Titre de l'histoire érotique : Passer son permis : une histoire de cul.
Récit érotique écrit par Helena Horny [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2012 dans la catégorie A dormir debout
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Titre de l'histoire érotique : Passer son permis : une histoire de cul.
A 21 ans, j'avais enfin décidé de passer mon permis. Non pas que j'avais la flemme, je pensais juste être vraiment mauvaise en conduite, comme la plupart des filles...!
1e jour d'auto-école, voilà qu'on me présente mon moniteur, Viggo. Gigantesque, cheveux très courts, 28 ans à peine, pas forcément très beau de visage mais il avait ce quelque chose d'extrêmement viril voire intimidant dans le regard. Il faut dire qu'il était aussi drôlement bien baraqué. Sa voix est roque et sa poignée de main ferme comme je l'imaginais. Une fois assise dans la voiture, je m'aperçois qu'il a un tatouage sur le bras. Il a vu que je regardais et me dit :
"- tu aimes les tatouages ?
- plutôt oui... (je suis devenue toute rouge car en réalité les tattoo, ça m'excite)
- si tu te débrouilles bien aujourd'hui je t'en montrerai d'autres."
Je n'osais pas imaginer s'il y avait un sous-entendu derrière cette phrase... Viggo m'intimidait tellement que je ne répondis pas et mis le contact.
Ma première conduite se passait plutôt bien… Il n’hésitait pas à me recadrer quand ça n’allait pas et parfois, il avait la main sur ma main pour m’aider à changer de vitesse. Dans ces moments-là, j’avais la chatte en feu. Finalement il m’ordonna d’arrêter la voiture : « Bon ça va ce n’était pas si terrible. Tu as bien mérité d’en voir un autre. » Il souleva son t-shirt et baissa légèrement son pantalon pour laisser découvrir un autre tatouage dans le creux de ses reins. Mon regard s’attardait sur ses abdos sublimes et ses hanches musclées. « A demain, si tu es gentille tu en verras plus ! » et il me fit un clin d’œil.
En rentrant chez moi le soir j’étais complètement bouleversée. Je repassais dans ma tête les images de son corps parfait et j’étais persuadée qu’il devait avoir une sacrée bite. Allongée sur mon lit je sentais ma fente toute mouillée et je ne pu m’empêcher de la toucher. Les jambes écartées et la culotte sur les chevilles, je me mettais des doigts bien profond en imaginant que c’était la queue de Viggo. Après plusieurs orgasmes, je m’endormis, épuisée.
Le lendemain je me levais en pleine forme, impatiente de revoir mon moniteur sexy. Je me pomponnais et mis une mini-jupe + des chaussettes qui montent jusqu’au-dessus des genoux en espérant que ça allait l’exciter. Il faisait une chaleur terrible dehors et alors que j’attendais que Viggo arrive, je déboutonnai légèrement ma chemise pour laisser entrevoir mon soutien-gorge. Ma nuque était perlée de sueur et je trépignais d’impatience. Quand enfin il arriva, il ne prit même pas la peine de regarder ma tenue et me dit de monter dans la voiture. J’étais bien déçue. Une fois assise, je remarque qu’il me déshabille du regard… « C’est une tenue pour conduire ça, Mademoiselle ? » Je me mis à rougir comme jamais mais il fit un grand sourire pour me montrer qu’il plaisantait. La conduite se passait comme prévue et je commençais à avoir très chaud au bas ventre de savoir qu’il me dévisageait. Tout à coup, alors qu’on était à un feu rouge, il posa sa main sur ma cuisse. J’étais complètement paralysée. Puis sa main se glissa sous ma jupe et vint se loger entre mes cuisses. J’avais le cœur qui battait à 100 km/h ! Délicatement, il me caressa le clito à travers la culotte alors que j’écartais un peu plus les jambes. Je commençais à me lécher les lèvres et à haleter tout doucement.
Le feu passa au vert, il retira subitement sa main. Sur le trajet, il ne fit aucune allusion à ce qui venait de se passer et resta très pro. Quant à moi j’étais toute mouillée et ne tenais plus en place. De retour à l’auto-école, il me dit : « alors, qu’est-ce que tu veux voir cette fois ? » je n’osais pas lui répondre « ta queue » mais comme s’il avait lu dans mes pensées, il commença à déboutonner son pantalon. Il sortit son énorme bite de son caleçon (elle était encore plus grosse que dans mes rêves). Apparemment je l’avais bien excité avec ma petite jupe car il bandait très dur. « Elle te plait ? me dit-il, tu peux la toucher comme je t’ai touché tout à l’heure si tu veux ». J’en avais terriblement envie. Je la touchais du bout des doigts, elle était toute douce, chaude et vraiment très dur ! Je le branlais tout doucement, de bas en haut et me délectais du spectacle de cette énorme queue que j’avais envie d’enfouir dans ma petite chatte humide. Il retira ma main, remis son engin dans son caleçon et me dit « à demain ! ». Je n’y comprenais plus rien mais j’étais complètement excitée. Le soir en rentrant chez moi, je ne pris même pas le temps de me déshabillée et me toucha plusieurs fois de suite, mettant mes doigts dans tous mes orifices. J’avais envie qu’il me prenne par tous les trous et dans toutes les positions.
Le lendemain, je m’habillais très sexy. J’étais trépignante d’impatience et mouillais déjà beaucoup en imaginant ce qu’il pourrait me faire. Une fois dans la voiture il fut très froid. Je ne comprenais pas ce changement de comportement mais faisais ce qu’il me disait. Peu à peu je m’aperçus que nous nous enfoncions dans des petits chemins de campagne déserts alors qu’il m’indiquait où aller. Puis il m’ordonna de m’arrêter là. Nous étions en plein cul de sac, dans un bout de forêt. Je le regardai : il avait un sourire et un regard particulièrement pervers. Il déboutonna son pantalon et en sorti son énorme sexe, toujours aussi raide que la veille. « Suce-moi maintenant ». C’était tellement brutal, j’étais choquée ! Mais j’en avais tellement envie qu’il ne me fallut pas longtemps pour obéir à ses ordres. Je me penchais sur son siège et commençai à lui lécher le gland. Sa bite frémissait sous mes coups de langue et je l’avalai toute entière. Avoir un tel engin dans la bouche m’excitait terriblement et je gémissais alors que ma culotte se trempait de mouille. Lentement, j’allais jusqu’au bout de sa queue et manquais de m’étouffer, je serrais bien mes lèvres autour de son gland et redescendais. Viggo aimait ça et il prit ma tête avec ses deux mains pour l’appuyer. Il guidait mes mouvements alors que je l’entendais me complimenter sur ma bouche à pipe et j’avais quant à moi la chatte de plus en plus en feu. Par moment il tirait d’un coup sec mes cheveux pour retirer sa queue de ma bouche et la remettait violement dedans et jusqu’au fond. Il adorait m’entendre m’étouffer et il faut dire que moi aussi. Il me refit ça à plusieurs reprises, j’étais aux anges. Il m’ordonna soudain de me placer de façon à pouvoir me masturber sur le levier de vitesse tout en le suçant à pleine bouche. Je m’exécutais après avoir retiré ma culotte. Il continuait à me tirer par les cheveux pour me faire sucer sa queue et allait de plus en plus vite tandis que je frottais mon clito sur le levier de vitesse. Je frottais, je frottais, je frottais jusqu’à mouiller le levier et lui était de plus en plus violent avec ma tête. Sa grosse bite qui me remplissait la bouche par saccade m’excitant tellement que je hurlais. Je n’en pouvais plus et m’enfonçais le levier de vitesse complètement dans la chatte, m’arrachant un orgasme hors du commun. Il m’enfonça sa queue tout au fond de ma bouche et déferla son sperme dans ma gorge alors que je jouissais. Je me relevais, essoufflée et avalais tout son foutre.
Il me regarda et me dit « j’en ai pas fini avec toi ma belle, je très envie de te faire les fesses, elles m’ont l’air bien serrées ». Jamais on ne m’avait enculé auparavant et l’idée d’avoir son énorme sexe dans mon petit trou me fit peur. Mais j’en avais terriblement envie moi aussi. Sans même qu’il ne me le demande, je me mis à quatre pattes entre 2 sièges et je lui dis « vas-y, fourre moi, j’ai envie que tu me la mettes dans le cul ». Il me répondit : « T’es une vraie petite salope, je vais te faire crier tu vas voir ». Son sexe était déjà redevenu tout dur et j’étais quant à moi excitée comme jamais. Il plaça son gland à l’entrée de mon cul et commença par le frotter tout doucement contre. Il me donnait des fessées en même temps, ce qui me faisait hurler. Il me murmurait que j’étais une chienne qui aimait les grosses bites et il avait tout compris. J’adore qu’on m’insulte. Puis, il écarta bien grand mes petites fesses et rentra tout doucement son gland. Il était tout chaud et je pouvais sentir comme c’était serré. Il gémissait de plaisir alors qu’il enfonçait sa bite un peu plus profondément et écartait toujours mes fesses au maximum. Il faisait des petits vas et viens dans mon trou du cul et je n’arrêtais pas de hurler et de mouiller de la chatte. Puis il la retira son monstre complètement et le ré-enfonça d’un coup sec et bien plus profondément cette fois, comme un sadique. J’avais un peu mal mais j’adorais cette sensation. Il se mit à me bourriner et je hurlais de plus en plus fort « OH OUI DEFONCE MOI LE CUL AVEC TA GROSSE QUEUE ! OUI CONTINUE ! VAS-Y DONNE MOI DES FESSEES ! » Et il continuait de plus belle en me frappant les fesses. Il me labourait de plus en plus fort et de plus en vite et m’insultait de tous les noms pendant que je me cambrais « t’aimes ça salope, hein ? T’en veux encore ? » Et il me défonçait le cul jusqu’à ce qu’on entende le claquement de ses couilles contre mes fesses. Cela dura plusieurs minutes et j’hurlais comme une folle car j’adorais qu’il me remplisse ce trou qui était tout serré. Parfois il retirait sa queue et la rentait de nouveau pour donner des grands coups jusqu’au fond de mon cul. Il allait vite et j’étais à deux doigts de jouir mais il se retira et éjacula sur mes fesses comme un porc, en râlant de plaisir. Il savait que j’étais sur le point d’avoir un orgasme alors il s’empressa de me lécher les fesses et la chatte. Sa langue s’aventurait tout le long de ma fente et il n’hésitait pas à l’enfoncer dans mon petit trou, j’adorais ça. En même temps il me titillait le clito. Puis il me mit des doigts dans le cul et je finis par jouir dans un râle bruyant. Epuisés, on s’endormi quelques minutes puis on se rhabilla pour repartir vers l’auto-école.
Tous les jours, Viggo et moi allions dans ce coin perdu et il me labourait le cul. Il ne m’a jamais pris par la chatte, j’aimais trop qu’il m’encule. Quelques semaines plus tard, j’eus mon permis et je ne revis plus jamais mon moniteur sexy.
1e jour d'auto-école, voilà qu'on me présente mon moniteur, Viggo. Gigantesque, cheveux très courts, 28 ans à peine, pas forcément très beau de visage mais il avait ce quelque chose d'extrêmement viril voire intimidant dans le regard. Il faut dire qu'il était aussi drôlement bien baraqué. Sa voix est roque et sa poignée de main ferme comme je l'imaginais. Une fois assise dans la voiture, je m'aperçois qu'il a un tatouage sur le bras. Il a vu que je regardais et me dit :
"- tu aimes les tatouages ?
- plutôt oui... (je suis devenue toute rouge car en réalité les tattoo, ça m'excite)
- si tu te débrouilles bien aujourd'hui je t'en montrerai d'autres."
Je n'osais pas imaginer s'il y avait un sous-entendu derrière cette phrase... Viggo m'intimidait tellement que je ne répondis pas et mis le contact.
Ma première conduite se passait plutôt bien… Il n’hésitait pas à me recadrer quand ça n’allait pas et parfois, il avait la main sur ma main pour m’aider à changer de vitesse. Dans ces moments-là, j’avais la chatte en feu. Finalement il m’ordonna d’arrêter la voiture : « Bon ça va ce n’était pas si terrible. Tu as bien mérité d’en voir un autre. » Il souleva son t-shirt et baissa légèrement son pantalon pour laisser découvrir un autre tatouage dans le creux de ses reins. Mon regard s’attardait sur ses abdos sublimes et ses hanches musclées. « A demain, si tu es gentille tu en verras plus ! » et il me fit un clin d’œil.
En rentrant chez moi le soir j’étais complètement bouleversée. Je repassais dans ma tête les images de son corps parfait et j’étais persuadée qu’il devait avoir une sacrée bite. Allongée sur mon lit je sentais ma fente toute mouillée et je ne pu m’empêcher de la toucher. Les jambes écartées et la culotte sur les chevilles, je me mettais des doigts bien profond en imaginant que c’était la queue de Viggo. Après plusieurs orgasmes, je m’endormis, épuisée.
Le lendemain je me levais en pleine forme, impatiente de revoir mon moniteur sexy. Je me pomponnais et mis une mini-jupe + des chaussettes qui montent jusqu’au-dessus des genoux en espérant que ça allait l’exciter. Il faisait une chaleur terrible dehors et alors que j’attendais que Viggo arrive, je déboutonnai légèrement ma chemise pour laisser entrevoir mon soutien-gorge. Ma nuque était perlée de sueur et je trépignais d’impatience. Quand enfin il arriva, il ne prit même pas la peine de regarder ma tenue et me dit de monter dans la voiture. J’étais bien déçue. Une fois assise, je remarque qu’il me déshabille du regard… « C’est une tenue pour conduire ça, Mademoiselle ? » Je me mis à rougir comme jamais mais il fit un grand sourire pour me montrer qu’il plaisantait. La conduite se passait comme prévue et je commençais à avoir très chaud au bas ventre de savoir qu’il me dévisageait. Tout à coup, alors qu’on était à un feu rouge, il posa sa main sur ma cuisse. J’étais complètement paralysée. Puis sa main se glissa sous ma jupe et vint se loger entre mes cuisses. J’avais le cœur qui battait à 100 km/h ! Délicatement, il me caressa le clito à travers la culotte alors que j’écartais un peu plus les jambes. Je commençais à me lécher les lèvres et à haleter tout doucement.
Le feu passa au vert, il retira subitement sa main. Sur le trajet, il ne fit aucune allusion à ce qui venait de se passer et resta très pro. Quant à moi j’étais toute mouillée et ne tenais plus en place. De retour à l’auto-école, il me dit : « alors, qu’est-ce que tu veux voir cette fois ? » je n’osais pas lui répondre « ta queue » mais comme s’il avait lu dans mes pensées, il commença à déboutonner son pantalon. Il sortit son énorme bite de son caleçon (elle était encore plus grosse que dans mes rêves). Apparemment je l’avais bien excité avec ma petite jupe car il bandait très dur. « Elle te plait ? me dit-il, tu peux la toucher comme je t’ai touché tout à l’heure si tu veux ». J’en avais terriblement envie. Je la touchais du bout des doigts, elle était toute douce, chaude et vraiment très dur ! Je le branlais tout doucement, de bas en haut et me délectais du spectacle de cette énorme queue que j’avais envie d’enfouir dans ma petite chatte humide. Il retira ma main, remis son engin dans son caleçon et me dit « à demain ! ». Je n’y comprenais plus rien mais j’étais complètement excitée. Le soir en rentrant chez moi, je ne pris même pas le temps de me déshabillée et me toucha plusieurs fois de suite, mettant mes doigts dans tous mes orifices. J’avais envie qu’il me prenne par tous les trous et dans toutes les positions.
Le lendemain, je m’habillais très sexy. J’étais trépignante d’impatience et mouillais déjà beaucoup en imaginant ce qu’il pourrait me faire. Une fois dans la voiture il fut très froid. Je ne comprenais pas ce changement de comportement mais faisais ce qu’il me disait. Peu à peu je m’aperçus que nous nous enfoncions dans des petits chemins de campagne déserts alors qu’il m’indiquait où aller. Puis il m’ordonna de m’arrêter là. Nous étions en plein cul de sac, dans un bout de forêt. Je le regardai : il avait un sourire et un regard particulièrement pervers. Il déboutonna son pantalon et en sorti son énorme sexe, toujours aussi raide que la veille. « Suce-moi maintenant ». C’était tellement brutal, j’étais choquée ! Mais j’en avais tellement envie qu’il ne me fallut pas longtemps pour obéir à ses ordres. Je me penchais sur son siège et commençai à lui lécher le gland. Sa bite frémissait sous mes coups de langue et je l’avalai toute entière. Avoir un tel engin dans la bouche m’excitait terriblement et je gémissais alors que ma culotte se trempait de mouille. Lentement, j’allais jusqu’au bout de sa queue et manquais de m’étouffer, je serrais bien mes lèvres autour de son gland et redescendais. Viggo aimait ça et il prit ma tête avec ses deux mains pour l’appuyer. Il guidait mes mouvements alors que je l’entendais me complimenter sur ma bouche à pipe et j’avais quant à moi la chatte de plus en plus en feu. Par moment il tirait d’un coup sec mes cheveux pour retirer sa queue de ma bouche et la remettait violement dedans et jusqu’au fond. Il adorait m’entendre m’étouffer et il faut dire que moi aussi. Il me refit ça à plusieurs reprises, j’étais aux anges. Il m’ordonna soudain de me placer de façon à pouvoir me masturber sur le levier de vitesse tout en le suçant à pleine bouche. Je m’exécutais après avoir retiré ma culotte. Il continuait à me tirer par les cheveux pour me faire sucer sa queue et allait de plus en plus vite tandis que je frottais mon clito sur le levier de vitesse. Je frottais, je frottais, je frottais jusqu’à mouiller le levier et lui était de plus en plus violent avec ma tête. Sa grosse bite qui me remplissait la bouche par saccade m’excitant tellement que je hurlais. Je n’en pouvais plus et m’enfonçais le levier de vitesse complètement dans la chatte, m’arrachant un orgasme hors du commun. Il m’enfonça sa queue tout au fond de ma bouche et déferla son sperme dans ma gorge alors que je jouissais. Je me relevais, essoufflée et avalais tout son foutre.
Il me regarda et me dit « j’en ai pas fini avec toi ma belle, je très envie de te faire les fesses, elles m’ont l’air bien serrées ». Jamais on ne m’avait enculé auparavant et l’idée d’avoir son énorme sexe dans mon petit trou me fit peur. Mais j’en avais terriblement envie moi aussi. Sans même qu’il ne me le demande, je me mis à quatre pattes entre 2 sièges et je lui dis « vas-y, fourre moi, j’ai envie que tu me la mettes dans le cul ». Il me répondit : « T’es une vraie petite salope, je vais te faire crier tu vas voir ». Son sexe était déjà redevenu tout dur et j’étais quant à moi excitée comme jamais. Il plaça son gland à l’entrée de mon cul et commença par le frotter tout doucement contre. Il me donnait des fessées en même temps, ce qui me faisait hurler. Il me murmurait que j’étais une chienne qui aimait les grosses bites et il avait tout compris. J’adore qu’on m’insulte. Puis, il écarta bien grand mes petites fesses et rentra tout doucement son gland. Il était tout chaud et je pouvais sentir comme c’était serré. Il gémissait de plaisir alors qu’il enfonçait sa bite un peu plus profondément et écartait toujours mes fesses au maximum. Il faisait des petits vas et viens dans mon trou du cul et je n’arrêtais pas de hurler et de mouiller de la chatte. Puis il la retira son monstre complètement et le ré-enfonça d’un coup sec et bien plus profondément cette fois, comme un sadique. J’avais un peu mal mais j’adorais cette sensation. Il se mit à me bourriner et je hurlais de plus en plus fort « OH OUI DEFONCE MOI LE CUL AVEC TA GROSSE QUEUE ! OUI CONTINUE ! VAS-Y DONNE MOI DES FESSEES ! » Et il continuait de plus belle en me frappant les fesses. Il me labourait de plus en plus fort et de plus en vite et m’insultait de tous les noms pendant que je me cambrais « t’aimes ça salope, hein ? T’en veux encore ? » Et il me défonçait le cul jusqu’à ce qu’on entende le claquement de ses couilles contre mes fesses. Cela dura plusieurs minutes et j’hurlais comme une folle car j’adorais qu’il me remplisse ce trou qui était tout serré. Parfois il retirait sa queue et la rentait de nouveau pour donner des grands coups jusqu’au fond de mon cul. Il allait vite et j’étais à deux doigts de jouir mais il se retira et éjacula sur mes fesses comme un porc, en râlant de plaisir. Il savait que j’étais sur le point d’avoir un orgasme alors il s’empressa de me lécher les fesses et la chatte. Sa langue s’aventurait tout le long de ma fente et il n’hésitait pas à l’enfoncer dans mon petit trou, j’adorais ça. En même temps il me titillait le clito. Puis il me mit des doigts dans le cul et je finis par jouir dans un râle bruyant. Epuisés, on s’endormi quelques minutes puis on se rhabilla pour repartir vers l’auto-école.
Tous les jours, Viggo et moi allions dans ce coin perdu et il me labourait le cul. Il ne m’a jamais pris par la chatte, j’aimais trop qu’il m’encule. Quelques semaines plus tard, j’eus mon permis et je ne revis plus jamais mon moniteur sexy.
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29 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je suis toute mouillée!!!moi aussi je voudrais une grosse bite!!
Histoire bandante WoW Merci!
Casse pas les briques.... 'Vois pas l'intérêt d'insulter une petite minette, ni pour elle de se faire insulter en copulant.
Cette histoire... je suis toute mouillee, moi aussi je veux quon me prenne aussi sauvagement.. je veux une grosse bite et pourquoi pas une bonne petite chatte sexy en meme temps...hmmmmm toute mes frlicitations, tu mz fait beaucoup d effet
Hmmmmm putain cette histoire et bandante
Ooo yeah !! Masturbation en lisant ce texte...quesque jaimerer avoir un Bonne cochonne avec moi la,ou ma copine mdrr
Hmmm j'adore qu'on minsulte aussi.. J'ai bien envie d'une bonne queue...
encore une mythomane qui fantasme de se faire défoncer le cul comme une chienne !
sa c'est vraiment passé
Mmmh,j'ai adoré, j'aurai bien voulu y être à sa place
Histoire trop bandante
Belle histoire mais loin dune realité. Un fantasme peut etre.
hummm j en suis toute humide!!!! je kifferais qu on me prene le cul comme sa moi aussi
jolie histoire bandante __big_dick yahoo
Hmmm pas mal cette histoire jorai bien voulu une petite chatte en chaleur a porter de
main ;)
main ;)
je suis toute mouillée moi maintenant!!
hum j'ai adoré!! j'aurais bien voulu avoir une bite a porter de main
Bien bien j'me suis masturber en lisant loool
Mmmm j'ai une grosse queue aussi :D
jolie histoire bandante , j'adore
bandante cette histoire je suis tout dur dans mon boxer
Jadore
pffffff trop bandante
non bien évidemment ce n'est qu'un fantasme ! :)
Histoire très bandante Merci Helena
Le conteur
Le conteur
si seulement je pouvais avoir une telle bite a porter de main... belle histoire mais
pas reelle
pas reelle
ne pas confondre fantasme et réalité
Héhé une histoire qui donne envie ;)
très bonne histoire ! elle est vrai ?