Titre de l'histoire érotique : Un gamin pour une veuve
Récit érotique écrit par Marie-Christine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 1 récit publié.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Marie-Christine ont reçu un total de 9 435 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 9 435 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : Un gamin pour une veuve
J'ai 38 ans, mon mari décédé depuis trois ans dans un accident de voiture, me laisse seule avec un enfant de 10 ans. Nous sommes en été, et, les parents de mon mari ont invité mon fils à passer des vacances dans leur villa sur la côte.
Je n'étais pas favorable, car sans lui, je m'ennuie. Mais, lui était volontaire et je ne peux pas me permettre de m'y opposer car, d'une part, ils sont très gentils, et d'autre part, légalement, ils en ont le droit.
Une semaine après le départ de mon gamin, je décidais d'aller chez des amis, qui m'avaient invitée plusieurs fois, et je n'avais pas pris le temps de satisfaire leur requête. C'était l'occasion !
Un coup de téléphone, je prends la voiture et finalement, arrive chez eux. Reçue à bras ouverts, je suis acceptée comme une reine. Leurs enfants du même âge que le mien, sont partis en colonie de vacances. Seul, un neveu de dix-huit ans, Sébastien leur tient compagnie. Un garçon de taille moyenne, blond, les yeux bleus très clairs, un visage lisse dépourvu de barbe, le teint hâlé qui me regarde, depuis mon arrivée, comme une bête curieuse. Chacun de mes déplacements est épié par ce regard angélique. Gênée, au début, puis m'y faisant, je décidais d'en rajouter un peu ; dans ma démarche et dans l'application de l'ouverture de mon chemisier que je décoltais de plus en plus.
Les deux premiers soirs, Sébastien, m'accompagnait jusqu'à la porte de ma chambre, m'embrassait sur la joue et me lançait des "bonnes nuits", puis rentrait dans sa chambre. Décidément, il me plaisait ce petit bonhomme ! Et en pensant à lui, je m'apercus qu'il m'excitait. Je me l'imaginais, nu, sans poils, le sexe droit, entrain de se caresser...A cette pensée, je sentais mon sexe gonfler et se mouiller... Quand même, il n'a que dix-huit ans, me dis-je ! Je n'arrivais pas à trouver le sommeil et décidais de redescendre au salon pour trouver un libre dans la bibliothèque. En passant dans le couloir, j'apercus un rai de lumière qui passait par la porte entrouverte de Sébastien. Lentement, je m'en approchais, et je vis la gueule d'ange adossé sur la tête de lit, torse nu, tenant un bouquin dans sa main gauche. Sa main droite, sous le drap semblait bouger, et je pensais aussitôt qu'il se tripotait. A l'endroit où je me situais, je pouvais le mater aisément sans qu'il put me voir, et je restais là, un bon moment... Je poussais, finalement, la porte :"tu ne dors pas, Seb ?" Surpris, il sortit immédiatement sa main droite de dessous les draps, et rougit..."Euh.. non" répondit-il.
Vétue d'un chemise de nuit assez légère, lentement, je m'approchais de son lit, et m'assis sur le bord.
- Qu'est-ce que tu lis ? lui demandais-je.
- Oh... rien... des conneries ! Rétorqua t-il
- Je peux voir ? répliquais-je
- Si tu veux, répondit-il en me tendant son livre.
Je saisis celui-ci et en quelques lignes lues en diagonales, je m'aperçus que c'était des histoires érotiques.
- Tu aimes ce genre de lecture, Seb ? Moi, je n'en n'ai jamais lu, lui dis-je en mentant.
- Eh bien, moi j'aime bien, dit Sébastien.
Le drap qui le recouvrait, décrivait un petit chapiteau au niveau de son bas-ventre et il ne pouvait le dissimuler. Je décidais de me lever pour le quitter et au moment où j'allais l'embrasser, ma main se posa, comme par hasard, sur sa déformation. Malgré le drap, je sentis un petit membre raide comme du bois. Trop excitée, je laissais ma main sur son petit paquet en le matant bien dans les yeux.
Surpris, il dégagea ma main, comme par reflexe. Je ne voulais pas abandonner la partie, là, maintenant... j'osais une deuxième tentative, et glissais ma main sous le drap ; il était entièrement nu. Sa peau totalement imberbe laissait ma main glisser sur son ventre musclé.. Cette main continua son périple et descendit plus bas, rencontra quelques poils éparses et arriva sur sa tige dressée. Doucement, lentement, je caressais ce petit membre au long prépuce... Sébastien s'abandonnait et me laissais faire. Ses yeux se fermèrent, comme pour mieux profiter de cet instant.
Rapidement, je dégageais complètement le drap qui me gênait, et pus admirer cette petite queue si mignonne. J'entrepris de la décalotter délicatement, et entre deux doigts je la branlais très doucement. Il se mit à respirer très fort et à gémir de plaisir.
N'y tenant plus, je me penchais et goba son gland et me mis à le sucer comme un sucre-d'orge. J'enfonçais toute sa tige dans ma bouche et me régalais, faisant tourner, par moment ma langue autour de la base de son gland, puis le reprenant bien en engloutissant tout. J'avais presque oublié ce goût de queue, puisque la dernière que j'ai sucé, c' était celle de mon mari, il y a trois ans.
Qu'elle était bonne, cette petite bite de puceau, et quel régal pour nous deux. Lentement je m'appliquais à le pomper avec beaucoup de salive, pour que ça glisse bien et je caressais ses petites boules magnifiques.
Se sentant trop inactif, il tira sur ma chemise de nuit et tenta de me l'enlever. Sans quitter ma succion, je déplaçais mon corps mon l'aider et très maladroitement, il finit par me l'enlever. Comme lui, je me retrouvais entièrement nue sur le bord de son lit. Il me caressait les épaules et sa main inexpérimentée descendit vers mes fesses, que je bombais pour mieux l'accepter. Ses doigts parcourèrent ma raie, effleurèrent mon anus et allèrent jusqu'à ma chatte inondée. Ses doigts glissaient aisément sur ma fente, et finirent par trouver l'entrée de mon vagin. Il les enfonça le plus possible, j'étais heureuse et mouillait comme une salope. Je le suçais toujours et nous bougeâmes nos corps, de façon à s'étendre sur le lit, et nous nous retrouvâmes en position 69. Il souleva une de mes jambes et entreprit de glisser sa tête pour atteindre ma vulve. Il se mit à lècher goulument ma chatte inondée de cyprine tout en me triturant mes petites lèvres et mon oeillet vierge. Que c'était bon, ce retour au plaisir.
Je pinçais bien les lèvres pour profiter de cette petite bite décidément bien vigoureuse et me laissais lècher avec délice... Mais, je sentis son corps se raidir, sa respiration accélerer et je sentis un flot de sperme arriver dans le fond de ma gorge. Plusieurs saccades de jus assez liquide mais chaud giclèrent et j'avalais tout avec gourmandise. A son tour, il ralentit sa lèche mais je me mis à jouir comme jamais je n'avais joui. J'aurais voulu qu'il ne s'arrête pas, tellement c'était bon. Ma chatte coulait et j'entendais le gloup-gloup de sa langue adans ce bain de jus.
Sa verge se mit lentement à ramollir, alors que je l'avais toujours en bouche. Et une fois, la fièvre retombée, il se dégagea de mon étau pour remonter à mon niveau et se blottir dans mes bras. Une heure après, tout excité et remonté Sébastien se manifesta et... je vous raconterai cette suite véridique plus tard...
Je n'étais pas favorable, car sans lui, je m'ennuie. Mais, lui était volontaire et je ne peux pas me permettre de m'y opposer car, d'une part, ils sont très gentils, et d'autre part, légalement, ils en ont le droit.
Une semaine après le départ de mon gamin, je décidais d'aller chez des amis, qui m'avaient invitée plusieurs fois, et je n'avais pas pris le temps de satisfaire leur requête. C'était l'occasion !
Un coup de téléphone, je prends la voiture et finalement, arrive chez eux. Reçue à bras ouverts, je suis acceptée comme une reine. Leurs enfants du même âge que le mien, sont partis en colonie de vacances. Seul, un neveu de dix-huit ans, Sébastien leur tient compagnie. Un garçon de taille moyenne, blond, les yeux bleus très clairs, un visage lisse dépourvu de barbe, le teint hâlé qui me regarde, depuis mon arrivée, comme une bête curieuse. Chacun de mes déplacements est épié par ce regard angélique. Gênée, au début, puis m'y faisant, je décidais d'en rajouter un peu ; dans ma démarche et dans l'application de l'ouverture de mon chemisier que je décoltais de plus en plus.
Les deux premiers soirs, Sébastien, m'accompagnait jusqu'à la porte de ma chambre, m'embrassait sur la joue et me lançait des "bonnes nuits", puis rentrait dans sa chambre. Décidément, il me plaisait ce petit bonhomme ! Et en pensant à lui, je m'apercus qu'il m'excitait. Je me l'imaginais, nu, sans poils, le sexe droit, entrain de se caresser...A cette pensée, je sentais mon sexe gonfler et se mouiller... Quand même, il n'a que dix-huit ans, me dis-je ! Je n'arrivais pas à trouver le sommeil et décidais de redescendre au salon pour trouver un libre dans la bibliothèque. En passant dans le couloir, j'apercus un rai de lumière qui passait par la porte entrouverte de Sébastien. Lentement, je m'en approchais, et je vis la gueule d'ange adossé sur la tête de lit, torse nu, tenant un bouquin dans sa main gauche. Sa main droite, sous le drap semblait bouger, et je pensais aussitôt qu'il se tripotait. A l'endroit où je me situais, je pouvais le mater aisément sans qu'il put me voir, et je restais là, un bon moment... Je poussais, finalement, la porte :"tu ne dors pas, Seb ?" Surpris, il sortit immédiatement sa main droite de dessous les draps, et rougit..."Euh.. non" répondit-il.
Vétue d'un chemise de nuit assez légère, lentement, je m'approchais de son lit, et m'assis sur le bord.
- Qu'est-ce que tu lis ? lui demandais-je.
- Oh... rien... des conneries ! Rétorqua t-il
- Je peux voir ? répliquais-je
- Si tu veux, répondit-il en me tendant son livre.
Je saisis celui-ci et en quelques lignes lues en diagonales, je m'aperçus que c'était des histoires érotiques.
- Tu aimes ce genre de lecture, Seb ? Moi, je n'en n'ai jamais lu, lui dis-je en mentant.
- Eh bien, moi j'aime bien, dit Sébastien.
Le drap qui le recouvrait, décrivait un petit chapiteau au niveau de son bas-ventre et il ne pouvait le dissimuler. Je décidais de me lever pour le quitter et au moment où j'allais l'embrasser, ma main se posa, comme par hasard, sur sa déformation. Malgré le drap, je sentis un petit membre raide comme du bois. Trop excitée, je laissais ma main sur son petit paquet en le matant bien dans les yeux.
Surpris, il dégagea ma main, comme par reflexe. Je ne voulais pas abandonner la partie, là, maintenant... j'osais une deuxième tentative, et glissais ma main sous le drap ; il était entièrement nu. Sa peau totalement imberbe laissait ma main glisser sur son ventre musclé.. Cette main continua son périple et descendit plus bas, rencontra quelques poils éparses et arriva sur sa tige dressée. Doucement, lentement, je caressais ce petit membre au long prépuce... Sébastien s'abandonnait et me laissais faire. Ses yeux se fermèrent, comme pour mieux profiter de cet instant.
Rapidement, je dégageais complètement le drap qui me gênait, et pus admirer cette petite queue si mignonne. J'entrepris de la décalotter délicatement, et entre deux doigts je la branlais très doucement. Il se mit à respirer très fort et à gémir de plaisir.
N'y tenant plus, je me penchais et goba son gland et me mis à le sucer comme un sucre-d'orge. J'enfonçais toute sa tige dans ma bouche et me régalais, faisant tourner, par moment ma langue autour de la base de son gland, puis le reprenant bien en engloutissant tout. J'avais presque oublié ce goût de queue, puisque la dernière que j'ai sucé, c' était celle de mon mari, il y a trois ans.
Qu'elle était bonne, cette petite bite de puceau, et quel régal pour nous deux. Lentement je m'appliquais à le pomper avec beaucoup de salive, pour que ça glisse bien et je caressais ses petites boules magnifiques.
Se sentant trop inactif, il tira sur ma chemise de nuit et tenta de me l'enlever. Sans quitter ma succion, je déplaçais mon corps mon l'aider et très maladroitement, il finit par me l'enlever. Comme lui, je me retrouvais entièrement nue sur le bord de son lit. Il me caressait les épaules et sa main inexpérimentée descendit vers mes fesses, que je bombais pour mieux l'accepter. Ses doigts parcourèrent ma raie, effleurèrent mon anus et allèrent jusqu'à ma chatte inondée. Ses doigts glissaient aisément sur ma fente, et finirent par trouver l'entrée de mon vagin. Il les enfonça le plus possible, j'étais heureuse et mouillait comme une salope. Je le suçais toujours et nous bougeâmes nos corps, de façon à s'étendre sur le lit, et nous nous retrouvâmes en position 69. Il souleva une de mes jambes et entreprit de glisser sa tête pour atteindre ma vulve. Il se mit à lècher goulument ma chatte inondée de cyprine tout en me triturant mes petites lèvres et mon oeillet vierge. Que c'était bon, ce retour au plaisir.
Je pinçais bien les lèvres pour profiter de cette petite bite décidément bien vigoureuse et me laissais lècher avec délice... Mais, je sentis son corps se raidir, sa respiration accélerer et je sentis un flot de sperme arriver dans le fond de ma gorge. Plusieurs saccades de jus assez liquide mais chaud giclèrent et j'avalais tout avec gourmandise. A son tour, il ralentit sa lèche mais je me mis à jouir comme jamais je n'avais joui. J'aurais voulu qu'il ne s'arrête pas, tellement c'était bon. Ma chatte coulait et j'entendais le gloup-gloup de sa langue adans ce bain de jus.
Sa verge se mit lentement à ramollir, alors que je l'avais toujours en bouche. Et une fois, la fièvre retombée, il se dégagea de mon étau pour remonter à mon niveau et se blottir dans mes bras. Une heure après, tout excité et remonté Sébastien se manifesta et... je vous raconterai cette suite véridique plus tard...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Marie-Christine
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle histoire on ressent le desir de sexe et le plaisir de profiter et de partager son experience hum quel regal ces femmes experimentees
j'aime cette histoire,ainsi que celle de la lectrice,car les gamins sont faciles a piéger ,pour des femmes mures!
j'aime cette histoire,je suis divorcée depuis 8 ans et j'ai des amis qui m'on invitée a passer une semaine de vacances dans leur maison de campagne
ils ont un fils de 17 ans moi j'ai 45 ans.un matin Robert et Sylvie était parti faire des courses en passant devant la chambre de Julien je m'aperçois que la porte est ouverte et personne a l'intérieur et je vois sur le bureau son ordinateur ouvert et un DVD passait je m'approche et je vois un film porno, je regarde et je commence a bien mouiller.
moi qui n'est pas baisée depuis 4 a 5 ans, puis Julien arrive avec sa serviette autour de ses hanches il arrivait de la douche.En me voyant il devint rouge ,je lui dis tu as de beau film si tu veux je peux regarder,
j'étais en robe de chambre, je m'installe sur le bord de son lit et lui demande de venir a coté de moi il croisait les jambes pour me cacher son sexe en érection en regardant le film je lui demande s'il avait déjà caressé une poitrine il me dit non !Alors j'ouvre ma robe de chambre lui
prend la main et lui dit occupe toi de moi comme la fille dans le film
je lui es enlevé sa serviette et je vis sa jolie bite je l'es dépucelé
et en fin de semaine il m'a même enculée.
ils ont un fils de 17 ans moi j'ai 45 ans.un matin Robert et Sylvie était parti faire des courses en passant devant la chambre de Julien je m'aperçois que la porte est ouverte et personne a l'intérieur et je vois sur le bureau son ordinateur ouvert et un DVD passait je m'approche et je vois un film porno, je regarde et je commence a bien mouiller.
moi qui n'est pas baisée depuis 4 a 5 ans, puis Julien arrive avec sa serviette autour de ses hanches il arrivait de la douche.En me voyant il devint rouge ,je lui dis tu as de beau film si tu veux je peux regarder,
j'étais en robe de chambre, je m'installe sur le bord de son lit et lui demande de venir a coté de moi il croisait les jambes pour me cacher son sexe en érection en regardant le film je lui demande s'il avait déjà caressé une poitrine il me dit non !Alors j'ouvre ma robe de chambre lui
prend la main et lui dit occupe toi de moi comme la fille dans le film
je lui es enlevé sa serviette et je vis sa jolie bite je l'es dépucelé
et en fin de semaine il m'a même enculée.