Titre de l'histoire érotique : Rencontre imprévue
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2011 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Rencontre imprévue
En marchant, tranquillement pour faire du lèche vitrine, je regarde un couple qui passe sur le trottoir d’en face. Il me semble le connaitre. J’ai beau chercher, je ne trouve pas qui ils peuvent être. Ma foi tant pis. Je baise tellement que je ne reconnais plus mes amants ou amantes. J’ai un principe : je couche une fois ou une nuit, pas plus. Je sais que le lendemain je trouverai chaussure à mon pied sans problème. J’oublie ces gens pour penser à ma soirée, je suis invitée par une copine
pour participer à une partouze à notre façon. Je couche trop pour savoir combien d’amant ou amantes j’ai eu, des centaines certainement.
J’étais dans mes plans quand je me fais toucher sur l’épaule, je me retourne et vois la fille, suivie par son compagnon. Elle m’embrasse sur les joues, comme lui.
- Tu ne nous reconnais pas ?
- Pas ainsi.
- Si, souvient toi le mois dernier chez les m****. Nous avons fait l’amour ensemble, à trois.
- Ha, oui, excusez moi, j’avais oublié.
- Comment ça oublier une telle nuit d’amour ? Nous sommes prêt à recommencer et si tu veux, maintenant.
Un vague souvenir revient. Il me semble qu’elle était folle d’être prise par son ami et par moi.
C’était en effet un bon coup. Ils veulent recommencer aujourd’hui. Je dois les convaincre d’attendre demain après midi ou soir, peu importe, je tiens trop à ma partouze de ce soir.
- Non aujourd’hui je suis surbookée, demain vers 15 heures pour passer le temps comme vous aimez ou alors le soir, jusqu’au lever du jour.
- D’accord, on se retrouve au café en face la gare.
Je pars de mon coté en me demandant comment je vais baiser, comment ils aiment le faire, je ne m’en souviens plus. Je verrai bien.
Nous nous retrouvons au café comme prévu. Si lui est habillé normalement, elle au contraire est court vêtue en habits transparents. C’est une véritable tentation tellement elle est sexy. Elle me donne envie de baiser avec elle. Pourtant j’aime faire l’amour en trio avec une autre femme et un homme. Là, je me la serai faite seule.
Ils m’emmènent chez eux. Où, directement elle m’embrasse sur la bouche. Son mec n’attend pas pour me peloter. Il est derrière moi, ses mains sur mes seins, Je sens sa bite gonfler entre mes fesses.
Ce salop, il me donne envie de sa bite qui grossit toujours. Je remue le popotin pour l’exciter encore un peu plus. La fille s’éloigne un peu de moi, je peu à mon tour lui caresser la poitrine qui elle aussi gonfle. Je sens que je prépare une baise majuscule. Je voudrai, dans l’ordre me faire mettre devant, sucer par la fille, me faire sodomiser, la sucer en 69 pour qu’elle aussi se fasse mettre par l’arrière. Je veux les voir se baiser seuls devant moi pendant que je me masturberai.
Quoi qu’il arrive je sais qu’entre ce que je veux et se qui se passe il y a des différences énormes.
Lui profite de sa position pour entamer mon déshabillage que continu son amie. C’est moi la première qui est nue. Je leur en veux un peu. Bien sur les caresses sur ma poitrine reprennent, je sens la pine sur la raie des fesses.
J’arrive enfin à caresser les seins de ma partenaire en lui faisant sauter un simple bouton. Elle a une poitrine digne de celle de la Vénus de Milo. Je prend un téton dans la bouche, je le suce un bon moment : il grossit comme la bite presque sur mon cul. Je la mordille un peu comme j’aime, l’effet est immédiat, elle pose une main sur ma chatte, elle trouve mon clitoris et le branle gentiment. Je ne sais si elle se masturbe comme elle me fait, en tout cas je sens le feu de ma chatte se transformer en flammes ardentes. Je murmure à son oreille :
- Baises moi maintenant
- Tu ne veux pas une bite ?
- Tout à l’heure. Je veux ta langue.
Elle s’accroupit devant moi qui écarte les cuisses. Sa langue arrive juste là où je voulais : le bouton. Elle me lèche lentement pendant que son mec tripote mes fesses pour les écarter. S’il m’encule pendant qu’elle me lèche, se sera le paradis.
C’est bien l’intention qu’il a. C’est sa nana qui fournit ma propre cyprine pour me mouiller l’anus.
Par contre c’est bien sa queue qui vient.
Je sais qu’il n’a pas à forcer terriblement pour me la mettre. Je sens sa bite qui s’engage sur mon anus. Il me tarde qu’il soit au fond. Il entre enfin. Mon cul est bien plein quand il entame les vas et vient. Je ne peux pas trop bouger à cause de sa compagne qui lèche toujours. A eux deux ils arrivent à me faire sursauter quand je sens les prémices de l’orgasme qui vient.
Que j’aime jouir en ayant le cul plein d’une bonne bite. Je la sens encore plus. J’espère qu’il ne va pas jouir maintenant. A son tour de murmurer :
- Je me suis branlé avant ton arrivée pour que tu jouisses d’avantage.
- C’est gentil.
Sur ces simples mots, je décolle vers le sommet, vers ce plaisir ultime que j’adore. L’avoir dans mon cul et elle sur mon clitoris, c’est plus que le paradis.
Ils ne pensent pas m’avoir mise hors jeu pour une simple jouissance. En attendant ils vont se mettre sur le divan. Ils s’embrasent comme des tourtereaux. Leur pelotage commencent devant moi, je rêvais de les voir se baiser, je crois que je suis sur la bonne piste. Pourtant elle se penche pour le sucer alors qu’il sort de mon cul. Elle me prend un de mes plaisir. Il bande comme un âne. Elle vient s’assoir sur la pine, ses seins contre lui et elle commence à le baiser. Je vois ses seins ballotter. Moralement je ne peux oublier sa poitrine qui a besoin de moi. J’arrive à la faire se pencher en arrière, je prend ses seins dans ma bouche. Elle tient ma tête pour que je ne parte pas.
Je peux passer ma main entre elle et le ventre de son amant pour trouver le petit outil que les femmes aiment bien se caresser.
Elle ne peut résister trop longtemps à cette première vrai baise. Quand elle se lève, je la prend contre moi, nos poitrines resserrées et nos lèvres jointes. J’apprécie sa langue qui, il me semble a bon gout, sans doute ma cyprine. Je n’hésite pas à la branler juste un moment. Puis je la couche sur le tapis. Je suis à ses cotés, une main sur un sein et l’autre qui descend vers sa chatte. Je la fouille un peu avant de la doigter avec trois doigts. Elle m’aide dans les mouvement de vas et vient. Je la fait jouir, je vais plus bas, je caresse son anus. J’entre deux doigts dans son cul.
Elle en gémit. Je me tourne, l’enjambe pour lui donner ma moule à bouffer. Je pose ma bouche sur sa chatte, elle est drôlement mouillée. Je commence par essorer la cyprine en trop, je l’avale, c’est plus simple et meilleur. Maintenant je peux faire ce que je veux et où je veux avec son corps flexible. J’ai une envie folle d’entrer ma langue dans son nid. Quand ma langue lèche l’intérieur de son sexe, je la tourne. Elle gémit toujours, en me léchant. Nous nous trouvons à avoir nos langues dans les vagins. Je sens deux doigts sur mon cul, elle le caresse avant de me sodomiser. Elle sait bien baiser elle aussi.
Elle cède la place quand son ami vient sur moi pour me sodomiser encore une fois. Je me retrouve comme au début.
Pour moi, je respecte trop le corps de cette fille pour lui faire mal, je lui caresse et le cul et le clitoris. Elle jouit encore en poussant un hurlement d’orgasme. Elle veut me quitter pour que son Jules l’encule aussi.
C’est à croire que cet homme n’est bon que pour entrer dans un cul. Si elle aime ça, pourquoi l’en privé. Elle est en levrette. Je me glisse sous elle pour lubrifier son entrée. Je guide un peu la pine et pendant qu’il la lui met je m’empare du clitoris que je lèche avant de le prendre dans la bouche.
Je la sens jouir plusieurs fois: elle me lèche à son tour.
Nous méritons du repos. En guise de repos nous nous endormons affalés les uns sur le autres. Ce n’est qu’au lever du jour que je me réveille. Je n’ai pas envie de la sortir de leur cocon.
Je m’habille et sors pour rentre chez moi et y dormir en attendant la partouze de ce soir.
Qui sait nous baiserons à nouveau un jour lointain.
pour participer à une partouze à notre façon. Je couche trop pour savoir combien d’amant ou amantes j’ai eu, des centaines certainement.
J’étais dans mes plans quand je me fais toucher sur l’épaule, je me retourne et vois la fille, suivie par son compagnon. Elle m’embrasse sur les joues, comme lui.
- Tu ne nous reconnais pas ?
- Pas ainsi.
- Si, souvient toi le mois dernier chez les m****. Nous avons fait l’amour ensemble, à trois.
- Ha, oui, excusez moi, j’avais oublié.
- Comment ça oublier une telle nuit d’amour ? Nous sommes prêt à recommencer et si tu veux, maintenant.
Un vague souvenir revient. Il me semble qu’elle était folle d’être prise par son ami et par moi.
C’était en effet un bon coup. Ils veulent recommencer aujourd’hui. Je dois les convaincre d’attendre demain après midi ou soir, peu importe, je tiens trop à ma partouze de ce soir.
- Non aujourd’hui je suis surbookée, demain vers 15 heures pour passer le temps comme vous aimez ou alors le soir, jusqu’au lever du jour.
- D’accord, on se retrouve au café en face la gare.
Je pars de mon coté en me demandant comment je vais baiser, comment ils aiment le faire, je ne m’en souviens plus. Je verrai bien.
Nous nous retrouvons au café comme prévu. Si lui est habillé normalement, elle au contraire est court vêtue en habits transparents. C’est une véritable tentation tellement elle est sexy. Elle me donne envie de baiser avec elle. Pourtant j’aime faire l’amour en trio avec une autre femme et un homme. Là, je me la serai faite seule.
Ils m’emmènent chez eux. Où, directement elle m’embrasse sur la bouche. Son mec n’attend pas pour me peloter. Il est derrière moi, ses mains sur mes seins, Je sens sa bite gonfler entre mes fesses.
Ce salop, il me donne envie de sa bite qui grossit toujours. Je remue le popotin pour l’exciter encore un peu plus. La fille s’éloigne un peu de moi, je peu à mon tour lui caresser la poitrine qui elle aussi gonfle. Je sens que je prépare une baise majuscule. Je voudrai, dans l’ordre me faire mettre devant, sucer par la fille, me faire sodomiser, la sucer en 69 pour qu’elle aussi se fasse mettre par l’arrière. Je veux les voir se baiser seuls devant moi pendant que je me masturberai.
Quoi qu’il arrive je sais qu’entre ce que je veux et se qui se passe il y a des différences énormes.
Lui profite de sa position pour entamer mon déshabillage que continu son amie. C’est moi la première qui est nue. Je leur en veux un peu. Bien sur les caresses sur ma poitrine reprennent, je sens la pine sur la raie des fesses.
J’arrive enfin à caresser les seins de ma partenaire en lui faisant sauter un simple bouton. Elle a une poitrine digne de celle de la Vénus de Milo. Je prend un téton dans la bouche, je le suce un bon moment : il grossit comme la bite presque sur mon cul. Je la mordille un peu comme j’aime, l’effet est immédiat, elle pose une main sur ma chatte, elle trouve mon clitoris et le branle gentiment. Je ne sais si elle se masturbe comme elle me fait, en tout cas je sens le feu de ma chatte se transformer en flammes ardentes. Je murmure à son oreille :
- Baises moi maintenant
- Tu ne veux pas une bite ?
- Tout à l’heure. Je veux ta langue.
Elle s’accroupit devant moi qui écarte les cuisses. Sa langue arrive juste là où je voulais : le bouton. Elle me lèche lentement pendant que son mec tripote mes fesses pour les écarter. S’il m’encule pendant qu’elle me lèche, se sera le paradis.
C’est bien l’intention qu’il a. C’est sa nana qui fournit ma propre cyprine pour me mouiller l’anus.
Par contre c’est bien sa queue qui vient.
Je sais qu’il n’a pas à forcer terriblement pour me la mettre. Je sens sa bite qui s’engage sur mon anus. Il me tarde qu’il soit au fond. Il entre enfin. Mon cul est bien plein quand il entame les vas et vient. Je ne peux pas trop bouger à cause de sa compagne qui lèche toujours. A eux deux ils arrivent à me faire sursauter quand je sens les prémices de l’orgasme qui vient.
Que j’aime jouir en ayant le cul plein d’une bonne bite. Je la sens encore plus. J’espère qu’il ne va pas jouir maintenant. A son tour de murmurer :
- Je me suis branlé avant ton arrivée pour que tu jouisses d’avantage.
- C’est gentil.
Sur ces simples mots, je décolle vers le sommet, vers ce plaisir ultime que j’adore. L’avoir dans mon cul et elle sur mon clitoris, c’est plus que le paradis.
Ils ne pensent pas m’avoir mise hors jeu pour une simple jouissance. En attendant ils vont se mettre sur le divan. Ils s’embrasent comme des tourtereaux. Leur pelotage commencent devant moi, je rêvais de les voir se baiser, je crois que je suis sur la bonne piste. Pourtant elle se penche pour le sucer alors qu’il sort de mon cul. Elle me prend un de mes plaisir. Il bande comme un âne. Elle vient s’assoir sur la pine, ses seins contre lui et elle commence à le baiser. Je vois ses seins ballotter. Moralement je ne peux oublier sa poitrine qui a besoin de moi. J’arrive à la faire se pencher en arrière, je prend ses seins dans ma bouche. Elle tient ma tête pour que je ne parte pas.
Je peux passer ma main entre elle et le ventre de son amant pour trouver le petit outil que les femmes aiment bien se caresser.
Elle ne peut résister trop longtemps à cette première vrai baise. Quand elle se lève, je la prend contre moi, nos poitrines resserrées et nos lèvres jointes. J’apprécie sa langue qui, il me semble a bon gout, sans doute ma cyprine. Je n’hésite pas à la branler juste un moment. Puis je la couche sur le tapis. Je suis à ses cotés, une main sur un sein et l’autre qui descend vers sa chatte. Je la fouille un peu avant de la doigter avec trois doigts. Elle m’aide dans les mouvement de vas et vient. Je la fait jouir, je vais plus bas, je caresse son anus. J’entre deux doigts dans son cul.
Elle en gémit. Je me tourne, l’enjambe pour lui donner ma moule à bouffer. Je pose ma bouche sur sa chatte, elle est drôlement mouillée. Je commence par essorer la cyprine en trop, je l’avale, c’est plus simple et meilleur. Maintenant je peux faire ce que je veux et où je veux avec son corps flexible. J’ai une envie folle d’entrer ma langue dans son nid. Quand ma langue lèche l’intérieur de son sexe, je la tourne. Elle gémit toujours, en me léchant. Nous nous trouvons à avoir nos langues dans les vagins. Je sens deux doigts sur mon cul, elle le caresse avant de me sodomiser. Elle sait bien baiser elle aussi.
Elle cède la place quand son ami vient sur moi pour me sodomiser encore une fois. Je me retrouve comme au début.
Pour moi, je respecte trop le corps de cette fille pour lui faire mal, je lui caresse et le cul et le clitoris. Elle jouit encore en poussant un hurlement d’orgasme. Elle veut me quitter pour que son Jules l’encule aussi.
C’est à croire que cet homme n’est bon que pour entrer dans un cul. Si elle aime ça, pourquoi l’en privé. Elle est en levrette. Je me glisse sous elle pour lubrifier son entrée. Je guide un peu la pine et pendant qu’il la lui met je m’empare du clitoris que je lèche avant de le prendre dans la bouche.
Je la sens jouir plusieurs fois: elle me lèche à son tour.
Nous méritons du repos. En guise de repos nous nous endormons affalés les uns sur le autres. Ce n’est qu’au lever du jour que je me réveille. Je n’ai pas envie de la sortir de leur cocon.
Je m’habille et sors pour rentre chez moi et y dormir en attendant la partouze de ce soir.
Qui sait nous baiserons à nouveau un jour lointain.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est court, c'est décidé, il ya de quoi qui de correspond pas directement aux désirs ou aux espoirs. Mais qui finissent tout de même par jouir style cochon. Bonne affaire pour le nichons, belle description d'une forte bite. Style maison fabriss c.à.d. inégalable. J'apelle ma femme pour qu'elle lise ce que je viens d'écrire ici, puis qu'elle a lu l'histoire. Elle est d'accord; Elle dit qu'elle aime pourtant mieux l'auteur que la femme qui s'adonne à l'aventure. C'
Fabriss, où as tu trouvé ce renouveau de style ? Fine, doux, calineux, sensible où la bite semble éclipser. R