Titre de l'histoire érotique : Suite de la soirée chez Béatrice 2
Récit érotique écrit par VIRGINY [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-08-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Suite de la soirée chez Béatrice 2
Je savais que je serais humilié devant un public, cela ne sera pas la première fois.
Pourtant, je devrais m’infliger cette possession infernale.
J’ai été dégoûté de voir des femmes qui accomplissaient devant un public, une soumission abjecte, je vais, moi aussi, avec docilité m’abandonner.
Certaines personnes pensent que je suis une pourriture, j’ai vu le public, décriait ces femmes en ruts.
Je sais pertinemment, qu’il est difficile après avoir été aussi loin dans l’extase extrême, de refuser cette ignominie.
Pour me justifier (quoique mes justifications ne soient pas nécessairement comprises, je m’en excuse).
La jouissance d’orgasmes multiples, une extase sexuelle qui se propage et fait monter la libido, le corps vibre, mon bas-ventre devient un brasier inextinguible, ce moment précisément est attendu par Béatrice, elle sait pertinemment que la lucidité est troublée, la volonté n’est plus, elle seule peut satisfaire, cette fournaise, qui libérera cette éblouissante extase incontrôlable, qui laisse le corps totalement brisé, par les tremblements que subit le corps , le vagin se contracte libérant un orgasme inconcevable, des sons gutturaux sortent puissamment de ma gorge, des instants psychédéliques ( sans aucune substance hallucinogène).
Je sais qu’il est peut- être difficile pour vous lecteurs de percevoir ce qui provoque cette jouissance (et qui ou quoi la provoque), si je ne peux le déterminer, il est pourtant élémentaire de savoir de quelle manière la dominatrice réalise cette pénétration.
Ma volonté de ne pas révéler cette extrême docilité est pour moi un dernier sursit.
J’ai été sollicité par Béatrice, plusieurs semaines après, je devais impérativement me conformer à ces exigences, je savais que Béatrice allait me soumettre à toutes ses lubies, il est inconcevable d’exprimer l’appétence que j’ai éprouvée.
Je me suis rendue à ce rendez-vous, dès mon arrivée, Béatrice me fit descendre au sous-sol.
Un public nombreux, des couples de tout âge, des femmes aux seins nus, les hommes étaient tous nus, certaines femmes étaient habillées, Béatrice demanda à plusieurs hommes, de me dépouiller de mes vêtements, ma jupe fut déchiquetée, mon corsage fut déboutonné, les bretelles de mon soutien-gorge furent coupées avec des ciseaux.
Béatrice fit glisser ma petite culotte noire, seule mon porte jarretelle resta en place avec mes bas noirs.
Béatrice me somma de me branler devant ces hommes, elle me tendit un plug( enfonce le dans ton cul), je me penchais en avant écartant les jambes, j’enfilais le plug à fond dans mon anus.
Béatrice m’ordonna (branle ton clitoris, je veux que tu jouisses salope).
Je posais délicatement mes doigts sur mon clitoris, Béatrice me dit plus vigoureusement, j’obtempérais, mes doigts décapuchonnaient mon clitoris, j’étirais le gland le faisant rouler entre mon pouce et l’indexe, Béatrice faisait vibrer le plug dans mon cul, je jouis devant le public.
Un homme dans la cinquantaine hotta le plug, et il m’encula, sa grosse bite traversait mes entrailles, je devais continuer à me branler, un autre relevant ma tête, glissa sa queue dans ma bouche, j’avais des difficultés à me masturber, mon cul était dilaté, ma respiration était difficile, la bite glissait dans ma gorge, j’avais des difficultés à rester debout, heureusement j’étais maintenu fermement par mon enculeur, de ses mains il bloquait ma taille, ses puissants coups de reins faisaient monter une jouissance dans mon ventre.
J’étais prise en gorge profonde très brutalement, je m’égosillais, de long files de bave coulaient de ma bouche.
Il stoppa sa bite en gorge profonde, la liqueur âpre envahit ma gorge, j’étais gavée comme une oie, mon enculeur sorti sa bite de mon cul, il déchargea sa semence dans ma bouche, mes doigts ne pouvaient plus me procurer un autre orgasme, Béatrice me demanda de m’allonger sur le chevalet, je fus entravée la croupe plus haute que mon torse, mon sexe et mon cul étaient à sa disposition, (je savais que j’allais me faire introduire les orifices à outrance , je ne précise pas , malgré cela et la honte ressentie devant le public, je m’abandonnais à cette turpitude).
Ma chatte fut fourrée à plusieurs reprises, mon cul dilaté était rempli de giclées de sperme.
Les orgasmes puissants incontrôlables faisaient monter ma libido, j’attendais la suite.
(Je devais remercier Béatrice, tu en veux encore, elle me faisait relever la tête en tirant mes longs cheveux, oui maitresse,) il est impossible de ne pas se soumettre à Béatrice, une extase extrême envahie tout mon être.
(Je voudrais absolument me justifier, pour les personnes qui possèdent une connaissance des préceptes freudiens, l’éducation que j’ai reçue depuis mon enfance à apprêter ma disposition à évoluer pour devenir cette salope obéissante, nymphomane, j’ai une double personnalité, de femme réservée, je suis une sensuelle , luxurieuse , je sais que je ne peux pas me contenter d’un seul partenaire, je ne désir pas devenir une femme BCBG).
Béatrice se munit d’un vibromasseur, (tu en veux). Elle enfonça le vibromasseur dans ma vulve, mes petites lèvres furent branlées à outrance, j’hurlais, la grosse tête rotative me défonçait, elle posait le vibromasseur sur mon clitoris, la jouissance devenait une torture.
Le public devenait très chaud, les femmes se masturbaient, les hommes se branlaient, Béatrice me renversa sur un tréteau, les jambes et les bras ligotaient, les femmes du public furent invitées à me fouetter avec un martinet, mon appétence pour cette punition, me permit de jouir, encore plus, les coups cinglaient mon corps, mes fesses tremblaient sous les lanières de cuir, les mâles très stimulaient éjaculaient sur moi, mon visage ruisselait de sperme.
Béatrice me regardait jouir comme une salope, je déhanchais mon cul, mes mamelles se balançaient, mon corps se convulsa, mon sexe coulait de cyprine, je criais sans retenue, un orgasme violent me laissa inerte.
Béatrice aidée par une jeune femme, qui elle ouvrit mes cuisses, Béatrice introduisit des cuillères dans mon sexe, pour l’ouvrir à sa convenance.
Mon vagin fut fortement dilaté, Béatrice enfila lentement sa main dans mon vagin, la perception de cette main qui remplissait, mon ventre libéra un jet de mouille, mon sexe devenait une fontaine, (plusieurs femmes sollicitaient Béatrice, défonce- la), Béatrice me branla fermement, sa main me pilonnait telle un piston, la dilatation était extrême la jouissance me faisait sangloter, j’étais sur un nuage, Béatrice passa à la phase finale.
Elle ligota mes mamelles, la corde passait par une poulie, pour s’enrouler autour d’un cylindre à manivelle, un homme maigre nu tournait la manivelle lentement, mes mamelles durcies par la corde me hissaient, mes pieds effleuraient le sol, mon corps se balançait lentement, je gémissais, mes seins subissaient la sustentation , une douleur atroce envahit mes seins.
Mon corps était hissé de plus en plus haut, je dus rester dans cette position un long moment.
Mes seins passaient du rouge au bleu.
Béatrice munie de son gode ceinture, pénétra une jeune fille, je regardais l’énorme gode qui disparaissait dans cette petite chatte, Béatrice la défonçait, elle se retira de son sexe, la jeune fille se releva avec difficulté, Béatrice lui ordonna de tirer sur mes jambes, sinon tu prends sa place.
La frêle jeune fille enserra mes jambes, tirant de toutes ses forces, je crus que mes seins allaient se décoller, je braillais, Béatrice mit fin à mon supplice.
Comme à chaque fois, je dus rentrée, nue chez moi, enfin non, quasiment nue, mon porte-jarretelles était encore attaché, les bas étaient déchirés, j’avais toujours mes chaussures, je rentrais totalement vidée, le claquement de mes talons, résonnait dans le parking, je pris l’ascenseur, mes jambes ne supportaient, plus mon corps , je savais que je serais vue par plusieurs personnes, je pouvais hotter mes chaussures pour ne pas me faire remarquer, je préférais continuer , je stoppais l’ascenseur deux étages plus bas.
Je traversais le premier étage, et je me ressaisis, j’enlevais mes chaussures afin de rentrer chez moi sans me faire remarquer (enfin je crois).
Mes seins étaient douloureux, ils avaient retrouvé leurs plasticités, je m’allongeais sur le canapé, ardente, je me procurais un dernier orgasme, de mes doigts, je branlais lentement mon clitoris, pour ensuite me branler violemment, la mince cloison laissa aucun équivoque à mes voisins, sûr l’origine de mes gémissements.
Pourtant, je devrais m’infliger cette possession infernale.
J’ai été dégoûté de voir des femmes qui accomplissaient devant un public, une soumission abjecte, je vais, moi aussi, avec docilité m’abandonner.
Certaines personnes pensent que je suis une pourriture, j’ai vu le public, décriait ces femmes en ruts.
Je sais pertinemment, qu’il est difficile après avoir été aussi loin dans l’extase extrême, de refuser cette ignominie.
Pour me justifier (quoique mes justifications ne soient pas nécessairement comprises, je m’en excuse).
La jouissance d’orgasmes multiples, une extase sexuelle qui se propage et fait monter la libido, le corps vibre, mon bas-ventre devient un brasier inextinguible, ce moment précisément est attendu par Béatrice, elle sait pertinemment que la lucidité est troublée, la volonté n’est plus, elle seule peut satisfaire, cette fournaise, qui libérera cette éblouissante extase incontrôlable, qui laisse le corps totalement brisé, par les tremblements que subit le corps , le vagin se contracte libérant un orgasme inconcevable, des sons gutturaux sortent puissamment de ma gorge, des instants psychédéliques ( sans aucune substance hallucinogène).
Je sais qu’il est peut- être difficile pour vous lecteurs de percevoir ce qui provoque cette jouissance (et qui ou quoi la provoque), si je ne peux le déterminer, il est pourtant élémentaire de savoir de quelle manière la dominatrice réalise cette pénétration.
Ma volonté de ne pas révéler cette extrême docilité est pour moi un dernier sursit.
J’ai été sollicité par Béatrice, plusieurs semaines après, je devais impérativement me conformer à ces exigences, je savais que Béatrice allait me soumettre à toutes ses lubies, il est inconcevable d’exprimer l’appétence que j’ai éprouvée.
Je me suis rendue à ce rendez-vous, dès mon arrivée, Béatrice me fit descendre au sous-sol.
Un public nombreux, des couples de tout âge, des femmes aux seins nus, les hommes étaient tous nus, certaines femmes étaient habillées, Béatrice demanda à plusieurs hommes, de me dépouiller de mes vêtements, ma jupe fut déchiquetée, mon corsage fut déboutonné, les bretelles de mon soutien-gorge furent coupées avec des ciseaux.
Béatrice fit glisser ma petite culotte noire, seule mon porte jarretelle resta en place avec mes bas noirs.
Béatrice me somma de me branler devant ces hommes, elle me tendit un plug( enfonce le dans ton cul), je me penchais en avant écartant les jambes, j’enfilais le plug à fond dans mon anus.
Béatrice m’ordonna (branle ton clitoris, je veux que tu jouisses salope).
Je posais délicatement mes doigts sur mon clitoris, Béatrice me dit plus vigoureusement, j’obtempérais, mes doigts décapuchonnaient mon clitoris, j’étirais le gland le faisant rouler entre mon pouce et l’indexe, Béatrice faisait vibrer le plug dans mon cul, je jouis devant le public.
Un homme dans la cinquantaine hotta le plug, et il m’encula, sa grosse bite traversait mes entrailles, je devais continuer à me branler, un autre relevant ma tête, glissa sa queue dans ma bouche, j’avais des difficultés à me masturber, mon cul était dilaté, ma respiration était difficile, la bite glissait dans ma gorge, j’avais des difficultés à rester debout, heureusement j’étais maintenu fermement par mon enculeur, de ses mains il bloquait ma taille, ses puissants coups de reins faisaient monter une jouissance dans mon ventre.
J’étais prise en gorge profonde très brutalement, je m’égosillais, de long files de bave coulaient de ma bouche.
Il stoppa sa bite en gorge profonde, la liqueur âpre envahit ma gorge, j’étais gavée comme une oie, mon enculeur sorti sa bite de mon cul, il déchargea sa semence dans ma bouche, mes doigts ne pouvaient plus me procurer un autre orgasme, Béatrice me demanda de m’allonger sur le chevalet, je fus entravée la croupe plus haute que mon torse, mon sexe et mon cul étaient à sa disposition, (je savais que j’allais me faire introduire les orifices à outrance , je ne précise pas , malgré cela et la honte ressentie devant le public, je m’abandonnais à cette turpitude).
Ma chatte fut fourrée à plusieurs reprises, mon cul dilaté était rempli de giclées de sperme.
Les orgasmes puissants incontrôlables faisaient monter ma libido, j’attendais la suite.
(Je devais remercier Béatrice, tu en veux encore, elle me faisait relever la tête en tirant mes longs cheveux, oui maitresse,) il est impossible de ne pas se soumettre à Béatrice, une extase extrême envahie tout mon être.
(Je voudrais absolument me justifier, pour les personnes qui possèdent une connaissance des préceptes freudiens, l’éducation que j’ai reçue depuis mon enfance à apprêter ma disposition à évoluer pour devenir cette salope obéissante, nymphomane, j’ai une double personnalité, de femme réservée, je suis une sensuelle , luxurieuse , je sais que je ne peux pas me contenter d’un seul partenaire, je ne désir pas devenir une femme BCBG).
Béatrice se munit d’un vibromasseur, (tu en veux). Elle enfonça le vibromasseur dans ma vulve, mes petites lèvres furent branlées à outrance, j’hurlais, la grosse tête rotative me défonçait, elle posait le vibromasseur sur mon clitoris, la jouissance devenait une torture.
Le public devenait très chaud, les femmes se masturbaient, les hommes se branlaient, Béatrice me renversa sur un tréteau, les jambes et les bras ligotaient, les femmes du public furent invitées à me fouetter avec un martinet, mon appétence pour cette punition, me permit de jouir, encore plus, les coups cinglaient mon corps, mes fesses tremblaient sous les lanières de cuir, les mâles très stimulaient éjaculaient sur moi, mon visage ruisselait de sperme.
Béatrice me regardait jouir comme une salope, je déhanchais mon cul, mes mamelles se balançaient, mon corps se convulsa, mon sexe coulait de cyprine, je criais sans retenue, un orgasme violent me laissa inerte.
Béatrice aidée par une jeune femme, qui elle ouvrit mes cuisses, Béatrice introduisit des cuillères dans mon sexe, pour l’ouvrir à sa convenance.
Mon vagin fut fortement dilaté, Béatrice enfila lentement sa main dans mon vagin, la perception de cette main qui remplissait, mon ventre libéra un jet de mouille, mon sexe devenait une fontaine, (plusieurs femmes sollicitaient Béatrice, défonce- la), Béatrice me branla fermement, sa main me pilonnait telle un piston, la dilatation était extrême la jouissance me faisait sangloter, j’étais sur un nuage, Béatrice passa à la phase finale.
Elle ligota mes mamelles, la corde passait par une poulie, pour s’enrouler autour d’un cylindre à manivelle, un homme maigre nu tournait la manivelle lentement, mes mamelles durcies par la corde me hissaient, mes pieds effleuraient le sol, mon corps se balançait lentement, je gémissais, mes seins subissaient la sustentation , une douleur atroce envahit mes seins.
Mon corps était hissé de plus en plus haut, je dus rester dans cette position un long moment.
Mes seins passaient du rouge au bleu.
Béatrice munie de son gode ceinture, pénétra une jeune fille, je regardais l’énorme gode qui disparaissait dans cette petite chatte, Béatrice la défonçait, elle se retira de son sexe, la jeune fille se releva avec difficulté, Béatrice lui ordonna de tirer sur mes jambes, sinon tu prends sa place.
La frêle jeune fille enserra mes jambes, tirant de toutes ses forces, je crus que mes seins allaient se décoller, je braillais, Béatrice mit fin à mon supplice.
Comme à chaque fois, je dus rentrée, nue chez moi, enfin non, quasiment nue, mon porte-jarretelles était encore attaché, les bas étaient déchirés, j’avais toujours mes chaussures, je rentrais totalement vidée, le claquement de mes talons, résonnait dans le parking, je pris l’ascenseur, mes jambes ne supportaient, plus mon corps , je savais que je serais vue par plusieurs personnes, je pouvais hotter mes chaussures pour ne pas me faire remarquer, je préférais continuer , je stoppais l’ascenseur deux étages plus bas.
Je traversais le premier étage, et je me ressaisis, j’enlevais mes chaussures afin de rentrer chez moi sans me faire remarquer (enfin je crois).
Mes seins étaient douloureux, ils avaient retrouvé leurs plasticités, je m’allongeais sur le canapé, ardente, je me procurais un dernier orgasme, de mes doigts, je branlais lentement mon clitoris, pour ensuite me branler violemment, la mince cloison laissa aucun équivoque à mes voisins, sûr l’origine de mes gémissements.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est très excitant les scènes de suspension par les seins le corps est totalement offert à la merci des perversions comme des brûlures à la cigarette sur la vulve
une suite bien hard comme je les aime
merci
merci
C'est bien érotique, fort excitant. On a envie de connaître l'auteure.
Est-ce une histoire vécue?
Est-ce une histoire vécue?