectacle du couple que je formais avec mon amant, et de jouir fortement de la vue de nos deux corps qui ne formaient plus qu’un. La Najia qui était au dessus avait une jouissance toute intellectuelle du spectacle qu’elle contemplait en dessous d’elle. C’était un plaisir vaporeux, presqu’irréel. Son double, la femme du dessous, qui était à quatre pattes en travers du fauteuil, jouissait de manière beaucoup plus physique – et plus vulgaire - de la force et de la puissance de l’homme et du merveilleux membre qui la possédaient. Elle adorait les vigoureux coups de boutoir de son amant, qu’accompagnaient de sonores han de bucheron. Elle ressentait cette force et cette puissance dans les immenses mains qui serraient fortement sa taille – en lui faisant mal - pendant que le manche allait et venait furieusement en elle. Elle voulait qu’il continue de pilonner sa chatte de plus en plus fort et de plus en plus vite ! Elle voulait le lui crier ! Mais rien ne sortait de sa gorge, que des gémissements de plaisir ! Elle n’arrivait pas à parler, ses cordes vocales ne répondaient plus ! Mais dans sa tête elle poussait l’homme qui était derrière elle à y aller encore plus en puissance ! Plus en force !
- Zid ! Zid ! Zid nik qahba ! Qahba li etmout a’3la zeb kima en-ta’3ek ! Zeb li yewdjaw ki yedkhoul fi souwat qahba kima ana ! Zeb en-ta’3 hmar ! Zeb li y’3amar-li hatchouni ! Mlih ! Mlih ! Mliiiiih ! (Encore ! Encore ! Continue de tirer la pute ! Une pute qui adore les zobs comme le tien ! Un zob qui fait mal en pénétrant dans la chatte d’une pute comme moi ! Un zob d’âne ! Un zob qui me remplit totalement le vagin ! C’est bon ! C’est bon ! C’est booon !)
Il n’entendait rien de ce qu’elle disait (de ce qu’elle pensait en fait, puisqu’elle complètement aphone) et même s’il avait entendu ses mots, il ne les aurait pas compris. Elle parlait en arabe. Mais, il comprit très vite en la voyant jouir comme une folle en hurlant – malgré son extinction de voix – un « ouiiiiiiiiiiiiiiiiii » qui lui sembla avoir duré une éternité. La jouissance qu’elle venait d’avoir avait une intensité aussi forte et intense que celles que lui avaient donné auparavant Mouloud, Mohand et même Rachid, son mari. Mais celle-là avait un goût différent. Elle n’arrivait pas à savoir pourquoi cette différence, ni d’où elle pouvait provenir. Peut-être parce que Fredy était étranger, un non musulman ! Peut-être parce qu’il était le plus beau de ses amants ! Peut-être parce qu’ils avaient baisé juste quelques minutes après avoir fait connaissance ! Elle ne sait toujours pas pourquoi, mais avec lui, le goût de ses orgasmes et de ses jouissances avaient été différents.
…/…
En revenant sur terre, quelques minutes plus tard – j’étais toujours à quatre pattes avec le sexe encore vigoureux de Fredy, planté dans ma chatte – je sortis progressivement de mon dédoublement de personnalité et retrouvais mes esprits. Je n’étais plus cette femme qui planait au dessus du spectacle et qui en jouissait de manière presque surnaturelle. J’étais redevenue la femme de chair et de sang qui avait gardé, planté dans sa chatte, le manche encore en forme de l’homme qui venait de la tirer comme une chienne.
J’étais encore en position de levrette. Je voulais maintenant voir le sublime manche entrer en sortir de mon con ! J’avais toujours adoré regarder un gros zob prendre possession de ma chatte. J’adorais, en même temps que j’en ressentais la force de pénétration, de frottement et de destruction, contempler le spectacle d’une belle bite qui entre au plus profond de mes viscères et qui en ressort totalement, pour repartir immédiatement à l’assaut. Et chaque fois, il partait de plus loin, accroissant ainsi la sensation de force et de brutalité. Et cela me faisait défaillir de plaisir. Je lui demandais – en français – de me retourner et de me mettre sur le dos, pour que je puisse profiter du spectacle. Il ne se fit pas prier pour le faire.
Il me prit par l’intérieur des genoux pour me faire lever les jambes et me les faire poser de part et d’autre de ma poitrine et il me demanda de les maintenir dans cette position, pour que je puisse tout voir du spectacle. Lui-même resta debout entre mes cuisses devant le fauteuil, le manche juste à la bonne hauteur pour aller et venir en moi sans efforts. Et il se remit à me tirer comme une brute. Le spectacle était merveilleux ! D’un côté je ressentais physiquement la force et la brutalité du zob qui prenait possession des lieux et me donnait un plaisir difficilement descriptible. D’un autre côté, je regardais le spectacle du même zob, qui entrait et sortait de mon tunnel, à un rythme infernal, en partant à chaque fois de plus loin. C’était divin !
Et cela dura longtemps ! Très longtemps ! Aucun de nous ne voulut que cela s’arrête. Nous ne voulions même pas jouir ! Nous voulions que cela reste en l’état pendant des heures ! C’était un spectacle tellement beau ! C’était un coït tellement bon ! Il fallait que cela dure ! Et cela dura jusqu’au moment où lui et moi tombâmes de fatigue : moi, parce que la position que je tenais était, au bout du temps, harassante. Et lui, il avait fini par fatiguer à force d’être resté trop longtemps debout, et d’aller et venir furieusement entre mes cuisses, en soufflant comme un phoque. Ce fut lui qui le premier parla de jouir.
- Je vais venir salope ! Je vais jouir dans ta chatte ! Je vais encore te remplir de sperme ! Tu vas voir, j’en ai encore des quantités à t’offrir !
- Faragh, ya tehhan ! Faghar fi sawti ! 3’amar-‘ha bezzal! 3’amar-ni bezzal! En-hab ezzal! Ezzal ! Ezzalllll ! (Ejacule espèce de cocu ! Ejacule dans ma chatte ! Remplis-la de sperme ! Remplis-moi de sperme ! J’aime le sperme ! Le sperme ! Le sperme ! Le speeeerme !!!)
Et tous les deux en même temps, nous eûmes un énorme orgasme, accompagné par un long hurlement de plaisir. Lui, il baisait et jouissait dans sa langue et moi j’en faisais de même dans la mienne ! Nous ne cherchions même pas à comprendre ce que l’un et l’autre nous disions pendant que nous baisions tels des bêtes. L’essentiel, c’était le plaisir que nous prenions. Et le plaisir savait se faire comprendre, quelle que soit la langue utilisée !
Quand tout s’arrêta, Fredy sortit de ma chatte et me permit ainsi de baisser mes jambes ankylosées. Il ne bandait plus comme tout à l’heure. Son monstre avait enfin perdu de sa vigueur ! J’étais fière de l’avoir ainsi vaincu ! Il restait massif, mais n’était plus aussi rigide. Je le voyais qui pendouillait entre ses cuisses. Ce fut en ce moment-là que je vis, ce que je n’avais encore jamais vu auparavant. Le gland – le magnifique gland large et pointu – disparaissait petit à petit sous une capuche de peau caoutchouteuse. Au bout de très peu de temps, il avait totalement disparu. C’était drôle ! Un zob, non circoncis ! Je n’en avais encore jamais vu ! Je le pris dans ma main et me mis à le caresser. Je voulais voir ressortir le gland. Mais pour cela, il fallait que mon homme se remette à bander ! Je me comportais comme une gamine qui avait envie de jouer. Jouer à faire sortir de sa capuche le gland d’un magnifique zob et de l’y remettre, pour pouvoir recommencer.
Et Fredy joua le jeu. Sous mes caresses, mes baisers, mes coups de langues, il se remettait à bander assez fort pour faire sortir le rat de sa cachette. Puis, il s’éloignait un peu pour ne plus être à ma portée et se calmer. Il permettait ainsi à son zob de se mettre en position de repos et à son gland de retrouver sa cachette. Cela l’amusait de me voir si contente de mon jeu. Cela dura ainsi jusqu’au retour de Mouloud et Horia qui entrèrent dans le salon, main dans la main. Ils avaient le sourire béat de personnes qui venaient de vivre des moments paradisiaques.
- I 3’adjvam oubouch-iss ! Abouche boughyoul ! Dha nech-theni I hamlagh ghourass! (Il te plait son zob! Un zob d’âne! C’est ça que j’aime chez lui!)
Elle s’était mise à me parler dans sa langue maternelle. Je pensais que depuis le temps qu’elle avait quitté le pays, elle aurait oublié et le kabyle et l’arabe. Et bien non ! Il lui a suffi de replonger dans le bain et tout lui revenait naturellement. Elle vint s’assoir à côté de nous, tout en gardant sa main dans celle de Mouloud. Elle n’était vêtue que d’une veste de pyjama, trop grande pour elle (celle que Rachid, mon mari, laissait tous les matins dans la salle de bain). Mouloud aussi était très peu vêtu. Il n’avait gardé que sa chemise, complètement ouverte sur son magnifique torse velu, et na cachant rien de son intimité. Lui aussi avait le zob au repos. Le salaud, avait dû être rassasié par cette cochonne de Horia.
- Ton amant est un super coup ! Il est infatigable ! Je comprends que tu tiennes à lui ! Comment as-tu trouvé mon Fredy ?
- Super ! Je le garde pour moi tout le temps que vous resterez ici ! Et pas touche ! Il est pour moi seule !
- Je crois que Mouloud doit partir. Il m’a dit qu’il ne rencontrait jamais Rachid à la maison ! Qu’il n’attendait jamais son retour au bercail ! C’est lui qui ne veut pas ? Ou bien c’est toi ? Tu ne veux pas les avoir ensemble ? A ta place, je n’hésiterais pas ! Mais pas pour le moment ! Moi aussi je veux le garder un moment pour moi seule !
Mouloud partit à regret. Je sentais qu’il voulait rester encore un peu en compagnie de sa nouvelle conquête. Elle semblait l’avoir complètement subjuguée. Elle devait baiser comme une déesse, me dis-je, avec une petite pointe de jalousie. Puis le couple Horia et Fredy partit vers la salle de bain, pour prendre une douche bien chaude et se délasser. Moi, comme à mon habitude, je restais avec mes souillures et celles de mon amant non circoncis, en attendant le retour de mon mari.
…/…
Pendant toute cette période, il me semblait avoir fait le tour de tout ce que l’érotisme pouvait m’offrir. Et je pensais même être devenue une sorte de d’experte dans l’art de donner et de prendre du plaisir; d’exciter au-delà du supportable, de me faire désirer, de faire languir mes partenaires, de faire monter leur plaisir et de les faire pâmer. Les maîtres que j’avais eus avaient été vraiment à la hauteur. Tous les trois - auxquels, il faut bien entendu ajouter Rachid, mon mari, qui non seulement m’avait mis sur les rails de l’adultère, mais m’avait aussi encouragée au-delà de l’imaginable - m’avaient appris à n’accorder d’importance qu’à mes seules envies et fantasmes. Et, aussi et surtout, à ne pas me laisser emprisonnée par l’ordre moral et religieux ambiant et à n’obéir qu’à un seul Dieu : Eros !
Discrètement, bien entendu ! Car la société dans laquelle nous vivions ne tolérait aucun écart, par rapport au rigorisme moral et religieux dans lequel elle baignait. La sanction, si la chose venait à être découverte, tomberait tel un couperet : au mieux, ce serait une mise définitive au ban de la société, avec l’énorme mépris et la mort sociale qui vont avec ; au pire, ce serait une sanction pénale de plusieurs années de prison, accompagnée, elle aussi, d’une mort sociale définitive. Et dans notre cas, ce serait encore pire, puisque l’adultère dont je m’étais rendue coupable s’était commis avec l’assentiment et la bénédiction de mon mari Rachid. Il serait donc lui aussi puni sévèrement pour comportement contraire à la morale. Et je ne parle pas des conséquences du scandale sur nos enfants (mêmes si ceux-ci vivaient au Canada, un pays aux mœurs moins rigoureuses qu’en Algérie). C’était ce qui nous poussait Rachid et moi – mais aussi Mohand et Raîssa, de même que Mouloud malgré, le fait que, lui, était célibataire - à être discrets et à ne rien montrer de ce que nous faisions et vivions en matière de relations sexuelles.
Rachid n’avait encore jamais participé directement à mes ébats avec mes amants. Il n’y avait même jamais assisté. Il n’avait encore jamais fait montre d’une envie exacerbée d’être présent auprès de moi, au moment où je me faisais tirer par mes amants. Parfois, en écoutant le récit que je lui faisais de tout ce que j’avais vécu avec mes partenaires et de ce que j’en avais ressenti comme félicité, plaisir et même douleur, il me disait qu’il aurait adoré voir ça. Mais, jusqu’à maintenant cela n’avait jamais été plus loin. A aucun moment par exemple, il n’avait émis le vœu de participer à mes ébats avec un ou plusieurs de mes amants. Je ne savais d’ailleurs pas, si dans ses fantasmes de candauliste, figurait le fait de participer aux ébats de son épouse avec ses partenaires de lit.
Et en y réfléchissant, je pensais que non. Ce qu’il semblait apprécier plus que tout, c’était que je lui racontasse en détail ce que moi et mon, ou mes, partenaires avions vécu dans l’après midi, ou parfois la nuit précédente. Il adorait que je lui décrive toutes les sensations que j’avais ressenties avant, pendant et après que je me faisais tirer, ainsi que les jouissances et les orgasmes que j’avais eus. Je voyais ses yeux qui brillaient de lubricité et sa lèvre supérieure qui tremblait d’émotion. D’ailleurs ce dernier détail ne me trompait jamais : chaque fois qu’il avait une forte émotion, cela se traduisait par un tic qui faisait trembler le coin droit de sa lèvre supérieure. Et plus l’émotion était forte, et plus le tremblement s’étendait sur toute la lèvre et durait longtemps.
Mais ce qu’il adorait par-dessus tout, et qu’il attendait avec une impatience d’enfant sur le point de découvrir son cadeau, c’était de contempler les traces de souillures que je gardais sur moi. Il les reniflait, les léchait fiévreusement et les avalait avec une gourmandise non feinte. Ce qui me surprenait toujours, c’était surtout la manière dont il reniflait tout mon corps, y compris mes parties les plus intimes, qui étaient le plus remplies de foutre: on aurait dit un bouc en rut, qui reniflait, en béguetant, le cul d’une chèvre en chaleur, qu’il s’apprêtait à monter.
Et à chaque fois, il me faisait l’amour, avec la fougue et la puissance d’un taureau, en jouissant bruyamment et en éjaculant abondamment en moi et sur moi. Il était réellement heureux ! Et à chaque fois, cela m’étonnait qu’il bandât aussi fort. Avant que nous entrions dans cette histoire de cocufiage, je n’avais encore jamais vu son manche avec une pareille érection : il semblait même avoir pris du volume et de la rigidité. Pour utiliser une formule scabreuse, je dirais qu’en ces moments là, il bandait comme un âne en rut. Et moi, qui avait auparavant, pris plus que mon compte de plaisir avec mon ou mes amants, je me remettais à avoir envie d’être tirée par ce nouvel amant. Et à chaque fois, je jouissais très fort.
Mon mari m’était réellement reconnaissant de réveiller en lui le désir intense de me faire l’amour comme une brute et de se découvrir des talents de « tireur », qu’il pensait n’avoir jamais eus. Il était même fier de lui. Le fait qu’il fallait que je le cocufie pour qu’il en arrive là, n’enlevait rien à cette fierté et n’entrait pas en ligne de compte. Cela lui permettait de vivre son fantasme le plus secret et le plus inavouable et avait pour conséquence immédiate d’accroître l’intensité de son excitation et de la porter à son paroxysme. Et ça, ni les lectures érotiques dont il faisait une consommation immodérée, ni les films et les vidéos pornographiques que très souvent il regardait (seul ou en ma compagnie) n’arrivaient à le mettre dans un tel état. Et il adorait cette sensation de puissance sexuelle qu’il ressentait quand il bandait très fort. Il se sentait capable de m’emmener très haut dans le septième ciel. Et il le faisait ! Surtout depuis qu’il eût découvert que j’adorais être enculée ! Il me le disait crument en kabyle, en arabe et même en français.
- Am thegragh dheg khozidh-im allama chergher-amth! En-nikek men ga3-rek hetta en-kessar’hou-lek! (Je vais te le mettre dans le cul, jusqu’à te le déchirer! Je vais te niquer par le cul jusqu’à te le détruire !)
Et le plus souvent, il m’enculait en force ! Et malgré que la voie fût maintenant très ouverte, il lui arrivait encore de me faire mal ! Et il y prenait un plaisir fou ! Et il me le criait ! Il se comparait à mes amants et se sentait à leur hauteur ! Et dans ces moments-là, je le trouvais à la hauteur ! Au fur et à mesure que le temps passait et que mon aventure adultère durait, je découvrais un mari de plus en plus épanoui sexuellement et qui prenait de plus en plus d’assurance en ses capacités de mâle. Lui et moi, n’avions trouvé que du bonheur dans cette histoire d’adultère assumée, qui, si elle venait à être découverte, scandaliserait la société toute entière et la ferait frémir de dégoût. Alors que nous, nous en étions très fiers !
…/…
Les choses continuèrent ainsi pendant près d’une année, avant que ne débarque chez nous un couple vraiment improbable : Horia, la sœur de Rachid, une belle plante kabyle d’une quarantaine d’années, installée depuis des lustres en France (à Toulouse, dans les Pyrénées) et qui était devenue française par le mariage. Elle avait rapidement divorcé et s’était mise en couple avec Frédéric - que tout le monde appelait Fredy - un français pure souche, qui avait le même âge qu’elle et qui était beau comme un dieu. Il était très amoureux d’elle et ne le cachait pas. Elle par contre, semblait ne pas avoir de sentiments très profonds vis-à-vis de lui. En la connaissant un peu mieux, je compris que ce n’était que parce qu’il était un superbe coup au lit, qu’elle était avec lui. Et j’appris aussi, qu’elle refusait catégoriquement de vivre avec lui et d’emménager chez lui. Chacun gardait sa liberté tout en se voyant régulièrement, tour à tour, chez l’un ou chez l’autre. Elle disait qu’elle voulait garder sa liberté de penser et d’agir à sa guise et, qu’elle ne voulait pas revivre l’expérience trop contraignante d’une vie à deux. Expérience, qui n’avait pas duré plus de deux années, et dont elle avait gardé un fort mauvais souvenir.
Elle avait un caractère bien trempé et un tempérament de feu. C’était elle qui avait décidé de venir passer – au printemps – une quinzaine de jours de vacances pour se retremper dans ses souvenirs d’enfance et de jeunesse. Elle n’était pas revenue au pays depuis une quinzaine d’années et la nostalgie avait finie par la rattraper. C’était une femme sportive, joviale et volontaire. Toujours prête à vivre une belle aventure, si elle venait à se présenter à elle. Et ce qui ne gâchait rien, c’était une vraie belle femme : blonde, mince, avec de petits yeux très clairs (d’un bleu indéfinissable) et pétillant de malice. Un nez de Kabyle, un peu trop long, et une immense bouche entourée de belles lèvres ourlées, s’ouvrant sur les plus belles quenottes qu’il m’était arrivé d’admirer. Des quenottes de carnassière, prêtes à croquer tout ce qui passait devant elles. D’évidence, c’était une femme qui aimait les plaisirs de la vie. Et parmi eux – je l’appris assez rapidement – les plaisirs érotiques.
Quand le couple débarqua - c’était un jeudi en début après-midi – j’étais seule à la maison avec Mouloud. Nous n’en étions encore qu’aux prémices de nos jeux érotiques et n’étions pas passés aux choses sérieuses. Quand la sonnette de la porte d’entrée vibra, Mouloud était entrain de me caresser la chatte et de chauffer à blanc. Nous étions prêts à passer à l’étape suivante : une pénétration à la hussarde et en position de levrette, que lui et moi adorions particulièrement. La sonnette nous fit sursauter. Ni lui, ni moi ne nous attendions à recevoir qui que ce soit, ce jour-là. Cela ne pouvait pas être Rachid, qui par convention tacite avec nous, ne revenait à la maison qu’en fin d’après-midi, quand mon amant était déjà parti. Il était certainement au courant de l’arrivée de sa sœur, mais pour je ne sais quelle raison, il avait omis de m’en parler. J’étais donc très étonnée de la voir débarquer ainsi, sans crier gare.
Je connaissais l’existence de cette belle-sœur (l’unique sœur de mon mari), dont il me racontait souvent les frasques et le comportement d’amazone dans son pays d’adoption, mais je ne l’avais encore jamais vue. Quand je me suis mariée avec Rachid, elle était déjà en France et y poursuivait des études, en vivant chez une tante maternelle. Je l’avais vue dans des photos, qu’elle envoyait souvent à son frère (des photos, parfois à la limite de la décence) et je la reconnus immédiatement en ouvrant la porte. Même si elle avait les traits fatigués - un voyage harassant, avec plus de trois heures de retard ! - je la trouvais très belle. Et que dire de l’homme qui était derrière elle, et qui trainait deux grandes valises à roulettes : Apollon ! Blond, yeux bleus, très grand, mince, épaules larges, taille fine, hanches étroites, jambes longues : un vrai acteur américain ! (Comme aimait dire feue ma mère, quand elle parlait d’un homme d’une grande beauté).
Ma description peut paraître exagérée ou même artificielle. Mais en le voyant, j’eus vraiment la sensation de me trouver en face d’un top model masculin ; un de ceux qui font les pubs pour les marques de parfums pour hommes ou pour de grandes marques d’après-rasage. La même beauté et la même élégance. Parce qu’en plus, il était élégant : de cette élégance très raffinée, à force de paraître négligée. Une barbe de trois jours, savamment entretenue ; de longs cheveux blonds qui tombaient négligemment sur ses épaules ; un léger costume en alpaga de couleur marron très clair, ouvert sur une chemise en soie, dont les trois boutons supérieurs étaient dégrafés et mettaient en évidence un haut de poitrine bien bronzé et musclé et des pectoraux de grand sportif. Une vraie image d’Epinal ! Mais une image vraie, qui avait immédiatement eu comme conséquence de faire battre mon cœur plus vite.
- Bonjour Najia ! Fit Horia. C’est bien Najia ? Rachid m’a dit au téléphone que je te trouverai à la maison. Voici Fredy, mon mec.
Elle avait une voix légèrement rauque et harmonieuse. Une de ces voix radiophonique, qui donnait des frissons aux mâles qui l’écoutaient. Je me disais que j’aurais bien aimé avoir une telle voix. Elle accroitrait énormément mon sex-appeal et me permettrait de séduire n’importe quel homme, rien qu’en lui parlant au téléphone ! J’étais étonnée qu’elle qualifiât l’apollon qui était avec elle par une formule aussi grivoise : mon mec ! Mais je sus très vite, qu’elle était comme cela : elle ne censurait jamais ses pensées et disait toujours les choses telles qu’elles lui venaient.
- Oui, c’est bien moi ! Et toi c’est Horia ! Rachid ne m’avait pas averti de ta visite ! Il a dû oublier !
- Non il l’a fait exprès ! Il voulait te faire une surprise ! Il m’a dit que je ne te trouverai pas seule. Que tu seras en compagnie d’un bel homme !
- Salaud ! Il aurait aussi pu le claironner plus fort ! Faire intervenir la télévision ! Et hurler sur tous les toits : allez chez moi et vous trouverez ma femme en compagnie de son amant !
- Il ne faut pas lui en vouloir ! Il m’a dit quelques mots à propos de vos expériences érotiques et j’ai trouvé cela très bien. Peut-être que je pourrais même en profiter ! Et en faire profiter mon Fredy ! N’est-ce pas Fredy qu’une aventure avec cette belle plante t’enchanterait ? Je te connais mon salaud ! Je sais que ton esprit pervers est déjà entrain d’échafauder des plans pour te retrouver seul avec elle. Et lui conter fleurette !
Voilà comment était Horia ! Toute en franchise et en décontraction. Il ne lui fallut pas plus d’une minute pour prendre possession de l’espace et de son contenu. Elle était déjà en pays conquis. Je l’avais trouvée immédiatement sympathique. Rien à voir avec les belle-sœur traditionnelles qui se regardaient en chien de faïence et passaient leur temps à se surveiller et médire les unes des autres. Horia faisait partie de ces personnes qui entrent immédiatement dans les cœurs, comme on dit dans nos contrées. De ces personnes qu’on accueille à bras ouverts, sans même les connaître.
J’avais presque rougi à la remarque qu’elle avait fait à son homme à mon propos. Je venais de me rendre compte que le mec de Horia me regardait avec des yeux qui brillaient de désir (je reconnaissais maintenant très bien ce genre de regards, qu’avant je rencontrais souvent chez les hommes que je croisais ou avec lesquels je discutais, sans savoir vraiment ce qu’ils signifiaient. Mais avec l’expérience acquise auprès de mes hommes, je savais maintenant lire le désir et la lubricité dans les yeux des mâles). Et puis je me suis rappelé que je n’étais vêtue que d’une robe d’intérieur en coton fin, qui avait la particularité d’être transparent quand il était traversé par la lumière. En fait, il s’agissait d’une convention non écrite entre Mouloud et moi : il m’interdisait d’être habillée quand il venait me retrouver. Il voulait avoir immédiatement accès à mon intimité. Il refusait de s’escrimer avec les boutons de mes chemisiers, les agrafes de mes soutien-gorge, l’élastique de mes petites culottes, ou quoi que ce soit d’autre, qui fasse obstacle à sa hâte de prendre possession de moi. Depuis, je ne mettais que ce genre de djebba (robe d’intérieur) et rien, absolument rien, en dessous. Mouloud, toujours pressé, se contentait d’en relever les pans pour tout de suite être au contact avec mon anatomie.
Fredy avait donc devant les yeux (la lumière crue du couloir était derrière moi) l’image d’une femme totalement nue, sous la robe. Cela expliquait et la réaction de Horia qui me traitait de belle plante et le regard lubrique de son mec. J’étais un peu gênée, mais pas trop ! J’étais ùême très fière de faire bander le beau blond. Et en plus devant sa compagne !
Je les fis entrer et leur présentai Mouloud qui était resté, dans le salon (heureusement, qu’il était encore habillé !). Il ne semblait pas très à son aise, mais à la vue de Horia, je le vis immédiatement se redresser et bomber le torse. Son sourire de chasseur vint s’installer sur ses lèvres ; ses narines se mirent à palpiter comme si elles sentaient l’odeur aphrodisiaque de l’aventure. D’évidence, elle lui plaisait et dans sa tête devaient se télescoper plein d’idées coquines. J’avais envie d’y mettre le holà - par une remarque méchante - tant cela me parut indécent. Je me retins pourtant, en pensant que j’avais exactement eu la même réaction en me trouvant nez-à-nez avec Fredy.
- Il est à croquer, ton petit ami ! Tu me le prêtes ? Ou je te l’échange avec mon mec !
- ..
J’étais estomaquée ! Déjà ! Aussi vite ! Elle aurait pu au moins attendre quelque temps ! Une vraie croqueuse d’hommes ! Je ne savais pas si j’étais scandalisée, ou alors seulement étonnée que les choses aillent aussi vite. Fredy me plaisait énormément et une aventure immédiate avec lui était la bienvenue, surtout que nous n’avions pas eu encore le temps, Mouloud et moi, de faire l’amour. J’étais encore affamée. Et puis, je pus apercevoir sur le devant du pantalon de costume du mec une énorme bosse, qu’il essayait maladroitement de cacher par les pans de sa veste. Wouah ! Il était vraiment entrain de bander, le cochon ! Et il semblait superbement bien membré !
…/…
Je m’étais mise à trembler comme une feuille. Je sentis brusquement ma chatte frémir et se mettre à couler ! Mon bas-ventre commençait à me faire mal. Je ne pouvais pas me voir, mais j’étais sûre que mes yeux brillaient de désir et qu’ils hurlaient à l’homme qui était là devant moi, de venir vite me tirer. Je voulais le prendre par la main et le trainer vers le grand fauteuil du salon – sur lequel d’ailleurs j’étais vautrée quelques minutes auparavant en compagnie de Mouloud qui avait commencé à m’entreprendre – et me mettre immédiatement en position de recevoir le monstre que je devinais entrain de palpiter d’impatience sous le tissu du pantalon. Je me retins pourtant d’aller vers cet extrême et me contentait d’indiquer le chemin du salon au couple.
- J’ai besoin de prendre une douche. La journée a été fatigante. Tu m’accompagnes ?
Elle s’adressait à Mouloud. Sacrée Horia ! Rien, absolument rien n’est capable de l’arrêter ! Elle avait flashé sur lui et il le lui fallait immédiatement ! Elle ne jeta même pas un regard vers moi, pour savoir si j’étais d’accord qu’elle me chourave ainsi mon amant. Elle savait très bien que je n’attendais que ça pour me retrouver seule en compagnie de son amant à elle. Mouloud jeta un regard timide vers moi, pour savoir si j’étais d’accord. Lui aussi avait le devant du pantalon qui faisait une énorme bosse. Lui aussi avait envie de se retrouver seul en compagnie de ma belle-sœur ! Je lui fis oui de la tête et sans plus attendre, je pris la main de Fredy qui avait parqué les valises à roulette dans un coin du couloir. Il me suivit, en restant légèrement derrière moi, pour mater mon cul pendant que je me déplaçais, presque en courant, pour rejoindre le salon.
Je n’accordais plus aucune attention à Horia et Mouloud qui étaient partis, main dans la main, vers la salle de bain. Mon attention était toute tournée vers le beau blond qui se tenait debout devant moi, pendant que je le délestais de sa veste. Il resta ainsi avec sa chemise entrouverte et son pantalon, dont le devant était déformé par une très forte érection. Je tendis la main pour attraper le mât de tente à travers le tissu. Il était vraiment immense ! Et en plus il frémissait très fort ! D’impatience, me dis-je !
- Warri‘hou-li (Montre-le moi !)
Involontairement, j’avais utilisé l’arabe pour lui demander de me montrer sa trique. Je savais qu’il ne comprenait pas les mots que j’utilisais pour faire ma demande, mais je m’en fichais absolument. D’ailleurs, je n’attendis pas qu’il fasse quoi que ce soit. Ce fut moi qui m’occupai de défaire la boucle de sa ceinture, de déboutonner son pantalon, d’ouvrir le zip de sa braguette et de descendre sur ses cuisses, en une seule fois, le pantalon et le boxer. J’avais maintenant sous les yeux une vraie merveille. Un zob d’une immense beauté : long, gros, lisse, brillant, sans trace de poils, en dehors d’une touffe soigneusement entretenue sur le pubis. Le gland était très large et pointu, et semblait être retenu à la hampe par une grosse veine qui palpitait sous mes yeux hagards. Quand aux bourses, elles étaient contractées à l’extrême et semblaient avoir la dureté d’une pierre ; et sur elle aussi, il n’y avait pas la moindre trace de poils. Et le tout donnait une forte impression de force et de puissance. Et de…résistance ! Je me disais qu’un tel engin serait capable de me faire monter au ciel, plusieurs fois d’affilée ! Il fallait que j’en fasse l’expérience immédiatement ! Je voulais lui ordonner de me renverser sur le fauteuil et de me tirer tout de suite en puissance ! A la hussarde !
Mais je n’eus pas l’occasion de dire quoi que ce soit. Ce fut lui, qui pour la première fois depuis qu’il était entré dans la maison, parla et qui, d’une voix forte qui n’admettait pas de réplique, m’ordonna :
- Bouffe-le salope !
Je n’avais même pas été vexée par le qualificatif ordurier qu’il avait employé pour la première phrase qu’il avait prononcée en s’adressant à moi. Je voulais tellement goûter au manche que j’avais sous les yeux et que je tenais maintenant dans la main droite, que j’étais prête à tout entendre : salope, pute, chienne ou pire encore ! J’étais prête à être une gorge profonde ; à l’avaler entièrement, même s’il allait m’étouffer ou me faire vomir. Même s’il allait me faire très mal en me raclant la gorge et que cela m’empêcherait de parler pendant des jours.
J’obéis donc à l’ordre qu’il venait de me donner et me mis à genoux devant lui. J’avais maintenant le visage au même niveau que son pubis. Une magnifique odeur de mâle - très fortement aphrodisiaque (des phéromones, disait mon mari, à qui je posais un jour la question sur le parfum particulier que dégageaient les zobs de mes hommes, même après avoir pris une douche) - se dégageait de l’entrejambe de mon partenaire et accroissait encore d’un cran le désir déjà immense de me faire tirer comme une chienne. Je me mis donc à embrasser et à lécher le manche, en commençant par le gland pour finir par les couilles et retour. Je vis qu’il aimait surtout que je lui titille le gland avec la langue ; car à chaque fois, je l’entendais qui gémissait très fort et siffler entre ses dents un long « ouiiii ! » de plaisir. De temps en temps j’entamais un mouvement de masturbation, qui accentuaient ses gémissements, et qui me permettaient à moi de ressentir la douce chaleur que dégageait l’énorme sexe qui était dans ma main.
Il ne voulut pas que les choses s’éternisent. Il m’attrapa violemment par les cheveux, me fit relever le visage et m’ordonna une deuxième fois de lui faire une fellation.
- Je t’ai ordonné de le bouffer salope ! Qu’est-ce que tu attends ! Je veux te baiser par la bouche ! Je veux te défoncer la gorge ! Je veux t’inonder la bouche et le visage avec mon foutre !
- Nik-ni mel foum, ya khriss ! (Nique-moi par la bouche espèce de salaud !)
Encore une fois, je m’adressais à lui involontairement en arabe, tout en sachant qu’il ne comprenait pas les mots qui sortaient de ma bouche, mais qu’il en saisissait parfaitement le sens. Dans les moments d’ébats amoureux, cela m’excitait plus de parler dans ma langue ! C’était, pour moi, beaucoup plus érotique ! J’ouvris grandement la bouche et y fis entrer le gland du mec. Il avait du mal à pénétrer, tant il était large. Je voulais y aller en douceur, pour habituer ma bouche, puis ma gorge à la présence du monstre. Mais lui, ne l’entendait pas de cette oreille : il attrapa ma tête entre ses grandes mains et poussa fortement sur ses hanches. Le manche pénétra au plus profond de ma gorge, en raclant les parois et en me faisant un mal de chien. Immédiatement me vint l’envie de vomir. J’essayai de le faire sortir en poussant fortement sur ses cuisses.
Il me tirait violemment par les cheveux pour pouvoir maintenir son manche à l’intérieur de ma gorge. Je n’arrivais pas à respirer. Je me sentais étouffer. Je le repoussais violemment pour lui faire comprendre que je n’en pouvais plus et qu’il devait faire plus attention. Il ressortit son manche pour reprendre de l’élan et repartir de plus belle. La seule parade que je trouvai sur le champ, c’était d’attraper fortement la base de son sexe et de faire de ma main un frein pour qu’il ne puisse pas aller trop loin. Il protesta un peu en grommelant je ne sais quoi (probablement une insulte) puis accepta de raccourcir ainsi l’amplitude des va-et-vient de son manche dans ma bouche et ma gorge.
Mais même comme cela, la partie du manche qui pénétrait dans ma bouche était encore trop longue ; à chaque fois qu’elle pénétrait dans ma gorge, l’envie de vomir se faisait pressante. Je me retins pourtant de le faire. Quand je n’arrivais pas à résister, je le repoussai avec force pour qu’il sorte complètement de ma bouche et crachais toute la salive que j’avais produite en grande quantité sur le gland et la hampe qui attendaient impatiemment de repartir à l’assaut de ma gorge profonde. Cela me donnait un instant de répit pour reprendre ma respiration et éloigner l’envie de vomir. Mais quand il reprenait ses allers-retours, tout recommençait. Surtout que maintenant, il partait de plus loin. Donc avec encore plus de violence.
Je ne sus pas combien de temps dura la torture. J’entendais Fredy qui gémissait à chaque coup de boutoir. Il accompagnait chaque gémissement d’un « ouiiii ! » de plaisir retentissant. Moi j’avais toute la gorge en feu. Elle me faisait un mal de chien. J’avais les yeux qui pleuraient et les narines qui coulaient comme une fontaine. Mais je me faisais un point d’honneur à le laisser poursuivre son œuvre de destruction jusqu’à l’apothéose finale. Celle-ci arriva brusquement. Je sentis mon homme se figer soudainement, puis pousser un énorme rugissement de plaisir, avant d’éjaculer en plusieurs jets tout le foutre brulant qu’il avait emmagasiné. Le premier jet arriva directement dans ma gorge et faillit m’étouffer. J’arrivais tout de même à l’avaler, avant que le deuxième – rapidement suivi du troisième – n’arrive dans ma bouche.
- Bois salope ! Avale ! Bois du bon foutre, bien épais et bien chaud ! Dis-moi que c’est bon ! Que c’est salé juste ce qu’il faut ! Dis !!!
Bien entendu, je ne pouvais absolument rien dire. Ma bouche était pleine de son immense zob qui continuait à aller et venir en elle et de tout le sperme qu’il éjaculait comme une fontaine. Si j’avais pu parler, je lui aurais avoué que j’adorais le goût de son foutre. Qu’il avait un léger goût salé et une odeur divine. Que j’en redemandais !
Quand il arrêta ses va-et-vient dans ma bouche, son manche était encore debout et vigoureux. Il n’avait pas débandé ! Je le regardais avec une admiration non feinte !
- Mazalou mwegaf ! Zeb ahdid ! Dekhel’houli fi sawti ! (Il bande encore ! C’est un zob en acier ! Enfonce-le dans ma chatte !)
- Qu’est-ce que tu dis ? Tu le veux dans ta chatte ? En levrette ? Mets-toi à quatre pattes sur le fauteuil, je vais te défoncer comme une salope ! Salope ! Tu es une salope ! Tu aimes les gros zobs comme le mien ! Dis-moi que tu aimes te faire défoncer !
Tout en m’apostrophant ainsi, il me fit mettre à quatre pattes en travers du fauteuil, se mit derrière moi, releva les pans de ma djebba, frotta vigoureusement mes grandes lèvres avec deux doigts pour en tester l’humidité et me pénétra d’un seul coup. Un coup brutal, qui me fit pousser un petit cri de douleur. Le salaud savait utiliser son monstre pour montrer qu’il était le maître ! Q’il me possédait totalement. Que j’étais sa chose ! Il limait en force la paroi de mon vagin, qu’il transforma très vite en un brasier incandescent. Un brasier douloureux, mais tellement jouissif ! Tellement délicieux ! Il allait et venait en moi avec une fougue de taureau, en occupant complètement mon tunnel, qui me semblait avoir été créé sur mesure pour lui ! A chaque aller-retour du manche, le plaisir qu’il me donnait augmentait d’intensité. Je me sentais défaillir ; toute prête à m’évanouir ! Je voyais le salon tournoyer autour de moi, avec une forte sensation de vertige.
Et puis tout s’arrêta de tournoyer et je me vis entrain de sortir de mon corps et de m’élever jusqu’au plafond. J’étais en même temps au dessous - entrain de me faire tirer à la hussarde et en levrette par un superbe amant, muni d’un superbe outil - et au dessus entrain de contempler le spectacle du couple que je formais avec mon amant, et de jouir fortement de la vue de nos deux corps qui ne formaient plus qu’un. La Najia qui était au dessus avait une jouissance toute intellectuelle du spectacle qu’elle contemplait en dessous d’elle. C’était un plaisir vaporeux, presqu’irréel. Son double, la femme du dessous, qui était à quatre pattes en travers du fauteuil, jouissait de manière beaucoup plus physique – et plus vulgaire - de la force et de la puissance de l’homme et du merveilleux membre qui la possédaient. Elle adorait les vigoureux coups de boutoir de son amant, qu’accompagnaient de sonores han de bucheron. Elle ressentait cette force et cette puissance dans les immenses mains qui serraient fortement sa taille – en lui faisant mal - pendant que le manche allait et venait furieusement en elle. Elle voulait qu’il continue de pilonner sa chatte de plus en plus fort et de plus en plus vite ! Elle voulait le lui crier ! Mais rien ne sortait de sa gorge, que des gémissements de plaisir ! Elle n’arrivait pas à parler, ses cordes vocales ne répondaient plus ! Mais dans sa tête elle poussait l’homme qui était derrière elle à y aller encore plus en puissance ! Plus en force !
- Zid ! Zid ! Zid nik qahba ! Qahba li etmout a’3la zeb kima en-ta’3ek ! Zeb li yewdjaw ki yedkhoul fi souwat qahba kima ana ! Zeb en-ta’3 hmar ! Zeb li y’3amar-li hatchouni ! Mlih ! Mlih ! Mliiiiih ! (Encore ! Encore ! Continue de tirer la pute ! Une pute qui adore les zobs comme le tien ! Un zob qui fait mal en pénétrant dans la chatte d’une pute comme moi ! Un zob d’âne ! Un zob qui me remplit totalement le vagin ! C’est bon ! C’est bon ! C’est booon !)
Il n’entendait rien de ce qu’elle disait (de ce qu’elle pensait en fait, puisqu’elle complètement aphone) et même s’il avait entendu ses mots, il ne les aurait pas compris. Elle parlait en arabe. Mais, il comprit très vite en la voyant jouir comme une folle en hurlant – malgré son extinction de voix – un « ouiiiiiiiiiiiiiiiiii » qui lui sembla avoir duré une éternité. La jouissance qu’elle venait d’avoir avait une intensité aussi forte et intense que celles que lui avaient donné auparavant Mouloud, Mohand et même Rachid, son mari. Mais celle-là avait un goût différent. Elle n’arrivait pas à savoir pourquoi cette différence, ni d’où elle pouvait provenir. Peut-être parce que Fredy était étranger, un non musulman ! Peut-être parce qu’il était le plus beau de ses amants ! Peut-être parce qu’ils avaient baisé juste quelques minutes après avoir fait connaissance ! Elle ne sait toujours pas pourquoi, mais avec lui, le goût de ses orgasmes et de ses jouissances avaient été différents.
…/…
En revenant sur terre, quelques minutes plus tard – j’étais toujours à quatre pattes avec le sexe encore vigoureux de Fredy, planté dans ma chatte – je sortis progressivement de mon dédoublement de personnalité et retrouvais mes esprits. Je n’étais plus cette femme qui planait au dessus du spectacle et qui en jouissait de manière presque surnaturelle. J’étais redevenue la femme de chair et de sang qui avait gardé, planté dans sa chatte, le manche encore en forme de l’homme qui venait de la tirer comme une chienne.
J’étais encore en position de levrette. Je voulais maintenant voir le sublime manche entrer en sortir de mon con ! J’avais toujours adoré regarder un gros zob prendre possession de ma chatte. J’adorais, en même temps que j’en ressentais la force de pénétration, de frottement et de destruction, contempler le spectacle d’une belle bite qui entre au plus profond de mes viscères et qui en ressort totalement, pour repartir immédiatement à l’assaut. Et chaque fois, il partait de plus loin, accroissant ainsi la sensation de force et de brutalité. Et cela me faisait défaillir de plaisir. Je lui demandais – en français – de me retourner et de me mettre sur le dos, pour que je puisse profiter du spectacle. Il ne se fit pas prier pour le faire.
Il me prit par l’intérieur des genoux pour me faire lever les jambes et me les faire poser de part et d’autre de ma poitrine et il me demanda de les maintenir dans cette position, pour que je puisse tout voir du spectacle. Lui-même resta debout entre mes cuisses devant le fauteuil, le manche juste à la bonne hauteur pour aller et venir en moi sans efforts. Et il se remit à me tirer comme une brute. Le spectacle était merveilleux ! D’un côté je ressentais physiquement la force et la brutalité du zob qui prenait possession des lieux et me donnait un plaisir difficilement descriptible. D’un autre côté, je regardais le spectacle du même zob, qui entrait et sortait de mon tunnel, à un rythme infernal, en partant à chaque fois de plus loin. C’était divin !
Et cela dura longtemps ! Très longtemps ! Aucun de nous ne voulut que cela s’arrête. Nous ne voulions même pas jouir ! Nous voulions que cela reste en l’état pendant des heures ! C’était un spectacle tellement beau ! C’était un coït tellement bon ! Il fallait que cela dure ! Et cela dura jusqu’au moment où lui et moi tombâmes de fatigue : moi, parce que la position que je tenais était, au bout du temps, harassante. Et lui, il avait fini par fatiguer à force d’être resté trop longtemps debout, et d’aller et venir furieusement entre mes cuisses, en soufflant comme un phoque. Ce fut lui qui le premier parla de jouir.
- Je vais venir salope ! Je vais jouir dans ta chatte ! Je vais encore te remplir de sperme ! Tu vas voir, j’en ai encore des quantités à t’offrir !
- Faragh, ya tehhan ! Faghar fi sawti ! 3’amar-‘ha bezzal! 3’amar-ni bezzal! En-hab ezzal! Ezzal ! Ezzalllll ! (Ejacule espèce de cocu ! Ejacule dans ma chatte ! Remplis-la de sperme ! Remplis-moi de sperme ! J’aime le sperme ! Le sperme ! Le sperme ! Le speeeerme !!!)
Et tous les deux en même temps, nous eûmes un énorme orgasme, accompagné par un long hurlement de plaisir. Lui, il baisait et jouissait dans sa langue et moi j’en faisais de même dans la mienne ! Nous ne cherchions même pas à comprendre ce que l’un et l’autre nous disions pendant que nous baisions tels des bêtes. L’essentiel, c’était le plaisir que nous prenions. Et le plaisir savait se faire comprendre, quelle que soit la langue utilisée !
Quand tout s’arrêta, Fredy sortit de ma chatte et me permit ainsi de baisser mes jambes ankylosées. Il ne bandait plus comme tout à l’heure. Son monstre avait enfin perdu de sa vigueur ! J’étais fière de l’avoir ainsi vaincu ! Il restait massif, mais n’était plus aussi rigide. Je le voyais qui pendouillait entre ses cuisses. Ce fut en ce moment-là que je vis, ce que je n’avais encore jamais vu auparavant. Le gland – le magnifique gland large et pointu – disparaissait petit à petit sous une capuche de peau caoutchouteuse. Au bout de très peu de temps, il avait totalement disparu. C’était drôle ! Un zob, non circoncis ! Je n’en avais encore jamais vu ! Je le pris dans ma main et me mis à le caresser. Je voulais voir ressortir le gland. Mais pour cela, il fallait que mon homme se remette à bander ! Je me comportais comme une gamine qui avait envie de jouer. Jouer à faire sortir de sa capuche le gland d’un magnifique zob et de l’y remettre, pour pouvoir recommencer.
Et Fredy joua le jeu. Sous mes caresses, mes baisers, mes coups de langues, il se remettait à bander assez fort pour faire sortir le rat de sa cachette. Puis, il s’éloignait un peu pour ne plus être à ma portée et se calmer. Il permettait ainsi à son zob de se mettre en position de repos et à son gland de retrouver sa cachette. Cela l’amusait de me voir si contente de mon jeu. Cela dura ainsi jusqu’au retour de Mouloud et Horia qui entrèrent dans le salon, main dans la main. Ils avaient le sourire béat de personnes qui venaient de vivre des moments paradisiaques.
- I 3’adjvam oubouch-iss ! Abouche boughyoul ! Dha nech-theni I hamlagh ghourass! (Il te plait son zob! Un zob d’âne! C’est ça que j’aime chez lui!)
Elle s’était mise à me parler dans sa langue maternelle. Je pensais que depuis le temps qu’elle avait quitté le pays, elle aurait oublié et le kabyle et l’arabe. Et bien non ! Il lui a suffi de replonger dans le bain et tout lui revenait naturellement. Elle vint s’assoir à côté de nous, tout en gardant sa main dans celle de Mouloud. Elle n’était vêtue que d’une veste de pyjama, trop grande pour elle (celle que Rachid, mon mari, laissait tous les matins dans la salle de bain). Mouloud aussi était très peu vêtu. Il n’avait gardé que sa chemise, complètement ouverte sur son magnifique torse velu, et na cachant rien de son intimité. Lui aussi avait le zob au repos. Le salaud, avait dû être rassasié par cette cochonne de Horia.
- Ton amant est un super coup ! Il est infatigable ! Je comprends que tu tiennes à lui ! Comment as-tu trouvé mon Fredy ?
- Super ! Je le garde pour moi tout le temps que vous resterez ici ! Et pas touche ! Il est pour moi seule !
- Je crois que Mouloud doit partir. Il m’a dit qu’il ne rencontrait jamais Rachid à la maison ! Qu’il n’attendait jamais son retour au bercail ! C’est lui qui ne veut pas ? Ou bien c’est toi ? Tu ne veux pas les avoir ensemble ? A ta place, je n’hésiterais pas ! Mais pas pour le moment ! Moi aussi je veux le garder un moment pour moi seule !
Mouloud partit à regret. Je sentais qu’il voulait rester encore un peu en compagnie de sa nouvelle conquête. Elle semblait l’avoir complètement subjuguée. Elle devait baiser comme une déesse, me dis-je, avec une petite pointe de jalousie. Puis le couple Horia et Fredy partit vers la salle de bain, pour prendre une douche bien chaude et se délasser. Moi, comme à mon habitude, je restais avec mes souillures et celles de mon amant non circoncis, en attendant le retour de mon mari.
…/…
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