Titre de l'histoire érotique : PREMIERE SODOMIE
Récit érotique écrit par Aline [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : PREMIERE SODOMIE
Je m’appelle Alain, 45 ans, depuis deux mois je file le parfait plan cul avec Catherine, une blondinette de 30 ans, fraîchement divorcée qui a besoin de s’éclater coté sexe.
Son fantasme était une baise à trois. Fantasme que nous avons réalisés la semaine dernière avec un de ses amis, Jean-Luc et vu les cris de jouissance qu’elle à poussée, je pense qu’elle est prête à recommencer.
Mais ce que je veux raconter c’est ce qui s’est passé le lendemain matin. Catherine était partie travailler et ne devait rentrer que le surlendemain. J’étais seul avec Jean-Luc. Quand je me suis réveillé, j’étais seul dans la chambre, j’ai pris ma douche, enfilé mon boxer noir moulant et me suis dirigé vers la cuisine ou Jean-Luc prenait un café. Je me préparais moi-même un café en lui tournant le dos.
-« Joli petit cul » me dit-il.
Au lieu de m’offusquer j’ai trouvé cela plutôt flatteur, quelques filles m’ont dit que j’avais un beau cul mais jamais un homme.
Voyant mon trouble Jean-Luc continua :
-« Ce boxer le met bien en valeur »
Je ne sais pas ce qui m’a pris, je me suis retourné :
-« c’est vrai, il te plait ? »
-« oui vraiment je le trouve très mignon et cela n’a pas l’air de te gêner ?
Effectivement je m’étais mis à bander sous les compliments de Jean-Luc.
-« Tu es bi ? » lui dis-je
-« Un peu, disons que j’adore les beaux culs, qu’ils soit de femmes ou d’hommes et le tient me plait vraiment ; »
-« Tu veux le caresser ? »
Tout en disant cela je m’approchais de lui, il passa sa main sur mon cul. La sensation fut très agréable, mon cul s’électrisa et ma verge se mit à doubler de volume.
Puis il entreprit de me baisser le boxer. Je me laissais faire et me retrouvait entièrement nu devant lui, comme une femelle en chaleur. J’éprouvais un sentiment de honte de me conduire ainsi mais j’étais vraiment excité et j’avais vraiment envie de me laisser faire. Il faut dire que mon cul n’est pas tout à fait vierge, il ne dédaigne pas à l’occasion un bon gode mais je n’avais jamais fait ça avec un homme.
Il continua a me caresser le cul tout en insinuant un doigt dans ma raie venant ainsi titiller mon anus. A chaque fois je sentais une chaleur dans mon ventre et l’envie que ce doigt rentre en moi.
-« tu as l’air d’aimer ça ma salope ? »
-« oui » dis-je en rougissant.
Jean-Luc pris un peu de margarine sur son majeur et commença à me caresser l’anus. Je me cambrais de plus en plus, tendant mon cul vers lui.
-« tu le veux ? »
-« oui »
-je n’ai pas bien entendu ? »
-« OUI »
-« oui quoi ? »
-« oui je le veux »
-« dis-moi ce que tu veux, salope »
-« je veux que tu enfonces ton doigt dans mon cul »
Aussitôt je sentis son majeur me pénétrer. Je me suis moi-même mis des doigts au cul, des filles me l’on fait mais là c’était divin, je gémissais comme une vraie chienne.
-« si tu en veux plus il va falloir le demander gentiment ? »me dit Jean-Luc.
-« j’en veux plus s’il-te-plait »
-« il faut être plus explicite »
J’avais perdu tout contrôle j’étais prêt a tout pour avoir plus qu’un doigt.
-« je veux ta queue »
-« comment ça »
-« dans mon cul, je veux que tu m’encules »
« T’es une salope ? »
« Oui je suis une vraie salope, ta salope prête à tout »
« Après t’avoir enculé je te ferais ton éducation de salope, d’accord ? »
« Oui, oui, tout ce que tu veux »
Jean-Luc enfila une capote et pointa son gland sur mon anus, d’une poussé il le fit entrer. J’eu un peu mal, Jean-Luc est bien membré mais je ressentis presque aussitôt un sentiment de plénitude à sentir mon cul remplit par cette queue, j’aurais voulu que cela ne s’arrête jamais. Malheureusement Jean-Luc était très excité et éjacula rapidement.
Plus tard nous étions sur le canapé du salon, Jean-Luc s’était rhabillé mais m’avais demandé de rester nus.
« Tu as aimé ? »
« Oui, énormément »
« Si tu veux je peux faire de toi réellement une vraie salope ; tu en as envie ? »
J’avais très envie de sa queue et lui répondit par l’affirmative.
« Bien, à partir de maintenant tu te nommeras Aline et tu vas commencer un apprentissage de salope. Première leçon ; tu dois m’appeler maître.
« Oui maître »
Son fantasme était une baise à trois. Fantasme que nous avons réalisés la semaine dernière avec un de ses amis, Jean-Luc et vu les cris de jouissance qu’elle à poussée, je pense qu’elle est prête à recommencer.
Mais ce que je veux raconter c’est ce qui s’est passé le lendemain matin. Catherine était partie travailler et ne devait rentrer que le surlendemain. J’étais seul avec Jean-Luc. Quand je me suis réveillé, j’étais seul dans la chambre, j’ai pris ma douche, enfilé mon boxer noir moulant et me suis dirigé vers la cuisine ou Jean-Luc prenait un café. Je me préparais moi-même un café en lui tournant le dos.
-« Joli petit cul » me dit-il.
Au lieu de m’offusquer j’ai trouvé cela plutôt flatteur, quelques filles m’ont dit que j’avais un beau cul mais jamais un homme.
Voyant mon trouble Jean-Luc continua :
-« Ce boxer le met bien en valeur »
Je ne sais pas ce qui m’a pris, je me suis retourné :
-« c’est vrai, il te plait ? »
-« oui vraiment je le trouve très mignon et cela n’a pas l’air de te gêner ?
Effectivement je m’étais mis à bander sous les compliments de Jean-Luc.
-« Tu es bi ? » lui dis-je
-« Un peu, disons que j’adore les beaux culs, qu’ils soit de femmes ou d’hommes et le tient me plait vraiment ; »
-« Tu veux le caresser ? »
Tout en disant cela je m’approchais de lui, il passa sa main sur mon cul. La sensation fut très agréable, mon cul s’électrisa et ma verge se mit à doubler de volume.
Puis il entreprit de me baisser le boxer. Je me laissais faire et me retrouvait entièrement nu devant lui, comme une femelle en chaleur. J’éprouvais un sentiment de honte de me conduire ainsi mais j’étais vraiment excité et j’avais vraiment envie de me laisser faire. Il faut dire que mon cul n’est pas tout à fait vierge, il ne dédaigne pas à l’occasion un bon gode mais je n’avais jamais fait ça avec un homme.
Il continua a me caresser le cul tout en insinuant un doigt dans ma raie venant ainsi titiller mon anus. A chaque fois je sentais une chaleur dans mon ventre et l’envie que ce doigt rentre en moi.
-« tu as l’air d’aimer ça ma salope ? »
-« oui » dis-je en rougissant.
Jean-Luc pris un peu de margarine sur son majeur et commença à me caresser l’anus. Je me cambrais de plus en plus, tendant mon cul vers lui.
-« tu le veux ? »
-« oui »
-je n’ai pas bien entendu ? »
-« OUI »
-« oui quoi ? »
-« oui je le veux »
-« dis-moi ce que tu veux, salope »
-« je veux que tu enfonces ton doigt dans mon cul »
Aussitôt je sentis son majeur me pénétrer. Je me suis moi-même mis des doigts au cul, des filles me l’on fait mais là c’était divin, je gémissais comme une vraie chienne.
-« si tu en veux plus il va falloir le demander gentiment ? »me dit Jean-Luc.
-« j’en veux plus s’il-te-plait »
-« il faut être plus explicite »
J’avais perdu tout contrôle j’étais prêt a tout pour avoir plus qu’un doigt.
-« je veux ta queue »
-« comment ça »
-« dans mon cul, je veux que tu m’encules »
« T’es une salope ? »
« Oui je suis une vraie salope, ta salope prête à tout »
« Après t’avoir enculé je te ferais ton éducation de salope, d’accord ? »
« Oui, oui, tout ce que tu veux »
Jean-Luc enfila une capote et pointa son gland sur mon anus, d’une poussé il le fit entrer. J’eu un peu mal, Jean-Luc est bien membré mais je ressentis presque aussitôt un sentiment de plénitude à sentir mon cul remplit par cette queue, j’aurais voulu que cela ne s’arrête jamais. Malheureusement Jean-Luc était très excité et éjacula rapidement.
Plus tard nous étions sur le canapé du salon, Jean-Luc s’était rhabillé mais m’avais demandé de rester nus.
« Tu as aimé ? »
« Oui, énormément »
« Si tu veux je peux faire de toi réellement une vraie salope ; tu en as envie ? »
J’avais très envie de sa queue et lui répondit par l’affirmative.
« Bien, à partir de maintenant tu te nommeras Aline et tu vas commencer un apprentissage de salope. Première leçon ; tu dois m’appeler maître.
« Oui maître »
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