Titre de l'histoire érotique : Rencontre sur Internet - histoire érotique

Bonjour, voici une histoire co-écrite par une charmante demoiselle qui préfère rester discrète. Donc merci pour l'aide, et profitez bien^^




J’aime bien aller sur les tchats, on peut faire des rencontres sympas, même si en général je préfère que ça reste virtuel. Des fois je parle avec des filles, on se chauffe un peu, une petite photo de temps en temps (avec un taux de fake de 99% par contre), ça passe le temps.

Et justement ce soir là, je tombais sur une fille charmante, qui ne m’envoie pas chier (rare), qui as envie de se chauffer un peu (encore plus rare) et qui lance même la discussion. On a causé jusqu’au petit matin, je me suis touché comme un fou, et elle aussi. Nous avons continué plusieurs semaines, nous nous connaissions de mieux en mieux au fur et à mesure que nos envies grandissaient - et que ma réserve de mouchoir diminuait. Puis finalement nous avons décidé de nous rencontrer.

Je suis dans le train, mon cœur bat la chamade car jusque ici c’était virtuel, facile, presque irréel, mais maintenant c’est la vraie vie, les vrais sensations. Le train s’arrête, je guète les personnes sur le quai, pour voir si je l’aperçois. Je descends du train, pose mon sac à dos à mes pieds, et commence à tourner la tête de droit a gauche. Je ne la vois toujours pas, finalement je me demande si en fait je ne vais pas me retrouver seul comme un con. Puis je sens des mains se poser devant mes yeux :
- « Devine qui c’est beau brun », me chuchote t-elle à l’oreille
- « Hum… Céline ? »
- « Gagné… Thomas », dit elle déposant un baiser sur ma nuque.
- « A non moi c’est Alexandre… » Je me retourne et je la voit se décomposer un peu, puis se mettre à sourire doucement et me taper sur l’épaule.
- « Hey c’est pas drôle j’y ai presque cru ! »
- « C’était le but ! »


Nous continuons à nous taquiner tout en marchant. Nous sommes arrivons chez elle en plaisantant pour cacher notre gêne. Finalement on regarde un film sur un canapé. Elle se blottie contre moi - autant dire que je suis ravi. Je lui caresse machinalement le dos et la tête, passant ma main dans ses cheveux, elle doit aimer ça car je vois ses yeux se fermer.
Petit à petit je tente doucement des approches, mes mains s’approchent de plus en plus de la limite de ses vêtements. Puis je glisse une main sous son t-shirt, elle me laisse faire. J’ai son dos nu sous mes doigts, c’est bien meilleur que nos précédentes interactions, je m’enhardie soudain et je la caresse quasiment jusqu'aux fesses. Maintenant elle s’active elle aussi, je sens ses mains sur son torse, me déboutonnant la chemise doucement tout en me donnant de petits bisous un peu partout. J’avoue je suis aux anges. Puis elle se tourne vers moi et je saisi cette occasion pour prendre possession de ses lèvres.
Elle roule soudainement sur moi et nous commençons une session de baisers fougueux. On s’embrasse à pleine bouche, mes mains parcourent ses hanches alors que j’accentue les baisers. Je lui caresse le dos et en la plaquant contre moi lui baise le cou. Une de mes mains se pose sur ses fesses, je les caresses, les malaxes et elle redouble d’ardeur. Ses lèvres sont si douces et si chaudes que sa langue me fait virevolter. Rapidement elle me retire ma chemise et moi son t-shirt - dévoilant un soutif rouge à dentelles et motifs noirs. Je retire le soutif puis je caresse ses seins. Ils sont doux, fermes et j’en titille les tendres tetons. Céline soupire en se mordant la lèvre. Elle frémis entre mes mains et moi je j’adore la faire frémir puis gémir. Nous nous levons en s’embrassant pour finir dans la chambre. Elle est devant moi, en shorty de dentelle assorti au reste, et moi je suis en boxer noir. On commence à s’embrasser sur le lit, je lui caresse le sexe par-dessus le shorty et elle me fait pareil, je suis déjà bien dur.
Puis je la plaque sur le lit en l’embrassant. Elle descend sa tête dans mon cou - ma zone la plus sensible - pour me faire fondre avec ses baisers. Elle se retourne sur moi et continue de descendre (mmmm), arrivant sur mon nombril elle dépose ses lèvres un peu partout. Avec les mains, elle enlève mon boxer, le faisant glisser le long de mes jambes. C’est là qu’avec ses lèvres elle entame une lente descente (oooh nom de …) pour englober mon sexe dressé. Je fermé les yeux pour cette divine fellation puis je soupire et je gémis tandis que sa bouche va et vient sur ma bite. C’est tellement bon, le plaisir monte à toute allure, je gémis et serre le drap si fort. Elle accéléré encore, poussant mon sexe au plus profond de sa gorge !
Le plaisir monte, puis elle se retire, mais avant que je puisse lui rendre la pareille, elle se jette sur moi et s’empale sur mon sexe ! Elle se colle à moi tandis que je la pénètre cm par cm. Une fois au fond elle commence un doux va et vient, avant d’accélérer comme une furie. Nous gémissons tous les deux dans la passion des coups de rein. Je vie un rêve dans le plaisir qu’elle me procure. Je l’embrasse le plus possible. Elle me chevauche tellement bien, la meilleur que j’ai connu !, de mon coté je lui caresse les seins, je lui donne de petite fessés qui semblent l’encourager. Le traitement est rude pour mon endurance !
Le bruit de nos gémissements emplisse alors l’appartement, accompagné du claquement de nos corps, je tente de la désarçonner à chaque coup de rein, mais elle se plaque contre moi et je reprend la maitrise du va et vient. Ayant enfin le contrôle je décide de la retourner pour entamer un missionnaire, simple, mais sauvage. Mes coups de rein d’abord timides accélèrent jusqu'à la plaquer contre son matelas, la faisant presque crier son plaisir. Je vais et je viens au plus profond de sa chatte, chaque cm brulant de toute ma passion, chaque griffure nous emplissait d’un feu intense, je gémis tout contre son oreille, tandis qu’elle m’agrippe le dos en me suppliant de ne pas m’arrêter maintenant.
J’alterne entre des phases de va et vient rapides, sauvages, profonds et tendre où je peux l’embrasser à pleine bouche, c’est sensuel et intense. Puis elle plonge ces yeux dans les miens :

- « Tu te rappelle notre discussions de la dernière fois ? » susurre t-elle à mon oreille,
- « Heu... Laquelle ? », lui répondis-je dans un grognement,
- « Celle où tu dois faire ce que je te dis… »
Elle m’écarte et se lève, puis remet doucement son shorty malgré l’humidité de son sexe. Elle prend un air coquin, espiègle, puis continue :
- « Je sais que tu adore les sous-vêtements, maintenant profite du spectacle, mais interdiction de te toucher ou de me toucher… »
Sans me laisser le temps de répondre elle commence à passer sensuellement ses mains sur son corps, titillant ses tétons pourtant déjà dur, caressant son cou, ses hanches, et effleurant son shorty à de nombreuses reprises. Elle soupire, gémit, elle en rajoute un maximum pour m’exciter à mort ! Je suis hyper dur - et sans pouvoir me toucher - pourquoi je suis aussi bavard sur le net ! ca y est, elle plonge sa main dans son shorty, et ses lèvres s’ouvrent d’un soupir :
- « Mmm c’est booooonnn. Je me touche le clito, si tu voyais l’humidité… mmm »
- « Je l’imagine oui… »
- « Attend regarde »

Elle écarte son shorty pour mieux me montrer sa chatte, avant de se mettre deux doigts et de commence un va et vient lent. Elle soupire, gémis et de mon coté je suis en feu, me consumant de désir. Puis elle fait glisser son shorty le long de ses jambes, elle prend bien tout son temps, se retourne même pour me faire admirer ses fesse alors qu’elle se penche en avant le plus outrageusement possible. La voilà les deux mains sur le bureau, les fesses relevées en arrières et elle se retourne doucement vers moi avec un regard et une moue de coquine :
- « Ben alors tu attends qu… «

Elle n’a pas le temps de finir sa phrase que je suis debout, les mains sur ses hanches. Je me suis plaqué à elle, ma bite directement contre son dos, une main sur un sein et l’autre allant chatouiller son clito.

- « Mmmm jeune empressé va, tu devais attendre », me dit elle espiègle,
- « Je suis liquéfié de honte », lui répondis-je en souriant,
- « Mouais, tu as vachement l’air », répondit-elle en souriant à son tour, « je vais devoir te punir »
- « Je crois plutôt que c’est toi qui va recevoir une punition pour ton effronterie jeune dévergondée», lui dis-je tout en enfonçant d’un coup sec ma bite dans sa chatte mouillée en la maintenant penchée sur le bureau.


Elle pousse un gémissement de surprise, mêlé de plaisir, qui m’excite encore plus. Je commence à la limer avec vigueur, elle serra ses mains sur le bureau tandis que je vais tout au fond, poussant sur elle en la plaquant de plus en plus sur le bureau. Le plaisir monte vite, elle gémit en se mordillant la lèvre. Je me sens bien c’est tellement bon. Je la soulève presque à chaque coup de rein. Puis je la retourne et la fait assoir sur le bureau avant de replonger en elle, reprenant le rythme effréné de notre passion. Elle se blotti contre moi en gémissant, ses mains arrachant mon dos au fur et à mesure que son plaisir grandissait.
Au bout d’un quart d’heure d’intense plaisir et de gémissements frénétiques, je sens enfin son sexe se contracter puis je l’entends crier contre moi pendant que son orgasme la submerge. Je continue mon va et viens, mon plaisir proche de l’explosion. Elle se met à genoux devant moi et me prend en bouche. Je suis tellement chaud bouillant qu’elle n’a pas beaucoup de va et vient a faire avant que je n’explose avec un profond gémissement, inondant sa bouche de mon sperme. Elle avale difficilement ma semence en souriant et en me faisant un clin d’œil. Nous retournons sur le lit pour nous câliner un peu et elle a plonge sa tête contre mon torse. Je lui caresse les cheveux alors qu’en cet instant nous sommes seuls au monde, nous sommes bien : nos instincts primaires sauvages ont été assouvis.

Nous allons ensuite prendre une douche, une douche particulièrement sensuelle, ponctué de tendres baisers très très humides. Puis nous nous endormons enlacés l’un avec l’autre.