Titre de l'histoire érotique : Réveil à la trompette !
Récit érotique écrit par Adulpo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-10-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Réveil à la trompette !
Minette, minette, minette… à cinq heures du matin c'est un calvaire !
Ma voisine bonne grosse de 50 ans, mesurant un petit mètre soixante est dehors, dans ma cour à appeler sa chatte qui a disparue depuis hier au soir, j'ouvre ma fenêtre pour lui dire d'aller crier plus loin quand je m'aperçois qu'elle est en chemise de nuit (nous sommes en aout), faisant contre mauvaise fortune bon cœur, je lui demande si elle a vue sa chatte ? Elle pense qu'elle est coincée dans ma grange, je descends lui ouvrir qu'avec un pantalon de pyjama, je passe le premier pour aller éclairer et en me retournant je vois par transparence que Monique ne porte que sa chemise de nuit et pas de culotte, je regarde derrière mon matériel et Monique décide de monter à l'échelle qui donne sur le fenil. Etant dessous, j'assiste à un spectacle d’enfer, un cul énorme sur deux cuisses comme des jambons et une broussaille de première grandeur entre les deux. Elle continue ses minette, minette, minette, en redescendant elle me demande si j'ai vu la chatte derrière. J'éclate de rire et lui répond que non mais j'en ai vu une belle perchée sur l’échelle, Monique rougit !
Elle me demande si cela me dérange d'être un peu sérieux, je lui dis de m'excuser mais je continue à sourire ce qui la vexe un peu et elle part voir du coté de la cave si cette bestiole n'y est pas. Pour accéder à cette partie de la grange il faut prendre une échelle de meunier qui est très raide et Monique ne loupe pas le coche, rate une marche et roule en bas en criant de douleur, je descend pour l'aider et de nouveau le spectacle, la chemise de nuit c'est déchirée et Monique se trouve presque à poil couchée sur le sol , je l'aide à se relever mais son genou lui fait un mal de chien et elle ne peut poser le pied par terre, je l'aide comme je peu pour la remonter et lui propose d'entrer pour voir les dégâts et éventuellement appeler un médecin. Clopin-clopant nous rejoignons la cuisine, je la fais asseoir sur une chaise et lui donne un gant de toilette et une serviette pour se nettoyer, j’attends son verdict pour agir, elle me dit que le coté interne du genou droit et écorché et gonflé il faut que je vienne voir, je m'approche et Monique jambes écartées face à moi me montre ses blessures, je constate une légère égratignure, un petit gonflement. Je tâte le pourtour, elle me dit que cela lui fait mal, je lui propose de la masser avec une crème spéciale pour les coups. D’accord dit-elle, j'avance une autre chaise pose son mollet dessus et prend un tube de pommade pour lui frictionner le genou. Le spectacle de sa grosse chatte face à moi me provoque une érection de belle taille et le pyjama n'a pas de bouton de braguette, résultat : le loup est sorti du bois !
Monique me demande si c'est elle qui provoque cet état, je lui dis qu'à force de parler de chatte et surtout de me montrer sa chatte, je ne peu me retenir de bander pour elle et qu'elle devra me frictionner à son tour pour calmer mon érection. Tout en parlant, mon massage est arrivé à ras la foufoune de Monique. Je lui dis que je vais me laver les mains pour enlever le trop de pommade mais cette cochonne m'attrape par la queue et me dit qu'elle a les mains propres, je me dégage en douceur file à l'évier, me lave, m'essuie et revient toujours popaul à l'air et cette fois je passe au massage de chatte directement et sans préliminaire. C'est un buisson qui commence à suinter que je caresse et farfouille pour découvrir deux grandes lèvres bien dodues et bien poisseuses. En m'approchant, Monique a commencée à me branler et je lui fais comprendre qu'elle peut emboucher popaul se qu'elle fait sans aucun problème, mes doigts baignent dans un fruit juteux à souhait et je sens que je vais lui décharger tout mon foutre dans la bouche. Je préfère me retirer et m'introduire entre ses cuisses pour lui fourrer ma queue dans la chatte. Elle ne crie plus minette mais plutôt : ho oui ho oui vas y encore, encore… Je lui malaxe les deux ballons qui lui servent de seins, elle doit faire du 110/120 de tour de poitrine, c'est énorme, mou et les pointes commencent à s'étirer sous les roulements pouce / index que je leurs prodige. Premier round, une bonne giclée dans la chatte et Monique me propose de voir si elle peut marcher, après quelques hésitations et appuyée à mon bras elle me demande pour aller au toilettes, je lui montre la porte et la dirige sur le trône. Elle s'installe, pisse comme une fontaine et me demande le gant et la serviette. Je lui donne tout cela et sans gêne aucune, elle se lave la chatte et le cul, se rince, s'essuie et me dit : maintenant passons au plat de résistance, direction ta chambre…
Cette matinée m'est restée gravée et depuis ce jour je préfère les bonnes grosses pas très belles mais sacrement efficaces au lit… De huit heures à midi j'ai eu droit à un récital de pipe, de branlette espagnole, d'enculade, de baise, et en bouquet final, Monique m'annonça que sa chatte était chez elle dans sa caisse, la seule chose imprévue avait été sa chute ! Je passe la voir de temps à autre pour lui demander des nouvelles de sa chatte mais je préfère celle qu’elle possède entre ses cuisses que celle à quatre pattes !
Ma voisine bonne grosse de 50 ans, mesurant un petit mètre soixante est dehors, dans ma cour à appeler sa chatte qui a disparue depuis hier au soir, j'ouvre ma fenêtre pour lui dire d'aller crier plus loin quand je m'aperçois qu'elle est en chemise de nuit (nous sommes en aout), faisant contre mauvaise fortune bon cœur, je lui demande si elle a vue sa chatte ? Elle pense qu'elle est coincée dans ma grange, je descends lui ouvrir qu'avec un pantalon de pyjama, je passe le premier pour aller éclairer et en me retournant je vois par transparence que Monique ne porte que sa chemise de nuit et pas de culotte, je regarde derrière mon matériel et Monique décide de monter à l'échelle qui donne sur le fenil. Etant dessous, j'assiste à un spectacle d’enfer, un cul énorme sur deux cuisses comme des jambons et une broussaille de première grandeur entre les deux. Elle continue ses minette, minette, minette, en redescendant elle me demande si j'ai vu la chatte derrière. J'éclate de rire et lui répond que non mais j'en ai vu une belle perchée sur l’échelle, Monique rougit !
Elle me demande si cela me dérange d'être un peu sérieux, je lui dis de m'excuser mais je continue à sourire ce qui la vexe un peu et elle part voir du coté de la cave si cette bestiole n'y est pas. Pour accéder à cette partie de la grange il faut prendre une échelle de meunier qui est très raide et Monique ne loupe pas le coche, rate une marche et roule en bas en criant de douleur, je descend pour l'aider et de nouveau le spectacle, la chemise de nuit c'est déchirée et Monique se trouve presque à poil couchée sur le sol , je l'aide à se relever mais son genou lui fait un mal de chien et elle ne peut poser le pied par terre, je l'aide comme je peu pour la remonter et lui propose d'entrer pour voir les dégâts et éventuellement appeler un médecin. Clopin-clopant nous rejoignons la cuisine, je la fais asseoir sur une chaise et lui donne un gant de toilette et une serviette pour se nettoyer, j’attends son verdict pour agir, elle me dit que le coté interne du genou droit et écorché et gonflé il faut que je vienne voir, je m'approche et Monique jambes écartées face à moi me montre ses blessures, je constate une légère égratignure, un petit gonflement. Je tâte le pourtour, elle me dit que cela lui fait mal, je lui propose de la masser avec une crème spéciale pour les coups. D’accord dit-elle, j'avance une autre chaise pose son mollet dessus et prend un tube de pommade pour lui frictionner le genou. Le spectacle de sa grosse chatte face à moi me provoque une érection de belle taille et le pyjama n'a pas de bouton de braguette, résultat : le loup est sorti du bois !
Monique me demande si c'est elle qui provoque cet état, je lui dis qu'à force de parler de chatte et surtout de me montrer sa chatte, je ne peu me retenir de bander pour elle et qu'elle devra me frictionner à son tour pour calmer mon érection. Tout en parlant, mon massage est arrivé à ras la foufoune de Monique. Je lui dis que je vais me laver les mains pour enlever le trop de pommade mais cette cochonne m'attrape par la queue et me dit qu'elle a les mains propres, je me dégage en douceur file à l'évier, me lave, m'essuie et revient toujours popaul à l'air et cette fois je passe au massage de chatte directement et sans préliminaire. C'est un buisson qui commence à suinter que je caresse et farfouille pour découvrir deux grandes lèvres bien dodues et bien poisseuses. En m'approchant, Monique a commencée à me branler et je lui fais comprendre qu'elle peut emboucher popaul se qu'elle fait sans aucun problème, mes doigts baignent dans un fruit juteux à souhait et je sens que je vais lui décharger tout mon foutre dans la bouche. Je préfère me retirer et m'introduire entre ses cuisses pour lui fourrer ma queue dans la chatte. Elle ne crie plus minette mais plutôt : ho oui ho oui vas y encore, encore… Je lui malaxe les deux ballons qui lui servent de seins, elle doit faire du 110/120 de tour de poitrine, c'est énorme, mou et les pointes commencent à s'étirer sous les roulements pouce / index que je leurs prodige. Premier round, une bonne giclée dans la chatte et Monique me propose de voir si elle peut marcher, après quelques hésitations et appuyée à mon bras elle me demande pour aller au toilettes, je lui montre la porte et la dirige sur le trône. Elle s'installe, pisse comme une fontaine et me demande le gant et la serviette. Je lui donne tout cela et sans gêne aucune, elle se lave la chatte et le cul, se rince, s'essuie et me dit : maintenant passons au plat de résistance, direction ta chambre…
Cette matinée m'est restée gravée et depuis ce jour je préfère les bonnes grosses pas très belles mais sacrement efficaces au lit… De huit heures à midi j'ai eu droit à un récital de pipe, de branlette espagnole, d'enculade, de baise, et en bouquet final, Monique m'annonça que sa chatte était chez elle dans sa caisse, la seule chose imprévue avait été sa chute ! Je passe la voir de temps à autre pour lui demander des nouvelles de sa chatte mais je préfère celle qu’elle possède entre ses cuisses que celle à quatre pattes !
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