Titre de l'histoire érotique : Trio surprise ! - histoire érotique

Récit

Un jour je me décide à réaliser mon fantasme.
J'avais acheté une jupe courte bas prix, une paire de collant, et avais trouvé un vieux
débardeur qu'elle n'utilisait plus.
« Aujourd'hui si tu le veux bien, je veux faire de toi mon esclave, que tu obéisses à mes
ordres et réalises mes désirs, si tu acceptes tu ne pourras plus reculer, jusqu'à ce
que je dise que l'on a fini »
Intriguée, mais excitée à cette idée d'être mienne, elle accepte.
« D'accord, donc c'est parti, à partir de maintenant, c'est moi qui décide de tout »
Je lui tend la poche de vêtement que j'avais préparé pour elle, et lui dit d'aller prendre
un bon bain, de se parfumer et d'enfiler tout ça, sans rien d'autre. Elle regarde à
l'intérieur du sac, fait la moue puis accepte sans rien dire.
Une fois habillé, je l'emmène en voiture. Nous partons au gite que j'ai réservé et ou
mon complice attend. Une fois arrivé, je lui demande de se retourner pour que je lui
bande les yeux, elle s'accomplit, puis nous gravissons les marches de l'escalier qui
mène à une vaste chambre chauffée et agréable. Je la mène au lit où je lui demande
de s assoir pendant que je me prépare. Je vais allumer la musique, vais chercher des
serviettes, et mon sac. Mon complice me salut sans faire de bruit et sans bouger.
Je dépose les serviettes au sol, puis reviens vers ma Chérie qui attend sagement. Je
la prend par la main puis la guide jusque sur les serviettes. Je lui enlève la veste et lui
demande si elle est prête à devenir mon esclave. Elle me répond que oui en hésitant
un peu. Je la sens excité. Je vais chercher dans mon sac quatre foulards, puis reviens
vers celle qui m'attend sous le regard de cet homme. Il semble apprécier le spectacle,
ou du moins sa préparation. Je prend un poigné de ma femme et l'attache à la
rambarde des escaliers. Je fais de même avec l'autre poigné, de façon a ce qu'elle
soit dos à la rambarde, les poignés liés de chaque coté. Je pose mes mains sur ses
épaules et appuis dessus pour la forcer à s'accroupir. Elle s'exécute sans résister.
J'essaie de l'installer assez confortablement pour éviter les crampes. Je lui attache
alors les genoux de façon a ce quelle ne puisse pas se relever. Je fais alors signe a
mon complice qui n'attend que ça. J'ai confiance en lui l'ayant déjà rencontré lors d'une
séance de triolisme avec ma femme.
J'embrasse longuement et langoureusement ma chérie et vais prendre place dans le
canapé en face d'eux deux pour ne rien manquer du spectacle. J'attrape mon appareil
photo, me met à l'aise et prend mon téléphone. Mon complice à réglé le siens sur
vibreur et attend que je l'appelle. Il décroche de suite et met son oreillette pour avoir
les mains libres. Ainsi je pourrai lui dicter ses moindres faits et gestes.
Je lui demande donc en premier lieu de prendre tout son temps, comme convenu. 
Je chuchote pour ne pas qu'elle m'entende : « effleure la du bout des doigts sur la
nuque, le cou, les lèvres, puis descend sur ses seins, juste un peu » Je peux voir
qu'elle apprécie pensant que c'est toujours moi qui m'apprête à m'occuper d'elle. Mon
complice s'applique à faire tout ce que je lui ai dit. Il s'attarde enfin un peu sur ses
tétons qui commencent à apparaître sous le débardeur. Je ne rate pas une miette et
prends des photos discrètement.
« Verse lui quelque goutte d'eau sur la nuque » J'avais préparé à l'avance une
bouteille d'eau chaude.
Elle sursaute au contact de l'eau, puis se détend semblant apprécier la température
du liquide qui lui coule sur la nuque.
« Encore » Il s'exécute et lui verse de l'eau sur la nuque, commençant à tremper le
haut de ma femme. Elle gémit.
« Dans le cou, devant » L'eau cette fois ci, coule entre son décolleté, doucement, puis
arrive à son ventre pour décolorer le tissus à cet endroit en une tache grandissante.
« Sur la nuque encore » J'imagine l'eau qui ruisselle doucement le long de sa colonne
vertébrale, lui procurant des frissons, et mouiller le bas de son débardeur dans son
dos. Elle semble apprécier de plus en plus.
« Sur les seins, un peu » Mon complice s'applique à verser quelques gouttes sur
chaque seins de notre esclave. Le tissus tache immédiatement et laisse apparaître
encore plus ces tétons durcis. Cela m'excite énormément et semble faire beaucoup
d'effet au bourreau. Je prend toujours des photos d'eux deux.
« Enlève ton t-shirt , prend ton temps, fais la être désireuse... » Il n'attend pas que je
finisse et retire son t-shirt. Il reprend alors la bouteille et lui verse a nouveau de l'eau,
en plus grande quantité sur sa poitrine qui semble être totalement mouillé. J'avais
choisi un débardeur blanc, évidement, et celui ci est devenu presque totalement
transparent en étant mouillé. La vue est très excitante, ma femme attachée,la poitrine
à la vu de ce quasi inconnu torse nu.
« Sur la nuque, très doucement jusqu'à ce que l'eau goutte sous ces fesses » Il ne
semble pas comprendre de suite, absorbé par sa contemplation, comme un peintre
devant un tableau inachevé.
Puis il se remet à lui verser de l'eau comme je lui ai demandé, sur la nuque. L'eau
tombe doucement et je me concentre sur les cuisses de ma femme pour voir l'eau
tomber. Déçu de ne rien voir, je pense alors que ses habits absorbent tout au fur et a
mesure, lorsque, quelque gouttes semblent perler sur sa jupe. Mon complice semble
encore plus excité et j'en conclu que c'est bien ce que j'avais vu de loin.
« Lèche lui les tétons à travers... », le jeune homme ne se fait pas prier. Ma femme
gémit sous la surprise et le désir. Je ressens un peu de gène, de la jalousie,
beaucoup d'excitation, j'imagine mon complice à l'étroit dans ses sous vêtement, ma
femme mouillée et pas seulement par l'eau chaude...
« Stop ! Encore de l'eau sur ces seins, je veux que tu la mouilles complètement. »
Il semble rechigner à arrêter mais connait les règles et obéit. L'eau ruisselle sur la
poitrine de ma femme et mouille entièrement sa jupe qui n'absorbe plus rien.
J'imagine le sexe de ma femme, chaud, et humide, excité et gonflé...
J'hésite, puis : « Penche toi, et lèche les gouttes qui perlent à travers sa jupe » Il
s'accroupit, cette fois ci sans attendre, passe sa tête sous ma femme, et allongé, il lui
lèche les fesses, en y prenant visiblement beaucoup de plaisirs. Ma femme aussi
semble apprécier cela, car elle gémit plus fort. Elle se tortille un peu comme si elle
voulait qu'on l'achève, qu'on abrège son supplice et qu'on la prenne sauvagement.
Mais elle a accepté d'être mon esclave...
Je savoure ce spectacle un moment, puis décide de reprendre le commandement.
« Relève toi, déshabille toi lentement, en lui faisant comprendre seulement par le bruit
que tu va te retrouver nu » Un moment d'hésitation, je m'apprête à expliquer mon
ordre, mais il se relève et se rapproche tout près de ma femme. Il fait cliqueter sa
ceinture (je lui avait prêter la mienne, pour que ma femme ne se doute de rien), puis
fait glisser lentement son pantalon, laissant apparaître une bosse énorme. Il le retire
complètement et le laisse tomber lourdement au sol. Puis me jette un coup d'œil, on
échange un regard d'approbation, et il se met à faire glisser son caleçon. Son sexe est
« envieux », le mien aussi d'ailleurs. Je me met à me déshabiller lentement moi aussi
mais au contraire de lui, en prenant soin de ne pas faire de bruit.
Ma femme se tortille plus fort, elle semble être très excitée.
« Prend les ciseaux, et coupe lui une bretelle de débardeur » Il fouille un moment
dans le sac, en ressort une bonne paire de ciseaux et s'approche de ma femme. La
scène fait film d'horreur, mais l'idée est vite chassée par l'excitation. Il lui attrape une
bretelle et passe la lame des ciseaux délicatement, pour enfin la couper net. Le reste
de bretelle tombe sur la poitrine mouillé de ma chérie. Son débardeur est
suffisamment serré et tellement mouillé que le fait d'avoir une bretelle en moins ne
dévoile pas plus de son intimité. Elle semble surprise, mais comprend vite ce qu'il fait.
« L'autre », la deuxième bretelle subit le même sort que la première, retombe en
laissant encore du répit au débardeur. L'excitation monte pour tout le monde.
Heureusement, j'avais prêté mon parfum au jeune homme pour pas qu'il ne se fasse
démasquer, l'excitation montante.
« Très doucement, en jouant avec les ciseaux, coupe le reste de débardeur de bas en
haut en passant entre ces seins ». Il réfléchis quelque secondes, puis se penche
pour passer la lame inférieure sous le tissus juste en dessous du nombril de notre
esclave. Le contact avec la lame froide la fait sursauter, mais elle comprend mes
intentions et l'excitation revient de plus belle.
« Essais de ne pas découvrir ces seins », il me regarde interrogateur, puis comprend.
La paire de ciseaux grince, en remontant vers les seins de ma femme, elle frémit à
chaque découpe, respire plus vite... Le tissus semble collé, car il ne bouge pas même
en étant découpé et j'en suis content. Mon complice rabat les bretelles pour bien
maintenir le reste de tissus pendant que les lames passent entre les seins de ma
femme. Il termine de découper le tissus sous sa gorge et se retire doucement comme
pour me faire admirer le spectacle. Cela est très beau, très excitant, et je vois qu'il n'y a
pas qu'à moi que cela fait de l'effet. Lui aussi, à la queue bien dressée. Je me caresse
doucement, lui fait de même, pendant que l'on contemple notre œuvre. Elle semble
frustrée, ne pouvant pas assouvir ces désirs.
« Donne lui ta queue à sucer, mais pas trop... » Il est un peu mieux monté que moi, et
je ne veux pas qu'elle découvre la supercherie maintenant.
Il ne se fait pas prier et approche sa queue des lèvres de ma femme. Elle sursaute et
comprend immédiatement. Elle le prend dans sa bouche sans penser que ce n'est
pas la mienne. Je suis très excité mais en même temps inquiet, je ne veux pas qu'elle
s'en aperçoive. Lui, ferme les yeux de plaisirs, et semble s'abandonner...
...  « pas trop ! », il sursaute a son tour, puis se concentre sur ce qu'il donne à mon
esclave. Le bout de sa queue, pas plus. Elle semble ravie, même si elle ne peut pas
en prendre plus dans sa bouche, étant attaché et lui trop loin. Je me caresse encore
plus, ça m'excite beaucoup de la voir comme ça, avec la queue d'un autre dans sa
bouche, même si je suis jaloux, et un en colère qu'elle ne fasse pas la différence.
« Fais tomber son haut » Avec le bout des ciseaux, il fait sauter le morceau de tissus,
lui découvrant complètement les seins. Leur vu nous trouble un peu tout les deux
visiblement. J'ai très envie de me lever et de la prendre sauvagement, je me doute que
je ne suis pas le seul et cela m'excite encore plus. Que ma femme puisse en exciter
un autre comme cela ne me surprend pas mais m'excite au plus haut point, surtout
qu'elle ne se doute de rien.
Ses seins pointent admirablement, et semblent désireux d'être léchés.
« Lèche lui les seins, prends les dans ta bouche », ce qu'il fait sans tarder, décrochant
un long gémissement à ma femme. J'adore ça, je me demande comment je vais faire
pour tenir jusqu'au bout. Je me branle de plus en plus sans faire de bruit, l'autre fait de
même.
« Découpe sa jupe de bas en haut tout aussi doucement que tout a l'heure » En
entendant le grincement des ciseaux ma femme semble comprendre et se trémousse
d'avance.
Il s'accroupit et passe la paire de ciseau sur le rebord de la jupe et tout doucement, en
s'appliquant, il commence à découper la jupe détrempée. Celle ci ne pose aucune
résistance, le tissus se déchire pratiquement. Il remonte lentement dévoilant de plus
en plus les cuisses de ma femme sous ses collants. Ça me plait beaucoup, lui est
très concentré, elle reprend sa respiration accélérée. Les lames du ciseaux remonte
et atteignent bientôt leur but. Le tissus finit par être découpé en deux et tombe à terre
dans un « splash ». On aperçoit la culotte de ma femme complètement humide, et il
est même possible de voir son sexe à travers, à moins que ça ne soit notre excitation
qui rend notre imagination plus fertile.
« Verse lui de l'huile de massage » Il attrape la fiole, et lui en verse à sa guise d'abord
sur les seins puis rapidement sur sa culotte. Le liquide coule doucement, s'insinue
surement, laissant des reflets luisant sur le corps de ma femme. J'en profite pour
prendre encore quelque photos.
Je tiens plus : « découpe les deux cotés de sa culotte »
Il me regarde à peine, puis glisse sa main sous le collant, attrape un bord et le coupe
net d'un coup de ciseau. Il fait de même avec l'autre.
« Débrouille toi pour lui retirer sa culotte sans enlever les collants »
Il réfléchit rapidement, puis attrape le bout de tissus du devant de la culotte et tire
doucement dessus. Elle est tellement trempe, qu'elle ne veut rien savoir. Il décide
alors de passer sa main derrière ma femme, ans son collant, attrape le rebord de la
culotte et le fait descendre doucement et prenant soin de lui effleurer les fesses.
J'imagine, son pouce tenant le tissus descendre le long de la rez du cul de ma
femme, en y prenant beaucoup de plaisirs. Il descend suffisamment le reste de la
culotte puis repasse sa main devant et essaye a nouveau de tirer dessus. Cette fois
ci, elle ne tient pas longtemps découvrant le sexe humide et rasé de ma femme à
travers le collant.
Je prends des photos, mon complice se rince l'œil et se caresse. Puis il retend sa
queue à ma femme sans que je ne lui ai rien dit. Je m'apprête à le lui faire remarquer,
puis me ravise. Ça me plait bien en fait, cette initiative.
« Caresse lui le sexe en même temps » se qu'il fait de suite. A travers le collant, ma
femme semble beaucoup apprécier. Son sexe est gonflé de plaisirs, et complètement
mouillé. Un liquide continu de couler sur les couvertures à ses pieds.
« Caresse la partout, qu'elle soit bien lubrifiée, puis titille lui le petit trou avec le plug »
Il s'exécute, prend son temps, s'amuse un peu et j'aime énormément ça. Je lui laisse
le champ libre quelque instant, savoure le spectacle pendant que ma femme semble
sur le point de jouir. Je vois mon complice passer le plug dans le collant doucement
par derrière, jouer un moment avec entre les fesses de ma femme puis luis insérer
d'un coup. Je me retiens de jouir. Lui, semble contempler son œuvre, se relève, se
caresse.
Je prend des photos, m'approche pour changer d'angle, et me retiens pour ne pas
sauter sur ma femme.
« Déchire le collant et masturbe la... ». Ma femme ne résiste pas longtemps et fini par
jouir. Cela me fait très plaisirs, et m'excite encore plus.
Il décide alors de la laisser un peu, retrouver ses esprits, en la caressant de ses
mains doucement sur le corps en évitant les endroits sensibles.
Elle se calme, semble beaucoup apprécier les caresses douces mais elle semble
commencer à ressentir un inconfort dans sa position. Ca tombe bien.
« Détache la, emmène la jusqu'au lit et allonge la. » Elle semble soulagé d'être
détachée, se relève un peu difficilement, mais l'excitation la gagne à nouveau. Il fait
exactement ce que je lui ai dit. Sa queue est énorme est bien dressée, je les suis du
regard, puis me rapproche du lit pour mieux les observer.
Il la guide devant le lit, lui fait comprendre de s'allonger, ce qu'elle fait sans rechigner,
puis se redresse un peu pour l'observer. Je fais de même, j'aime ça. Il commence à la
caresser sans que je lui demande rien, je n'interviens pas, il semble obsédé par elle,
ça me rend jaloux et encore plus excité, il l'embrasse doucement sur le corps, lui
lèche les tétons, elle semble apprécier, ne semble toujours pas s'être rendue compte
de la supercherie, prends son pied, ou joue le jeu même si elle a un doute...
Elle à gardé le sextoy en elle, cela ne semble pas vraiment la gêner, moi sa me rend
fou. Il lui écarte les cuisses sans qu'elle ne puisse vraiment l'en empêcher, et vient lui
lécher la fente, la prendre dans sa bouche en lui décrochant un gémissement
énorme. J'aperçois le plug entre ses cuisses, elle frissonne de plaisirs, lui est plus
gros que jamais. Il lui prend les genoux et les posent sur ces épaules, elle est offerte
complètement à lui, son sexe grand ouvert, rasé et luisant, il replonge sa langue sur
sa chatte, puis en elle, dans son intimité, elle respire plus fort, plus rapidement, il la
mange pratiquement.
« Retire le plug et prend la ! » je n'y tiens plus et je veux les voir ensemble, ma femme
et un autre homme, tous les deux, lui venant en elle, la prenant, mettant sa queue
dans la chatte de ma femme, les voir prendre du plaisirs...
« attend, je veux tout voir, prend la tout doucement, je veux voir sa chatte s'écarter
quand tu la pénètreras ! » Il semble un peu déçu de ne pouvoir se déchainer, mais
c'est moi qui décide après tout et je pense mériter de donner mes ordres, en échange
de ma femme.
Il se retourne vers moi, me regarde, semble comprendre que je suis véritablement
amoureux de ma chérie, et veux me faire plaisir. Il semble vouloir me donner le plus
beau des spectacles. Il prend sa queue dans sa main, s'approche de ma femme,
s'accroupit entre ses jambes bien écartées, je vois son sexe très humide et ne
demandant qu'une seule chose, qu'on la prenne enfin.
Il tend sa bite vers la chatte de ma femme, se relève un peu afin que je puisse ne rien
manquer du spectacle par dessous. Il effleure les lèvres rougies de ma femme, elle
se trémousse d'impatience, puis son gland disparaît en elle en écartant son sexe. Il la
pénètre ainsi jusqu'au fond très doucement en lui donnant visiblement beaucoup de
plaisirs. Il ne tient plus, il commence ses aller retours de plus en plus rapidement,
jusqu'à ce qu'elle jouisse pour la deuxième fois dans un cri non retenu. Je me
masturbe non loin, ne ratant rien.
« Calme toi... » Il met quelque secondes à réagir, puis ralentit la cadence et s'arrête,
se retire, l'embrasse sur la poitrine.
« Met toi sur le dos et fais la s'assoir sur toi »
Il obéit, la guidant ; elle, comprenant assez vite ce que l'on attend d'elle, même si elle
semble complètement ailleurs. Il s'allonge, l'attire à elle, et l'oblige à s'empaler sur lui.
Je prend soin de regarder de près ma femme venir sur lui, en prenant son pied.
Elle s'appuie sur ses mains de part et d'autre de la tête de mon complice, la tête en
arrière.
Je m'approche alors doucement, prend les mains de l'autre homme et lui met le long
du corps de façon à ce qu'il ne la touche pas. Je lui enlève l'oreillette, puis revient au
couple illégitime en pleine action. Je vois qu'il a du mal à se retenir de jouir.
Je commence à caresser les fesses de ma femme, enfin, comme si c'était lui qui le
faisait. Elle semble toujours ne pas se douter de quoique ce soit, dans l'action et
l'ivresse. Mes caresses vont vite à son sexe, et son petit trou. Je touche la queue de
mon complice, sa m'excite de savoir qu'il baise ma femme juste sous mes yeux. Je lui
caresse les lèvres, puis revient à son petit trou. Le plug a fait son effet, elle semble
bien détendue. J'aventure un doigt en elle et elle semble beaucoup apprécier. Un
second le suit rapidement, puis un troisième, elle s'immobilise un peu, je vais plus
doucement, je sens l'autre homme, en elle, lui aussi a ralentit. Elle se détend
doucement, je ne bouge pas, le jeune homme non plus, c'est ma femme qui
recommence à bouger son bassin, à aller et venir sur la queue de cet inconnue. Je
retire mes doigts, remet du gel de massage sur son cul, puis reviens à la charge.
Doucement, je réinsère le plug pendant qu'elle continue à se faire prendre. Je les
laisse un moment ainsi, puis viens doucement à genoux sur le rebord du lit. Elle ne
semble pas me sentir. Mon complice lui retire le plug, ayant compris mes intentions.
Elle se cambre, chevauche le bite de l'autre homme avec fougue. Je m'approche sans
bruit, ma queue bien tendue vers son petit trou bien dilaté. Je pose une main sur sa
fesse gauche, l'observe, elle ne semble pas étonnée, pensant surement que c'est
celle de l'autre homme. J'approche ma bite de son trou, puis me presse à son entrée,
et la force finalement très doucement, jusqu'à ce que mon gland y soit tout entier. Mon
complice s'est arrêté, ma femme aussi, mais comme attendant qu'il lui insère un
autre plug. Elle respire fort, essai de se détendre, se trémousse sur nos queues, j'y
crois pas nous sommes deux dans ma femme, deux queues qui la prennent. Je
m'avance plus profondément, lui décrochant une grimace, je ralentie, attends un peu,
reprend lorsque je sens que c'est bon. Je continue jusqu'à être entier dans le petit trou
de ma femme. C'est très serré, c'est très bon, je sens la queue de mon complice, ma
femme souffle profondément comme si elle venait de faire une course de 500m. Puis
elle se remet à bouger le bassin, très doucement et de plus en plus vite, elle semble
être en transe.
Je décide alors de lui ôter son bandage de sur les yeux, elle cligne des yeux, retrouve
la vue petit à petit, puis sursaute et jouit presque instantanément. La vue de l'autre la
rend folle, d'excitation, de gêne, de confusion, sa jouissance n'en finit pas, nous n'en
sommes pas loin. Nous nous retirons, l'allongeons, et venons jouir tous les deux sur
ses seins en plusieurs jets énormes.
Elle me regarde, nous nous allongeons à ses cotés, elle m'embrasse.