Titre de l'histoire érotique : Quand ça dérape - histoire érotique

Une fois sortis du bar nous nous sommes dirigés vers le restaurant, j'étais dans un état un peu second, entre l'alcool et le fait d'avoir jouit 2 fois en l'espace de 20 minutes je ne savais plus trop ce que je faisais, d'autant plus que Sam, à côté de moi, était complètement surexcitée, elle me tenait par la main et me dirigeait dans la rue, tout en lançant de grands sourires à tous les mecs qui nous croisaient.
Arrivés au restaurant, elle fonça vers le premier serveur qu'elle vit, un jeune d'à peu près notre âge, pas très grand mais plutôt baraqué, et le salua en indiquant le nom de la réservation, tout en pressant son bras, comme pour jauger sa musculature. Tout sourire, il nous mena à notre table, et tandis que Sam passait devant lui tout en se frottant contre son corps, c'est là qu'il remarqua ma présence, il eut l'air gêné, mais comme Sam venait de coller son joli cul contre son entrejambe, il n'avait pas l'air d'avoir beaucoup de remords.
On commanda une bouteille de vin et les entrées, et on se mit à discuter plus ou moins comme si c'était une soirée normale, néanmoins j'avais remarqué que le serveur tripoté par Sam s'était empressé d'aller parler à ses deux collègues, qui n'arrêtaient pas de regarder dans notre direction. A un moment je vis même un homme d'une cinquantaine d'années un peu bedonnant qui semblait captivé par ce que lui disait le jeune serveur, tout en déshabillant Samantha des yeux.
La suite du repas se déroula sans encombres, le resto était calme, presque vide, Sam s'était un peu calmée et je commençais à retrouver la pleine possession de mes moyens, quand l'homme au bide s'approcha de la table, il se présenta comme le patron du restaurant, et nous demanda si nous passions une bonne soirée, il s'adressait surtout à Sam en fait, qu'il n'avait toujours pas lâché des yeux, sans me décrocher un seul regard. Ma chère et tendre, amusée par la situation, se prêta au jeu, et commença à discuter avec lui, tout en souriant et en jouant avec ses cheveux, pour l'exciter, et moi aussi.
Il resta quelques minutes à la table, puis se leva et revint avec une bouteille de limoncello qu'il déboucha avant de nous servir des verres, il ne m'oublia pas cette fois, mais ne me parla pas pour autant. Il était un peu lourd, commençant à toucher Sam sur le bras, poser brièvement une main sur sa cuisse, il tâtait le terrain.
La situation tendait à devenir crispante, mais Sam, qui me connaissait bien, avait commencé à me masser l'entrejambe avec un de ses jolis pieds par dessous la table, me faisant bander.
L'homme, qui s'appelait Serge, était de plus en plus rouge à cause de l'alcool, et de plus en plus chaud, les derniers clients autres que nous sont partis et Serge dit à ses serveurs qu'ils pouvaient y aller. Nous étions donc seuls, avec seulement le bruit du commis dans la cuisine qui finissait de ranger, j'aurais pu être invisible, ça n'aurait fait aucune différence pour Serge, qui, accoudé sur la table, ne lâchait plus la cuisse de Sam de l'autre main. Il remontait sa main doucement tout en la regardant droit dans les yeux et quand il arriva au niveau de sa fente et senti qu'il n'y avait pas de culotte, ne tint plus, se leva d'un bond, attrapa Sam par la taille et l'allongea sur la table, renversant bouteille et verres, et me forçant à faire un écart pour ne pas tomber en arrière.Il se mit à lui bouffer l'entrejambe qui devait fortement sentir le sperme et la mouille, la faisant couiner, puis se redressa, baissa son pantalon et en sorti une bite assez courte, mais très large avec un gland énorme, et la pénétra directement.Elle était, tête en bas, face à moi qui assis, la regardait se faire baiser par un gros inconnu tout en me frottant la bite par dessus mon froc, je bandais encore. Il ne tint pas longtemps et lui jouit dans la chatte tout en poussant un râle et en s'affalant sur elle, au risque de l'étouffer.
Je me levais alors et repoussait le gros, qui partit vers la cuisine tout en remontant son froc. Je regardais Sam, la chatte béante et coulante de sperme, l'anus pas encore refermé de mes assauts, allongée sur la table les jambes écartées, elle semblait encore savourer l'orgasme que Serge venait de lui donner.
Me rendant compte que nous n'avions pas payés l'addition, et étant persuadé que le gros ne reviendrait pas dans la minute, j'aidais Sam à se relever et nous sommes sortis.

Sam chancelait un peu, elle était ivre et venait de se faire son 3ème mec de la soirée, elle n'était plus très gracieuse mais toujours bandante. Nous n'avions fait que quelques pas quand j'entendis derrière moi un mec dire : « Sacré phénomène ta meuf, j'ai jamais vu une salope pareille. »
Je me retournais et me retrouvais face au jeune qui nous avait servi, accompagné des deux autres serveurs un grand tout mince et un black assez beau gosse, et du commis, un jeune latino qui semblait hilare, et regardait Sam en se massant les couilles.
Sam s'avança vers eux et, se jetant dans les bras de notre serveur, si mit à rire en disant  « vous avez encore rien vu, si vous connaissez un endroit je peux vous montrer ».
Les mecs se regardèrent, puis lui dirent de les suivre, le black me regarda et me dit de venir aussi, que j'allais aimer voir ça . On les a donc suivis, enfin je les ai suivis, Sam étant escortée par les 4 mecs qui se pressaient contre elle. On a pas eu à marcher longtemps, on entrait dans un immeuble et, deux étages plus haut, on s'est retrouvés dans l'appartement qui s'est avéré être celui du black.
Immédiatement Sam s'est retrouvée à genou entre les 4 mecs qui sortirent leurs bites, pour le plus grand bonheur de ma copine, qui se mit à en gober une tout en en branlant deux autres. Ça faisait beaucoup pour moi, voir ma copine se faire baiser par autant de mecs en même temps et encore plus dans une soirée, l'alcool n'aidant pas, je ne savais plus comment réagir, je m'asseyais donc et regardais le spectacle.
Voilà donc que notre serveur, Luke c'est son nom, pilonnait la bouche de Sam avec sa bite d'environ 20cm, tandis que le commis Eduardo, la mettait à 4 pattes pour la baiser avec sa bite du même calibre que la mienne, à même le sol. Sam, bien que bancale, continuait à branler la longue bite du grand mec, Julien, qui avait une queue longue de presque 25cm, mais assez fine, une foreuse de profondeurs. Le black, dont le nom est Franck, me fixait lui, tout en branlant sa grosse queue noire, longue et épaisse, un mandrin de première comme je n'en avais jamais vu. Il s'approcha de moi, et, avec en fond le bruit des gargarismes de Sam mêlés à ses cris, et du claquement des couilles d'Eduardo contre son cul me dit : « Alors comme ça tu aimes voir ta copine se faire baiser, faut dire qu'elle est faite pour ça c'est indéniable, mais je pense que c'est pas tout, tu as l'air excité aussi par nos queues pas vrai, tu aimes les grosses queues ?
-C'est possible oui, c'est surtout le contexte qui est excitant.
-Je pense qu'on peut aller plus loin alors, tu vois, même si ta copine est chaude, on est 4, et on a faim. »
Tout en parlant il s'approchait de moi, précédé plus de 25cm avant par sa queue qui pointait bien raide devant lui.Je restais immobile tandis que sa verge s'approchait de mon visage, jusqu'à ce que son gros gland appuie contre ma bouche, comme pour en forcer le passage, j'ouvrais donc la bouche pour accueillir tant bien que mal son énorme bite.
J'étais donc là, assis en train de sucer un black avec une bite énorme, tandis que ma copine se faisait besogner sous mes yeux par 3 mecs super chauds qui la prenaient comme des enfoirés, elle avait l'air en extase, et, déjà bien ouverte de la soirée, son cul attira l'attention du grand qui lui mit d'un coup sa bite au fond du trou, jusqu'aux couilles. Elle poussa un hululement que je n'avais jamais entendu, ce bâtard avait du aller là où personne n'avais encore jamais pu s'enfoncer, ce qui avait l'air de le ravir. Eduardo avait pris sa place dans la bouche de Sam tandis que Luke ouvrait le canapé lit et disposait un drap dessus, ils se déplacèrent ensuite tous dessus, et, Julien s'allongea sur le lit, Sam vint s'empaler le cul sur son manche, tandis que Luke venait se placer de manière à lui prendre la chatte, et Eduardo, debout, enfonçait sa bite dans la bouche de Sam en la tenant par les cheveux la tête à l'envers, ce qui la faisait baver abondement. Mon observation avait du nuire à la qualité de ma pipe car Franck sorti son monstre et me bifla avec, en me disant de me concentrer, il me tira par les cheveux pour me redresser, et me tourna, pour me mettre à 4 pattes sur le fauteuil, puis baissa mon froc, dévoilant mon cul.
Je n'ai jamais été très poilu, et, ma copine aimant me bouffer le cul, je me rasais régulièrement, et j'étais donc imberbe comme un minet passif, ce qui sembla plaire à Franck, qui cracha un gros mollard sur ma rondelle.
« Mmh tu as un super petit cul, presque comme celui de ta meuf, t'as la rondelle qui s'ouvre toute seule, ton cul appelle ma bite.
-Vas y doucement, j'ai pas été passif depuis longtemps, et jamais avec une aussi grosse queue.
-Je vais y aller comme je dois y aller petit pd, ta meuf est une chienne et toi t'es encore pire, tu vas te faire démonter devant elle, pendant qu'elle se fait remplir elle aussi, un vrai petit couple de putes.

Là dessus il se mit à forcer avec son gland sur ma rondelle, qui finit par céder, avalant presque la moitié de sa bite d'un coup. Je ne pu retenir un hurlement, causé par la douleur mais aussi la surprise d'avoir pu accepter son chibre, et le plaisir des sensations que je redécouvrais avec bonheur.
Du coin de l'oeil je vis que le quatuor du canapé avait interrompu ses activités pour découvrir que j'étais en train de me faire fendre le cul par une bite exceptionnelle, et dont le propriétaire n'était pas en reste, car il savait l'utiliser, jauger le seuil de résistance de son passif et le troncher en conséquence. J'oubliais presque que Sam était à trois mètres de moi en train de se faire prendre par tous les trous, je ne vivais plus que pour la bite de Franck dans mes entrailles, qui me lopait avec joie et application, me faisant crier encore plus que ma copine, et me claquant le cul si fort que j'étais sur d'avoir les marques pendant une semaine au moins.
Néanmoins cette baise ne dura pas assez longtemps à mon goût, il se retira de mon cul, y laissant entrer un courant d'air qui me fit réaliser que j'avais le cul complètement béant, et me fis mettre à genou, avant de gicler 5 jets de sperme épais et chaud sur mon visage, qui coula sur ma chemise et le sol, qu'il me fit lécher, disant qu'il était impoli de gaspiller, puis il me laissa là, avant de se diriger vers la salle de bain.
Je n'avais donc plus qu'à attendre que les trois mousquetaires en aient fini avec ma chérie, ce qui ne tarda pas, chacun se vida dans le trou qui lui était attribué, puis ils allèrent tout se doucher, non sans nous avoir remercié et raccompagnés à la porte.

C'est donc chancelants, ivres, puant le sperme et la sueur et les orifices béants que nous sommes rentrés chez nous, exténués de cette soirée.